Lundi 13 janvier 1997, neuf heures. Soit deux jours entier depuis la fin de la première épreuve, deux jours à devoir être en osmose avec le reste de son équipe que ce soit à l'heure du repas ou du coucher, lors des rassemblements ou des moments que l'on souhaite isolés. Un feufolet de lumière blanche et pure apparaît face au regard de l'équipe alors que le petit-déjeuner termine d'être englouti. Les regards croisent ceux des autres équipes toutes aussi surprises, une forte appréhension se fait ressentir. Le feufolet s'active, il est temps de le suivre. Comme la moitié du reste des équipes, le quatuor entame sa marche jusqu'au château puis les couloirs du sixième étage. Il fait bien plus chaud ici et c'est avec soulagement qu'ils empruntent le pas des dizaines autres élèves. Des interrogations se font entendre, le sixième étage étant celui le moins parcouru par les étudiants, presque tous découvrent les lieux. Tous ces grands tableaux alignés faisant face à de grandes fenêtres avec une vue directe sur le lac et la forêt interdite possèdent des scènes peintes et animées mais différentes que le reste des œuvres du château. Il y a un secret derrière chaque portrait mais les étudiants n'ont pas le temps de s’appesantir sur la question que le feufolet de chaque quatuor vient les taquiner personnellement pour les guider devant un tableau bien précis. Les équipes sont désormais à nouveau séparées et certains regards de hâte ou de crainte s'échangent. Les tableaux face aux équipes s'ouvrent et les laissent entrer. Votre quatuor est désormais dans une pièce de taille moyenne, circulaire. Deux canapés et un fauteuil, une table en bois contre un mur de la couleur de votre équipe et une grande fenêtre pour illuminer le tout. Le sol est d'un brun sombre, il se confond dans la même couleur que la porte qui est devant vous. Il n'y a pas de poignée à celle-ci, mais le feufolet virevolte au dessus d'elle et se fige. Soudainement, il change de couleur et passe du rouge, au jaune, au bleu puis au vert et ainsi de suite. Il attire votre attention, lorsque chacun le regarde, la créature de lumière s'arrête soudainement sur une seule couleur : rouge. Il est temps pour @Hermione Granger d'entrer dans cette autre pièce où l'attend une épreuve.
Le tournoi se poursuit et voici sa seconde épreuve ! Ϟ Chaque équipe commence l'épreuve au même moment, votre équipe est accompagnée de sept autres à ses côtés avant d'entrer dans la pièce qui vous est destinée se situant au long couloir du sixième étage. Nous sommes le lundi 13 janvier 1997, nous vous demandons d'écrire au moins chacun une réponse à propos de ce début d'épreuve et de discussion entre tous vos personnages pour commenter votre arrivée et le départ du premier étudiant. (exception si un membre de votre équipe est connu comme étant en période d'absence donc impossibilité de participer à l'épreuve)
Ϟ Une fois vos quatre réponses écrites et postées, le Choixpeau interviendra pour donner la première épreuve.
Ϟ L'élève choisi par la couleur commencera son épreuve, seul. Nous tenons à vous préciser que aucun de ses coéquipiers ne le voit effectuer son épreuve. Lorsque l'élève termine, il sort de la pièce annexe pour rejoindre les membres de son équipe et c'est à un autre d'y entrer à son tour. Ainsi de suite.
Ϟ Plus d'informations sur le déroulement de l'épreuve ici
Deux jours étaient passés depuis la fin de cette première épreuve qui vous aviez tous exténués et mis dans des positions indélicates. Mais elle avait eu le mérite de rapprocher les membres de votre équipe et de la souder. Si bien que derrière certaines appellations habituelles, une confiance résidait tout particulièrement entre vous. Comme si frôler la mort – parce qu’il fallait le dire, il aurait fallu qu’un seul de vous chute de son balai pour se blesser gravement ou pire, se briser la nuque contre les tables de la Grande Salle – vous aviez rapproché. Après tout, tu pouvais le confirmer toi-même. C’était ainsi, dans le danger et l’aventure, qu’Harry, Ron et toi étiez devenus amis, unis face à un troll des montagnes. Et aujourd’hui, ce lundi 13 janvier, à l’aube de la seconde épreuve, tu n’avais aucun doute sur la potentielle réussite de votre quatuor. Vous étiez unis, vos différences faisaient vos plus grandes forces et si tu doutais encore de la logique de ce tournoi, tu pouvais affirmer qu’Albus Dumbledore s’était vu réussir quelque chose : votre équipe était unie et avait outrepassé toutes ces rivalités quotidiennes. Rester à savoir si une fois le tournoi terminé, les liens tissés allaient résister au rude retour à la réalité.
Emmitouflée dans tes habits d’hiver, tu étais attablée à table en train d’avaler ton petit-déjeuner, pensant déjà au fait que vous aviez déjà utilisé vos nuits dans une salle de classe chauffée et qu’il fallait désormais songer à trouver un endroit non exploité et relativement couvert de l’hiver pour vous assurer des nuits correctes et surtout une potentielle résistance au virus Influenza, qui une fois logé dans vos bronches, vous offrirait une jolie grippe pour terminer ce tournoi. Ton regard se posa sur le jeune poufsouffle puis sur Silas et Theodore. Si l’un d’entre vous tombait malade, l’équipe entière finirait par tomber malade elle aussi. Il fallait à tout prix éviter ça. « Il nous faut trouver un autre endroit où dormir maintenant que les nuits gagnées ont été… » Commenças-tu en regardant successivement tes coéquipiers. Seulement, tu fus interrompu par un feu-follet blanc qui sembla vous taquiner doucement. Surprise, tu jetas un regard à cette lumière fantasmagorique et lanças un coup d’œil autour de vous. Chaque équipe venait de se faire déranger par une lueur similaire à la vôtre et il ne te fallut pas plus de temps pour comprendre que l’épreuve numéro deux de ce tournoi venait toquer à votre porte. Tu avalas d’une traite ton thé noir et te levas sans plus de cérémonie. « On doit le suivre, soyons les premiers à arriver. » Un sourire encourageant et déterminé se dessina sur tes lèvres, à l’opposé de l’ombre que tu avais été quelques jours plus tôt. La force et le courage de la lionne retrouvés, tu étais prête à affronter cette nouvelle étape qui vous rapprochait un peu plus d’une victoire certaine. Car une chose était sûre. Il était tout bonnement hors de question que vous arriviez deuxième ou dans la suite du classement. Ambitieuse, seule la première place t’intéressait, dévoilant ainsi la part compétitrice qui résidait en toi et qui n’était pourtant pas majoritaire. Une fois que tes coéquipiers furent debout, vous empruntiez tous les quatre le chemin du château, suivant intrigués cette lueur qui vous menait tout droit vers le sixième étage de l’école, un étage bien loin d’être fréquenté dans lequel se dressaient fièrement une série de tableaux tous plus fascinants les uns que les autres. « Tu penses que cette nouvelle épreuve va être pire que la précédente ? » demandas-tu prudente à @Silas Hitchens alors que ton regard se perdait dans la contemplation de ce couloir réservé aux appartements des préfets-en-chef et des professeurs, couloir que tu espérais emprunter l’an prochain, l’ambition d’être la successeur de l’actuelle préfète-en-chef. Tes yeux s’arrêtèrent sur tes amis qui sont également présents dans ce couloir qui n’en finissait plus et tu leurs adressas un sourire encourageant, priant de tout cœur qu’ils ne leur arrivent rien. Finalement, le feu-follet s’arrêta devant votre tableau et jetant un coup d’œil à tes coéquipiers, tu fus la première à t’engouffrer à sa suite.
Ce fut une pièce étonnamment confortable qui se présenta devant vous. La pièce était circulaire et tu fus étonnée de voir qu’elle avait aménagé pour votre équipe. Ton regard se posa sur les différents meubles. Cette pièce ne pouvait certainement pas être une pièce conçue pour vous reposer ou pour vos loger durant le reste du tournoi. C’était hautement improbable. Tu fronças les sourcils en continuant de découvrir la pièce alors que le feu-follet s’agitait au-dessus d’une porte en bois qui se confondait parfaitement avec le sol de la même couleur. Une porte sans poignet tout aussi intrigante que le reste de la pièce. Ton attention se porta rapidement sur la feu-follet qui s’agitait. Celui-ci changeait de couleur, passant très clairement par les couleurs principales de vos différentes maisons avant de s’arrêter sur le rouge. Un rouge qui ne vacillait pas une seule seconde et que tu observais avec grand intérêt. Les connexions furent très rapides à faire et le goût du risque s’anima dans ta poitrine, comme il ne l’avait pas fait depuis bien longtemps. Et tu regrettas quelques secondes qu’Harry et Ron ne soient pas avec toi pour vivre cette aventure à tes côtés, comme vous aviez eu l’habitude de le faire. Revivre cette adrénaline ensemble et tu te promis instantanément qu’à la fin de ce tournoi, d’être moins réfractaire à l’idée d’enfreindre quelques règles en compagnie de tes deux meilleurs amis pour retrouver cette adrénaline perdue. « C’est à moi de commencer. » Annonças-tu sans trembler une seule seconde. Ton regard se posa d’abord sur @Boreas Rosenberg, puis sur Silas et finalement sur @Theodore Nott avec lequel l’échange de regard fut bien plus long. Comme si inconsciemment, tu cherchais dans l’azuré le soutien et la confiance qu’il t’accordait progressivement. Tu avanças vers la porte et avant d’entrer, tu te retournas une dernière fois. « Profitez en pour vous reposer. » intimas-tu alors que ton dernier regard fut pour le serpent. Profonde inspiration et tu entras sans plus de cérémonie dans la pièce, prête à te confronter au destin que les professeurs semblaient avoir décidé pour toi. Telle la lionne que tu étais.
Theodore Nott
veritaserum
parchemins : 17636
sablier : 16
- convictions : scribe, c'est une bonne situation ça ?
- clubs et assos : référent, ancien préfet-en-chef et ancien gardien de l'équipe des serpents. (ancien capitaine)
- métiers ou études : en huitième année à poudlard, bientôt à l'arcane college d'oxford.
- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, politique et recherches magiques (+russe).
avatar : max irons
crédits : (av) lionheart (cs) ophelia, mine
mood actuel : profite des deux derniers mois à poudlard avant la vie adulte, heureux avec son crew d'amis fidèles mais surtout avec hermione.
Le regard fixant la surface de son café noir fumant, Theodore est quelque peu déconnecté de la réalité ce matin. Il ne se rend toujours pas bien compte que ce tournoi est bien réel et que c'est déjà le troisième réveil qu'il partage avec ses coéquipiers. Plus que quatre matins et ils retrouveront leur quotidien habituel, plus que quatre matins et ils oublieront peut-être les liens noués au fil de cette aventure. Les azures relevées sur le jaune, le bleu, la rouge, tant de couleurs avec lesquelles il n'avait pas l'habitude de coopérer réellement, trois nouveaux noms dans la liste des personnes qu'il pouvait dire connaître plus que de simples étudiants inconnus croisés dans les couloirs. Un jaune encore énigmatique à ses yeux mais Silas, Hermione qui eux, devenaient de plus en plus importants dans ce quotidien fabriqué de toute pièce par le corps professoral. Il ne sait mettre de mots sur ce qu'il s'est passé lors de la première épreuve, ni même la soirée qui l'a suivie. Il ne sait évoquer son positionnement réel face à cet ancien meilleur ami, dont sa présence nouvelle à ses côtés lui prouve combien il a pu manquer à sa vie durant toutes ces années. Une lionne qui se démarque par son humanité, par sa bienveillance et témérité qu'il savait déjà présente de nom, mais qu'il vérifie désormais devant ses yeux. Il y a du respect, entre eux trois. Du respect et du soutient réel et tangible. Mais est-ce que cela sera la même chose une fois le tournoi terminé ? Silas redeviendrait-il Hitchens ? Et Hermione, sait-il seulement qui elle est pour lui actuellement ? D'abord plus grande rivale au sein de leurs études, puis binôme agaçante mais attachante, intelligente et humaine à qui il s'est attaché par mégarde, au détour d'un couloir du septième étage, au détour de piques qui finissent en sourires en coin. Theodore regarde ses coéquipiers et se demande ce qu'il doit faire et comment il doit agir. Il n'est pas de ceux qui tissent des liens facilement, il n'est pas de ceux qui arrivent à garder proche les amitiés éloignées, ni même à considérer avec facilité des liens sociaux proches de lui. Gâchera-t'il tout ? Oubliera-t'il pour mieux passer à autre chose ? Avant de se rendre compte qu'ils sont finalement incompatibles, que son sang n'a le droit de se sentir aussi à l'aise en leur compagnies, avant qu'on ne lui rappelle de façon flagrante, une claque verbale et un mépris signifiant de la part de ses pairs. L'attachement du cœur et le détachement par la raison, faire ce choix ou laisser les autres le faire à sa place, s'y tenir ou oublier.
Et le serpent se sent loyal, pour une fois. Plus loyal qu'envers les autres serpents, qu'envers lui-même aussi. Ou peut-être un peu envers ce lui qui a envie de faire les choses bien pour une fois, concrètement, socialement, mener à terme une tâche qui amènera la victoire à son équipe. L'ambition de réussir, d'arriver au moins à la finale, de la gagner quoi qu'il en coûte, pour eux, pour lui aussi, prouver qu'il peut agir avec d'autres personnes, prouver à ses pairs peut-être que finalement ils se trompent tous à propos du carmin. Et il sait que cela risque de faire siffler certains, il sait que cela ne plaira pas à tous, mais pourtant l'idée lui semble alléchante. Cette même partie de lui qui l'a poussé à prendre ce courage enfoui en lui pour s'émanciper de son père, ce Theodore qui a envie de renverser des structures de pensée, des institutions pour une meilleure égalité, pour une meilleure humanité. Humain avant d'être sorcier, tout comme celle à sa droite, celui en face de lui qui aux yeux de ses plus proches amis sont pourtant considérés comme des traites à leurs sang et des monstres, sous-sorciers. Ce n'est pas des sorciers méritant d'être considérés aussi lâchement et à une valeur plus qu'amoindrie qui l'entourait, qui l'avait aidé lors de la première épreuve.
La lionne commença à évoquer un nouveau lieu pour dormir au moment où le sang-pur terminait son café et avalait un dernier morceau de viennoiserie. Un être de lumière s'approcha d'eux, coupant la parole de l'étudiante, attirant l'attention de tous. Theodore approcha ses doigts, presque hypnotisé par la pureté du feu-follet et tenta une caresse, un contact, mais celui-ci virevolta autour de sa tête avant de venir taquiner ses autres coéquipiers. La seconde épreuve commençait, il n'en pouvait être autrement. Parce qu'il se remémorait d'en avoir vu des semblables dans la forêt derrière chez sa tante, il se souvenait de leur rareté, de ces aurores à tenter de les approcher avant qu'ils ne s'éclipsent. Vrai fascination d'enfance, il a presque un sourire qui étire ses lèvres alors qu'il se relève de son banc et tente une nouvelle fois de le toucher. Un sourire qui croise presque le chemin par un regard accroché un instant avec Silas et Hermione, une lionne beaucoup plus dynamique et enjouée qu'au lendemain de la première épreuve. Alors l'excitation s'empare des membres et ce tempérament de victoire se communique à chacun ou du moins, au serpent qui attrape son caban et le pose sur ses épaules avant de suivre la brune avec hâte, un regard en arrière pour ses deux autres coéquipiers.
Le sixième étage ne lui est pas totalement inconnu. Le préfet a l'occasion parfois de le traverser pour repérer des élèves en dehors de leurs chambres après le couvre feu, il se souvient de cette fois où un cinquième année par très malin avait essayé de lui échapper en entrant dans la seule aile du château sans issue. Et parfois, il s'imagine l'arpenter ce couloir, une insigne de préfet en chef accroché au haut de sa cape, des appartements pour lui et sa partenaire qui.. il s'en rend compte, risque d'être Hermione. Un regard sur son dos alors que le quatuor avance parmi les premiers dans ce couloir aux multiples tableaux, il profite seul de la vue. Peu enclin à s'imaginer quitter le château dans à peine plus d'une année, ses pas sont déjà emprunts de nostalgie alors qu'il s'imagine quitter les lieux dans si peu de temps. Puis l'être s'arrête face au portrait leur étant désigné et le brun interroge du regard la peinture au cas où il y ait un indice dissimulé dans sa scène mais rien de très flagrant ne lui saute aux yeux. En entrant dans la pièce, Theodore reste à la porte et ne navigue en rien dans celle-ci avant d'en avoir observé les moindres recoins. La tension qui lui fait plier et déplier ses doigts n'est pas négative, une seule appréhension le prend et c'est celle qui est associée à cette vue sur l'être changeant de couleurs. Il clignote, le serpent souffle en voyant le vert s'éliminer et adresse un regard aux chocolats de la rouge lorsqu'elle est désignée. Lorsqu'elle accroche ses azures, elle semble si déterminée qu'il ne peut que lui rendre ce regard de confiance sincère et d'encouragement silencieux. Il croit en elle et ses capacités à surmonter ce qui se dressera contre elle au delà de cette mystérieuse porte. Un simple signe positif de la tête après sa recommandation, les étudiants la regardent entrer dans cette pièce avec la bravoure associée à sa maison. Lorsque la porte se referme derrière elle, Theodore s'approche et dépose sa main sur la poignée pour tenter de l'enclencher, au cas où ils puissent la suivre ou l'aider d'une quelconque façon. Malheureusement, l'essai est infructueux et le serpent se retourne vers le bleu pour échanger un regard de concerne envers la rouge partie. Theodore enlève alors son caban et le dépose, plié, sur le rebord d'un canapé avant de venir palper les murs où ils se trouvent. Peut-être y a t'il une issue, un indice de dissimulé.. « Tu penses qu'il se passe quoi pour elle ? » demande t'il simplement à Silas qui se trouve à présent juste à ses côtés. Il continue un moment à rechercher et inspecter la pièce avant d'abandonner, sortir sa baguette et lancer un « REVELIO » au hasard mais rien n'apparaît. Il abandonne, s’assoit dans l'un des canapés et se délecte de son confort. Imitant le jaune qui a pris le fauteuil et posé sa tête sur l'accoudoir pour sommeiller, Theodore s'allonge en passant un bras derrière la tête, ses azures un temps fixées sur le bleu, puis le plafond. Il ne saurait s'endormir en cet instant, mais le repos de ses muscles encore endoloris lui sera sûrement bénéfique. Une appréhension lui tire les entrailles, il tente de croire au fait que tout va bien pour elle.
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Fearless child, broken boy; Tell me what it's like to burn. ♚moodboard de theodore
tu poses un instant ton regard sur ton ancien meilleur ami. depuis quand exactement tu n'as plus partagé de petit-déjeuner en sa compagnie ? est-ce que seulement c'est déjà arrivé ? tu ne te souviens plus. une famille bien trop différente de la tienne. des principes que tu n'as jamais réussi à comprendre et des traditions que tu es bien content de ne pas avoir à respecter. tu n'aurais pas été heureux en tant que sang-pur.. bien content finalement de n'être qu'un bâtard et d'avoir le droit d'être toi-même. d'être avec qui tu le souhaites. en amitié en amour. ne pas être dans l'obligation d'écouter les choix de tes parents. peut-être que les choses auraient été différente entre theodore et toi. peut-être qu'il serait resté ton ami si tu avais été différent, un sang plus propre qui coule dans tes veines. mais, tu n'as plus envie d'y penser. plus envie de garder toutes ses choses en tête pour l'instant. pas même à te demander ce que va devenir l'après tournoi. une équipe à laquelle tu t'attaches et que tu n'as pas envie de voir simplement disparaître ou voler en éclat après la dernière épreuve. peut-être trop naïf. tu relèves le regard sur la lionne. en train de réfléchir à un endroit ou passer la nuit pendant que tu continues de savourer ta troisième viennoiserie. ne jamais dire non à de la bonne nourriture et pour être en forme tu as besoin de manger. quitte à passer pour le gros de service. tant que tu en laisses pour les autres.. « dommage.. j'aurais pas dit non pour une nuit encore au chaud. » à profiter de ne pas être dans le froid et surtout.. deux jours qui sont passés beaucoup trop vite à tes yeux. une phrase qu'elle n'a même pas le temps de terminer qu'un feu-follet blanc s'agite sous vos yeux. tu l'observes longuement sans prendre la peine de bouger. presque déçu de voir les autres quitter la table. « mais.. » et le petit-déjeuner alors ? t'essayes de faire comprendre à theodore qu'il faut prendre des provisions mais, tu abandonnes rapidement. attrape juste encore de quoi combler ton appétit pour la route.
le sixième étage qui se dessine rapidement sous tes yeux. pas la même lueur dans ton regard que dans celui de tes camarades. pas les même ambitions non plus. toi qui n'a jamais eu la moindre envie que de jouer au petit chef. mais, tu es bien certain d'une chose.. ils seraient tous les deux parfait dans ce rôle. la dernière bouchée de ta gourmandise que tu termines d'une traite lorsque la lionne pose à nouveau son regard sur toi. une joue plus grosse que l'autre mais, ta bouche que tu fais l'effort de vider avant de lui répondre. « plus facile je l'espère.. votre corps à toujours des séquelles de la première épreuve. » presque honteux d'admettre que tu t'en sors plutôt bien toi. un nez cassé qui est réparé grâce au serpent depuis le premier jour et quelques douleurs musculaires, sans plus. boreas qui a encore eu plus de chance que vous trois. mais, ce n'est pas un reproche.. tu n'aurais pas supporté qu'il lui arrive quoi que ce soit au blaireaux. beaucoup trop jeune pour subir les idées folles de votre directeur. « je me demande ce qu'il prépare. » en parlant du directeur. dans quel but organiser ce tournoi ? prouver qu'il est possible de créer un climat de paix entre toutes les maisons ? tu ne sais pas. tu n'as pas le temps de te poser la question que tu rentres à ton tour dans la petite pièce confortable.
le feu-follet qui termine son chemin face à une porte. le blanc qui disparaît pour afficher les couleurs de vos quatre maisons chacune à son tour. une épreuve individuelle ? pourquoi ? depuis quand ? tu as beau réfléchir, tu as du mal à comprendre. ton regard qui passe de la lionne au serpent, sans prendre la peine de consulter le plus jeune. pas la peine de l'inquiéter avec toutes les questions qui traversent ton esprit. la couleur qui s'arrête une bonne fois pour toute sur le rouge. et le stress qui monte peu à peu. hermione ne peut pas s'y rendre seule. c'est une mauvaise idée. mais, tu ne peux rien y faire. elle est confiante. tu peux le lire dans son regard. « bonne chance. » ta main que tu viens poser quelques secondes sur son épaule. un large sourire pour lui donner toute la motivation possible et la jeune femme qui disparaît ensuite. le serpent qui lui ne semble pas abandonner l'idée de la rejoindre. cette porte qui refuse pourtant de s'ouvrir et pas la moindre entrée cachée dans l'un des murs. « il ne vaut mieux pas essayer d'intervenir. ça pourrait nous pénaliser. » va savoir les règles de cette épreuve après tout. ton corps qui se laisse tomber sur l'un des canapés. assis alors, que tes deux camarades profitent de l'instant pour se reposer encore un peu. la tête en arrière et les yeux fermer. « j'espère juste que tout ira bien. » vraiment pas enchanté à l'idée de perdre qui que ce soit.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entrée elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livrée à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seule à en connaître la vérité.
Devant toi un filet du diable prend toute la largeur du couloir dont tu ne vois pas la fin, faute de lumière. Tu ne peux ni l’esquiver ni retourner en arrière puisque cela signifierait de ta part un abandon de l’épreuve ; tu n’as donc d’autre choix que de l’affronter. Armée de ta patience, ta baguette ou les deux tu t’approches et laisse les racines se nouer autour de tes pieds puis ton corps de façon générale, exerçant une pression inquiétante et étouffante sur toi. Que le cours de troisième année suivi sur cette plante soit proche ou lointain pour toi il va te falloir être à la fois malin et rapide, d’autant plus que ce filet du diable à l’air plus robuste que ceux étudiés. Après quelques secondes seulement la plante s’est entièrement emparée de toi, limitant un maximum tes mouvements et te donnant un peu de difficulté à prendre une inspiration. Alors, magie ou zénitude pour te sortir de ce mauvais pas ? Et surtout, combien de temps va-t-il te falloir pour t'en débarrasser ?
Plus tu réfléchis et plus le temps passe, voyant les fameuses racines se refermer plus amplement sur toi...
Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve.
A toi de jouer.
Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.
Ϟ En ce qui concerne le filet du diable, à toi de voir si ton personnage préfère utiliser un sort ou le faire à l'ancienne: se détendre un maximum et lui faire lâcher prise naturellement sans l’endommager ou la blesser. Dans les deux cas il te faudra tirer le dé nommé "filet" dont les probabilités ont été adaptées compte tenue du fait que c'est une plante étudiée assez tôt. Pas besoin d'accumuler les réussites, à la première obtenue tu peux considérer que ton personnage se libère et tombe donc un étage plus bas; le choixpeau s'occupera à partir de là du reste.
Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.
Ϟ Ton personnage a du mal à bouger mais également à respirer et par conséquent, parler. Le jet d'un sort lui sera donc compliqué et probablement douloureux. Garde également en tête que tu es dans un couloir sombre et que tu ne sais donc pas ce qui peut arriver ou surgir à n'importe quel moment autour de toi.
Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d'environ trois réponses. Bon courage et have fun !
La porte se referme derrière toi et tu jettes un coup d’oeil à celle-ci. Plus de timide Boreas, plus de bienveillant Silas ni de brillant Theodore. Plus de regards et sourires encourageants alors que de ta mémoire courte s’enlève les yeux azurés du serpent, des yeux pleins de confiance en toi. Te voilà seule face au destin et tu te dois de réussir, d’assurer cette responsabilité que le courage de ta maison impose. L’endroit où tu te trouves est plongé dans une profonde obscurité et la prudence te fait sortir la baguette de ta botte. Lumos. Souffles-tu alors que du bois de vigne, s’échappe une lueur qui vient alors éclairer la pièce. Tu fais quelques pas et tombes sur quelque chose qui te semble bien lointain dans tes souvenirs. Une plante que tu ne connais que trop bien : le filet du diable. La pieuvre végétale s’étend à perte de vue et se rétracte quelque peu quand tu l’illumines de ton lumos. Il te faut toute ta force pour éviter de sourire de fierté. Tu ne connais que trop bien cette plante, connaissant chacune de ses caractéristiques et te plonger à nouveau dans un tel monstre magique pleine de vie t’effraie à peine. Et ce malgré les souvenirs désagréables que ta première rencontre avec la plante te rappelle. Car oui, tu sais que c’est inévitable, qu’il te faudra absolument passer par là pour pouvoir continuer l’aventure. Tu prends une profonde respiration et avance d’un pas déterminé vers le filet du diable qui s’empresse immédiatement de t’emprisonner dans ses filets. La sensation est toujours identique. Désagréable, étouffante. La respiration se fait compliquée et tu sais aussitôt comment te débarrasser de ces entraves. Pas de manière forte cette fois-ci parce qu’après tout malgré le caractère diabolique de ce végéta, il n’y a que toi d’entraver cette fois-ci. Alors tu fermes les yeux et tentes de contrôler du mieux possible ta respiration. Tu penses à tes parents, à tes parents qui de là où ils sont n’ont absolument aucune idée de ce que tu vis, qui malgré tout, malgré leur décalage certain avec toi, font de leur mieux pour suivre le quotidien d’une sorcière et ses aventures extraordinaires avec ses deux meilleurs amis Harry et Ron. Tes pensées dévient aussitôt sur ces derniers. Tes deux meilleurs amis, tes piliers, ta vie. Tu repenses à toutes vos aventures, au début de votre amitié et tu te rends compte qu’aujourd’hui tu ne serais pas là s’ils n’étaient pas venus te sauver du troll des montagnes. Tu te rends compte que tu ne serais pas celle que tu es aujourd’hui si tu ne les avais pas fréquenté. Si tu n’avais pas du batailler pour les faire étudier alors que leur amour pour le quidditch est bien plus grand. Eux et leurs personnalités particulières qui somment parfaitement avec la tienne. Harry et ses émeraudes mise en valeur par une chevelure noir de jais. Harry et sa capacité incroyable à s’attirer des ennuis, à vous attirer des ennuis. Harry et son côté secret, Harry et ses insécurités, Harry que tu comprends parfaitement, sans avoir besoin de dire quoi que ce soit. Simplement par une lecture de ses iris reptiliennes. Et puis, y’a Ron. Ron et ses yeux océans. Ron et sa chevelure de feu. Ron et son obstination. Ron et son humour particulier. Ton Ron. Tu repenses à vos derniers moments échangés, à votre complicité ces derniers temps. Tes pensées s’arrêtent plus longuement sur lui et un sourire s’étire sur ton visage. Suffit de laisser les pensées faire le travail. Il n’y a plus qu’à prier.
réussite. à mesure que tes pensées s’infiltrent dans ton esprit, tu sens les entraves se desserrer et tu finis par tomber sur le sol, bien en dessous de la plante. Humpf. Tu te relèves alors que tu t’essuies les fesses pour enlever rapidement la poussière sur tes fesses. Tu relèves le nez vers la plante et un sourire s’étire sur tes lèvres. Tu n’aurais jamais cru dire ça mais merlin, merci Harry pour t’avoir embarqué dans de telles aventures. J’espère que vous vous en êtes sortis. Harry. Ron. Soyez prudents. Maintenant il reste à voir la suite.
Choixpeau
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mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Après être tombée tu te retrouves dans une cavité froide, lugubre et humide sous le filet du diable. A tâtons tu cherches ta baguette et la trouve assez rapidement afin de faire, si tu le désires, plus de lumière. Tu longes les mûrs mais ne trouve ni porte ni fenêtre pour te permettre de t’échapper de cet endroit, tu peux même chercher une trappe dissimulée dans le sol mais sans succès. Seul un mûr de briques se dresse face à toi et semble être la réponse à cette nouvelle énigme qui se pose. Tu comprends rapidement qu’il va te falloir l’escalader pour rejoindre l'étage duquel tu es tombé mais comment ? Aux pieds du mûr, à gauche, se trouve une longue corde à l’allure neuve et épaisse lorsque tu peux apercevoir sur la droite une échelle suffisamment haute pour te permettre d’atteindre le sommet sans effort. Seul hic : cette dernière est à première vue légèrement bancale et pas très rassurante. Au bout d'une des extrémités de la corde un anneau de plusieurs centimètres d'épaisseur est solidement noué. En levant la tête tu peux apercevoir un crochet au plafond comme par hasard idéalement placé au dessus du mur. Tu n'en es pas sûr mais tu as l'impression de voir les deux composants réagir à la vue de l'autre, se pourrait-il qu'ils aient été ensorcelés et qu'accrocher l'anneau ne soit en fin de compte pas si compliqué que ça ?
La sécurité et l'épuisement ou la prise de risque sans efforts ?
A toi de jouer.
Ϟ En ce qui concerne les matériaux mis à disposition pour permettre à ton personnage d'arriver en haut, il n'y a aucun piège. La corde comme l'échelle peut l'y mener, l'un lui demandera simplement plus d'efforts et de force tandis que l'autre d'être agile et vigilent. Pas de dé à utiliser pour ce post, le choixpeau interviendra de lui-même pour donner une direction lorsque ton personnage aura fait son choix et entamera l'escalade.
Ϟ Le corps de ton personnage doit être un peu engourdi après le filet du diable et toutes les pressions subies; mains qui tremblent, esprit un peu confus et j'en passe, veille à rester cohérent tant dans ton choix que l'attitude de ton personnage. Par exemple: prendre quelques secondes pour se remettre de ses émotions, galérer dans un premier temps ect.
Le filet du diable maintenant débarassé, tu ne sais pas à quoi t’attendre pour la suite. Tu espères quelques secondes à ne pas avoir à revivre une partie d’échecs version sorcières ou à récupérer une clé volant à l’aile abîmée. Sinon, tes aventures dans ce château auraient un étrange goût de déjà-vu. Tu prends quelques secondes pour pouvoir te remettre des entraves du kraken végétal et même si l’entrave n’a été que de courte durée, tu remues chacune de tes articulations. Tu préfères t’assurer que tout est bien en mesure de fonctionner pour avancer à nouveau solitaire dans cette endroit lugubre et humide. Un lumos éclaire ce qu’il se trouve devant toi et tu avances à pas mesuré, longeant le mur. Tu essaies de regarder s’il n’y a pas quelque chose, une issue qui te permettrait de sortir de cet endroit mais la logique n’est visiblement pas la clé de cette épreuve. Tu te retrouves alors face à un mur en briques et tu jettes un coup d’œil aux alentours pour observer si tu n’as pas loupé quelque chose, un tournant par exemple, une issue. Mais c’est peine perdue et tu comprends qu’il va falloir que tu escalades ce mur d’une façon ou d’une autre. Tu regardes vivement ce qu’il se trouve autour de toi et te retrouve face à un dilemme. Une échelle visiblement assez risquée ou une corde qui parait être ensorcelée pour faciliter le passage. La décision est vite prise et tu prends la direction de l’échelle. Autant la corde semble être ensorcelée, autant tu n’es pas prête à te risquer dessus, bien loin d’être sportive. Ton corps frêle n’est pas suffisamment musclé pour monter à la corde. Alors tu décides d’emprunter cette échelle, bien qu’elle semble bancale et de ce fait, plus dangereuse. Prudemment, tu montes la première barre de l’échelle et à mesure que tu avances, tu tentes de ne pas donner trop de force à tes pas pour minimiser les mouvements de l’échelle qui s’amplifient à mesure que tu avances. Un barreau casse et tu te rattrapes comme tu le peux à celui d’au-dessus, tes pieds dans le vide. Les pieds retrouvent un point d’accroche et tu continues ton escalade, sans trop savoir ce que tu vas trouver après ça.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Tu es enfin parvenue au sommet du mur en briques et regagne l’étage par lequel tu es entrée en premier lieu. Tes muscles sont un peu douloureux mais la fierté d’avoir réussi à passer tout ça et bien présente. Tu es dorénavant de l’autre côté du filet du diable qui ne peut plus rien contre toi. A quelques pas de là, au fond de ce couloir très peu éclairé et toujours aussi inquiétant, se présente une espèce d’entrée circulaire. Pour y entrer il va te falloir t’accroupir car personne hormis le professeur Flitwick ne saurait s’y aventurer debout. Le trajet semble durer une éternité sans que tu ne perçoives ni son ni odeur puissant te concéder un quelconque indice quant à ce qui t’attends. Au moindre bruit tu trésailles comme quand, au bout de longues secondes, tu penses capter quelque chose. Un peu comme de l’eau qui coule dans un récipient… un grand récipient. Et lorsque tu arrives au bout du tunnel tu comprends enfin.
Expression de choc ou d’incompréhension, il te faut en tout cas quelques instants pour réaliser ce qu’il se passe. Face à toi une pièce circulaire ressemblant à une cuve se remplit peu à peu d’eau mais ce n’est pas tout : cinq personnes de ta connaissance et apparemment inconscientes sont maintenues prisonnières sur des piquets profondément plantés au milieu de la pièce. L’eau continue de monter tandis que tu reconnais peu à peu leurs visages : @Susan Bones, Lavande Brown, @Seamus Finnigan, @Theodore Nott & @Eloan Ponds. Alors que tu tentes de saisir ta baguette tu remarques que celle-ci est restée dans le tunnel t’ayant menée jusqu’ici. Tu tentes de t’en emparer mais rien à faire : un sort empêche que tout objet magique n’entre dans cette pièce, tu ne disposeras cette fois pas de l’option magie pour t’en sortir. Tu remarques également que ton issue n'est pas la seule, d'autres ouvertures de tunnels sont présentes, signe que d'autres étudiants arrivent sauver leurs partenaires tout comme toi.
A quelques pas de toi une table de chevet commence à chavirer à cause de l’eau montante sur laquelle se trouve un petit couteau suffisamment aiguisé pour rompre les liens de ton coéquipier afin de le sortir d’ici au plus vite. Mais sauras-tu te contenter de ça ? En effet plusieurs possibilités s’offrent à toi : tu peux choisir de venir uniquement en aide au membre de ton quatuor enfermé parmi les quatre autres personnes ou au contraire en libérer plusieurs. Plus tu délivreras de personnes et plus l’eau montera et votre équipe perdra du temps qui pourrait lui faire défaut lors des qualifications pour la dernière épreuve du tournoi.
Il va te falloir hisser ton équipier (ou plus) en dehors de cette salle et repasser par ce long tunnel. Lorsque tu arriveras dans la pièce avec le filet du diable, tu te rendras compte qu'une porte s'est matérialisée, te menant directement au reste de tes coéquipiers. C'est au moment précis où tu franchis la porte, portant la charge de la personne (ou de plusieurs) sauvée que celle-ci se métamorphose soudainement en un sac marron, à l'image de celui récupéré par le coureur de votre quatuor à la première tâche. Impossible de l'ouvrir, il vous faudra attendre. Attention, ce n'est bien qu'à ce moment là que tu te rends compte de la supercherie.
Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, sauver son coéquipier ou plus de personnes et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.
A toi de jouer.
Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.
Ϟ Pas d'utilisation de dé pour ce tour; il te suffira d'indiquer dans ta réponse si ton personnage tente de sauver seulement son coéquipier, qui est évidemment le but principal de l'épreuve, ou davantage de personnes. En fonction de ton choix le choixpeau interviendra pour donner suite. Veille également à rester cohérent: ces personnes sont inconscientes donc à moins d'être très musclé ton personnage ne pourra en prendre que deux (trois maximum) en charge.
Ϟ L'eau grimpe assez rapidement pour mettre sous pression ton personnage et le forcer à réfléchir rapidement. S'il met trop de temps dans sa réflexion il se pourrait que lui comme les autres se retrouve coincé dans cette marée montante.
Ϟ L’utilisation de la magie est évidemment proscrite car il serait trop facile de lancer un sort qui libérerait tout le monde, leur permettrait de respirer sous l'eau et s'en sortir sans aucun mal. Le but est que ton personnage se trouve dans un vrai dilemme et n'ait d'autre choix que de faire des concessions.
Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.
Tu soupires de soulagement quand tu arrives en haut de l’échelle. Rien de bien épuisant et tu es finalement heureuse d’avoir choisi cette alternative. Corps quelque peu fatigué par la plante démoniaque mais la volonté reste bien présente. Tu ne flanches pas. Alors la volonté de fer battant dans tes veines, tu avances, bien heureuse de retrouver l’étage duquel tu es tombée. Tu pousses un soupir en voyant le tunnel ridicule dans lequel tu dois t’engouffrer et tu ranges ta baguette dans ta botte. Tu attaches tes boucles folles dans une queue de cheval et décides alors de te lancer sans réfléchir davantage. Après tout, rester ici ne te fera pas finir cette épreuve plus rapidement. Te glissant dans ce long tunnel dont la longueur semble être une putain de limite tendant vers l’infini, tu avances telle un soldat en train de pratiquer son parcours de combattant. Le trajet semble durer une éternité et tu finis par arriver dans une grande pièce circulaire tout aussi sinistre que les précédentes. « Bah dis donc, faudrait penser à refaire la déco et à appeler un plombier… » Dis-tu en te relevant alors que le bruit de l’eau qui coule te parvient aux oreilles. Au milieu de la pièce, des piqués et corps visiblement inconscients. Il te faut à peine quelques secondes pour comprendre qui ils sont et ton visage se déforme sous l’inquiétude. « SEAMUS ! » hurles-tu alors que tu te précipites vers lui et tu t’arrêtes tout à coup en voyant l’eau augmenter rapidement. Tu analyses rapidement les autres camarades et tu t’aperçois finalement qu’en plus de Seamus, se trouve cette gourgandine de Lavande, Eloan, Susan et… « THEODORE !! » Tu grimaces et tu comprends rapidement qu’il va falloir faire un choix . Que Theodore Nott doit être le premier que tu dois sauver. Mais il y a tes amis et ton cœur se met à battre à tout rompre. L’adrénaline coule dans tes veines alors que tu essaies d’analyser la situation rapidement. Tu tentes d’attraper ta baguette mais tu t’aperçois qu’elle a glissé à l’entrée du tunnel. Tu attrapes alors le couteau aiguisé qui se trouve à quelques mètres alors que tu t’aperçois des autres tunnels menant à cette pièce. Une nouvelle grimace qui déchire ton visage alors que ton cœur se brise. D’autres vont venir tu te dois d’être la plus rapide. Tu ne peux décidément pas sauver tout le monde. Courant dans l’eau, ralenti par le courant, tu fonces en direction des quatre élèves et entreprend tout d’abord de couper la corde de ton coéquipier qui se met alors à flotter dans cette eau puis celle d’Eloan, de Susan et de Seamus. Mais l’intensité augmente et la quantité dans le bassin devient alors bien plus considérable. Un regard pour chacun d’entre eux et une moue profondément désolée pour eux alors que tu attrapes le bras du Serpent et que tu galères à le tirer à ta suite. « Allez Nott… » La crue est telle que tu te retrouves rapidement la tête sous l’eau et tu décides d’attraper le corps du sang-pur en le trainant à ta suite. La nage est difficile, épuisante et tu manques à plusieurs reprises de couler. Mais finalement, tu ressors la tête de l’eau et tu prends une profonde respiration. Tu essaies à plusieurs reprises de hisser Theodore sur le sol de ton tunnel. « Allez Nott réveille-toi… » Mais la culpabilité te prend le cœur et tu jettes un coup d’œil au bassin rempli. Ton cœur se serre à l’idée de laisser ton irlandais dans cette eau et sans attendre, tu prends une profonde respiration pour plonger à nouveau. En apnée, tu n’as pas le temps de t’en vouloir de laisser Eloan ou Susan – et franchement, entre nous, balek de Lavande- que tu réitères l’opération avec Seamus, galérant tout autant à l’entrainer à ta suite. Finalement, la tête ressort de l’eau et tu tires le gryffondor dans le tunnel. Au fond du tunnel, une porte et tu grognes, insatisfaite d’avoir du faire des sacrifices. « Merlin, c’est pas encore fini… » Tu tires les garçons encore inconscients à la force de tes bras. Il te faut d’abord tirer un garçon puis un second et l’opération te prend plusieurs minutes alors que la culpabilité te prend les tripes et que les nerfs commencent à lâcher. Dans quel monde demande-t-on de sacrifier des gens au nom d’une fraternité illusoire ? Sanglot nerveux alors que finalement, à bout de force, tu pousses la porte.
Tu es éblouie par la lumière alors que tu tombes au sol, te rendant compte que les poids se sont allégés. Le sac récupéré tombe à tes côtés alors que tu reconnais tes coéquipiers. Que tu reconnais Theodore sain et sauf. Tu es trempée de la tête aux pieds et totalement crevée. Si bien que tu ris nerveusement en jetant un coup d’œil derrière toi avant de regarder à nouveau le serpent. Le rire est particulier et se mélange à des sanglots incontrôlés. « Tu vas bien… » Souffles-tu plus pour toi-même que pour les autres et tu baisses la tête, récupérant de cette épreuve bien trop injuste et cruelle.
Theodore Nott
veritaserum
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sablier : 16
- convictions : scribe, c'est une bonne situation ça ?
- clubs et assos : référent, ancien préfet-en-chef et ancien gardien de l'équipe des serpents. (ancien capitaine)
- métiers ou études : en huitième année à poudlard, bientôt à l'arcane college d'oxford.
- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, politique et recherches magiques (+russe).
avatar : max irons
crédits : (av) lionheart (cs) ophelia, mine
mood actuel : profite des deux derniers mois à poudlard avant la vie adulte, heureux avec son crew d'amis fidèles mais surtout avec hermione.
L'attente te semble interminable alors que tu es là, allongé sur ce canapé. Et tu ne comptes le nombre de fois où tu te relèves pour venir regarder par la fenêtre de cette pièce confortable, le nombre de fois où tu tentes d'enclencher la poignée de la porte fermement décidée à rester close. Tu continues de rechercher un indice dans toute la pièce juste au cas où. Au cas où tu puisses aider la lionne enfermée derrière ce fichu mur que tu as envie de contourner, d'abattre, seulement pour savoir ce qu'il en est. Tu ne comprends pas vraiment la logique de vos professeurs à vous isoler de la sorte pour vous faire vivre des épreuves individuelles, pas après qu'on vous ait répété combien l'union de l'équipe était importante quitte à vous pousser à dormir ensemble dans une situation plus que précaire. Et derrière cette jambe qui frappe le sol avec constance, derrière tous tes soupires et tes remarques sèches sifflantes entre tes lèvres crispées de serpent agacé, tu ne peux t'empêcher d'avoir cette forte pensée pour ta coéquipière. Seulement rassuré de se dire que Avalon et Briséis ne sont pas les premières en danger elles aussi, tu ne peux t'empêcher de réfléchir à une panoplie de scénarios tous différents les uns des autres, faisant augmenter et descendre ton rythme cardiaque dans un ascenseur émotionnel troublant et épuisant. Ton regard se fige sur le lac quelques instants et même si tu sembles avoir retrouvé ton calme, tu finis par déclarer d'un ton détaché « Elle ne devrait pas tarder à sortir.. » mais qu'en savais-tu au fond ? Strictement rien et ça t'effrayait. De te dire qu'elle était potentiellement en danger, de te dire que derrière ce mur, elle était peut-être en train de souffrir et de regretter votre présence pour l'aider. Mais elle était forte Granger, plus forte que beaucoup d'autres de vos camarades. Elle était pleine de ressources aussi et son tempérament de lionne s'alliant à sa réflexion côtoyant souvent les serdaigles t'aidait à relativiser un minimum.
Et c'est comme dans un songe que la porte s'ouvre, au même moment où toi tu la fixais avec impatience, assit sur le fauteuil, ton menton calé sur le dessus de ton poing crispé d'impatience. Granger est enfin là près de vous et elle s'affale au sol sans pouvoir se retenir. Tes azures croient alors voir un reflet de toi-même porté depuis ses mains épuisées avant que ce toi ne disparaisse en laissant un sac noué à l'égal de celui que vous aviez récupéré le matin du vendredi. Ton premier réflexe est de te relever d'un bond et de te précipiter à ses côtés alors que la porte claque derrière elle au moment où tu tentes d'en apercevoir l'intérieur – autrement dit, une pièce des plus lugubres. T'as ce frisson sur l'échine de l'entendre souffler que tout va bien et cette main calée dans son dos, apportant de la chaleur à son corps tremblant d'épuisement, ses affaires mouillées et salies. Tu recherches son regard et il y a cette vague de soulagement qui t'emplit alors que tu peux voir à première vue qu'elle ne semble pas blessée. « Hermione » souffles-tu, désarçonnant le Theodore qui réfléchirait plus tard à cette scène, se rendant compte de ce prénom murmuré de tes lèvres. Tu attrapes le sac et le balance sur le poufsouffle de votre équipe pour qu'il s'en occupe tandis que tu récupères ta baguette et applique le bout de celle-ci sur l'épaule de la jeune femme assise à terre. Ses sanglots cachés derrière son sourire de soulagement n'apaisent pas ton âme alors que tu lui lances un sort pour sécher ses habits. De ton autre main, tu lui attrapes la sienne pour la supporter d'une légère pression dans le dos et l'amener au fauteuil le plus proche. Tu restes accroupi à ses côtés et attrape l'une de ses mains. Dans le creux de sa paume, le bout de ta baguette et un sort lui apportant une chaleur réconfortante et diffuse. « Es-tu blessée ? » lui demandes-tu immédiatement à l'instant où elle est assise, continuant petit à petit d'appliquer le sort de réchauffe. « Comment c'était ? » le ton de ta voix est grave, sérieuse. L'envie de récupérer ses souvenirs, comprendre ce qu'elle avait vécu. Pour mieux se préparer à la suite, pour mieux comprendre ce que tu pouvais lire au fond de ses iris. Tu ne réfléchis plus au sang, tu ne réfléchis plus selon la raison des idéaux inculqués, tu n'entends que la voix de ta mère qui te demande de protéger celui qui tremble, celui qui en a besoin. Protéger Granger, des répercussions morales à défaut d'avoir pu être là lorsqu'il le fallait. Ta mâchoire se resserre alors que les doigts tremblant de la lionne sont entre les tiens, le sort continue de se diffuser, tes azures remontent à ses perles brunes sans pouvoir réellement les supporter longuement, abaissant ton attention sur vos doigts le temps de sa réponse.
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Fearless child, broken boy; Tell me what it's like to burn. ♚moodboard de theodore
Choixpeau
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mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité. La salle a été rendue anormalement grande grâce à l’utilisation d’un sort et tu disposes désormais de deux options bien distinctes :
Face à toi et rangé sur le côté gauche de la salle de classe se trouve un puzzle géant. A première vue il ne doit y avoir qu’une dizaine de pièces mais celle-ci sont plus épaisses que toi et semblent lourdes. En t’avançant tu peux distinguer une majorité de noir sur les différentes pièces ainsi que des amas de bleu et de blanc à quelques endroits qui pourraient potentiellement se relier. Tu comprends rapidement pour en côtoyer chaque jour dans ta salle commune qu’il s’agit là d’une constellation qu’il va te falloir reconstituer de mémoire. De l’autre côté de la pièce, sur la droite cette fois, se tient un casse-tête, relique en bois noble, ancien. En t’approchant de quelques pas, sans pour autant t’y engager, tu aperçois les rouages et devine sans trop de mal de quelle façon tu pourrais le résoudre.
Il ne tient qu’à toi de choisir quelle épreuve tu désires résoudre afin de rejoindre ton équipe au plus vite. Le puzzle demande davantage de force et une pincée de hasard alors que le casse-tête fait appel à ta logique et ta réflexion. Derrière chacune des deux épreuves se tient un piédestal sur lequel lévite un sac noué à l’aide d’une corde magique ressemblant à ceux attrapés lors de la toute première phase du tournoi par un membre de ton équipe. Ils font la même taille, ne laissent transparaître aucune information quant à ce qu’ils contiennent. Une barrière invisible t’en sépare et t’empêchera d’y accéder tant que tu n’auras pas résolu le puzzle ou le casse-tête chinois.
Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, attraper le sac qui se présente à lui et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.
A toi de jouer.
Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.
Ϟ L’utilisation de la magie est évidemment proscrite car il serait trop facile de lancer un sort d’arrangement qui inciterait le puzzle à se résoudre seul ou le casse-tête à se délier. Tu es bel et bien livré à toi-même et tes capacités de réflexion.
Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.
Ϟ Si tu choisis le puzzle : les différentes pièces de ce dernier te seront envoyées par mp et il ne tiendra qu’à toi de le résoudre. Pour nous le signifier il faudra que tu postes un rp désignant en gras/souligné la décision de ton personnage. Une fois fait et la constellation trouvée (IRL), il te suffira de donner son nom en balises hide en éditant ta réponse à l’épreuve (IRP) et ajoutant quelques mots sur la façon dont s'est déroulée et terminée l'épreuve. Si ta réponse est correcte ton personnage l’emporte du premier coup et peut rejoindre le piédestal qui se tient derrière le puzzle, attraper le sac et partir. Cela vous prendra davantage de temps mais la fierté d'avoir réussi n'en sera-t-elle pas plus grande ?
Si tu choisis le casse-tête : la réussite ou l’échec de l’épreuve se jouera au dé. Bien sur tu n’as pas qu’une chance sur deux ; c’est à dire que si ton premier lancer est un échec celui-ci n’est pas définitif, l’épreuve ne se termine pas et ton personnage ne repart pas bredouille. Réponds pour dire qu’il a fait une mauvaise manipulation qui ne l’a mené à rien ou a encore plus emmêlé la chose. Sois original. Dès qu’une réussite est tirée tu réussis et peux rejoindre le piédestal qui se tient derrière l’épreuve pour attraper le sac et partir.
Ϟ Une fois que tu t’engages sur l’une des deux voies, puzzle ou casse-tête, tu ne peux plus revenir en arrière : la seconde t’es rendue inaccessible. Cela va également de mise avec les piédestal, tu ne peux atteindre que celui qui se tient derrière l’épreuve que tu auras choisie et dans aucun cas ne pourras repartir avec les deux sacs – dont le contenu te sera révélé plus tard une fois le quatuor réuni.
Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d’une ou deux réponses à moins de n’avoir choisi le casse-tête et de n’être vraiment mal-chanceux aux dés. Bon courage et have fun !
l'inquiétude qui commence à monter. toujours pas la moindre nouvelle de la lionne alors, que pour masquer ta frustration. tu ne cesses de tapoter le bout de tes doigts contre ton genoux. des questions pleins la tête. aucunes réponses. est-ce que tu peux survivre à cette deuxième épreuve ? sans tes camarades ? sans l'aide précieuse qu'ils peuvent t'apporter ? t'en sais rien. pas la moindre idée des intentions du directeur. ton regard qui va de la porte, jusqu'à boreas, pour retomber sur ton meilleur ami d'enfance qui semble être dans le même état que toi. impatient de revoir cette porte s'ouvrir et d'apercevoir le visage de votre coéquipière. en pleine santé. « j'espère. » qu'elle ne va pas trop tarder hermione. que ce n'est qu'une question de seconde. l'estomac lourd.. peut-être que tu n'aurais pas du manger autant avant une épreuve. ou bien est-ce le stress qui commence petit à petit par avoir raison de toi ? tu soupires. t'écroule presque du canapé de surprise alors, que la porte s'ouvre enfin. pas le temps de courir voir la lionne, qu'il est déjà sur le coup le serpent. mais, ce n'est pas plus mal. il est bien plus proche de la lionne que toi. tu t'avances. croise les bras sur ton torse. mais, tu n'as pas le temps d'attendre la moindre réponse que le feu-follet change rapidement de couleur. « c'est mon tour. » que tu répond avec une certaine confiance en toi. tu ne peux pas les décevoir. elle ne peut pas avoir subis tout ça pour rien hermione. un sourire en coin tu poses lentement ta main sur l'épaule du serpent à tes côtés. mais, ne dis rien. pas besoin de mots. pas besoin de dire ce que tu penses. pas besoin de parler avec theodore, capable de lire en toi comme dans un livre ouvert. « ne mangez pas mes provisions ! » que tu annonces sur un ton que tu essayes d'être menaçant. « sauf toi hermione. » parce qu'elle a bien le droit de reprendre des forces. tu ne dis plus rien et passe la première porte une bonne fois pour toute.
tu continues de suivre la petite lumière. déjà surpris de te retrouver face à une autre porte. la première épreuve qui se cache juste derrière. tu inspires profondément avant de l'ouvrir elle aussi. face à toi.. un puzzle géant. alors, que de l'autre côté de la pièce se trouve un casse-tête en bois qui doit être encore plus vieux que la maison de ta grand-mère. un léger sourire se dessine sur ton visage. tu fais rapidement ton choix. non pas que tu ne sois pas assez fort pour porter et déplacer les pièces de puzzle. plutôt parce que réaliser des casse-tête c'est comme une seconde nature chez toi. habitué à en faire pendant ton temps libre, avant de dormir. bien plus évident de faire travailler ta logique que tes muscles. et autant garder tes forces tant que tu as l'occasion de le faire. tu observes longuement le petit cube entre tes doigts avant de commencer. l'analyser pour mieux le comprendre sans perdre trop de temps. un temps bien trop précieux que tu dois garder pour ton équipe. tes doigts qui s'activent alors à jouer avec la pièce en bois. le regard à la fois posé dessus et sur le sac qui t'attend sagement juste derrière. édit dé ; beaucoup trop facile. en à peine quelques secondes. tu déposes à nouveau le casse-tête à son emplacement d'origine. un sourire heureux de ta réussite rapide. tu n'attends pas pour récupérer ton sac. tu n'attends pas pour retourner en arrière et rejoindre à nouveau ton équipe. ton sac fièrement balancé de tous les côtés sous les yeux de ton équipe. « casse tête 0, silas 1. » que tu annonces bien trop satisfait pour cacher ton enthousiasme.
Choixpeau
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- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
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avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
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mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons, tu retrouves le feu follet qui te mène jusqu'à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré, elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et, quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité.
Tu découvres alors une pièce circulaire où il règne une chaleur réconfortante contrastant avec la froide nuit que tu viens de passer. Une multitude de globes de verre de toutes tailles et d'opacité différentes y sont disséminés. Si certains reposent sur un socle fait de bois, d'autres flottent paisiblement au-dessus de toi. Peu à peu, ceux-ci s'illuminent, s'animent les uns après les autres sur ton passage. Intrigué, ta main se porte sur la sphère la plus proche où une scène familière se déroule à travers la brume.
Tu découvres qu'il s'agit de ta toute première rentrée à Poudlard. Ta première fois dans le Poudlard Express, la traversée du lac dans les barques. Tu vois ces personnes qui se trouvaient à tes côtés, qui sont peut-être devenus tes amis, tes ennemis au fil du temps. Tu y vois l'émotion fleurir sur ton visage alors que le Choixpeau se pose sur ta tête. Dans un soupir de nostalgie, tu re-déposes l'objet que tu tiens et en prends une seconde, ne pouvant résister à cette curiosité naissante. Cette fois, c'est ton premier cours de vol. Tu te vois craintif/ excité par l'idée de pouvoir voler.. Ton premier Halloween, tes premiers examens.. Tu te rappelles encore de la peur qui te tordait les tripes de ne pas les réussir..
Au fur et à mesure que ces orbes dévoilent leur contenu, c'est toute ta vie à Poudlard qui défile. Tes joies, tes peines, tes bêtises, toutes les amitiés que tu as liées ou encore tes premiers amours.. L'une d'entre elles te montre même ton premier baiser. Jusqu'à ce que celle que tu tiens entre tes mains te montre ton équipe d'apparence détendue, plaisantant les uns avec les autres. Si ton cœur se serre face à cette complicité qu'ils partagent sans toi, celui-ci saigne plus encore lorsque tu remarques qu'ils profitent de ton absence pour se partager avec avidité une poule d'Hagrid. Tu te souviens très bien du moment où ils ont eu cette opportunité courte d'être à trois, sans toi et tu les vois se dépêcher en fixant l'endroit où tu les as temporairement quitté, tu les entends s'inciter à manger plus rapidement avant que tu ne reviennes.
Apparaît à présent une porte dans ton champ de vision. Tu l'entends clairement se déverrouiller et la vois s'entrouvrir. Le malaise te gagne alors que tu t'en approches.
Choixpeau
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Ϟ oups, un membre de votre équipe ne se prononce pas !
Malheureusement c'est à son tour de poster et vous vous retrouvez dans l'impasse de l'attendre sans nouvelles. N'ayez crainte, nous avons la solution.
Option 1 # l'épreuve des jaunes est désormais postée et elle devrait seulement durer le temps de faire deux réponses. D'humeur charitable et surtout par votre motivation, vous avez la possibilité de reprendre la main et choisir, pour l'un d'entre vous, de créer temporairement un personnage non-joué interprétant les traits d'un poufsouffle potentiel pour votre équipe. Ce personnage n'est que temporaire jusqu’à ce qu'un (vrai) blaireau ne vous rejoigne plus tard (ou que votre membre jaune ne revienne).
Option 2 #vous faites le choix de reporter l'épreuve des poufsouffles tout en comprenant in-rp qu'elle s'est déroulée, comptant sur le fait qu'un futur membre jaune vous rejoigne à temps en cours de route. Hors-rp, vous choisissez de 'sauter' l'épreuve et passer à celle d'un autre membre de votre équipe, mais elle sera donc à rédiger plus tard.
Merci de faire part de votre décision par mp à un membre du staff, vous pouvez en parler dans le flood de votre équipe pour vous mettre d'accord, bon jeu !
Theodore Nott
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parchemins : 17636
sablier : 16
- convictions : scribe, c'est une bonne situation ça ?
- clubs et assos : référent, ancien préfet-en-chef et ancien gardien de l'équipe des serpents. (ancien capitaine)
- métiers ou études : en huitième année à poudlard, bientôt à l'arcane college d'oxford.
- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, politique et recherches magiques (+russe).
avatar : max irons
crédits : (av) lionheart (cs) ophelia, mine
mood actuel : profite des deux derniers mois à poudlard avant la vie adulte, heureux avec son crew d'amis fidèles mais surtout avec hermione.
Un lévrier qui court le long de la table unique de la pièce, il lévite de magie et saute de meuble en meuble alors que tu tentes du mieux que possible de t'occuper. Lorsque Hermione Granger s'en était allée en première, un silence pesant s'était installé dans cette pièce où intimidée par la présence des deux joueurs de quidditch, tu n'avais osé dire quoi que ce soit. Invisible, incapable d'être une réelle aide pour tes comparses au cours de ce tournoi depuis la première épreuve, tu étais aussi utile qu'une serviette jetée négligemment et oubliée au fond d'un placard. Ton lévrier perdait de sa splendeur et se transformait en petit cochon bien dodu tandis que la porte s'ouvrait enfin sur la lionne trempée, tremblante. Et tu ne peux t'empêcher de passer l'une de tes mains devant tes lèvres arrondies afin de cacher ta surprise lorsque tu observes l'état dans lequel elle est et ton regard peureux se dirige vers la porte, imaginant ce qui pourrait t'attendre d'aussi dramatique. Tu n'étais pas la grande Hermione Granger, ni aussi forte que Silas Hitchens ou rusé comme Theodore Nott. Tu n'avais rien de l’héroïne d'un tv show Netflix, tu n'étais qu'une simple orpheline, sang-mêlée oubliée dans la foule de tous ces étudiants tellement plus intéressants que toi. Tu n'avais jamais regretté être tombée sur ces trois figures pour jouer ce tournoi mais terriblement intimidée, tu te demandais si tu saurais leur être d'une vrai aide ou si au contraire, tu ne ferais office que de boulet. Et lorsque le serpent te lance le sac, tu l'attrapes par réflexe pour ne pas qu'il t'embrasse le visage et tes doigts se crispent sur le tissu avant d'essayer d'en ouvrir le contenant sans réussite. Puis Silas s'en va et tu te sens encore de trop dans cette pièce où la gryffondor et le serpentard semblent être dans leur monde, tu te fais la plus discrète possible, ramasse ce qui a pu être tombé, t'assois sur le fauteuil le plus loin d'eux et te lisses les pans de ta jupe. Il y a ce mal de ventre qui te tire les entrailles et tu fais ton possible pour entendre ce qu'ils se disent les deux préfets, curieuse comme tu l'es, tu es étonnée d’apercevoir cette amitié. Un lion et un serpent.. de quoi amplifier ton souhait un peu plus réalisable à cette vision de pouvoir toi aussi, te rapprocher un jour d'un serpent qui n'a de cesse d'avoir attiré ton attention depuis quelques semaines.
Tu es en train de jouer avec ton collier lorsque par la plus grande des surprises, tes yeux bleus se relèvent sur le serdaigle revenu bien plus rapidement que la courageuse. Et son état t'apaise un peu plus ton âme enfantine et naïve, tu espères trouver derrière cette porte une épreuve douce, une épreuve qui ne te fera pas trembler des nuits successives. Lorsque tu entres à ton tour dans la pièce, tu te retournes une dernière fois vers tes coéquipiers pour te donner plus de force. Tu sais qu'ils n'ont pas besoin de toi mais toi, tu as terriblement besoin d'eux, de leurs regards encourageants et tu souris timidement. « J'espère être aussi courageuse que toi Hermione. » Le regard brillant, tu n'oses pas soutenir le regard du préfet des serpentards mais quelques instants, tu accroches les prunelles du serdaigle avant de rougir violemment et de passer le pas de la porte pour cacher ta gêne.
La pièce est plutôt grande et chauffée et un doux sourire s'installe sur tes lèvres alors que tu attaches doucement tes cheveux en une longue natte. Tu t'amuses à marcher parmi les sphères, ces boules magiques te présentant des images que tu n'oses encore attraper entre tes doigts. Il y a une scène qui t'accroche le regard, celui d'un doux mercredi du mois d'octobre alors que des pommes de pin tombaient déjà à vos pieds, ce regard que tu avais relevé sur la personne face à toi en train d'écrire un devoir. Il était beau, c'était la première fois que tu t'en rendais compte. Ses cheveux plaqués, la ligne de sa mâchoire, ses yeux bruns, tu appréciais même le timbre de sa voix. Et c'est ce jour-là que tu avais senti les effluves de tes tout premiers sentiments dédiés, ce palpitant battant fort, ce souffle court alors que @Emrys Beurk avait seulement relevé son regard vers toi, un peu plus longuement que d'habitude. Tu savais pourtant combien il méprisait les poufsouffles, combien il ne supportait pas les sang-mêlés et nés moldus et pourtant ce jour là, ton cœur s'était échappé pour se caler entre sa poigne sans qu'il ne le sache. Mais tu es bien trop naïve Sophie, ou du moins tes sentiments le sont et bien vite, tu tentes d'oublier cette douleur qui vient se diffuser sur ta poitrine pour attraper de tes doigts fins une autre sphère. Tu découvres successivement plusieurs souvenirs, de ta rentrée à Poudlard qui ne date que de trois années, tes premiers cours, la première fois que tu as été mis en binôme avec Silas et que tu l'as trouvé particulièrement beau. Tu as appris à le découvrir, du moins du peu qu'il a pu te laisser apercevoir de son identité au fil des mois et tu te souviens même de cette lettre que tu as écris à ta grande-sœur adoptive où tu lui avouais espérer avoir un mari comme @Silas Hitchens un jour. Les pommettes rougies depuis que tu as fait cet aveu, tu ne peux t'empêcher d'y repenser à chaque fois que tu te trouves en sa présence désormais mais c'est ton secret, dissimulé derrière tes lèvres innocentes et taquines, tu te sens en confiance dans cette pièce alors que tu ranges ta baguette dans ta ceinture. Tu revois d'autres souvenirs comme ce voyage en Italie avec ta famille, à tenter de monter le volcan à pieds, tu avais tant souhaité utiliser un balais ce jour là ! Tu observes la petite maison familiale où tu avais passé tes dernières vacances de Noël et ce soir de réveillon si précieux. Tu n'habitais pas dans un palais mais tu n'échangerais pour rien au monde ta famille.
Puis finalement, au bout de longues minutes, tu finis par tomber sur ces images de tes coéquipiers. Ton sourire élargit tes lèvres et tu approches avec excitation ton attention de la scène car tu te rappelles de l'épreuve et du tournoi, tu te dis que c'est peut-être la boule qui va te donner de quoi avoir des indices pour mieux réussir ce qui t'attend dans l'autre pièce. Tu souhaites gagner pour eux, pour qu'ils soient fiers de toi, pour qu'ils te regardent enfin, te considèrent comme un réel atout. Tu ferais tout pour tes trois coéquipiers en cet instant et pourtant, tu as mal. Mal de les voir comploter ensemble pour manger le plus vite possible et ne pas t'en laisser. Tu avais désiré les laisser seuls hier soir autant car tu les savais amis -ou du moins c'est ce que tu pensais- autant car tu étais épuisée mais jamais tu n'aurais cru qu'ils feraient ça. Ton regard triste, perturbé et trahi observait les traits du serdaigle et de la lionne qui s'empressaient pour ne rien te laisser, le serpent qui ne disait rien mais que tu avais pensé juste jusqu'ici. Une peine t'emplit l'être et tes doigts deviennent tremblant sur cette sphère alors que tes craintes deviennent flagrantes : tu étais le boulet de l'équipe, l'inutilité personnifiée, le pion faible. Et tu ne relâches pas la sphère tout de suite, tu te repasses la scène quatre, cinq, six fois et te l'imprimes dans ta mémoire. Si tu fermes les yeux, tu es même persuadée de pouvoir entendre leurs voix, voir leurs visages et tu y verrais sûrement Emrys aussi et puis ta famille adoptive. Un poids, tu te sens comme le poids de tous, un maillon rapporté et défectueux venant ébranler une chaîne parfaite que tu rends imparfaite de ta présence. Des larmes menacent de se déverser sur tes joues rebondies mais tu clos un peu plus fort tes paupières alors que tu relâches enfin la sphère et que tu t'interdis de pleurer. L'une de tes mains replace proprement tes cheveux et tu tentes de respirer pour retrouver ton calme. Tu n'as plus envie de sourire, seulement de ravaler tes sentiments et de passer la porte.
Un sort t'indique une nouvelle fois le chemin à emprunter jusqu'à cette seconde porte qui s'ouvre sur une pièce aux murs transparents, dévoilant tes compagnons occupés à attendre ton retour. D'un signe de la main, tu les salues afin d'attirer leur regard sur toi, hélas tu n'attires aucune réaction. Tu renouvelles ton action jusqu'à comprendre qu'ils ne sont pas en mesure de te voir. Seule, toi le peux.
Tu prends alors conscience que face à toi se trouve un adorable poussin reposant sur un délicat coussin de velours lévitant doucement dans les airs. À ses côtés, une fiole remplie d'un liquide transparent portant l'étiquette de veritaserum attend également patiemment.
Lorsque tu tournes ton attention sur ta droite, tu découvres un autre pan de mur dont la transparence te permet encore une fois d'observer qui se trouve derrière sans que l'on ne te voit et tu observes alors la silhouette affligée d'Hagrid assise sur une chaise en attendant, accablé par la perte de sa poule. Les larmes roulent le long de ses joues alors que quelques sanglots incontrôlables s'échappent d'entre ses lippes.
Il est désormais de ton ressort de décider du choix que tu veux faire. Si jamais tu t'approches du poussin et désires consoler Hagrid en lui donnant, un sort d'attraction te ramènera constamment en direction du veritaserum pour t'obliger à lui dire la vérité sur ton équipe. Ton corps se trouve à mi chemin entre la porte te permettant de rejoindre ton équipe et celle te séparant du garde-chasse. Un sac marron apparaîtra au dessus de toi pour venir s'échouer dans tes bras lorsque tu traverseras n'importe quelle porte.
Si tu choisis de consoler Hagrid, le ruban autour de ton sac sera blanc et une porte se dessinera dans le mur pour ensuite te laisser l’opportunité de rejoindre tes coéquipiers à nouveau. Si tu choisis de revenir vers tes coéquipiers sans toucher au poussin et en ignorant Hagrid, le ruban autour du sac sera noir et ton épreuve sera terminée dès que tu auras passé la porte.
Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas, ton personnage peut réussir son épreuve et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.
A toi de jouer.
Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.
Ϟ Pour ton prochain post, tu as le choix entre prendre la décision de faire sortir ton personnage afin qu'il rejoigne ses coéquipiers ou d'offrir en cadeau l'adorable poussin Douili afin de consoler Hagrid. Cependant ton personnage devra révéler - grâce au veritaserum - l'atroce vérité sur son équipe.
Ϟ Si ton personnage fait le choix de repartir sans révéler la vérité, il va de soi qu'il ne pourra pas repartir avec la potion, ni le poussin.
Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.
Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque c'est ton dernier post à rédiger pour ce premier acte. Bon courage et have fun !
Theodore Nott
veritaserum
parchemins : 17636
sablier : 16
- convictions : scribe, c'est une bonne situation ça ?
- clubs et assos : référent, ancien préfet-en-chef et ancien gardien de l'équipe des serpents. (ancien capitaine)
- métiers ou études : en huitième année à poudlard, bientôt à l'arcane college d'oxford.
- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, politique et recherches magiques (+russe).
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mood actuel : profite des deux derniers mois à poudlard avant la vie adulte, heureux avec son crew d'amis fidèles mais surtout avec hermione.
Tu avances avec une fébrilité qui t'amène à pousser la porte de tes doigts légèrement tremblants. Tu n'as aucune idée de ce que tu vas découvrir derrière et cela t'effraie un peu, repensant un instant à l'état dans lequel était revenu la préfète. Devant tes yeux est posé un petit poussin adorable vers lequel tu t'approches sans même penser un seul moment à observer le reste de la pièce. Un tendre sourire sur tes lèvres toutefois toujours déçues et peinées, tu l’accueilles entre tes doigts et lui caresse le dessus des plumes avec tendresse et attention pour ne pas l'ennuyer et être assez délicate. Tes yeux pétillent légèrement lorsque l'oisillon te répond d'un léger piaillement appréciatif et tu t'immobilises alors soudain lorsqu'à ta droite tu te rends enfin compte des murs transparents, de cette vue sur tes coéquipiers dans l'attente mais surtout.. celle d'Hagrid. Un compassion infinie vient se loger au sein de ton regard alors que tu comprends qu'il pleure la poule que tes coéquipiers ont mangé et tu regardes le poussin entre tes doigts et n'hésites pas un seul instant avant de t'avancer en direction de sa porte. Or, tu es vite rattrapée par la fiole de veritaserum mais aussi par ta réflexion s'installant enfin. Tu comprends que tu es obligée de dire la vérité, tu ne peux pas juste lui sourire en lui déposant le cadeau, il te faudra vendre les faits de ton équipe si tu lui fais part de ton présent et d'un autre côté, comment réagirait ton équipe ? Ton cœur loyal est en peine et plein doute, tu sens ton honnêteté vouloir prendre le dessus, le désir de vouloir faire taire les pleurs d'Hagrid être plus forts, s'accorder avec le fait que tes coéquipiers t'ont trahi alors toi, tu pourrais faire pareil, juste une fois. Et ce n'était pas comme si tu avais mangé la poule dans leur dos n'est-ce pas ? « Tenez Hagrid et p-pardon, je suis terriblement désolée pour votre poule, te-tenez. S'il-vous-plaît arrêtez de pleurer, il saura vous faire sourire lui aussi.. » Tes yeux expriment ta compassion envers son chagrin, sa tragique perte et tu as le cœur lourd en lui confiant le petit être tandis que ta main est posée sur son épaule d'un geste réconfortant. Un goût désagréable en bouche d'avoir avalé quelques gouttes de cette potion, tu te sens pourtant fière lorsque le demi-géant relève le regard vers toi et s'arrête de pleurer. Alors tu prends la direction de la dernière porte affichée et récupère un sac avec un ruban blanc. Lorsque tu passes le pas de la porte et rejoins tes coéquipiers, tu te rends compte de tes joues humides et tentes d'effacer de ta manche ces larmes que tu n'avais pas senti couler. Quand tu aperçois le regard de Silas et la lueur s'y lisant, tu te précipites vers lui et l'enserres de tes bras pour trouver du réconfort vers celui qui s'était élu ami dans ton cœur au fil des mois. A bas ta timidité et tes joues rougies, tu comprends, tu espères que tout cela était faux. « Je-je ne sais pas si j'ai bien choisi, j'espère que je ne vous décevrai pas.. »
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Fearless child, broken boy; Tell me what it's like to burn. ♚moodboard de theodore
ton regard n'a pas quitté la porte depuis qu'elle est partie. ta jambe n'a pas arrêté de trembler par nervosité. theodore qui n'a pas cessé de te lancer des petits regards pour que tu arrêtes de faire trembler toute la pièce. tu as mal au ventre. contrarié à l'idée qu'elle soit toute seule face à l'inconnu. qu'elle se retrouve dans la moindre position délicate. c'est la plus jeune.. elle n'aurait pas du s'y rendre seule. c'est ce que tu n'arrêtes pas de te dire. qu'avec un peu de chance, ils auraient acceptés que tu sois présent pour l'accompagner en cas de danger. qu'il y aurait pu avoir une exception à cette règle débile. tu soupires. passe tes mains sur ton visage, dans tes cheveux. toujours ton regard sur cette même porte que tu as toi-même franchis avec le sourire. tu n'arrives pas à cacher ton inquiétude et ta frustration. il ne s'agit pas uniquement de ton binôme.. mais, de sophie. cette jeune fille douce au regard d'ange que tu as appris à connaître. et que tu as juré de protéger durant tout ce tournoi. des blessures que tu n'as pas hésité à prendre lors de votre première épreuve pour qu'il ne lui arrive rien. tu sens le regard de ton ancien meilleur ami sur toi. comme une sorte de soutien pour te dire que tout ira bien. qu'il ne peut rien lui arriver de grave là-dedans. et tu n'as pas besoin de mots pour ça. tu le connais parfaitement bien même après toutes ses années. même après des secrets dont tu n'avais jusqu'à présent jamais su l'existence. une conversation que tu n'es pas certain d'avoir le droit de demander. après tout.. c'était avant votre belle amitié, maintenant il ne s'agit que d'un respect mutuel. ou t'en sais rien. beaucoup trop impatient que cette porte s'ouvre pour réfléchir à quoi que ce soit de cohérent.
ton corps qui se lève rapidement lorsque tu entends enfin du bruit. petite sophie qui s'avance les yeux rouges et la peau humide. qu'est-ce qu'ils ont bien pu lui faire ? les poings serrés. tu n'as qu'une seule envie : insulter le monde entier pour avoir osé lui faire du mal. mais, cette haine disparaît rapidement alors, qu'elle s'avance rapidement près de toi pour s'inviter dans tes bras. tu ne dis rien. ne cherche même pas à comprendre depuis quand est-ce que tu es vraiment devenu assez important à ses yeux pour t'offrir autant sa confiance. tu laisses glisser un sourire sur tes lèvres alors, que tu passes lentement ta main sur ses cheveux comme un grand-frère n'aurait pas hésité à le faire pour rassurer la prunelle de ses yeux. « je suis certain que tu as été parfaite. » qu'elle a prise les bonnes décisions et simplement écouter son cœur. emprise que tu lâches tendrement alors, que tu l'invites à s'asseoir pour reprendre ses émotions. ton regard qui se pose à nouveau sur le serpent. il est le dernier à passer. le dernier à disparaître derrière cette porte.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Alors que ton camarade revient de son épreuve, tu es conscient que tu es le dernier à passer. Une légère tension parcourt tes membres, vous entendez d'ailleurs au dehors les exclamations et l'agitation des autres équipes ayant déjà terminé leur épreuve et vous ayant donc, dépassé. Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré, elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité.
Tu arrives dans une pièce circulaire, sombre. Pourtant, un filet de lumière s'échappe de l'une des cinq portes devant toi. Un étudiant ressemblant étrangement à Drystan Rosier semble sortir de cette épreuve résolue. La porte se ferme derrière lui avec une rapidité telle que tu n'es pas encore entré complètement dans la pièce toi-même et tu te doutes, un instant, que tu n'aurais peut-être pas dû voir cette sortie. Tu t'avances au centre de la salle et tu observes devant toi une grande et longue table en bois où figurent treize pots remplis de mandragores. Il y a un peu de terre autour des pots et un protège-oreilles, puis des gants en cuir de dragon juste à côté. Le tout est seulement éclairé par l'unique torche suspendue au mur le plus proche, tu remarques pourtant à travers cette pénombre bien présente que des mots sont affichés au dessus des cinq portes dans l'ordre suivant : VOLTIFLOR (1), BELLADONE (2), SNARGALOUF (3), DICTAME (4) puis BRANCHIFLORE (5). Ces mots aux lettres dorées et scintillantes semblent désigner une réponse que tu dois trouver et tu as conscience que ton épreuve a à voir avec ces mandragores. Au dessus des mots, cinq sacs noués à l’aide d’une corde magique ressemblant à ceux attrapés lors de la toute première phase du tournoi par un membre de ton équipe.
Il est désormais de ton ressort de choisir d'effectuer l'épreuve et oublier ce que tu n'aurais pas du voir en entrant dans la pièce ou de profiter de cette chance qui t'a été offerte et de ressortir en un temps record par la seconde porte.
Ϟ Il n’y a pas de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, attraper le sac qui se présente à lui si il passe la porte plus tôt ou après avoir fait l'exercice et s’en aller rejoindre son équipe afin de clôturer la première étape de l'épreuve 2.
A toi de jouer.
Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.
Ϟ Pour ton prochain post, tu as le choix entre prendre la décision de faire sortir aussitôt ton personnage sans le faire toucher aux mandragores ni réfléchir à l'épreuve. Dans ce cas là, le sac se situant au dessus du mot belladone lévitera jusqu'aux mains de ton personnage qui pourra déverrouiller la porte et passer à travers afin de rejoindre ses coéquipiers.
Ϟ Tu peux également décider que ton personnage veut faire l'épreuve. Dans ce cas là, il devra se munir des protections à sa disposition et soulever les mandragores à la main, une par une. Au fond des pots, il trouvera des morceaux de parchemins qu'il devra rassembler une fois qu'il aura soulevé toutes les mandragores (au nombre de 13) et trouvera sous ses yeux une question à laquelle il devra trouver sa solution. La réponse possible se trouve parmi ces mots figurant au dessus des portes, il devra passer par celle correspondant à la bonne réponse. Pour se faire, tu vas devoir lancer le dé « destin » et accumuler au fil de tes lancés le nombre 13. Considère que si à ton premier lancé tu récoltes un 8, c'est qu'au bout de ton premier post ton personnage a déjà récupéré 8 morceaux de parchemins mais qu'il lui en manquera encore 5 et qu'il te faudra relancer à nouveau le dé jusqu'à un total de 13. Une fois le total atteint, le Choixpeau interviendra afin de te délivrer la question à répondre. Lorsque tu auras recherché la réponse à cette question, libre à toi de faire avancer ton personnage par la porte correspondante à la solution.
Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.
Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d'environ deux ou trois réponses. Bon courage et have fun !
Theodore Nott
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- clubs et assos : référent, ancien préfet-en-chef et ancien gardien de l'équipe des serpents. (ancien capitaine)
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- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, politique et recherches magiques (+russe).
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crédits : (av) lionheart (cs) ophelia, mine
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Alors que tu observes en silence la jeune poufsouffle revenir, tes doigts se crispent un instant sur les accoudoirs du fauteuil où tu t'étais reposé. Elle enlace Hitchens et semble peinée, cela t'inquiète. Même si elle avait été celle qui avait été la plus protégée lors de la première épreuve, vous n'aviez rien pu faire pour la sauver de celle-ci et tout comme Hermione, elle ne sembla pas vraiment vouloir en dire plus sur ce qu'elle avait vu ou vécu de l'autre côté de cette porte. Mais le serdaigle était là et cela avait l'air d'être assez pour l'apaiser. Tu te levas de ton assise d'un seul mouvement et vint près de la porte en t'étirant les épaules par deux gestes précis. Tu étais prêt, concentré comme avant le début d'un match, tu n'adresses aucun regard à tes coéquipiers et ne fais que rester immobile devant la porte en attendant que le feu-follet s'agite de vert. Tu entends ces exclamations en dehors de la pièce où vous vous tenez et un instant, tes sourcils se froncent d'inquiétude. Toi qui pensait que vous y étiez allé assez vite, tu te trompais. A l'instant même où du coin de l’œil tu vois l'être de lumière se teinter de vert, tu actionnes la poignée et pénètre dans la pièce sans laisser le temps à une quelconque peur de l'échec s'installer.
La pièce n'est pas très grande, circulaire, tu repères aussitôt la table et les mandragores, ces mottes de terres légèrement éparpillées autour et les équipements allant avec. Il y a ces portes que tu discernes ensuite, les noms écris au dessus, puis les sacs. Surtout, tu aperçois cette silhouette se faufiler hors de l'épreuve et refermer la porte derrière elle, celle de ton cousin, celle de Drystan et tu tiques. Ce point te désarçonne légèrement alors que tu t'arrêtes dans ton analyse et te demandes si ce que tu viens de voir est quelque chose de voulu ou non par l'épreuve. Tu pèses le pour et le contre et surtout, tu le fais rapidement car tu as conscience que plus de temps tu laisses place au doute, moins tu en as pour terminer cette épreuve. Il y a cette réponse si facile d'aller à sa suite, user de cette stratégie et ruse, se servir de cela en ayant une totale confiance dans les compétences de celui que tu aurais pu considérer comme ton frère autrefois. Puis il y a ta raison, ton statut de préfet, de meilleur élève de ta promotion chez les serpents, tu te demandes si tout cela est fait exprès et si ça ne l'est pas, tu es prêt à remettre en doute la réponse de Drystan, ne serait-ce que parce que tu pourrais avoir une question différente de la sienne. Et tu comprends alors qu'à cette pensée, tu n'as pas d'autre choix que de continuer l'épreuve avec honnêteté. Tu t'avances vers la table, une grande part de toi te hurle de passer la porte et ne pas t'embêter, que tu perds du temps mais tu te retrousses les manches de ton pull sombre, revêt les gants et le cache-oreilles. Tu grimaces car tu n'aimes pas particulièrement la botanique et encore moins ces créatures immondes. Puis t'en soulèves une, puis deux, tu te dépêches pour en soulever le plus possible et découvrir ces morceaux de papier au fond de ces maudits pots. Ton rythme cardiaque bât au rythme des « et si je suis dans le faux », « et si j'avais pris la porte dès le début ? » Une pensée pour ce fameux cours de première année où tu as découvert ces immondices, aux cris des serpents autour de toi ce jour là, Goyle et Crabbe, Malfoy, la mine de dégoût de Pansy.
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- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
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mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
T'en avais bien attrapé deux, mais la seconde te mord le doigt et malgré toi elle t'échappe et revient dans son pot pour ronronner. Une grimace mélangée de mépris se dresse sur tes lippes alors que tu as juste envie de prendre ces créatures entre tes doigts afin de les étrangler. Tu en as déjà marre alors que ce n'est que le début de l'épreuve et tu peines à faire taire toutes ces voix qui te disent de ne pas te prendre la tête et de passer par la porte que ton cousin a emprunté. D'ailleurs, c'est quel mot qui se dresse au dessus de celle-ci ? Tu t'autorises à relever tes azures un instant devant toi, plus loin, afin de lire ce BELLADONE presque scintillant, te narguant de là où tu te tiens. Tu mets de la terre tout autour de ce second pot et râle d'un « Damn » que tu laisses expirer de ta bouche en attrapant la troisième mandragore. Tu as l'impression que le temps défile à une trop grande vitesse et ne pas avoir cette notion précise du temps vient ajouter un peu plus de pression sur tes épaules.
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