Elle se regarde une ultime fois dans le reflet du miroir et sourit en effleurant le tissu de sa robe du bout des doigts. Ce soir Briséis a misé sur un style tout à fait ordinaire ; elle ne portera pas de talons extravagants – malgré les six bons centimètres offerts et sur lesquels elle ne crachera pas pour être un peu plus à la hauteur de son cavalier - , ne colorera pas ses lèvres d'une couleur trop vive ou brute et concernant sa robe, restera sur un modèle basique bien qu'élégant. Inutile de colorer ses pommettes ; il lui suffira pour ça d'enfin apercevoir @Silas Hitchens , mis sur son 31, pour que ses joues virent assurément dans une teinte rosée tout ce qu'il y a de plus naturelle. Sur ses lèvres la poupée se contente de parsemer un baume incolore mais légèrement pailleté afin de donner l'illusion que de minuscules flocons de neige y sommeillent sagement. Un maquillage tout aussi fin vient intensifier son regard qui la satisfait suffisamment pour la décider d'en rester là point de vue produits beauté. Perdue dans ses pensées concernant la soirée qui s'apprête à commencer, l'aiglonne ajoute les derniers petits détails de sa tenue : elle réajuste brièvement la bretelle de sa robe puis noue ses cheveux de façon à avoir la nuque dégagée à l'aide d'un chignon tandis que deux mèches libérées à l'avant caressent de part et d'autre son visage. Peut-être moins recherché que ce qu'auront d'autres filles mais infiniment plus pratique en plus de gagner du temps. A cela elle ajoute une paire de boucles d'oreilles faites d'agathe blanche, enfile son masque de la même couleur puis relève la tête pour voir le résultat final. Elle est sans doute reconnaissable – et le sera encore davantage au bras de son meilleur ami – mais cela lui importe peu ; tout ce qu'elle veut est passer une soirée agréable, être en bonne compagnie, danser, se laisser guider par la musique. L'aiglonne soulève les plis de sa robe et quitte sa salle commune pour presser le pas aux flots d'élèves qui comme elle se dirigent dorénavant vers la grande salle, lieu de toutes les festivités. Arrivée en bas des marches il lui faut quelques secondes pour parvenir à s'extirper des groupes et enfin apercevoir son cavalier se trouvant à quelques pas d'elle seulement. Sourire espiègle aux lèvres elle profite qu'il lui tourne le dos pour le rejoindre aussi silencieusement que ses talons le lui permettent, approche sa main de la poche de sa veste et y glisse une rose bleue dont la tige a été coupée pour que cette dernière y demeure sans poser de problème. Elle ne sait pas depuis combien de temps il l'attend ici, la seule chose à laquelle elle est capable de penser étant son plaisir de partager ce moment avec lui. Puis c'est tout naturellement qu'elle glisse ses bras autour de sa taille, posant avec moins de difficulté que d'habitude son menton sur son épaule - merci talons - tandis qu'il lui tourne toujours le dos. « Vous attendez quelqu'un, Monsieur Hitchens ? » Murmure-t-elle sur un ton plaisantin avant que ses lèvres ne se posent brièvement dans la nuque du garçon et qu'elle ne le relâche de son emprise. L'aiglonne fait le tour de son meilleur ami sans plus attendre pour observer plus attentivement son costume et sourit, d'ores et déjà des étoiles plein les yeux. « Ça te va bien. »  Peut-être pas autant que sa tenue de quidditch (/pan/) mais vraiment bien quand même. « On y va ? » Demande-t-elle en lui tendant la main, impatiente d'entrer et de voir les merveilles qui ont une fois encore été faites.

apparence:

Spoiler:

Spoiler:

Costume + loup:

‘Et toi Hope, tu sais déjà avec qui tu y vas au bal ?’ Quelle question. Un bal, ça se prépare dès le moment où c’est annoncé - en tout cas, c’est ce que les personnes comme moi font. Il faut au moins ça pour se faire remarquer. Un cavalier, c’est secondaire. Fort heureusement pour moi, @Emrys Beurk est venu me voir et s’est proposé pour être mon cavalier. Certainement pas la belle des façons de faire sa déclaration, mais c’est Emrys. La perspective de passer une soirée en sa compagnie me plait énormément. Alors j’ai dit oui, tout simplement. Par contre, hors de question que l’on ne soit pas raccord et que l’on ne danse pas ensemble. La base, en somme. Pour ce bal - pour ce soir - j’avais envie de me défouler. De danser jusqu’à ce que mes pieds ne suivent plus. De m’amuser. C’est pour cette raison que j’avais prévu ma robe dans cette optique. Une robe magnifique  - forcément. Basé sur les tenues de danse classique, ces tutus romantiques longs, composé de couches et de couches pour donner une impression de légèreté et de douceur. Mais une robe également enchantée, avec des plantes piégées dans le bas du tulle et des petites lumières qui partent du bas de la jupe - parmi les fougères et autres éléments de flore - pour remonter en suivant des sinusoïdes en perdant de l’intensité pour s’éteindre au environ de la taille. Taille marquée par une petite ceinture en argent, pour rester dans le thème de la soirée. Seul le haut de la robe est un peu plus… ouvert, dirons-nous. Le seul avantage à ne pas avoir de poitrine, c’est bien pouvoir porter des décolletés plongeants. Pour aller avec cette robe, j’ai offert à Emrys une fleur pâle dont le coeur émet une faible lueur - le même genre que celles qui se trouveraient ce soir dans mes cheveux. Il a intérêt à ne pas l’oublier… Mais je lui fais confiance pour ça…
Il me faut des heures pour me préparer. Pour enfiler ma robe et m’assurer que l’enchantement n’ait aucun problème - heureusement que le professeur Flitwick est toujours heureux de donner un coup de main, autrement, j’aurais eu du mal je pense. Pour me coiffer et me maquiller - quelque chose de discret et de simple, pour une fois. Pour mettre mon loup et enfiler mes ballerines. Et enfin, enfin, je descends pour retrouver mon cavalier qui m’attend juste à l’entrée de la salle commune des gryffondors. Comme c’est mignon. ‘J’espère que tu trouveras que ça valait le coup d’attendre.’ Note les efforts que j’ai fait pour ma tenue. C’est à peu près ça que ça veut dire. Mais bon, que voulez-vous… Quand on est Hope Abramovitch, on se doit d’être parfaite jusqu’au bout des ongles. Et on a besoin de savoir qu’on a réussi.
Je prends donc le bras qu’il m’offre gentiment pour descendre jusqu’à la Grande Salle. Elle est magnifique pour l’occasion d’ailleurs. Il faut dire que le bleu, l’argent et le blanc sont des couleurs qui se marient à la perfection - et des couleurs que j’apprécie tout particulièrement. L’hiver en somme. Peut-être bien ma saison préférée. Il faut dire que la neige est quelque chose de… magique ? Quand elle tombe, elle met immédiatement des étoiles dans les yeux des enfants. Et je trouve ça beau. Quelqu’un s’approche Bonsoir. Tu es ravissante ce soir. Je la regarde de haut en bas. Une jolie fille. Mais avec l’enchantement mis en place, le changement de voix et le loup, je n’ai aucune idée de qui me parle. ‘Merci mais tu es… ?’ Pas la plus polie des façons de faire, mais bon. Je me suis arrangée pour ignorer un maximum qui viendrait comment et avec qui pour jouer le jeu de l’anonymat. Surtout dans une soirée où il est facile de changer la couleur de ses cheveux ou ses habitudes vestimentaires. Mais je serais - enfin nous, à moins qu’Emrys ait des talents cachés pour reconnaître les gens derrières les masques que j’ignore - assez vite fixée, non ?

Tenue d'Hope:

Le bal de noël

«Aller viens, en plus,  promis, il y aura un super buffet ! ». Tu pouvais aisément avouer que c'est cette phrase qui a fait pencher la balance. Toi qui ne voulais pas vraiment aller à ce bal, tu n'as pas eu le choix quand Victoire a lâché cette bombe. Te retrouver en compagnie de ta meilleure amie était le meilleur choix que tu as pu faire cette année. Tu ressentais le besoin de la revoir, de lui parler, cette personne qui a partagé une grande partie de ta vie à Poudlard et que tu ne voyais plus vraiment ces temps-ci. Ça t'embêtait, mais d'un autre côté, tu t'étais naïvement dis qu'elle n'avait pas besoin de toi pour évoluer. Ça non, mais mine de rien, ces discussions sans fin, sa folie et son sourire t'avaient manqués. Alors tu avais décidé de venir.

Habillé d'un costume bleu clair, cravate un ton plus clair que ton costume ainsi qu'une chemise blanche, tu te trouvais fin prêt. Jamais tu n'admettrais avoir mis un certain temps pour te préparer et que cela t'avais amusé. Une dernière touche avec ton loup doré que tu as ajusté ainsi qu'une fleur que tu as ajoutée au dernier moment sur ton costume. C'était trop ? Peut-être, après tout, tu n'avais pas l'habitude de tout cela. Tu descendais les marches, ébloui par la beauté du lieu, des flocons de neiges qui tombaient ainsi que de la musique qui parvenait jusqu'à tes oreilles. Une fois les escaliers parcourus, tu regardais au loin qui tu pouvais apercevoir, mais ce n'était pas toujours évident à cause de ces masques. Tu as tout de même cru voir @Victoire A. Beale au loin. Sa chevelure rousse t'aidant plutôt bien. Elle ne bougeait pas et fixait quelque chose que tu ne pouvais pas voir d'ici de manière assez … mélancolique dirais-tu.

Tu es allé à sa rencontre et a posé ta main sur son épaule. « Qu'est-ce qui peut bien te rendre triste un si beau jour de l'année ? » A moins que ce ne soit qu'elle soit ici avec toi et pas quelqu'un d'autre. Ce qui peut être fort probable. Tu as alors regardé la manière dont ta cavalière s'était apprêté et un sourire t'a échappé. « Tu es vraiment magnifique Vic. » Tu étais loin d'être arrivé dans les premiers, mais tu t'en fichais, ce moment allait être génial.

Codage par Libella sur Graphiorum

Spoiler:

Bal de Noel

Joyeux Noel @Priam Hawkins

Victoire était toujours là à regarder sa meilleure amie, son ancienne meilleure amie, un air triste sur le visage. Elle avait l’air heureuse en ce moment même en tout cas accompagné par un garçon que la rouquine n’arrivait pas à reconnaître. Elle avait l’air d’aller bien, d’aller mieux mais cela n’étonnait guerre Victoire. Après tout c’était bien connu, tout le monde le savait entre Victoire et Avalon c’était bien cette dernière qui était la plus forte, la plus courageuse. La plus loyal. Mais ce n’était pas le moment de ressasser le passé, pas en ce jour qui devrait pourtant être si joyeux. Pas la peine de se rappeler d’une amitié qui s’est éteinte, d’une amitié terminée et qui ne risque pas de recommencer de sitôt et peut-être jamais. Alors, Victoire essayait de détourner le regard de ce sourire qui ornait le visage de la brune, elle avait l’air heureuse, elle avait l’air sereine elle avait l’air mieux sans elle. Tant mieux. Vic préférait son bonheur d’abord et après le siens, et si disparaitre de sa vue, de ses pensées de tout la rendait plus heureuse alors la préfète n’hésitera pas une seule seconde à s’effacer, à se mettre dans l’ombre pour la laisser briller de plus belle. Elle fini par détourner le regard lorsqu’elle sent une odeur qui lui est familière, une voix qu’elle reconnaîtrait entre mille, un visage qui la réconfortait. Priam. Un pilier important dans sa vie, celui qui lui permet de rester encore de bout alors que c’était un désastre complet autour d’elle, dans sa vie. Et désastre était un faible mot. Chaos, le néant. Il ne lui restait que Priam. Priam garçon timide et réserver avec qui elle a partagé ses tous premiers instants à Poudlard. Priam aide précieuse et ami fidèle. Amitié simple mais solide. Alors elle lui sourit, franchement et honnêtement toujours heureuse de le voir. Soleil de sa vie, il réussit à illuminer ses journées. Et la serdaigle secoues la tête de gauche à droite, dernier regard pour la jeune femme plus loin, pour Ava. « Rien. Ne t’en fait pas. Je suis heureuse d’être ici avec toi. » sourire franc, aucun mensonge. Elle sourit d’avantage, fait un tour sur elle-même quand Priam la complimente. « Merci beaucoup très chère. » Et elle le fixe. La tête quelque peu penchée sur le côté, elle le regarde de haut en bas, de bas en haut. Non pas d’un regard critiqueur mais plutôt étonnée. « Je dois dire que t’es pas mal non plus. C’est la première fois que je te vois aussi bien habillé ! Très jolie costume et je dois que le loup … Wahou, ça fait très mystérieux. »  Victoire sourit, glousse quelque peu avant de s’approcher et de finir par le prendre dans ses bras. « Je suis vraiment heureuse d’être ici avec toi, vraiment, vraiment. » Meilleur ami jusqu’à la fin ? Victoire fera tout pour en tout cas. Plus d’erreur. Elle avait malheureusement appris avec la perte d’Avalon. Priam ? Hors de question de le perdre aussi.

code by bat'phanie

Tenue, chaussure, coiffure et loup:

Le nez plongé dans sa coupe de cocktail, la rouquine eut la surprise de voir débarquer une armoire à glace, élégante dans son costume de circonstance, et ce malgré l'absence de veste. Un sourire apparut sur ses lèvres lorsqu'elle reconnut @Seamus Finnigan et qu'il la salua. Le compliment qu'il cherchait à sortir de façon élégante fit rosir légèrement la cadette Weasley, qui se contenta d'un petit sourire mutin, attendant qu'il y arrive tout seul. « Bref t'es vachement belle quoi !  » Amusée, elle trinqua avec lui, tout en étant perturbée par ce sort ayant masqué la voix du gryffon. Aprés avoir bu une nouvelle gorgée, elle répondit " Vous n'êtes pas mal non plus Lord Finnigan... Très élégant. Tu devrais t'habiller comme ça tous les jours, tu ferais des ravages ! " Elle ponctua sa tirade d'un clin d'oeil, suivis d'un signe de tête vers deux filles qui, non loin, le mangeaient des yeux en pouffant bêtement. Rah les ados... "Heureusement que ce bal est masqué et que nous sommes sensés ne pas nous reconnaitre, hein ?" Une grimace vint sur ses lèvres alors qu'elle entendait une nouvelle fois le son de cette voix inconnue qui était sienne pour la durée de cette soirée. " J'ai jamais compris le principe... comment on est censés être méconnaissables avec juste un masque sur les yeux ? Ils nous prennent pour des idiots ?... Non ! " S'exclama t-elle avant qu'il ne lui réponde : "Oublies ça. On connait déjà la réponse !" Les notes de musique se firent entendre, faisant disparaitre un instant le son des conversations, et Ginny ne put s'empêcher de repenser à son escapade à Pré-au-Lard en compagnie de Seamus. " Ce n'est pas le même style musical que la dernière fois..."

Le serpentard patiente calmement et passe le temps comme il peut – c'est à dire majoritairement en regardant de travers chaque gyffondor qui sort de sa salle commune. Dumbledore a organisé cette soirée dans le but de rapprocher les élèves, de créer de nouveaux liens après ceux qui ont été mis à mal ces dernières semaines mais il lui est impossible d'être agréable ou ne serait-ce que tolérant avec les lions. Hormis @Eloan Ponds qui n'est rien de plus qu'un bug inattendu ayant réussi à se frayer un chemin dans la matrice puriste et détestable du garçon. Une exception qui en restera une et ne se reproduira plus avec qui que ce soit d'autre. Pendant un moment il se demande s'il va le voir sortir de ce passage en pierre lui aussi et si cela arrive, à quel bras mais il n'en aura jamais la satisfaction. Peut-être que le rouge a décidé de bouder la soirée où s'y trouve tout simplement déjà, cette perspective lui plaisant davantage que la première. Après les mauvais moments qui les ont poussés à se retrouver dans les toilettes quelques semaines plus tôt, il mérite bien de passer une soirée basée sur le thème de l'amusement afin de décompresser un maximum avant les vacances. A plusieurs reprises pendant les quelques minutes d'attente qui le séparent de sa cavalière, le jeune serpentard lance des regards assassins au portrait qui lui fait face afin de le convaincre de se taire. Les pensées qui se bousculent dans sa tête sont heureusement pour lui plus assourdissantes que les jérémiades de la grosse dame qui regrette de ne pas pouvoir se joindre à la fête néanmoins, elles restent une compagnie dont il se serait bien passé. Même s'il le voudrait il ne peut se permettre de la remettre à sa place ou la menacer ; un flux constant d'élèves sort et rentre dans la salle commune si bien que la pierre ne cesse, dans son système magique, de basculer d'un côté à un autre pour en autoriser l'accès. Et bientôt c'est sa cavalière qu'Emrys voit franchir le seuil, le faisant se dresser comme un « i » et ouvrir la bouche comme un « o ». Il connaît @Hope Abramovitch depuis longtemps maintenant mais c'est la toute première fois qu'il pose un tel regard sur elle. Elle est pourtant assez semblable à ce à quoi elle ressemble tous les jours lorsqu'il y réfléchit ; elle est simplement embellie par certains artifices auxquels elle n'aurait pas droit dans d'autres circonstances. Béa d'admiration, le garçon s'avance de quelques pas puis fait une révérence qui se veut à la hauteur de toute l'estime qu'il lui porte. « Tu m'enlèves les mots de la bouche. » Répond-t-il avec un sourire malicieux avant de lui proposer son bras pour continuer sur sa lancée de gentleman. « Tu es splendide Hope mais je n'en attendais pas moins de toi. » Le mystère de de la fleur pâle qu'il a fièrement accrochée à sa veste de costume est enfin résolu. Il profite de quelques secondes supplémentaires pour l'admirer ainsi que sa robe puis prend la direction de la grande salle après avoir jeté les sorts adéquats à leurs voix afin de les voiler. Elle est méconnaissable et semble d'ailleurs bien plus grande que d'habitude habillée de blanc, d'argenté et de bleu. Ce qui interpelle le plus le troisième année reste néanmoins les sculptures de glace géantes qui les accueillent lorsqu'ils arrivent lui arrachant un sourire non dissimulé. Cette soirée s'annonce bien. Vraiment bien. Un regard discret à droite puis à gauche et il remarque avec regret que @Pansy Parkinson n'a pas encore fait son entrée. Il aura au moins la satisfaction de ne rien en louper du spectacle lorsque cela sera le cas. Une poignée de secondes après leur arrivée suffit à ce quelqu'un vienne à la rencontre du duo, s'adressant exclusivement à sa cavalière et lui faisant tourner la tête dans sa direction. Qui est-ce? Une serpentarde sans aucun doute. Emrys aurait pu miser sur @Calypso Shafiq si seulement cette dernière n'avait pas été aussi blanche et se tenait avec davantage de classe digne de l'aiglonne. « Ravissante est un bien faible mot. » Se contente-t-il d'ajouter avant du quitter du regard la jolie rousse à son bras. Il va lui falloir un peu de temps pour se faire à ces voix qui sont désormais les leurs, même la sienne.  

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