équipe 2 ϟ seconde épreuve

équipe n°2

Lundi 13 janvier 1997, neuf heures.
Soit deux jours entier depuis la fin de la première épreuve, deux jours à devoir être en osmose avec le reste de son équipe que ce soit à l'heure du repas ou du coucher, lors des rassemblements ou des moments que l'on souhaite isolés. Un feufolet de lumière blanche et pure apparaît face au regard de l'équipe alors que le petit-déjeuner termine d'être englouti. Les regards croisent ceux des autres équipes toutes aussi surprises, une forte appréhension se fait ressentir. Le feufolet s'active, il est temps de le suivre. Comme la moitié du reste des équipes le quatuor entame sa marche jusqu'au milieu du parc de Poudlard, face au grand lac. De grandes sphères encore absentes ce matin se dressent alors dans le paysage face à leurs regards étonnés et de nombreuses interrogations se soulèvent. Elles ressemblent à de géantes bulles transparentes, possèdent chacune une porte d'une couleur particulière et sont aussi grandes que la hutte d'Hagrid. Impossible de pouvoir observer ce qui se trouve à l'intérieur car ses parois sont teintées d'un flou particulier. Chaque équipe avance vers ces grandes bulles et une légère appréhension vient se lire sur les visages des étudiants. Les professeurs se tiennent non loin d'eux mais n'interviennent pas. Le feufolet de chaque équipe vient les taquiner pour les guider jusqu'à la sphère qui leur est adressée: celle dont la porte est de la même couleur que celle de l'équipe.
Lorsque le quatuor entre dans la sphère la porte se referme derrière eux d'un coup sec et face à eux se présentent: un sol brun en bois, des canapés confortables ainsi qu'un fauteuil. Une table de taille moyenne se situe à leur gauche tandis que la luminosité du jour illumine l'intérieur à travers ce flou intense. Face à eux, une autre porte tenue sur un mur impersonnel et gris. Il n'y a pas de poignée à celle-ci, mais le feufolet virevolte au dessus d'elle et se fige. Soudainement, il change de couleur. Il passe du rouge, au jaune, au bleu puis au vert et ainsi de suite. Il attire leur attention et lorsque chacun le regarde, la créature de lumière s'arrête soudainement sur une seule couleur : rouge. Il est temps pour @Dean Thomas d'entrer dans cette autre pièce où l'attend son épreuve.

équipe n°2 composée de @Dean Thomas @Aron Fawley @Emrys Beurk et @Stelian Selwyn.

Le tournoi se poursuit et voici sa seconde épreuve !
Ϟ Chaque équipe commence l'épreuve au même moment, votre équipe est accompagnée de sept autres à ses côtés avant d'entrer dans la sphère qui lui est destinée au sein du grand parc de Poudlard. Nous sommes le lundi 13 janvier 1997, nous vous demandons d'écrire au moins chacun une réponse à propos de ce début d'épreuve et de discussion entre tous vos personnages pour commenter votre arrivée ainsi que le départ du premier étudiant.
(exception si un membre de votre équipe est connu comme étant en période d'absence donc impossibilité de participer à l'épreuve)

Ϟ Une fois vos quatre réponses écrites et postées, le Choixpeau interviendra pour donner la première épreuve.

Ϟ L'élève choisi par la couleur commencera son épreuve, seul. Nous tenons à vous préciser que aucun de ses coéquipiers ne le voit effectuer son épreuve. Lorsque l'élève termine, il sort de la pièce annexe pour rejoindre les membres de son équipe et c'est à un autre d'y entrer à son tour. Ainsi de suite.

Ϟ Plus d'informations sur le déroulement de l'épreuve ici

PAS DE MOTS MAXIMUM

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Les gens mangent, parlent bruyamment et s’autorisent des familiarités qui donnent doucement mais sûrement envie au petit prince de se lever pour brandir sa baguette et leur arracher la langue. Lui ne touche à rien, les bras croisés et serrés contre son torse presque autant pour se réchauffer que marquer son mécontentement d’être ici. Du regard il défie qui que ce soit d’oser lui adresser un mot, à commencer par ses deux lourdeaux de coéquipiers @Aron Fawley et @Dean Thomas . Rien que de les savoir là, lui faisant face, suffit à empirer le haut le coeur qu’il tente tant bien que mal que réprimer. Sa place n’est pas au milieu de ces êtres ingrats et incultes, ces sangs souillés et ces catins de basse éducation qui ne savent probablement pas faire la différence entre une fourchette et une cuillère. La bouche du petit garçon se tord de dégoût tandis qu’il émet une distance plus que raisonnable avec son voisin de droite afin d’interdire ne serait-ce qu’un effleurement. Quelle infamie. Heureusement à sa gauche, pour rehausser le niveau ambiant qui ne vole pas plus haut qu’une maudite pâquerette, se tient l’illustre @Stelian Selwyn . C’est d’ailleurs pour lui seul que le serpent s’autorise à toucher la table dans le but de lui rendre accessible certains mets avant que ces bouffons parasites ne les engloutissent tous. « Pourvu qu’ils s’étouffent. » Murmure-t-il les dents serrés en les observant déjeuner le plus tranquillement du monde, un sourire mauvais au coin des lèvres. Poudlard se porterait bien mieux libérée d’une poignée d’éternels indésirables qui ne feront, de toute manière, probablement jamais rien de plus glorieux de leurs vies que vendre des bonbons à Honeydukes ou faire la manche devant Gringotts. Un sentiment de délivrance fait soupirer le petit prince tandis qu’il se relève au moment où ils sont dérangés. Cette chose aurait pu intervenir plus tôt pour le libérer de cette odeur répugnante de blaireaux concentrés flottant dans l’air mais soit, mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas ? Sans tarder il bombe le torse et relève le menton, s’éloignant des pouilleux avec fierté tout en les toisant d'un regard dénué de discrétion. Une bulle transparente mais floue se présente à eux et malgré la couleur de la porte assortie à leurs pull Emrys n’esquisse pas le moindre geste. Hors de question qu’il entre en premier ; s’il s’agit d’un piège autant envoyer une personne inutile en éclaireur. « Après toi Thomas. » Dit-il avec une élégance qui ne laisse rien paraître de son mépris florissant pour lui. Après tout n’est-ce pas un lion censé être brave ? Qu’il le preuve. Une fois certain que rien de mauvais ne les attend derrière le petit prince franchit la porte et entre, entendant la porte se refermer derrière lui. Une fois encore la lumière apparaît, virevolte et change de couleur pour s’arrêter finalement sur un rouge vif. Parfait, l’autre perche est le premier à s’y coller. « Fais attention à toi. » Commente Emrys en scrutant le gryffondor après qu’il se soit approché de la porte qu’il va devoir emprunter. « Il serait si regrettable qu’il t’arrive malheur. » Sourire en coin balancé avec effronterie avant de lui tourner le dos et chercher un quelconque indice de ce qui les attend dans cette pièce circulaire.

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Paupières a demi-closes, un bâillement sourd s'extirpa des lèvres du lion qui glissa une main sur son visage avant de se relever lentement de son couchage. La fatigue s'accumulait, et les tensions présentes dans le quatuor, quoiqu'elles soient invisibles, n'aidaient pas Dean a se détendre. Une pensée pour @Padma Patil et sa douceur qu'il aimerait retrouver, avant qu'il ne secoue la tête et se lève définitivement, sans un mot. D'un coup de baguette, il rangea ses affaires, ses pensées dérivant vers le confort de son dortoir qui lui manquait atrocement. Que ne donnerait-il pas pour une douche brûlante, un copieux petit-déjeuner et les conneries de ses amis au coin du feu. Soupir au bord des lèvres, il s'étira avant de suivre ses camarades pour prendre un petit-déjeuner, bien loin de ses attentes. Celui-ci - comme tout ce qu'ils vivaient depuis deux jours, se déroula en silence. Les rares fois où les cordes vocales du poursuiveur s'activaient, c'était pour s'adresser au blaireau, seul garçon avec qui il s'entendait plutôt bien et qui n'était pas aussi désagréable qu'un gremlin affamé. S'activant pour finir son petit-déjeuner, c'est une poignée de minutes plus tard qu'une étrange créature vint les déranger, les intimant de la suivre. D'un même pas, les quatuors présents s'empressèrent de la suivre plus loin, dans le parc de Poudlard. Deuxième épreuve ? mima l'anglais en direction du poufsouffle avant d'arriver près de ces sphères. Curieux, Dean n'a pas le temps d'émettre la moindre pensée concrète que la voix froide, sans émotion du cadet de l'équipe lui laisse la place. Il concède a la demande du serpent et s'avance en premier, lève les yeux au ciel avant de franchir cette porte - inoffensive. C'est cosy, remarques-t-il ses yeux se posant avec envie sur le canapé dans lequel il aimerait se poser. Il n'a pas le temps de s'attarder sur le meuble qu'il est attiré par le feufolet qui prend alternativement les couleurs des quatre maisons pour finir par s'arrêter sur le rouge. Quand il comprend que c'est une épreuve individuelle et qu'en plus, c'est lui commence, Dean déglutit avec difficulté bien qu'il tente de garder la face devant les garçons. Il échange un regard rapide avec @Stelian Selwyn avant d'offrir un sourire a @Aron Fawley. C'est moi qui m'y colle visiblement, annonce-t-il avant que le serpent ne vienne l'encourager quoi que le lion ne le sente pas sincère. Je reviendrais en un seul morceau juste pour tes beaux yeux de serpent, marmonnes-t-il à l'intention de @Emrys Beurk sans se soucier de savoir s'il l'entend avant de se glisser derrière la porte, le coeur plein d'appréhension ; il n'a pas intérêt a décevoir son équipe.

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Des iris fatiguées qui s'ouvraient sur l'absurdité d'une seconde journée. Conforts volés au profit d'un tournoi jugé frelaté par le préfet. Des lèvres scellées depuis des jours, l'ouvrant juste par lassitude pour répondre à ses coéquipiers. Des mots froids dénués de toutes émotions, ne dissimulant pas son agacement à devoir cohabiter avec d'autres couleurs que la sienne. Le sang-pur s'était levé avant ses camarades, s'habillant en vitesse pour aller profiter d'une cigarette en toute intimité. Il se sentait sale et ne supportait pas de devoir afficher aux yeux du monde une apparence négligée. Lui le prince toujours tiré à quatre épingles, les traits exquis suintant la perfection et une allure digne de la noblesse qu'il représentait. D'un coup de baguette, il avait rangé ses affaires pour rejoindre ses coéquipiers, quittant ensuite avec eux le camp pour aller prendre leur petit déjeuné. Un simple café noir pour le ténébreux, sans sucre, sans saveur. A l'image de cette nouvelle journée insipide qui ne méritait certainement pas de la célébrer par de quelconque banalités. Emrys s'était délibérément assis à côté de lui, lui lançant un regard furtif avant de tremper ses lippes gercées par le froid dans sa tasse. Des regards glacés pour Fawley et Thomas, partageant d'une manière moins violente l'indifférence qu'il avait pour eux. Le jeune serpent lui — expectorait son venin aux deux autres sans une once de pitié. L'insigne de préfet abandonné, il n'avait aucune raison valable de rappeler à l'ordre le cadet de l'équipe. En avait-il envie ? Absolument pas.

Après avoir traversés une sorte de bulle qui ne déclencha aucun enthousiaste de la part du sorcier, il découvrait avec froideur la nouvelle pièce où ils allaient évoluer. La deuxième épreuve n'allait pas tarder à commencer et le rapace avait déjà hâte de pouvoir l'enterrer en fin de journée. Néanmoins, il fût surpris par le feufolet et sa parade de couleurs. Les bras croisés contre son torse, la créature se figea dans un habit de lumière carminée. @Emrys Beurk fût le premier à jeter son sarcasme à la gueule du fauve qui allait devoir passer en premier. Un simple hochement de tête pour @Dean Thomas alors qu'il allait s'échouer sur le fauteuil, apparemment plus qu'ennuyé et indifférent au sort qui l'attendait. Il préférait se reposer et se concentrer sur lui-même — égoïste par nature — il jeta un regard à @Aron Fawley avant de le dévisager sèchement pour fermer ses yeux et patienter en attendant son tour.

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Quand il ouvre ces paupières, Aron, il a toujours cette fatigue persistante qui le tient depuis quelques jours. Une fatigue associée à un manque de sommeil ainsi qu'à cette nervosité qu'il essaye de dissimuler derrière un visage lasse. Une main balayant cette chevelure indisciplinée depuis le depuis de se tournoi, qu'il a complètement abandonné, et péniblement il rejoint ses trois coéquipiers pour le petit-déjeuner. Un semblant de petit-déjeuner avec un croissant lentement englouti. De toute façon il n'a pas beaucoup d'appétit en ce moment Aron. Alors il mange par nécessité, juste au cas-où pour cette prochaine épreuve qu'il anticipe autant qu'il l'appréhende. Furtivement, il jette un œil à ces trois personnes auxquelles il se retrouve lié. Pas un mot. Silence dissimulé par cette cacophonie en guise de fond sonore, provenant de diverses conversations d'autres équipes. A ce lourd silence, parfois pesant, s'ajoutent ces maudits regards de @Stelian Selwyn et de @Emrys Beurk. La fine équipe. Mais il essaye de ne plus trop y faire attention, Aron, il s'est presque accommodé à toutes ces médisances silencieuses. Il termine seulement de manger quand un feufolet arrive pour les guider. La seconde épreuve commence. Aron, il hausse les épaules avant de le suivre, suivant les pas des autres. « Ça m'en a tout l'air. » Qu'il répond au gryffondor en lui adressant un regard furtif sur le côté. Ils arrivent devant ces sphères transparentes vers laquelle la créature les a guidé. Visiblement il faut rentrer à l'intérieur. Cet intérieur qui tranche radicalement avec le confort rudimentaire des derniers jours, c'est même plutôt pas mal qu'il pense Aron. Il hoche doucement la tête le jaune, ne pouvant qu'approuver la remarque du rouge. Son regard balayant la salle ses yeux se posent sur ce sol en bois, puis sur le canapé et le fauteuil qui lui vont terriblement envie. Son analyse des lieux est interrompu par ce feufolet qui change soudainement de couleurs, quittant cette pureté blanche pour celles de chacune des maisons. Le rouge, c'est le rouge qui reste en suspend. La couleur du lion. Son regard glisse vers le gyffondor, ayant visiblement compris que lui seul était attendu. Ou du moins pour le début de cette épreuve. Une main sur l'épaule de @Dean Thomas. « Courage Dean, et revient nous en un seul morceau. » Il ajoute avec un petit clin d’œil. Le voyant quitter la salle, Aron part se poser sur ce canapé un peu plus loin. Confortable. Ça lui change de son couchage. Après tout ils ne savaient pas combien de temps leur coéquipier allait resté à l'intérieur. Autant en profiter.

Epreuve gryffondor

Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité.

Devant toi un filet du diable prend toute la largeur du couloir dont tu ne vois pas la fin, faute de lumière. Tu ne peux ni l’esquiver ni retourner en arrière puisque cela signifierait de ta part un abandon de l’épreuve ; tu n’as donc d’autre choix que de l’affronter. Armé de ta patience, ta baguette ou les deux tu t’approches et laisse les racines se nouer autour de tes pieds puis ton corps de façon générale, exerçant une pression inquiétante et étouffante sur toi. Que le cours de troisième année suivi sur cette plante soit proche ou lointain pour toi il va te falloir être à la fois malin et rapide, d’autant plus que ce filet du diable à l’air plus robuste que ceux étudiés. Après quelques secondes seulement la plante s’est entièrement emparée de toi, limitant un maximum tes mouvements et te donnant un peu de difficulté à prendre une inspiration. Alors, magie ou zénitude pour te sortir de ce mauvais pas ? Et surtout, combien de temps va-t-il te falloir pour t'en débarrasser ?

Plus tu réfléchis et plus le temps passe, voyant les fameuses racines se refermer plus amplement sur toi...

Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve.

A toi de jouer.

Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.

Ϟ En ce qui concerne le filet du diable, à toi de voir si ton personnage préfère utiliser un sort ou le faire à l'ancienne: se détendre un maximum et lui faire lâcher prise naturellement sans l’endommager ou la blesser. Dans les deux cas il te faudra tirer le dé nommé "filet" dont les probabilités ont été adaptées compte tenue du fait que c'est une plante étudiée assez tôt. Pas besoin d'accumuler les réussites, à la première obtenue tu peux considérer que ton personnage se libère et tombe donc un étage plus bas; le choixpeau s'occupera à partir de là du reste.

Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.

Ϟ Ton personnage a du mal à bouger mais également à respirer et par conséquent, parler. Le jet d'un sort lui sera donc compliqué et probablement douloureux. Garde également en tête que tu es dans un couloir sombre et que tu ne sais donc pas ce qui peut arriver ou surgir à n'importe quel moment autour de toi.

Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d'environ trois réponses. Bon courage et have fun !

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Dean a le coeur battant quand le regard d'Aron disparaît derrière lui et que le chemin l'emmène jusqu'à une nouvelle porte. Un silence inquiétant, lourd et chargé de mystère l'accompagne tout du long, celui-ci seulement brisé par les bruits de sa respiration et de ses pas. Une fois devant la porte, l'anglais s'autorise une poignée de secondes pour calmer le rythme de ses battements de coeur, songeant à ses amis qui étaient sûrement eux aussi sur le point de découvrir la composition de leur épreuve en solitaire. Quand il finit par rentrer dans la pièce, la porte se referme immédiatement sur lui. Pas de retour en arrière possible, ce n'était plus le moment de se dégonfler, il se retrouvait en tête a tête avec l'obscurité, sans savoir à quoi s'attendre. Plus seul que jamais, il récupéra sa baguette et, méfiant, commença a avancer le long de la salle. S'il pensa a lancer un lumos, il se ravisa au dernier moment. Les pensées les plus folles traversaient son esprit - allait-il devoir affronter un dragon, une autre des créatures d'Hagrid, ses propres peurs ? L'incertitude, les doutes et la peur le gagnaient a mesure que le temps l'écrasait.

Il avança encore un peu, et pu enfin se rendre compte de ce que serait son épreuve ; ce filet du diable, redoutable plante qui pourrait étouffer le plus fort des hommes. Une pensée pour le trio d'or alors que ses prunelles chocolat cherchent a trouver la fin de cette plante, une échappatoire quelconque, en vain. Ses paupières venant épouser le noir le temps d'un battement de cil, il finit par laisser la plante l'étreindre, celle-ci commençant par se nouer autour de ses pieds, pour remonter le long de ses jambes, puis de son bassin. Il se souvient d'Hermione, affrontant elle aussi un filet du diable en première année. Toute l'école en avait entendu parler. Il avait été curieux, et impressionné et c'est sûrement elle qui lui donna le courage nécessaire pour se concentrer sur la magie qui coulait en lui. La plante commençait a exercer une pression inquiétante sur son ventre, lui coupant le souffle un court instant. Il savait qu'il n'avait plus beaucoup de temps pour lancer le sort alors il ferma ses yeux. Les explications d'Hermione et du professeur de botanique lui revenant en mémoire, il s'empressa de lancer Lumos Solem dans l'espoir de balayer rapidement cette épreuve.
réussite la lumière remplit la pièce, effrayant la plante qui relâcha son étreinte sur le métisse qui retrouva ses sensations, ses membres avant de finir par s'écraser un étage plus bas. Merci Hermione, souffla-t-il en se relevant, curieux de découvrir la suite des événements. cela pouvait-il être pire ?

Le membre 'Dean Thomas' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Filet' :

Epreuve gryffondor

Après être tombé tu te retrouves dans une cavité froide, lugubre et humide sous le filet du diable. A tâtons tu cherches ta baguette et la trouve assez rapidement afin de faire, si tu le désires, plus de lumière. Tu longes les mûrs mais ne trouve ni porte ni fenêtre pour te permettre de t’échapper de cet endroit, tu peux même chercher une trappe dissimulée dans le sol mais sans succès. Seul un mûr de briques se dresse face à toi et semble être la réponse à cette nouvelle énigme qui se pose. Tu comprends rapidement qu’il va te falloir l’escalader pour rejoindre l'étage duquel tu es tombé mais comment ? Aux pieds du mûr, à gauche, se trouve une longue corde à l’allure neuve et épaisse lorsque tu peux apercevoir sur la droite une échelle suffisamment haute pour te permettre d’atteindre le sommet sans effort. Seul hic : cette dernière est à première vue légèrement bancale et pas très rassurante.
Au bout d'une des extrémités de la corde un anneau de plusieurs centimètres d'épaisseur est solidement noué. En levant la tête tu peux apercevoir un crochet au plafond comme par hasard idéalement placé au dessus du mur. Tu n'en es pas sûr mais tu as l'impression de voir les deux composants réagir à la vue de l'autre, se pourrait-il qu'ils aient été ensorcelés et qu'accrocher l'anneau ne soit en fin de compte pas si compliqué que ça ?

La sécurité et l'épuisement ou la prise de risque sans efforts ?

A toi de jouer.

Ϟ En ce qui concerne les matériaux mis à disposition pour permettre à ton personnage d'arriver en haut, il n'y a aucun piège. La corde comme l'échelle peut l'y mener, l'un lui demandera simplement plus d'efforts et de force tandis que l'autre d'être agile et vigilent. Pas de dé à utiliser pour ce post, le choixpeau interviendra de lui-même pour donner une direction lorsque ton personnage aura fait son choix et entamera l'escalade.

Ϟ Le corps de ton personnage doit être un peu engourdi après le filet du diable et toutes les pressions subies; mains qui tremblent, esprit un peu confus et j'en passe, veille à rester cohérent tant dans ton choix que l'attitude de ton personnage. Par exemple: prendre quelques secondes pour se remettre de ses émotions, galérer dans un premier temps ect.

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Le regard levé vers le filet du diable qui s'étend au-dessus de lui, Dean pousse un léger soupir. Conscient que ce n'est pas finit et qu'il ne peut rester éternellement ici, il finit par se relever, et tâtonne le sol à la recherche du bout de bois si précieux qui fait partie de lui. Debout, il fait craquer les os de son dos et s'autorise quelques secondes pour reprendre son souffle et calmer le rythme de son coeur. Baguette en main, faible lueur au bout de celle-ci, il reprend sa marche en longeant les murs. Sur ses gardes, il s'attend à tout et n'importe quoi, est préparé à l'éventualité qu'un monstre surgisse de nulle part de cet endroit sinistre. Rien n'arrive, cependant. Un étonnant calme règne autour de lui, un calme plat, a la limite de l'anormal. Ses sourcils sont froncés et ses yeux se baladent au sein de la pièce à la recherche d'un indice, d'une dérobade. Une issue qu'il ne trouve pas. Malgré lui, son palpitant s'agite dans sa poitrine ; l'inconnu lui fait face. Un mur en brique, haut d'une dizaine de mètres - si ce n'est plus se dresse face à lui. Lumos Maxima. Murmure pour y voir plus clair, il ne faut pas longtemps à l'anglais pour voir l'échelle, posée a sa droite, et la corde, a l'opposée. Il comprend qu'il n'y a pas d'échappatoire, qu'il est obligé de grimper ce mur, d'une manière ou d'une autre. Ses prunelles chocolat se posent d'abord sur l'échelle. Lui inspirant peu confiance, il tire la grimace et s'en détourne rapidement pour se concentrer sur la corde. Il l'attrape et la lance une première fois dans les airs afin d'atteindre le crocher quelques mètres plus haut. Piètre tentative qui se solda en un échec. De même que la deuxième. Inspirant profondément, le métisse se concentra sur le crochet et lança la corde une troisième fois, celle-ci venant enfin épouser l'objet métallique. Dean tira sur la corde pour être sûr qu'elle tienne avant de la prendre entre ses mains et de commencer a se hisser. Ses mains, moites, l'empêchent pourtant d'atteindre deux mètres. Il glisse, la corde venant brûler les paumes de ses mains. Nouveau soupir. S'essuyant les mains sur son tee-shirt, il ferma les yeux. Se concentre sur le sourire de padma, sur les yeux rieurs de son meilleur ami se moquant gentiment de lui, sur les airs encourageant de ron, d'harry, d'hermione avant d'attraper une nouvelle fois la corde, avec plus de fermeté cette fois. Yeux plissés, mine concentrée, il monte aussi vite qu'il le peut. Oubliant la brûlure dans ses mains, ou sa respiration saccadée, il ne pense qu'à l'arrivée, et aux visages de sa deuxième famille. Ils lui donnent la force de monter encore et encore.

Epreuve gryffondor

Tu es enfin parvenu au sommet du mur en briques et regagne l’étage par lequel tu es entré en premier lieu. Tes muscles sont un peu douloureux mais la fierté d’avoir réussi à passer tout ça et bien présente. Tu es dorénavant de l’autre côté du filet du diable qui ne peut plus rien contre toi. A quelques pas de là, au fond de ce couloir très peu éclairé et toujours aussi inquiétant, se présente une espèce d’entrée circulaire. Pour y entrer il va te falloir t’accroupir car personne hormis le professeur Flitwick ne saurait s’y aventurer debout. Le trajet semble durer une éternité sans que tu ne perçoives ni son ni odeur puissant te concéder un quelconque indice quant à ce qui t’attends. Au moindre bruit tu trésailles comme quand, au bout de longues secondes, tu penses capter quelque chose. Un peu comme de l’eau qui coule dans un récipient… un grand récipient. Et lorsque tu arrives au bout du tunnel tu comprends enfin.

Expression de choc ou d’incompréhension, il te faut en tout cas quelques instants pour réaliser ce qu’il se passe. Face à toi une pièce circulaire ressemblant à une cuve se remplit peu à peu d’eau mais ce n’est pas tout : cinq personnes de ta connaissance et apparemment inconscientes sont maintenues prisonnières sur des piquets profondément plantés au milieu de la pièce. L’eau continue de monter tandis que tu reconnais peu à peu leurs visages : @Parvati Patil, @Padma Patil, @Avalon Eagles, @Emrys Beurk & @Nathanaël Ombrage. Alors que tu tentes de saisir ta baguette tu remarques que celle-ci est restée dans le tunnel t’ayant mené jusqu’ici. Tu tentes de t’en emparer mais rien à faire : un sort empêche que tout objet magique n’entre dans cette pièce, tu ne disposeras cette fois pas de l’option magie pour t’en sortir. Tu remarques également que ton issue n'est pas la seule, d'autres ouvertures de tunnels sont présentes, signe que d'autres étudiants arrivent sauver leurs partenaires tout comme toi.

A quelques pas de toi une table de chevet commence à chavirer à cause de l’eau montante sur laquelle se trouve un petit couteau suffisamment aiguisé pour rompre les liens de ton coéquipier afin de le sortir d’ici au plus vite. Mais sauras-tu te contenter de ça ? En effet plusieurs possibilités s’offrent à toi : tu peux choisir de venir uniquement en aide au membre de ton quatuor enfermé parmi les quatre autres personnes ou au contraire en libérer plusieurs. Plus tu délivreras de personnes et plus l’eau montera et votre équipe perdra du temps qui pourrait lui faire défaut lors des qualifications pour la dernière épreuve du tournoi.

Il va te falloir hisser ton équipier (ou plus) en dehors de cette salle et repasser par ce long tunnel. Lorsque tu arriveras dans la pièce avec le filet du diable, tu te rendras compte qu'une porte s'est matérialisée, te menant directement au reste de tes coéquipiers. C'est au moment précis où tu franchis la porte, portant la charge de la personne (ou de plusieurs) sauvée que celle-ci se métamorphose soudainement en un sac marron, à l'image de celui récupéré par le coureur de votre quatuor à la première tâche. Impossible de l'ouvrir, il vous faudra attendre. Attention, ce n'est bien qu'à ce moment là que tu te rends compte de la supercherie.

Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, sauver son coéquipier ou plus de personnes et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.

A toi de jouer.

Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.

Ϟ Pas d'utilisation de dé pour ce tour; il te suffira d'indiquer dans ta réponse si ton personnage tente de sauver seulement son coéquipier, qui est évidemment le but principal de l'épreuve, ou davantage de personnes. En fonction de ton choix le choixpeau interviendra pour donner suite. Veille également à rester cohérent: ces personnes sont inconscientes donc à moins d'être très musclé ton personnage ne pourra en prendre que deux (trois maximum) en charge.

Ϟ L'eau grimpe assez rapidement pour mettre sous pression ton personnage et le forcer à réfléchir rapidement. S'il met trop de temps dans sa réflexion il se pourrait que lui comme les autres se retrouve coincé dans cette marée montante.

Ϟ L’utilisation de la magie est évidemment proscrite car il serait trop facile de lancer un sort qui libérerait tout le monde, leur permettrait de respirer sous l'eau et s'en sortir sans aucun mal. Le but est que ton personnage se trouve dans un vrai dilemme et n'ait d'autre choix que de faire des concessions.

Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.

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Le souffle court, le soulagement s'empare de l'être de Dean quand il atteint enfin le sommet du mur. Assit, il prend de longues inspiration pour retrouver un rythme cardiaque normal plus ou moins raisonnable. Son corps entier est meurtri et ses paumes, rougies par la montée à la corde, sont égratignées. Il ne rêve que d'une pause, de pouvoir reposer ses muscles épuisés. Il n'a pourtant aucune envie d'abandonner et se relève en vitesse afin de continuer son chemin. De l'autre côté du filet du diable, il ne lui adresse même pas un regard, préférant se concentrer sur l'essentiel ; la suite de cette interminable épreuve. Après avoir fait quelques pas, longeant ce couloir faiblement éclairé, Dean finit par repérer une petit ouverture, visiblement taillée pour une personne comme Flitwick. Crap, marmonne-t-il, soupirant. Puisqu'il faut y aller de toute manière... Glissant sa baguette dans la poche arrière de son jean, le lion s'engouffra dans ce tunnel aux allures douteuses. Il rampa de longues minutes, à tel point qu'il finit par croire qu'un sort d'extension avait été jeté sur le tunnel afin qu'ils n'arrivent jamais à destination. Pas d'indice sur la suite de l'épreuve, pas d'échappatoire, le garçon commençait à croire que jamais il ne sortirait de là jusqu'à finalement entendre des bruits d'eau, lui faisant comprendre qu'il arrivait au bout de cet interminable galerie. Lorsque ses yeux croisèrent ce nouveau décor, il fronça les sourcils de stupeur. Avec attention, ses yeux firent le tour de la pièce circulaire, en commençant par les cinq corps attachés comme de vulgaires sorcières préparées au bûcher. Il nota cependant d'autres entrées, signifiant que d'autres allaient sûrement arriver - et il ne se trompait pas puisque des lions commençaient déjà à arriver pour sauver leurs partenaires. Son palpitant s'accélérant dans sa poitrine, Dean eu le temps de voir Seamus récupérer Padma et Willow avec lui avant qu'il ne se lance à sa suite. Devant lui, les visages de son coéquipier, de Parvati, d'Avalon, de Nathanaël. Et à côté, un couteau. Sourcils froncés, il ignore le couteau et tente d'attraper sa baguette avant de remarquer qu'elle n'est plus là. L'eau monte, et il ne peut pas user de magie pour cette épreuve. De mieux en mieux, grogne-t-il avant de se saisir de nouveau du couteau et d'avancer vers les corps inertes de ses camarades. Il ne prend que quelques secondes pour réfléchir, et décider de libérer Avalon et Emrys. Ce dernier, petit et léger, ne sera pas difficile à remonter. Il les attrapa tous les deux avec maladresse et jeta un dernier coup d'oeil aux visages des personnes qu'il laissait derrière lui avant de leur tourner le dos et de remonter vers le tunnel. Cette fois, le trajet lui semble plus court, et sans savoir si c'est l'adrénaline qui parle ou le besoin pressant de sortir de là pour respirer correctement à nouveau, il met toutes ses forces dans cette nage rapide, supportant avec difficulté le poids des corps de ses camarades. A mesure que le temps défile, il sent ses forces le quitter, à l'impression que ses membres s'engourdissent. Avec soulagement, il finit par apercevoir la porte au fond de la salle où il a préalablement affronté le filet du diable. Appuyant sur ses jambes, puisant dans ses dernières forces, il finit par enfoncer la porte et s'écrouler dans la petite salle où résidaient ses coéquipiers. Son regard agité se posa autour de lui, mais plus aucune trace d'Avalon, ni d'Emrys quoi que ce dernier se trouvait juste en face de lui, sec. Des figures de ses camarades ne restait maintenant plus que des sacs, qu'il était incapable d'ouvrir. Soufflant, il glissa un main fatiguée sur son visage avant de poser son regard sur ses camarades. Je... Ouais, bonne chance. Ses yeux scrutant le plafond, il avait la désagréable impression que la pièce tournait tout autour de lui. Bordel... Plus jamais. Il avait finit, enfin.

Epreuve serdaigle

Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité. La salle a été rendue anormalement grande grâce à l’utilisation d’un sort et tu disposes désormais de deux options bien distinctes :

Face à toi et rangé sur le côté gauche de la salle de classe se trouve un puzzle géant. A première vue il ne doit y avoir qu’une dizaine de pièces mais celle-ci sont plus épaisses que toi et semblent lourdes. En t’avançant tu peux distinguer une majorité de noir sur les différentes pièces ainsi que des amas de bleu et de blanc à quelques endroits qui pourraient potentiellement se relier. Tu comprends rapidement pour en côtoyer chaque jour dans ta salle commune qu’il s’agit là d’une constellation qu’il va te falloir reconstituer de mémoire. De l’autre côté de la pièce, sur la droite cette fois, se tient un casse-tête, relique en bois noble, ancien. En t’approchant de quelques pas, sans pour autant t’y engager, tu aperçois les rouages et devine sans trop de mal de quelle façon tu pourrais le résoudre.

Il ne tient qu’à toi de choisir quelle épreuve tu désires résoudre afin de rejoindre ton équipe au plus vite. Le puzzle demande davantage de force et une pincée de hasard alors que le casse-tête fait appel à ta logique et ta réflexion. Derrière chacune des deux épreuves se tient un piédestal sur lequel lévite un sac noué à l’aide d’une corde magique ressemblant à ceux attrapés lors de la toute première phase du tournoi par un membre de ton équipe. Ils font la même taille, ne laissent transparaître aucune information quant à ce qu’ils contiennent. Une barrière invisible t’en sépare et t’empêchera d’y accéder tant que tu n’auras pas résolu le puzzle ou le casse-tête chinois.

Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, attraper le sac qui se présente à lui et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.

A toi de jouer.

Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.

Ϟ L’utilisation de la magie est évidemment proscrite car il serait trop facile de lancer un sort d’arrangement qui inciterait le puzzle à se résoudre seul ou le casse-tête à se délier. Tu es bel et bien livré à toi-même et tes capacités de réflexion.

Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.

Ϟ Si tu choisis le puzzle : les différentes pièces de ce dernier te seront envoyées par mp et il ne tiendra qu’à toi de le résoudre. Pour nous le signifier il faudra que tu postes un rp désignant en gras/souligné la décision de ton personnage. Une fois fait et la constellation trouvée (IRL), il te suffira de donner son nom en balises hide en éditant ta réponse à l’épreuve (IRP) et ajoutant quelques mots sur la façon dont s'est déroulée et terminée l'épreuve. Si ta réponse est correcte ton personnage l’emporte du premier coup et peut rejoindre le piédestal qui se tient derrière le puzzle, attraper le sac et partir. Cela vous prendra davantage de temps mais la fierté d'avoir réussi n'en sera-t-elle pas plus grande ?

Si tu choisis le casse-tête : la réussite ou l’échec de l’épreuve se jouera au dé. Bien sur tu n’as pas qu’une chance sur deux ; c’est à dire que si ton premier lancer est un échec celui-ci n’est pas définitif, l’épreuve ne se termine pas et ton personnage ne repart pas bredouille. Réponds pour dire qu’il a fait une mauvaise manipulation qui ne l’a mené à rien ou a encore plus emmêlé la chose. Sois original. Dès qu’une réussite est tirée tu réussis et peux rejoindre le piédestal qui se tient derrière l’épreuve pour attraper le sac et partir.

Ϟ Une fois que tu t’engages sur l’une des deux voies, puzzle ou casse-tête, tu ne peux plus revenir en arrière : la seconde t’es rendue inaccessible. Cela va également de mise avec les piédestal, tu ne peux atteindre que celui qui se tient derrière l’épreuve que tu auras choisie et dans aucun cas ne pourras repartir avec les deux sacs – dont le contenu te sera révélé plus tard une fois le quatuor réuni.

Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d’une ou deux réponses à moins de n’avoir choisi le casse-tête et de n’être vraiment mal-chanceux aux dés. Bon courage et have fun !

veritaserum wizards mb

Olympiades plébéiennes condamnées avec une totale irrévérence, le flegme d'un royalisme porté sous un masque de placidité infranchissable. L'aigle impérial échoué avec autorité sur le trône de la monarchie sacrifié au profit d'un tournoi hautement méprisé. Pas de verbes, pas de regards pour ses coéquipiers tandis qu'il patientait avant de devoir à son tour entrer dans cette effroyable joute d'un hiver carnassier. Des iris cérulées qui admiraient les aiguilles de sa montre entamer inlassablement la ronde infernale d'une patience mise durement à l'épreuve. Depuis combien de temps le fauve était parti ? Il l'ignorait et semblait ne pas vraiment se soucier de son sort. Solidaire de personne l'aiglon, monstre d'égoïsme et autolatre par essence. Forcé de participer à cette mascarade pathétique, un piètre tournoi censé unir des couleurs qui ne s'épousaient même pas avec harmonie. Lorsque la mystérieuse porte s'ouvrit enfin sur le corps trempé du sang-mêlé à l'allure exténuée, le prince gallois se contenta simplement de le regarder sans même venir lui apporter une quelconque assistance. Non pas qu'il avait quelque-chose à lui reprocher, le sixième année semblait même revenir victorieux les bras chargés de deux nouveaux sacs au contenu encore inconnu — ce n'était tout simplement pas dans la nature du sang-pur de se baisser pour ramasser les miettes que la vie lui laissait. Non il avait grandi dans un cadre privilégié où les moins chanceux se mettaient en quatre pour satisfaire le moindre de ses désirs princier.

Le feu follet changea alors de couleur, délestant le rouge carmin pour le bleu azurin lui indiquant que c'était à son tour de participer. Mandibules serrées qui retenaient un soupir d’exaspération alors qu'il quittait la méridienne sans jeter un regard au serpent et au blaireau. Il passa à proximité du lion encore sur le sol essoufflé, une iris en biais pour lui alors que sa baguette glissait de sa manche. L'aiglon s'engouffra alors dans la porte avec une assurance hautaine propre aux gens de sa caste alors que cette dernière claquait et se refermait derrière lui pour sceller son destin. Une vaste pièce se dessinait alors face à lui, sang-froid et toujours aucune émotion pour profaner la perfection de ses traits. Deux choix s'offraient à l'héritier alors qu'il faisait quelques pas en rangeant finalement sa baguette, comprenant rapidement que la magie ne lui serait d'aucune utilité pour cette épreuve. A sa gauche, un puzzle géant qui n'attendait que d'être conquis alors qu'à sa droite — un casse-tête taillé dans le bois noble d'un arbre aujourd'hui décimé. Il avait l'opportunité de choisir entre partir à la conquête des astres ou bien faire travailler ses neurones dans un jeu destiné aux plus réfléchis. Le choix de Stelian se porta évidemment sur la relique boisée qu'il prenait délicatement entre ses doigts pour l'admirer. Un léger froncement de sourcil, n'ayant jamais vu jusqu'à présent un tel jouet. Soupire expié alors qu'il se laissait tomber avec élégance sur le sol, en tailleur, comme un gamin innocent souhaitant comprendre avec intérêt les rouages de ce casse-tête vétusté.

Le membre 'Stelian Selwyn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Casse tête' :
équipe 2 ϟ seconde épreuve 181208071558416673

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Les doigts dansaient sur le morceau de bois aux formes indisciplinées qui n'arrivaient toujours pas à s'épouser. Calme, le préfet ne perdait pas patience, faisant travailler ses méninges et sa réflexion au lieu de compter sur une chance insolente comme simple facteur de réussite. Le regard glacé était figé sur l'objet manipulé entre des phalanges habiles et abruptes. Compendieux par nature, lippes scellées qui ne soufflaient toujours pas l'exaspération du sorcier, tournant les mécanisme boisé avec nonchalance. La beauté d'un regard qui s’élevait parfois en direction des sacs en face de lui, espérant que ceux-ci tomberaient bientôt entre les serres du rapace qui patient — s'arrêtait parfois pour recommencer. Stelian n'était pas ce qu'on pouvait appeler un amoureux de ces jeux, préférant les échecs aux casses-têtes tortionnaires et abrutissants pour les esprits ravagés. Pourquoi s'acharnait-il à participer alors que manifestement, il se moquait de ce tournoi des misérables ? Rien ne l'obligeait à continuer, se moquant d'entraîner dans son égoïsme la défaite de ses camarades. Non il s'acharnait à briser les rouages de ce morceau de bois par simple élan de compétitivité. Hors de question de sortir perdant face à un tel jouet. Docte de l'âme, il ne représentait pas seulement qu'un quatuor, mais les couleurs d'une maison qui se vantait d'être détentrice d'une érudition millénaire expectorée avec arrogance pas les enfants de Rowena Serdaigle. Échouer face à ce qui semblait être la parfaite épreuve de réflexion pour les bleu et bronze semblait être une perspective fort humiliante pour tous les oiseaux de ce siècle perverti.

Après quelques instants de réflexions, l'aiglon finit par faire de ce casse-tête une nouvelle relique appartenant désormais au passé. Jouet de bois qu'il laissa glisser sur le sol avec dédain, plutôt surpris par la facilité presque déconcertante de cette épreuve. Stelian se releva, marchant ensuite avec placidité jusqu'au sac qui lui était destiné. Pas de pièges, juste une victoire célébrée sans plus de cérémonie sur le visage fermé du sorcier. Il s'en empara et tourna les talons en direction de la porte qui s'ouvrait de nouveau sur le petit salon. Pas de mots pour ses camarades @Aron Fawley , @Dean Thomas et @Emrys Beurk. Il s'était peut-être absenté une dizaine de minutes, beaucoup moins de temps passé derrière cette porte comparé au lion. Il jeta le sac à côté des deux précédemment gagnés par le gryffondor et retourna s’asseoir avec nonchalance sur le canapé. L'allure impeccable, il ne semblait en aucun cas avoir souffert en comparaison du rouge et or à qui il lança une œillade rapide. Un fin de soupire, manifestement ennuyé par cette nouvelle journée.

Le membre 'Stelian Selwyn' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Casse tête' :
équipe 2 ϟ seconde épreuve 181208071558941553

Epreuve Poufsouffle

Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons, tu retrouves le feu follet qui te mène jusqu'à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré, elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et, quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité.

Tu découvres alors une pièce circulaire où il règne une chaleur réconfortante contrastant avec la froide nuit que tu viens de passer. Une multitude de globes de verre de toutes tailles et d'opacité différentes y sont disséminés. Si certains reposent sur un socle fait de bois, d'autres flottent paisiblement au-dessus de toi. Peu à peu, ceux-ci s'illuminent, s'animent les uns après les autres sur ton passage. Intrigué, ta main se porte sur la sphère la plus proche où une scène familière se déroule à travers la brume.

Tu découvres qu'il s'agit de ta toute première rentrée à Poudlard. Ta première fois dans le Poudlard Express, la traversée du lac dans les barques. Tu vois ces personnes qui se trouvaient à tes côtés, qui sont peut-être devenus tes amis, tes ennemis au fil du temps. Tu y vois l'émotion fleurir sur ton visage alors que le Choixpeau se pose sur ta tête. Dans un soupir de nostalgie, tu re-déposes l'objet que tu tiens et en prends une seconde, ne pouvant résister à cette curiosité naissante. Cette fois, c'est ton premier cours de vol. Tu te vois craintif/ excité par l'idée de pouvoir voler.. Ton premier Halloween, tes premiers examens.. Tu te rappelles encore de la peur qui te tordait les tripes de ne pas les réussir..

Au fur et à mesure que ces orbes dévoilent leur contenu, c'est toute ta vie à Poudlard qui défile. Tes joies, tes peines, tes bêtises, toutes les amitiés que tu as liées ou encore tes premiers amours.. L'une d'entre elles te montre même le souvenir d'une soirée déguisée à rire et embrasser une aiglonne que tu apprécies tout particulièrement. Jusqu'à ce que celle que tu tiens entre tes mains te montre ton équipe d'apparence détendue, plaisantant les uns avec les autres. Si ton cœur se serre face à cette complicité qu'ils partagent sans toi, celui-ci saigne plus encore lorsque tu remarques qu'ils profitent de ton absence pour se partager avec avidité une poule d'Hagrid. Tu te souviens très bien du moment où ils ont eu cette opportunité courte d'être à trois, sans toi et tu les vois se dépêcher en fixant l'endroit où tu les as temporairement quitté, tu les entends s'inciter à manger plus rapidement avant que tu ne reviennes.

Apparaît à présent une porte dans ton champ de vision. Tu l'entends clairement se déverrouiller et la vois s'entrouvrir. Le malaise te gagne alors que tu t'en approches.

veritaserum wizards mb

Il y a cette austérité qui imprègne une atmosphère déjà bien pesante. Trop pour Aron. Lentement ses doigts viennent taper contre le bord de l'assise regardant le lion et l'aigle passer l'un après l'autre leur épreuve, à l'abri des regards, derrière cette porte. Tellement intrigante qu'elle en éveille sa curiosité au fil des minutes qui passent à attendre, assis dans un coin du canapé. La tête baissée, les yeux dans le vide, il attend leur réapparition et son tour à lui. Si l'absence de Dean lui semble durer une éternité, celle de Stelian est bien plus éphémère. Trop rapide. Il hausse les sourcils en le voyant revenu avec cet air si présomptueux qui agace tant Aron. A ce retour il ne demande rien pour combler ce silence de glace, il n'ajoute rien, contrairement à celui de Dean pour qui il s'était assuré de son état en le voyant revenir presque à bout de force. Et son regard se trouve à nouveau attiré par le changement de couleur du feu follet. Jaune. C'est la nouvelle couleur qui s'illumine. C'est à son tour de passer cette porte, le menton haut il roule ses épaules pour se détendre les muscles avant d'y entrer. Après un dernier regard vers les trois silhouettes, il s'avance. Puis la porte se referme, se verrouille et le feu follet réapparaît devant lui.

Il est désormais seul, Aron, il n'y a que ses pas qui résonnent dans cet espace tandis qu'il s'avance précautionneusement jusqu'à un nouvel endroit. Ses yeux détaillent la pièce du regard. Circulaire. Et il y a cette chaleur presque agréable qui semble réchauffer son cœur, une chaleur presque familière tellement différente de celle qu'il avait pu ressentir en passant la porte de la sphère, loin de cette ambiance si glaciale des derniers jours. Parce que, même à l'intérieur, Aron avait cette mauvaise impression se trouver encore à l'extérieur sous le froid hivernal. L'atmosphère régnante le réconforte sur ces derniers jours passés, néanmoins il n'en baisse pas pour autant sa vigilance gardant une main près de sa baguette. Ses yeux se posent ensuite sur des globes en verre. Il ne saurait dire combien il y en a tant ils sont nombreux. Peu à peu ils s'illuminent chacun leur tour sur son passage. Il hausse les sourcils Aron, s'arrêtant près de l'un d'eux pour l'analyser du regard, dans un premier temps, puis en la touchant du bout des doigts. A ce contact c'est un brin de nostalgie qu'il ressent à la vue d'un vieux souvenir dont il ne lui restait que des bribes. Son premier voyage dans le Poudlard Express lui parait si lointain, comme cette première rentrée et tous ces quelques passages lui rappellent cette excitation du moment qui lui manque tant. L'été dernier il en avait fait le deuil de ces moments, enfouis dans un coin de son esprit qu'il ne ressortirait qu'en de rares occasions, parce qu'il avait juste envie que cette dernière année se déroule au plus vite sans repenser à ces années antérieures pour ne pas tomber dans un flot de mélancolie. Doucement il lâche finalement le globe intrigué à l'idée de découvrir ce que renferment ces autres sphères, il pouvait bien se l'accorder, au moins une fois. Son premier cours de vol sur un balai lui apparait. Il laisse s'échapper un léger petit sourire, lui qui avait déjà tant pratiqué cette discipline avant son tout premier cours à l'école. Il s'y sent bien Aron, dans les airs. Non. Il s'y sentait bien. Aujourd'hui il y a cette peur qui le gagne chaque fois qu'il monte sur un balai, mais il cherche à stopper ses craintes qui ne sont pour lui qu'éphémères. Mais c'est avec bon cœur qu'il revit ces moments. Tout comme son premier halloween, ses premiers examens et toutes ces craintes qui vont avec. Ainsi que tous ces bons moments qu'il pensait avoir oublié. Chaque orbe, il les visualise avec une pointe de mélancolie mélangée avec un sentiment différent associé à chaque souvenir. Il y voit tant de choses, retenant une attention particulière à celui d'une ancienne soirée déguisée. Il soupire face à ce souvenir mettant en scène l'aiglonne à qui il avait parlé quelques jours plus tôt dans le train. Il se souvient bien de ces instants, gravés dans sa mémoire, qu'il chasse de ton esprit en évitant tout contact avec le globe quand la culpabilité le gagne à nouveau. Tout ça en deviendrait presque troublant, jusqu'à cette sphère qu'il attrape dans sa main pensant y voir un autre souvenir. Pourtant ce sont les autres de son équipe, dans la pièce d'à côté, qu'il y observe. Ce n'est pas un souvenir. Il la voit cette bonne entente qui n'y était pas lorsqu'il avait quitté la pièce un peu plus tôt. Une main repousse une mèche de ses cheveux qui tombait devant ses yeux, comme si elle était la principale cause de cette aberrante vison, et il fronce les sourcils en voyant le reste de la scène défilée devant ses yeux, telle une mauvaise blague. C'est quoi cette histoire ? Il avait passé plusieurs jours avec eux, jamais il n'y avait eu d'ambiances semblable à celle-ci. Ça l'irrite un peu. Mais ce qui le fait tiquer c'est qu'ils semblent profiter de son absence pour partager une poule en guettant son retour. Il tente de mettre de l'ordre à cette scène en essayant de comprendre d'où vient l'erreur. Du serpentard ou du serdaigle ça ne le surprend pas le moins du monde, mais le gryffondor... Il pensait vraiment qu'il y en avait au moins un dans cette équipe à qui il pouvait faire confiance. Perdu dans ses pensées, son regard dévie quand finalement il entend une seconde porte s'entrouvrir. Il s'avance alors, relâchant le dernier globe, plutôt mal à l'aise. Plein de questions en tête. Et désappointé.

Epreuve Poufsouffle

Un sort t'indique une nouvelle fois le chemin à emprunter jusqu'à cette seconde porte qui s'ouvre sur une pièce aux murs transparents, dévoilant tes compagnons occupés à attendre ton retour. D'un signe de la main, tu les salues afin d'attirer leur regard sur toi, hélas tu n'attires aucune réaction. Tu renouvelles ton action jusqu'à comprendre qu'ils ne sont pas en mesure de te voir. Seul, toi le peux.

Tu prends alors conscience que face à toi se trouve un adorable poussin reposant sur un délicat coussin de velours lévitant doucement dans les airs. À ses côtés, une fiole remplie d'un liquide transparent portant l'étiquette de veritaserum attend également patiemment.

Lorsque tu tournes ton attention sur ta droite, tu découvres un autre pan de mur dont la transparence te permet encore une fois d'observer qui se trouve derrière sans que l'on ne te voit et tu observes alors la silhouette affligée d'Hagrid assise sur une chaise en attendant, accablé par la perte de sa poule. Les larmes roulent le long de ses joues alors que quelques sanglots incontrôlables s'échappent d'entre ses lippes.

Il est désormais de ton ressort de décider du choix que tu veux faire. Si jamais tu t'approches du poussin et désires consoler Hagrid en lui donnant, un sort d'attraction te ramènera constamment en direction du veritaserum pour t'obliger à lui dire la vérité sur ton équipe. Ton corps se trouve à mi chemin entre la porte te permettant de rejoindre ton équipe et celle te séparant du garde-chasse. Un sac marron apparaîtra au dessus de toi pour venir s'échouer dans tes bras lorsque tu traverseras n'importe quelle porte.

Si tu choisis de consoler Hagrid, le ruban autour de ton sac sera blanc et une porte se dessinera dans le mur pour ensuite te laisser l’opportunité de rejoindre tes coéquipiers à nouveau. Si tu choisis de revenir à tes coéquipiers sans toucher au poussin et en ignorant Hagrid, le ruban autour du sac sera noir et ton épreuve sera terminée dès que tu auras passé la porte.

Ϟ Il n’y a pas de mauvais choix ou de piège ; dans les deux cas, ton personnage peut réussir son épreuve et s’en aller rejoindre son équipe afin qu’un autre membre du quatuor puisse se lancer.

A toi de jouer.

Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.

Ϟ Pour ton prochain post, tu as le choix entre prendre la décision de faire sortir ton personnage afin qu'il rejoigne ses coéquipiers ou d'offrir en cadeau l'adorable poussin Douili afin de consoler Hagrid. Cependant ton personnage devra révéler - grâce au veritaserum - l'atroce vérité sur son équipe.

Ϟ Si ton personnage fait le choix de repartir sans révéler la vérité, il va de soi qu'il ne pourra pas repartir avec la potion, ni le poussin.

Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.

Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque c'est ton dernier post à rédiger pour ce premier acte. Bon courage et have fun !

veritaserum wizards mb

Au moment où il entre dans cette nouvelle pièce, Aron ferme les yeux un court instant, inspirant profondément s'attendant à une suite d’événements tout aussi troublants, ou mouvementés. Mais lorsqu'il s'avance, enfin, ce ne sont que des murs transparents qui se dressent autour de lui, dévoilant la présence de ses coéquipiers dans la pièce principale, celle qu'il a quitté avant le début de son épreuve. En les voyants ainsi, il songe un instant à la scène qui s'était déroulée devant ses yeux dans la salle des globes. Il ne comprend pas tellement, eux qui sont maintenant si calme alors qu'il les avait observés dans une discussion plus vive que toutes celles des jours précédents réunis. Il y a quelque chose qui ne va pas, qu'il n'arrive pas à saisir, comme si l'équation se trouvait soudainement faussée. Un court instant il reste les regarder, abasourdi, agitant l'une de ses mains pour signaler sa présence. Mais il n'y a pas de mouvement ni-même d'attention porter à son égard. Une constatation qu'il vérifie à nouveau, mais une fois encore sa tentative se solde par un échec. Personne ne semble remarquer sa présence, il comprend qu'il est le seul à pouvoir les observer à travers ces murs glacés. Silencieux, il s'arrête de marcher regardant instinctivement autour de lui, espérant ne pas voir surgir une créature devant ses yeux. Un dragon ou un serpent géant, un monstre à le faire pâlir si l'un d'eux venait à se dresser face à lui, même s'il garde toujours soin de laisser sa baguette près de lui. Il scrute la pièce du regard, fronce les sourcils et retrouve effectivement face à un animal.

Un poussin. Petit être fragile, loin d'être la plus horrible des petites créatures à laquelle il pouvait être confronté. Aron, il sourit en prenant conscience de cette présence presque apaisante compte tenu de certaines peu avenantes qu'il est dans l'obligation de côtoyer pour ce tournoi. Il le regarde léviter, doucement, dans les airs grâce à un sortilège. « Et bien, si je m'attendais à ça… Qu'est-ce que tu fais là toi ? » Il ne l'avait pas vu, sûrement trop occupé à chercher des dangers n'existant seulement que dans un coin de son esprit. Pourtant il reste prudent en s'avançant vers le poussin reposant sur un coussin rouge. Délicatement il s'avance pour le prendre entre ses mains, et dans ce geste son regard se pose une fiole remplie d'un liquide. Une étiquette indique la présence de veritaserum. Et là il ne sait plus tellement quoi penser, Aron. Un poussin, une fiole, des murs transparents… Il n'arrive pas à faire le rapprochement entre chaque élément. Alors il se retourne, de tous les côtés, comme si la réponse allait lui tomber dans la main, d'un simple regard. « Hagrid ? » Le demi-géant est là aussi, sur sa droite, derrière un autre mur. De sa place il ne voit qu'une silhouette accablée par le chagrin, il n'avait jamais vu le garde-chasse verser des larmes ainsi. Mais il ne peut rien faire, supposant que lui non plus ne puisse pas l'entendre, ni-même le voir. Il s'étonne aussi de sa présence, avant de comprendre le réel sens de cette épreuve. Son regard passe du poussin vers la silhouette d'Hagrid et tout devient limpide. Une logique apparaît dans l'esprit d'Aron, repensant à cette poule que dégustaient ses coéquipiers lorsqu'il avait regardé dans le dernier globe. Il observe, démunit, Hagrid sur sa chaise, sanglotant, et il ne peut qu'imaginer la douleur de cet amour des animaux d'avoir ainsi perdu sa poule. Et cette peine arrive à le toucher quand ses yeux se posent sur lui.

Pourtant, il ressent encore une pointe d'incertitude face à cette scène dont il a l'étrange impression d'en être que le spectateur. Et puis il rit Aron, d'un rire nerveux presque incontrôlable quand il en comprend le sens réel, quand les pièces s'assemblent à la manière d'un puzzle. Loyauté... A quoi pouvait-il s'attendre d'autre pour un poufsouffle ? Mais lui, serait-il prêt à rester loyal pour son équipe ? Il reprend son calme, soupire en passant une main sur son visage avant de fixer le poussin. Pris par les sentiments, Aron ne sait pas vers quelle solution se tourner, si tant est qu'il en est une. Les minutes défilent, le choix lui parait tellement simple. Le choix lui semble déjà tout trouver en effaçant la peine du garde-chasse. Pourtant il choisit de faire le contraire, parce qu'il ne veut pas cesser de croire en ses convictions. Personne ne l'aide, lui non plus. Il sait que cette souffrance que ressent Hagrid ne pourra que le forger et l’aguerrir dans un avenir plus ou moins proche. Alors, pour cette raison il emprunte cette voie, non pas qu'il lui soit difficile pour lui de parler sous l'effet d'un veritaserum. Mais il fait aussi ce choix pour ne pas qu'une salle vérité puisse se répercuter sur son équipe, bien qu'il n'y soit pas attaché, il sait qu'il devra rester avec eux jusqu'à la fin. C'est le jeu. Une dernière fois il a un geste pour le poussin, frôlant ses plumes, il sait qu'il ne lui arrivera rien de mal. « Tu deviendras une poule gentille et robuste. Ton futur propriétaire sera fier de toi. ». Il dit en reposant délicatement sur le coussin. Et puis, sans regarder en arrière, il s'avance vers la porte pour rejoindre ses coéquipiers. Dans d'autres circonstances il aurait fait un autre choix que celui-ci. « Pardon. » il murmure pour lui, pour effacer ce sentiment de culpabilité qui persiste, avant de passer la porte. Tandis qu’apparaît, dans ses bras, un sac au ruban noir. A son retour il guette une quelconque réaction du serpent, de l'aigle ou du lion, sans un mot. Et finalement il reprend sa place. Non franchement, il n'a pas envie d'en savoir davantage. « J'ai toujours aimé les poules. » qu'il se permet quand même de dire, le regard dans le vide.

Epreuve serpentard

Alors que ton camarade revient de son épreuve, tu es conscient que tu es le dernier à passer. Une légère tension parcourt tes membres, vous entendez d'ailleurs au dehors les exclamations et l'agitation des autres équipes ayant déjà terminé leur épreuve et vous ayant donc, dépassé. Lorsque tu sors de la salle où tu viens de quitter tes compagnons un sort t’indique le chemin jusqu’à une autre porte derrière laquelle se trouve ton épreuve. Une fois entré, elle se referme automatiquement derrière toi et se verrouille afin qu’aucune distraction ou aide ne puisse changer son issue. Tu es livré à toi-même et quels que soient tes prochains mouvements ou décisions, tu seras seul à en connaître la vérité.

Tu arrives dans une pièce circulaire, sombre. Pourtant, un filet de lumière s'échappe de l'une des cinq portes devant toi. Un étudiant ressemblant étrangement à Theodore Nott, ton préfet, semble sortir de cette épreuve résolue. La porte se ferme derrière lui avec une rapidité telle que tu n'es pas encore entré complètement dans la pièce toi-même et tu te doutes, un instant, que tu n'aurais peut-être pas dû voir cette sortie. Tu t'avances au centre de la salle et tu observes devant toi une grande et longue table en bois où figurent treize pots remplis de mandragores. Il y a un peu de terre autour des pots et un protège-oreilles, puis des gants en cuir de dragon juste à côté. Le tout est seulement éclairé par l'unique torche suspendue au mur le plus proche, tu remarques pourtant à travers cette pénombre bien présente que des mots sont affichés au dessus des cinq portes dans l'ordre suivant : VOLTIFLOR (1), BELLADONE (2), SNARGALOUF (3), DICTAME (4) puis BRANCHIFLORE (5). Ces mots aux lettres dorées et scintillantes semblent désigner une réponse que tu dois trouver et tu as conscience que ton épreuve a à voir avec ces mandragores. Au dessus des mots, cinq sacs noués à l’aide d’une corde magique ressemblant à ceux attrapés lors de la toute première phase du tournoi par un membre de ton équipe.

Il est désormais de ton ressort de choisir d'effectuer l'épreuve et oublier ce que tu n'aurais pas du voir en entrant dans la pièce ou de profiter de cette chance qui t'a été offerte et de ressortir en un temps record par la seconde porte.

Ϟ Il n’y a pas de piège ; dans les deux cas ton personnage peut réussir son épreuve, attraper le sac qui se présente à lui si il passe la porte plus tôt ou après avoir fait l'exercice et s’en aller rejoindre son équipe afin de clôturer la première étape de l'épreuve 2.

A toi de jouer.

Ϟ N'oublie pas que ce n'est pas ta logique à toi qu'on attend de voir durant ce tournoi mais bel et bien la façon dont ton personnage va réagir, en fonction de son tempérament, sa réflexion mais aussi de sa maison.

Ϟ Pour ton prochain post, tu as le choix entre prendre la décision de faire sortir aussitôt ton personnage sans le faire toucher aux mandragores ni réfléchir à l'épreuve. Dans ce cas là, le sac se situant au dessus du mot belladone lévitera jusqu'aux mains de ton personnage qui pourra déverrouiller la porte et passer à travers afin de rejoindre ses coéquipiers.

Ϟ Tu peux également décider que ton personnage veut faire l'épreuve. Dans ce cas là, il devra se munir des protections à sa disposition et soulever les mandragores à la main, une par une. Au fond des pots, il trouvera des morceaux de parchemins qu'il devra rassembler une fois qu'il aura soulevé toutes les mandragores (au nombre de 13) et trouvera sous ses yeux une question à laquelle il devra trouver sa solution. La réponse possible se trouve parmi ces mots figurant au dessus des portes, il devra passer par celle correspondant à la bonne réponse.
Pour se faire, tu vas devoir lancer le dé « destin » et accumuler au fil de tes lancés le nombre 13. Considère que si à ton premier lancé tu récoltes un 8, c'est qu'au bout de ton premier post ton personnage a déjà récupéré 8 morceaux de parchemins mais qu'il lui en manquera encore 5 et qu'il te faudra relancer à nouveau le dé jusqu'à un total de 13.
Une fois le total atteint, le Choixpeau interviendra afin de te délivrer la question à répondre. Lorsque tu auras recherché la réponse à cette question, libre à toi de faire avancer ton personnage par la porte correspondante à la solution.

Ϟ N’oublie pas que le but de l’épreuve est non seulement de finir mais de le faire le plus rapidement possible car en cas d’ex-æquo, c’est ainsi que les équipes seront départagées pour savoir laquelle reste dans le tournoi.

Ϟ Pas de limite de mots pour cette épreuve puisque celle-ci ne durera, à priori, pas plus d'environ deux ou trois réponses. Bon courage et have fun !

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Le gryffondor revient en un morceau mais un air désabusé pour lequel Emrys ne s’inquiète pas plus que ça plaqué sur le visage. Pendant quelques instants durant lesquels le petit garçon fronce les sourcils de désapprobation ils se regardent en silence. Pas de félicitations, encore moins de gestes réconfortants après ce qu’il a du vivre – et le temps conséquent qu’il a passé là-bas. Il n’a qu’à demander à l’idiot de poufsouffle dont les membres de la maison passent leur temps à parler aux fleurs et enlacer leurs congénères sans raison apparente. Le feu follet voltige une fois encore, aborde une couleur plus douce et vénérable : c’est au tour du préfet en chef de se lancer dans son épreuve. Malgré lui le petit prince se tend, droit comme un « I » et le regard quelque peu livide. Il ne dit rien, n’en fait pas plus mais espère tout au fond de lui que Stelian reviendra plus rapidement que le sixième année. Auprès de lui depuis le début du tournoi Emrys s’autorise des répliques cinglantes, des regards on ne peut plus mauvais et des attitudes princières, hautaines envers ses camarades qu’il n’aurait probablement jamais osé avoir dans d’autres circonstances. @Dean Thomas a l’air de faire au moins trois mètres de haut, @Aron Fawley a la carrure d’une armoire à glace ; autrement dit face à eux il n’est qu’un grain de riz qu’on écrase de deux indexes. Mécontent – et craintif – d’être seul face à ces deux géants sans la présence glaciale du Selwyn, le serpentard se tapit dans un coin de la pièce et garde le silence pour se faire oublier. Il faut croire que son courage s’est évanoui en même temps que le serdaigle en passant cette même porte source de tous leurs ennuis. Il croise les bras, observe le mûr et tourne à demi le dos aux deux autres garçons également présents en comptant les minutes qui s’écoulent jusqu’au retour de @Stelian Selwyn . Délivrance quelques minutes plus tard lorsque ce dernier revient muni de ce même air blasé, loin d’être décoiffé du moindre effort. Le jour et la nuit entre son apparence et celle du gryffondor au retour de sa propre épreuve. Emrys hausse un sourcil et songe silencieusement que chaque épreuve doit être différente pour chacun. La trouille aux tripes en voyant le feu-follet changer à nouveau de couleur mais rassuré de voir du jaune s’afficher plutôt que ce vert qu’il revêt et aime tant. Quoi qui l’attend derrière cette porte ce n’est rien qui vaille et il ne peut s’empêcher de craindre le moment où ce sera son tour de se lancer. Il traversera la pièce le torse bombé et le menton relevé comme l’être supérieur et dénué de peur qu’il prétend être… tout en espérant au fond de lui qu’on lui tienne la main et lui dise que tout irait bien. Un enfant ; vicieux, malhonnête et haineux. Mais un enfant quand même. Si bien qu’il demeura dans son coin à tenter de faire taire cette anxiété grandissante sans même chercher à balancer de vacheries au gryffondor qui semblait à peine recouvrer ses esprits. Fawley disparut longtemps, pas autant que le gryffondor mais bien plus que le serdaigle et l’attente parut interminable jusqu’à son retour. Un frémissement à peine perceptible secoua le petit prince en le voyant franchir le pas de la porte, conscient que c’était maintenant à lui d’entrer en jeu mais également en remarquant l’air absent d’Aron. Dean avait le même à son retour de la sienne, comme si quelque chose de lui était resté bloqué là-bas, derrière cette porte, et qu’il ne le retrouverait pas avant un bon moment. Soucieux de ne laisser aucun indice transparaître quant aux sentiments qui le tiraillent Emrys quitte le mûr contre lequel il reposait, jette un regard emprunt de jugement au poufsouffle et lance sur le même ton : « Passionnant. » La présence de Stelian lui rend ces aigles dont il a été privé quelques minutes auparavant, gonfle son égo autant que son arrogance. Il faudrait être aveugle pour ignorer qu’une tension sépare les deux hommes – normal d’après Emrys qui ne peut décemment pas les faire jouer dans la même catégorie malgré leur sang-pur – et bête de ne pas en tirer profit. Le petit prince n’adresse qu’un bref signe de tête au préfet en chef puis dégaine sa baguette avant de pousser la porte derrière laquelle se trouve son épreuve. Il se tient fier et droit jusqu’à ce que cette dernière ne se referme sur lui et adopte une attitude plus méfiante – pour ne pas dire trouillarde. Il marche lentement, le coeur battant à tout rompre et se recroqueville légèrement en scrutant les alentours. Sa main quelque peu tremblante est tendue devant lui, prête à envoyer à St Mangouste la première chose qui se présenterait à lui. Des cris de joie résonnent dans le couloir et c’est avec colère que sa main se referme sur sa baguette ; ils auraient donc été dépassés par d’autres équipes ? Impossible, intolérable. La mâchoire serrée et l’horreur de perdre au fond de l’âme le garçon oublie sa peur pour se précipiter vers la porte qui lui fait face. Il entre, aperçoit des plantes ainsi que plusieurs portes dont l’une qui semble à l’instant être franchie par la figure qu’il admire le plus au sein de l’école. Oubliant tout le reste il s’avance de quelques pas et lance d’une voix tremblante de soulagement : « The….. » Trop tard, le serpent a déjà disparu. Le petit garçon observe la pièce, les plantes et les portes ; l’épreuve qui lui fait face de façon générale. Il fait partie du club de botanique, ses connaissances en terme de plantes sont donc assez larges – suffisamment en tout cas pour pouvoir réussir son épreuve. Mais il y a l’image de Theodore qui franchit cette porte, ces cris de joie entendus plus tôt dans le couloir et signifient probablement que son équipe n’est pas en très bonne position. De loin le meilleur de sa promotion, le préfet des serpents ne se tromperait jamais. S’il a emprunté la deuxième porte c’est donc qu’il s’agit de la bonne. Sans perdre davantage de temps Emrys décide de choisir la solution de facilité et s’approche de la porte nommée « belladone » dans l’espoir de rattraper le retard de son équipe. Il attrape le sac qui lévite jusqu’à lui, tente de l’ouvrir en vain puis pousse la porte qui le mène directement jusqu’à ses coéquipiers. En tout et pour tout il n’a du s’absenter que cinq petites minutes – juste assez pour trembler de tout son corps. Sans dire quoi que ce soit de la façon dont il y est parvenu, il hausse simplement les épaules en lâchant un : « Facile. » on ne peut plus hypocrite et retrouve le silence en attendant la suite.

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