Peut-être es-tu sur la rive ou encore dans l'eau glaciale de janvier, peut-être es-tu encore sur la plateforme à expirer tout ton souffle d'effort après ce long duel. Tu observes le dernier membre de l'équipe adverse basculer dans le vide jusqu'à l'eau et tu comprends alors que ton équipe a gagné. De multiples sentiments t'étreignent et tu échanges un long regard avec le reste de ton équipe avant de réagir enfin à votre victoire. Tu as encore un peu de mal à y croire mais vous l'aviez fait ! Vous veniez de vous qualifier en finale ! Le feu-follet vient voltiger autour de vous avec festivité et n'oublie pas de venir côtoyer les membres de votre équipe qui ont pu tomber à l'eau. Vous comprenez ce que vous avez à faire et votre main s'approche de lui pour vous amener par sa magie de portoloin jusqu'à cette grande tente plantée sur le terrain de quidditch depuis le début du tournoi. Cette fois-ci, vous pouvez tous y entrer en même temps et les autres équipes gagnantes et qualifiées pour la finale vous rejoignent peu à peu. La chaleur de multiples bois allumés au sein de la tente vient vous environner et vous apaiser vos êtres malmenés par le froid, les épreuves et les sortilèges reçus. Dans un coin, Mme Pomfresh vous attend avec un assistant afin de vous appliquer les meilleurs soins possibles. Sur une grande table au milieu, un festin de multiples mets chauds et succulents vous attendent, des friandises (comme les dragées surprises de bertie crochue ou de multiples fizwizbiz) sont prêts à vous ravir le palais. Une radio sorcière exprime la mélodie des derniers tubes musicaux à la mode. Au fond de la tente agrandie magiquement, de multiples lits de camp vous attendent où de chaudes et épaisses couvertures sont posées la fin des matelas. Il est désormais temps pour vous de souffler, vous reposer et renouer avec vos amis ou bien de parler avec votre quatuor !
Avant dernier jour avant la fin du tournoi, toutes les équipes qualifiées pour la finale se réveillent dans cette grande tente qui leur est désormais dédiée. La matinée se déroule sans accrocs particuliers, une tension palpable reste présente dans le camp dont personne n'ose s'éloigner de peur de rater l'épreuve finale. Quatorze heures et un coup de tonnerre se fait entendre dans le ciel pourtant dégagé, une fumée violette s'élève depuis l'une des fenêtres du quatrième étage. Le rendez-vous est donné, les quatuors s'avancent jusqu'au château, montent les escaliers et avancent jusqu'au couloir recherché. En arrivant, une porte qui n'est habituellement pas présente attire le regard des premiers arrivés. Son cadrant réfléchit à la lumière du soleil d'un après-midi radieux, une légère fumée égale à celle violette aperçue un peu plus tôt s'échappe du dessous. La silhouette de Minerva Mcgonagall s'avance à l'autre bout du couloir, vient les gratifier de son regard à la fois sévère, mais humain, compréhensif. Elle tient dans ses mains un parchemin déplié une fois présente près de la porte. « Lorsque j’appellerais vos noms, vous avancerez dans cette pièce. Une équipe à la fois, il vous est interdit d'entrer en même temps qu'une autre. » Lorsque le nom de ton équipe s'annonce, tu t'avances. Vous voici désormais dans une grande pièce, tel un salon d'une salle commune spacieuse et accueillante. Les couleurs sont d'un subtile mélange de toutes les maisons du château, l'unique grande fenêtre de la pièce décrivant le paysage paisible des environs du parc du château.
première pièce
Diane Passé le pas de la porte, ton regard balaie les alentours avant de s’arrêter sur l’unique table en bois sculpté que contient cette pièce. En son centre se trouve une lettre dont tu peux sentir l’attraction te tirer jusqu’à elle. Tes pas te mènent alors jusqu’à ce parchemin qui porte ton nom et le sceau du Ministère de la Magie que tu brises sans plus attendre. Tu as enfin reçu la confirmation que tu attendais. Après trois ans de formation, te voilà officiellement devenue Auror. Tes efforts et ta détermination ont enfin payé. Victoire Lorsque tu passes la première porte, tout n’est que silence et pénombre. Immobile, tu patientes le temps que ton regard s’y habitue, que tu puisses découvrir ce qui s’y cache. Jusqu’à ce qu’un rail de lumière éclaire le centre de la pièce. Tu t’avances alors jusque là et soudainement, quelques applaudissements timides se font entendre jusqu’à l’ovation d’un public qui se dévoile peu à peu sous tes yeux alors que la clarté se fait. Tes yeux balaient foule et découvre au premier rang ta sœur jumelle qui semble fière de toi. Un piano apparaît enfin, quelque peu en retrait. Ta main se pose sur cette partition qui semble t’ être familière et y reconnaît une symphonie chère à ton cœur. Que tu aurais composé. Ton nom retentit alors qu’une personne s’approche afin de te remettre le premier prix du concours. Ce rêve qui éclot enfin. Un triomphe que tu n’aurais pu espérer.
hors-rp
La troisième et dernière épreuve du tournoi commence et votre personnage arrive dans cette pièce après trois jours à panser ses plaies, retrouver le plus de forces possible. Soigné par Mme Pomfresh de ses plus grandes blessures, il a pu retrouver une certaine forme avant d'entrer dans cette finale.
Face à lui, des illusions mais cela, il ne le sait pas. Un charme de confusion est apposé sur le cadran de la porte et touche chacun lorsqu'ils la traverse. Tous, sauf une irréductible sorcière du nom de @Diane Wind qui, est l'heureuse chanceuse d'être moins touchée par le sortilège de confusion. Son but est de faire ouvrir les yeux à ses camarades et de savoir détourner son regard de sa propre illusion. Malheureusement, un autre charme d'attraction cette fois, est attitré à cette nouvelle porte qui se met à scintiller face à eux au bout de quelques minutes. La tentation de la braver est grande, peut-être trop grande pour des âmes déjà adoucies grâce aux illusions positives proposées.
- Il n'y a pas de minimum de mots imposés. - Pour les équipes qui ne possèdent plus que deux ou trois membres, les élèves absents sont considérés comme éliminés du tournoi pour cause d'abandon ou de maladie. - Vos personnages passent la seconde porte quoi qu'il arrive.
Nouvelle épreuve annoncé, coup de tonnerre dans le ciel et voilà que tout le monde se dirige vers le lieu du rendez vous. Légère fumée violette qui ne prédit rien de bon s’échappe de la porte par laquelle chaque élève est appelé à rentrée au fur et à mesure par le professeur McGonagall. Le stresse qui monte légèrement en attendant leur tour, Victoire s’en son palpitant s’accélérer dans sa poitrine. L’empressement de voir ce qui leur était réservée rien présent, prête à tout pour réussir cette ultime épreuve. Celle qui leur permettrait de gagner le tournois, de finir cette semaine en beauté. Diane, Victoire. C’est leur nom qui est appelé et Victoire qui jète un regard à la préfète en chef, un hochement de la tête et elles s’avancent ensemble dans la salle, passant la fumée. Celle-ci chatouille les narines de la rouquine qui grimace légèrement alors qu’elle ferme les yeux pour passer cette aura de fumée. Elle avance dans le noir pendant quelque secondes avant d’ouvrir sur les pupilles prête à découvrir son environnement. Stupéfaite, elle papillonne lorsqu’elle n’aperçoit encore que du noir autour d’elle. « Diane ? » Elle essaye de d’appeler sa partenaire instinctivement mais tout devient flou dans son esprit. Embrouillé elle vient même en avoir mal pendant quelques secondes, portant sa main à sa tempe pour la masser afin d’essayer de se soulager. Cela semble faire effet, tout recommence à devenir plus claire et d’un seul coup c’est un rail de lumière qui l’interpelle au loin, au centre de la pièce et automatiquement ses pas l’accompagne. De légers applaudissements que son oreille arrive à capter, un sourire commençant à apparaitre sur son doux visage de poupée. Et plus les applaudissements grandit et plus son sourire fait de même. Une ovation complètement c’est une salle entière qu’elle découvre dont chaque regard étaient en sa direction. Tout ceci semblait être pour elle. Elle ballait la foule du regard, hoche de la tête pour le remercier et son regard tombe sur celui de sa soeur. Leurs iris s’accrochant subitement, Victoire sans son coeur rater un battement. Elle était là. Présente pour elle, et tout aussi fière la préfète à les larmes qui montent aux yeux. Rare était les moments qu’elle avait passé avec sa soeur, essayant de se rapprocher d’elle comme quand elle était petite. Cela avait été difficile mais elles avaient apparemment réussis et le regard fière d’Alyénor valait bien plus que tous les clappements de mains dans la salle. Elle continue de s’approcher du centre de la pièce où un piano trône fièrement et ses doigts qui viennent automatiquement frôler quelques touches du piano. Ces dominos qu’elle connaissait par coeur et une partition qui règne sur le chevalet. Son nom qui est inscrit comme compositeur et c’est une fierté sans nom qui s’introduit ou plus profond d’elle alors que Victoire lâchait une petite larme. Elle l’avait fait. Elle avait composé ses propres musiques et voilà qu’elle venait le partager avec le plus grands nombres. Un sentiment de satisfaction bien présent, la jeune femme ne peut quitter cette symphonie des yeux alors qu’elle chantonne les quelques notes dans son esprit, oubliant presque le public devant elle. Des notes bien familière et c’est son nom qui retentit qui la fait revenir à la réalité. Une personne qui s’approche avec un trophée dans les mains et elle rigole. Nerveusement et satisfaite. Elle l’avait fait, elle avait gagné le concours avec sa propre composition. Un rêve inédit qui devient enfin réelle. Un rêve qui s’est réalisé, le plus grand et le plus chère à ses yeux. « Merci beaucoup. » Elle prend le trophée entre ses mains le levant en l’air alors que le public se met à applaudir bien plus fort qu’avant, des cris qui se propagent dans es airs, ceux de sa soeur et Victoire à ses larmes de joies bien caractéristiques qui roulent sur ses jours, un sourire jusqu’aux oreilles. Une voix qui parvient brusquement à ses oreilles, son nom qui retentit comme un murmure dans ses oreilles, une voix familière qu’elle reconnait, des paroles qui lui disait que tout ceci n’était pas réelle. Elle tourne la tête pour essayer d’apercevoir une figure blonde mais rien. Simplement la personne qui lui a remis le trophée entre les mains qui continue d’applaudir. Des flashs d’appareil qui éclair la salle dans tous les sens et Victoire retourne à son illusion. Elle ne pouvait pas croire que tout ceci n’était pas réelle. Elle ne le pouvait pas. C’était le rêve de sa vie. Une partie d’elle même qui se concrétisait enfin. Elle sourit pour les photos, droite sur la scène, le public devant elle. Hors de question de partir de ce qui semblait pourtant bien rêve pour la rouquine qui voulait y croire plus que tout.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Un coup léger presque insonore est porté à quelques pas de chacun d'entre vous. Il n'est pas suffisant pour vous alerter mais vous fait cependant tiquer jusqu'à ce qu'une lueur grandissante ne se profile doucement dans l'angle de votre regard que vous ne pouvez ignorer. Il y a face à vous cette réalité qui vous plait mais la tentation de détourner les yeux pour découvrir la provenance de cette lumière soudaine est insoutenable. Lorsque vous y cédez vous apercevez cette autre porte qui vous attend, vous appelle. Elle brille et aucun de vous n'ignore qu'elle cache très probablement quelque chose d'aussi incroyable que ce que vous avez pu voir ici, si ce n'est plus. Prendrez-vous le risque de quitter ce à quoi vous tenez tant sans certitude de ce que vous découvrirez ensuite derrière cette nouvelle porte ?
Cette porte scintillante, appelante, est franchie par l'intégralité de votre équipe malgré une confusion moins présente chez l'un d'entre vous. L'attractivité du charme fait instantanément son effet et vous voici devant des illusions encore plus attirantes que les précédentes. Elles vous appellent et vous incitent bien assez tôt à vous séparer pour aller à la rencontre de ce qui vous est cher.
seconde pièce
diane Tu te trouves à présent face à toi-même. Silencieusement, tu observes tes traits. L’arrondi de ton visage, l’arête parfaite de ton nez, le rosé de tes lippes ourlées, ton teint diaphane dont l’éclat pourrait faire pâlir la plus parfaite des fleurs. Tout semble parfait. Pourtant, tu en viens à passer une main dans ta chevelure de blé. Pour la lisser, l’arranger... Un geste qui ne s’est cependant pas reflété dans cette psyché au bois finement gravé. Tu demeures immobile, le souffle coupé. Tu te sens écrasée par ce qui t’apparaît comme impossible. Lentement pourtant, tu remarques ton reflet changé. Le coin de tes lèvres s’incurver vers le haut, un léger sourire y flotte. Avant de s’entrouvrir et d’y laisser échapper cette voix qui te transperce. Ses bras s’avancent vers toi, ce corps à moitié sorti t’enlace et te murmure à quel point tu lui as manqué. victoire Lorsque tu entres dans cette seconde pièce, ton regard se perd dans ce décor familier. Dans l’âtre de la cheminée, les flammes dansent joyeusement. Feu crépitant et diffusant une agréable chaleur qui t’invite à te rapprocher. Ta main caresse le fauteuil dans lequel tu aimes prendre place lorsque tu rentres chez toi. T’y installes et découvres l’un de tes livres favoris coincé entre le coussin et le bras du canapé. À l’ouverture de celui-ci, deux parchemins s’en échappent pour atterrir sur tes genoux. Ton palpitant se met à battre plus rapidement lorsque tu prends connaissance de la première lettre. Elle provient d’Ethel qui te livre un message empli de tendresse, de toute l’affection qu’elle te porte. La seconde, d’Avalon qui te révèle que ta présence lui manque. Qu’elle déplore la situation que vous partagez encore à ce jour, regrette votre éloignement. Qu’elle te pardonne ta maladresse, car votre amitié est bien plus importante à ses yeux que ce sentiment rancunier qui vous sépare.
hors-rp
Comme vous avez pu vous en rendre compte, l'illusion face à eux est plus précise, plus forte et attirante que la première. Vos personnages qui n'ont pas décidé d'écouter leur coéquipier moins confus qu'eux ont passé un nouveau level hypnotisant tandis que celui-ci, commence peu à peu à entrer dans la même confusion que le reste de l'équipe. Ils ne pensent plus au tournoi et commencent peu à peu à oublier la réalité.
L'opportunité de rebrousser chemin et de lutter contre ces illusions et cette nouvelle porte s'affichant devant eux au charme encore plus attractif est tout de même encore possible. A vous de voir si la tentation de franchir cette nouvelle porte qui vous appelle sera trop forte ou si vous écouterez votre coéquipier qui commence peu à peu à se confondre dans sa vérité.
- Il n'y a pas de minimum de mots imposés. - Vos personnages peuvent passer la prochaine porte comme ne pas le faire. Seuls ceux ayant passé la porte continueront l'épreuve, les autres reviendront soit à la première pièce en perdant de la confusion et retrouvant peu à peu leurs esprits, ou resteront dans cette seconde pièce pour profiter encore un peu plus de cette illusion présente. - Même si votre personnage ne passe pas la prochaine porte, vous devez nous faire part de sa décision inrp.
Une main qui agrippe son bras et c’est la sensation d’être enlever à un doux rêves, d’être arraché à une réalité qui lui tendait tant à coeur. Celle d’être reconnue pour ce qu’elle ai, pour la musique qu’elle produit, pour ses talents de musicienne et plus que tout celui d’une soeur qui se trouve au premier rang, qui continue de l’encourager après tant d’année, qui continue de la soutenir, d’être présent, derrière elle pour la rattraper au cas où elle chuterait. Le public disparait derrière les rideaux, elle voit flou quelque seconde avant. « Diane ? » était-ce elle qui la tirait de cette manière ? Cette personne qui l’avait appelée quelque temps auparavant ? Mais elle n’a pas temps de demander confirmation qu’un nouveau décor apparaît sous ses yeux. Un décor familier et brusquement c’est son coeur qui s’apaise, qui se calme dans sa poitrine. Une sensation de bien être qui parcourt tout son corps et toute son âme et un fin sourire qui transperce la barrière de ses lèvres. Elle était chez elle. Le salon qui se dessine sous ses yeux, la cheminée qui fait crépité en son sein un doux feu qui venaient réchauffer le corps de la rouquine. Elle avance, délicatement mais sûrement vers ce fauteuil. Son fauteuil. Celui où elle s’asseyait à chaque pour lire un bouquin, ou tout simplement, l’hiver, siroter un bon chocolat chaud au coin du feu. C’était son petit coin de paradis. Celui qui lui procurait le plus grand bien mentalement. Dès qu’elle était sensible, énervée, distraite , elle venait ici la préfète. Pour se calmer, se re concentrer et refaire le point. Victoire fini par s’y installé délicatement, s’enfonçant dans le fauteuil douillet. Grande respiration et c’est un truc qui la bloque au niveau du bras. Un livre. Son livre préféré, et elle se demande qu’est-ce qu’il fait ici, et pourquoi n’était-il pas rangé dans sa grande bibliothèque. Mais elle souris de plus belle la jeune femme, ouvrant l’ouvrage pour y feuilleté les pages ses deux parchemins qui tombent brusquement de celui-ci. Les yeux qui se plissent, elle ne se souvenait plus d’avoir laisser tout cela trainer ici. Elle qui malgré un esprit dérangé et un peu bordélique était bien tout le contraire avec ses affaires. Toujours bien rangé et encore plus lorsqu’il pouvait s’agir de ses livres. Ses bébés par tous les temps. Victoire ouvre la première lettre et d’un seul coup ces le coeurs qui s’emballe tandis qu’elle reconnait le style d’écriture dès les premières lettres. Non. Ce n’était pas possible. Ses yeux qui lisent cette lettre et d’un seul coup ils s’embrument. Brusquement. Tu ne te souvenais plus tout cela. Une surprise d’autant plus grande. Un message de tendresse de la par de la brune qui faisait encore battre le coeur de la belle musicienne. Victoire essaye de comprendre pourquoi cette lettre pourquoi maintenant avec tout ce qui s’était passé entre elles. Ses derniers évènements avaient plutôt été rudes entre elles deux, la sixième année préférant s’éloigner à contre coeur pour laisser Ethel respirer. Pour se laisser respirer, elle même, se donner du temps, pour arrêter de souffrir. La seconde lettre provient de quelqu’un d’autre, une écriture qu’elle reconnait une nouvelle fois pour l’avoir mainte et mainte fois lu également. Avalon. Des mots qui ne semblent pas lui ressembler et pourtant Victoire veut y croire. Plus que tout. A ces belles paroles comme quoi, elle lui manquait terriblement et que sa présence à ses côtés étaient recommandés. La préfète aimerait tellement savoir que ses mots étaient réelles mais quelque chose clochaient. Elle souhaitait y croire mais elle connaissait bien trop la brune. Elle et sa fierté. Victoire papillonne légèrement des yeux. Essaye de se détacher de cette lettre pour comprendre ce qui se passait, retrouver ses émotions, retrouver ses esprits. Des choses qui lui reviennent, des histoires qui se répètent dans sa tête et l’impression d’avoir un surplus. De tous. Des émotions beaucoup trop fortes qui viennent presque l’étouffer. « Diane ? » N’était pas avec elle juste avant ? « Diane ! » Elle essaye de la chercher de se raccrocher à quelque chose. « Diane … » à quelqu’un plus particulièrement. Le visage de la blonde qui lui revient en mémoire sans réussir à la trouver. « Diane t’es là ? » quelque chose clochait. quelque chose se tramait mais Victoire n’arrivait pas à savoir quoi.
Vous voici dans cette ultime pièce et face à cette illusion qui de toutes, est la plus attractive. Vous oubliez la réalité, vous oubliez vos compagnons, il n'y a plus que vous et cette image.
troisième pièce
victoire Alors que tu passes cette nouvelle porte, tu te retrouves dans ce qui semble être le hall d’entrée d’une maison. Lumineux, à la décoration simple, mais charmante. Près de l’escalier qui mène à l’étage se trouvent quelques malles en attente d’être rangées. Ton regard est attiré sur les étiquettes que l’on n’a pas pris le temps d’enlever. Découvre les pays que tu aurais aimé visiter, ceux dont tu n’aurais pas eu l’idée, le nom de la personne qui t’a accompagnée et ton cœur se gonfle de tendresse lorsque ta main attrape une petite boite en carton contenant des photos qui illustrent ce voyage. Soudain, deux bras t’enserrent la taille et tu sens un souffle qui vient te chatouiller la nuque. À présent, tu as sentiment d’être comblée, heureuse. Tu te sens enfin à ta place entre les bras de cette personne qui te murmure tout l’amour qu’il te porte. diane Dans cette dernière pièce, tu remarques que tu te trouves à présent dans le salon de tes parents.Ils te font face, attendant patiemment que tu prennes la parole alors que leurs iris font un va-et-vient sur ces personnes qui t’accompagnent. Malgré ton trouble, tu remarques cependant que l’atmosphère est légère. Pourtant, ce sont eux qui font finalement le premier pas. T’enveloppant dans leurs bras, te murmurant qu’ils acceptaient ton choix. Ils paraissent heureux. Peu leur importait finalement que le sang de ce compagnon qui t’accompagne ne soit pas aussi pur que le leur. Seul ton bonheur leur importait. Tu peux désormais lire la fierté dans leur regard lorsqu’il se pose sur toi, un regard tout aussi empli de tendresse et d’adoration lorsqu’il se pose sur ta progéniture aux cheveux foncés.
hors-rp
Ultime illusion, la plus addictive, celle qui attrape le cœur, l'âme et refuse de relâcher l'élève hypnotisé. Mais une fumée violette vient caresser le visage de @Victoire A. Beale tandis que @Diane Wind qui était le plus septique depuis le départ se perd dans le mensonge de l'illusion. Victoire est la seule désormais à comprendre peu à peu la supercherie, la seule à lutter au fond pour revenir à la réalité tout en restant tant attachée à cette illusion face à elle. L'esprit confus, l'espoir que leur équipe ressorte de cette épreuve repose sur ses épaules.
- Il est possible que votre personnage soit bien trop attaché à l'illusion face à lui et que son amitié, son lien tissé avec ses coéquipiers ne soit pas assez fort pour les écouter. Il est également possible que ses coéquipiers ne sachent pas quelle méthode employer pour le faire décrocher de l'illusion. Il est tout simplement possible que votre personnage refuse donc de partir.
- Pour ceux/celui qui commence(nt) à être délaissé(s) par le sortilège de confusion et de charme, c'est à vous de décider quels détails ou par quelle façon ils s'en rendent compte et comment ils s'en détachent (si ils décident de le faire). - Si un seul personnage reste dans l'une des pièces, que ce soit la première, la seconde ou la dernière, le quatuor dans son intégralité ne peut quitter les lieux. Il est possible qu'un personnage réticent soit contraint de force par un autre membre de son équipe de sortir. Dans ce cas là, prenez en compte sa réticence et son possible combat pour ne pas sortir, vous pouvez multiplier les réponses et décider entre vous ou au dé si cela se solde par une réussite ou un échec. - Nous comptons sur vous pour réagir comme vos personnages réagiraient réellement. - Il n'y a pas de minimum de mots imposés.
L'illusion est forte, bien trop forte et les membres de l'équipe n'arrivent à se réveiller à temps et à sortir de cette ultime illusion. Au bout d'un moment, un gong retentit et fait sursauter chaque protagonistes. Le charme perd de son effet, la pièce redevient aussi limpide et réelle qu'elle aurait du l'être sans l'illustration des illusions. La porte en bois que vous venez de traverser depuis la seconde pièce s'ouvre afin de vous signifier votre nouvelle direction, vous revenez sur vos pas et auprès du professeur Mcgonagall qui vous accueille avec un sourire discret bien que désolé. Vous êtes disqualifiés.