Peut-être es-tu sur la rive ou encore dans l'eau glaciale de janvier, peut-être es-tu encore sur la plateforme à expirer tout ton souffle d'effort après ce long duel. Tu observes le dernier membre de l'équipe adverse basculer dans le vide jusqu'à l'eau et tu comprends alors que ton équipe a gagné. De multiples sentiments t'étreignent et tu échanges un long regard avec le reste de ton équipe avant de réagir enfin à votre victoire. Tu as encore un peu de mal à y croire mais vous l'aviez fait ! Vous veniez de vous qualifier en finale ! Le feu-follet vient voltiger autour de vous avec festivité et n'oublie pas de venir côtoyer les membres de votre équipe qui ont pu tomber à l'eau. Vous comprenez ce que vous avez à faire et votre main s'approche de lui pour vous amener par sa magie de portoloin jusqu'à cette grande tente plantée sur le terrain de quidditch depuis le début du tournoi. Cette fois-ci, vous pouvez tous y entrer en même temps et les autres équipes gagnantes et qualifiées pour la finale vous rejoignent peu à peu. La chaleur de multiples bois allumés au sein de la tente vient vous environner et vous apaiser vos êtres malmenés par le froid, les épreuves et les sortilèges reçus. Dans un coin, Mme Pomfresh vous attend avec un assistant afin de vous appliquer les meilleurs soins possibles. Sur une grande table au milieu, un festin de multiples mets chauds et succulents vous attendent, des friandises (comme les dragées surprises de bertie crochue ou de multiples fizwizbiz) sont prêts à vous ravir le palais. Une radio sorcière exprime la mélodie des derniers tubes musicaux à la mode. Au fond de la tente agrandie magiquement, de multiples lits de camp vous attendent où de chaudes et épaisses couvertures sont posées la fin des matelas. Il est désormais temps pour vous de souffler, vous reposer et renouer avec vos amis ou bien de parler avec votre quatuor !
Avant dernier jour avant la fin du tournoi, toutes les équipes qualifiées pour la finale se réveillent dans cette grande tente qui leur est désormais dédiée. La matinée se déroule sans accrocs particuliers, une tension palpable reste présente dans le camp dont personne n'ose s'éloigner de peur de rater l'épreuve finale. Quatorze heures et un coup de tonnerre se fait entendre dans le ciel pourtant dégagé, une fumée violette s'élève depuis l'une des fenêtres du quatrième étage. Le rendez-vous est donné, les quatuors s'avancent jusqu'au château, montent les escaliers et avancent jusqu'au couloir recherché. En arrivant, une porte qui n'est habituellement pas présente attire le regard des premiers arrivés. Son cadrant réfléchit à la lumière du soleil d'un après-midi radieux, une légère fumée égale à celle violette aperçue un peu plus tôt s'échappe du dessous. La silhouette de Minerva Mcgonagall s'avance à l'autre bout du couloir, vient les gratifier de son regard à la fois sévère, mais humain, compréhensif. Elle tient dans ses mains un parchemin déplié une fois présente près de la porte. « Lorsque j’appellerais vos noms, vous avancerez dans cette pièce. Une équipe à la fois, il vous est interdit d'entrer en même temps qu'une autre. » Lorsque le nom de ton équipe s'annonce, tu t'avances. Vous voici désormais dans une grande pièce, tel un salon d'une salle commune spacieuse et accueillante. Les couleurs sont d'un subtile mélange de toutes les maisons du château, l'unique grande fenêtre de la pièce décrivant le paysage paisible des environs du parc du château.
première pièce
Eileen Lorsque tu t’avances dans la première pièce, tu te sens étonnamment apaisée. Ton regard s’attarde sur le fauteuil disposé près de la fenêtre. Et l’envie te prend d’aller t’y installer. Un confort que tu sembles apprécier l’espace d’un moment jusqu’à ce que tes iris se posent sur la petite table située face à toi où se trouve la dernière parution de la gazette du sorcier. Tu t’en empares et alors que tu le feuillettes, tu tombes sur un article qui t’est dédié. On y voit ta photo où tu apparais plus vieille de quelques années, les réponses que tu accordé pour l’interview où tu relates les expéditions que tu as menées à travers les continents – jungles profondes et obscures, déserts étincelants, vallées verdoyantes. Jusqu’à cette récente découverte qui clôture le sujet. L’existence d’une espèce encore jusque là inconnue. Cassandre Lorsque tu entres dans la pièce, ton regard est imperceptiblement attiré par une lettre déposée sur la table basse face à l’âtre de la cheminée. Tes pas te portent naturellement vers le canapé en velours où tu prends place avant de t’en emparer. Ton prénom y est inscrit, d’une écriture tout en rondeur que tu reconnais aisément. Sans attendre, tu parcours la missive et un sourire éclaire tes traits lorsque tu es une nouvelle fois conviée -ainsi que ton frère- à passer les fêtes dans la famille d’Olivia. L’occasion pour ton frère et toi de passer un bon moment dans cette famille aimante qui vous a fait une place en son sein. Paul Tu entres dans cette première pièce et ton regard est attiré par la présence de Jakob. Celui-ci semble préoccupé par un détail d’une création se trouvant devant lui. Avec à ses côtés, une Milena qui semble émettre un tout autre avis. Tous deux se détournent néanmoins du mannequin à ton approche. T’accueillant avec leur entrain habituel – sourire plaqué sur leur faciès. Pour ensuite te prendre à partie, afin que tu émettes toi aussi ton avis. D’un œil critique, tu examines chaque détail de la broderie que l’on te présente, reconnaissant qu’il s’agissait d’un travail de qualité. Pourtant, dans le simple but de titiller ton ami, ton avis semble aller dans le sens de la blonde dont le rire retentit à présent. Moment de complicité que vous aimez partager, de ces personnes qui te sont finalement aussi chères que ta famille.
hors-rp
La troisième et dernière épreuve du tournoi commence et votre personnage arrive dans cette pièce après trois jours à panser ses plaies, retrouver le plus de forces possible. Soigné par Mme Pomfresh de ses plus grandes blessures, il a pu retrouver une certaine forme avant d'entrer dans cette finale.
Face à lui, des illusions mais cela, il ne le sait pas. Un charme de confusion est apposé sur le cadran de la porte et touche chacun lorsqu'ils la traverse. Tous, sauf une irréductible sorcière du nom de @Cassandre R. Applebaum qui, est l'heureuse chanceuse d'être moins touchée par le sortilège de confusion. Son but est de faire ouvrir les yeux à ses camarades et de savoir détourner son regard de sa propre illusion. Malheureusement, un autre charme d'attraction cette fois, est attitré à cette nouvelle porte qui se met à scintiller face à eux au bout de quelques minutes. La tentation de la braver est grande, peut-être trop grande pour des âmes déjà adoucies grâce aux illusions positives proposées.
- Il n'y a pas de minimum de mots imposés. - Pour les équipes qui ne possèdent plus que deux ou trois membres, les élèves absents sont considérés comme éliminés du tournoi pour cause d'abandon ou de maladie. - Vos personnages passent la seconde porte quoi qu'il arrive.
Une victoire de plus et c’est un soupire de soulagement que tu pousses. Toi, Cassandre tu avais réussis à tenir bon. Restant sur la plate forme, tombant à genoux sur le verre. Tu n’as plus de force et tu te relâches. Tu ne tomberais pas dans ce lac une deuxième fois et c’est au moment où tu réalises que ton coeur commence doucement ralentir, à reprendre un rythme normal. Vous avez réussis. Vous aviez gagner cette bataille. La pression retombe et tu ne peux empêcher cette larme de couler le long de ta joue. Larme solitaire, d’une douleur qui s’échappe enfin, d’une peur qui s’envole dans les airs. Vous aviez gagner et désormais il était temps de vous reposez. Tu ne savais ce qui vous attendez pour la suite de cette aventure mais pour l’instant c’était le cadet de tes soucis, préférant oublier pour te reposer tranquillement dans cette tente mis à votre disposition. Trois jours. Trois jours à attendre qui te semblait durer une éternité alors que toi qui était si solitaire te retrouvait avec des personnes dont tu ne connaissais guerre pour la plupart. Deux ou trois visage familier qui venait te calmer un peu. Tu avais passé ces trois jours à t’éloigner du monde à essayer de trouver des endroits calme, venant gribouiller sur des morceaux de papier trouver un peu tout ce qui te passait par la tête. Des mots, des dessins et tant d’autre chose. Restant dans ta bulle.
C’est le coup de tonnerre qui amorça le compte à rebours. Dernière épreuve, dernière ligne droite et tu avais un peu de mal à te dire que tu avais tenue jusqu’ici. Tu n’avais pas craquer. Pas une seule fois, t’avançant avec les autres vers le lieu du rendez vous. Une porte et le professeur McGonagal vous y attend, tes yeux se plissent et tu as beau te demander qu’est-ce qui peut bien y avoir derrière cette porte, une part de toi même te disais que tu n’arriveras jamais à trouver ce que les professeurs avaient bien pu avoir comme idée. Quelque chose de stupide très certainement ou encore dangereux. Ton palpitant qui s’accélère légèrement à l’entente de ton prénom et c’est votre équipe qui rentre dans la pièce. Une fumée violetterai s’en échappe pour laisser apparaître un grand salon devant aux quatre couleurs de Poudlard. Ton regard qui divague sur la pièce, observatrice dans l’âme et pourtant c’est une lettre posé sur une des tables qui attirent irrémédiablement ton attention. Tes yeux se plissent, tu t’approches te demandant de qui pouvait bien provenir cette lettre alors que le seul courrier que tu recevais était celui de ton bien cher frère mais vous n’étiez pas le bon jour. Tu finis pas attraper la douce envelopper dans tes mains avant de t’asseoir sur l’un des canapés. Une écriture que tu reconnais avec aisance et c’est un fin sourire qui apparait sur tes lèvres, laissant place à une certaine douceur sur ton visage. Tu te détends délicatement, t’enfonçant dans le dossier du canapé entrouvrant cette missive reçu de la part des Sargent. Une invitation dont tu avais pris l’habitude de recevoir et pourtant elle réchauffe doucement ton coeur. Une deuxième famille qui a bien voulu re prendre sous son aile, un pilier sur laquelle te reposer, un soutien que tu savais présent jusqu’à la fin. Et l’idée même de repasser les fêtes dans leur famille avec ton frère te fait un bien fou. Un moment que tu attends avec impatience, alors que tes yeux continuent de suivre les belles boucles que formes les lettres.
Et pourtant quelque chose te gêne dans tout ceci.
Tu aimerais y croire plus que tout, être sûre d’être une nouvelle fois la bienvenue pour la fête comme les années précédentes, pouvoir y aller et respirer un grand coup. Tu aimerais y croire plus que tout. Mais quelque chose ne va pas. Ce présentement au fond de ta poitrine qui est persistant, cette instinct qui te pousse à re méfier de quelque chose et ton regard décoche la lettre pour se poser sur le feu devant toi. Tu réfléchis à sans à l’heure, te demander qu’est-ce que tu étais entrain de faire avant de trouver ce bon de parchemin. Des souvenirs vagues et flous que tu as mal à déchiffrer. Tu admires le feu de la cheminer, avant que tes azurs ne viennent relire cette lettre avant de tomber sur la signature. Signature qui t’étais inconnue connaissant parfaitement celle de la famille Sargent avant de remarquer que le sot qui trompait sur l’enveloppe n’était clairement pas le leur. Tu te lèves tu regardes autour de toi et c’est des silhouettes qui ne te sont pas inconnus qui trônent dans la pièce sans réellement que leur esprit soit présent. Cette lettre était pas réel. Ce n’était pas la famille d’Olivia qui vous l’avez envoyé et tout ce qui se trouvait autour de toi n’était qu’un leure. Mais peux tu en être certaine ? Un doute qui persiste au fond de ton coeur, espérant que tout ceci soit réel mais ton cerveau te disait le contraire. Qui écouter ? Qui croire alors qu’au fond tu espérais seulement passer ses fêtes en présence d’être qui te son chère ? Non. Il fallait que tu sois plus forte, Cassandre. le cerveau a toujours primé avec toi et il continuera de primer. Des souvenirs qui reviennent en mémoire, ta tête qui voit flou alors que t’as l’impression que tout tourne autour de toi. Le charme de confusion qui essaye de fonctionner encore mais tu arrives à re prendre tes esprits. « Paul ? Eileen ? » Ces eux c’est deux silhouettes un peu plus loin. « Allez les gars réveiller vous là ! » Tu essayes de les faire bouger, de les faire réagir en vain. « C’est qu’un putain de charme, tout ça est faux ! » Et une porte qui s’ouvre plus loin. Qui t’attire. Tu souhaites y aller mais est-ce que tu dois réellement partir sans eux ?
Tes bras frictionnent Eloan tandis que tu observes la fin du duel tout là-haut sur la plateforme. Un simple sourire étire tes lèvres lorsque la dernière membre de l’équipe adverse tombe de la plateforme sous l’effet de la baguette de Cassandre. Néanmoins, te réjouir de manière ostensible devant l’équipe adverse, ça ne se fait pas. Encore moins quand le plus jeune du Ponds est dans cette dernière. Alors tu te redresses et fixe le petit brun avec un sourire « -Et si on allait se réchauffer et manger un truc ? J’suis congelé ! ». Après cette victoire arrachée au dernier moment (et dans laquelle tu n’avais pas vraiment de mérite pour le coup), tout c’était enchaîné. Les tentes, la nourriture, les lits de camps, les couettes bon sang ! D’ailleurs tu avais eu l’agréable surprise de retrouver ton manteau oublié lors de la première partie de la seconde épreuve. Autant dire que tu avais bien profité de ces quelques jours de repos, passant beaucoup de temps avec tes sœurs et amis. Tu étais le genre de garçon à ne pas pouvoir survivre sans contacts réguliers avec ceux que tu aimais, tu étais bien trop attaché à eux. Ils t’étaient aussi vitaux que l’air que tu respirais. Néanmoins, ça ne t’avais pas empêché de garder un œil sur tes compagnes de tournoi à qui tu avais fini par t’attacher. C’était instinctif chez toi cette manie de toujours prendre soin des autres, de t’assurer que tout allait bien pour eux.
Et en parlant de prendre soin des autres, en ce troisième jour de repos tu étais justement en train de tenter de distraire Arthur. Tu ignorais ce qui était arrivé à ton meilleur ami, mais tu voyais bien que quelque chose n’allait pas. Néanmoins, comme toujours, tu ne voulais pas le forcer à parler alors tu te contentais d’être présent pour lui si jamais il avait besoin de quoi que ce soit. Et d’essayer de le faire rire. Alors que tu étais en pleine diarrhée verbale, ce fût à ce moment-là que le tonnerre se fit entendre, te coupant efficacement la chique. Vos deux têtes bouclées se tournèrent en direction du château et tu aperçus rapidement une fumée violette s’échappant d’un des étages du château. C’était sûrement le signe de la troisième épreuve étant donné que t’étais là. Sinon tu aurais pu parier que t’avais encore essayé de cuisiner. Et tes sœurs se seraient fait un plaisir de te charrier. Ta main se resserra quelques instants sur l’épaule d’Arthur en signe de soutien avant que tu ne te lèves pour marcher en direction du château, rejoignant ton équipe au passage.
Bientôt tu te retrouvais face à McGonagall et une porte dont émane une couleur violet parme. Les explications sont rapides à fournir et bientôt c’est à votre tour de pénétrer dans la pièce qui ne cesse de titiller ta curiosité. Alors tu t’avance à la suite des deux jeunes filles, un sourire joyeux et curieux aux lèvres les yeux pétillants. Il était temps que l’action reprenne ! Pourtant ce qui se trouve derrière la porte te surpris fortement. Te surprend et t’amuse. Et bien il semble que lorsque certains se démènent pour faire des épreuves, d’autres s’amusent bien au sein de Poudlard ! Tu pénètres dans une grande pièce lumineuse et aussi chaleureuse que la salle commune des gryffondors, cependant cette salle-ci arbore le blason de l’école. Et dans celle-ci, deux personnes de dos. Un grand brun et une petite blonde semblant en désaccord et débattant d’une vive voix. Milena et Jakob, tes deux meilleurs amis, ta famille presqu’au même titre que les Ponds ou que tes sœurs. Tes deux chouchous. C’est donc avec un grand sourire que tu rejoins tes deux acolytes de Serpentard qui te prennent rapidement à parti lorsqu’ils te remarquent. Ton avis, voilà ce qu’ils veulent tout en continuant à se chamailler. Il faut croire que certaines choses ne changeront sûrement jamais et c’est très bien comme ça ! Tu te penches alors vers la tenue, observant avec attention les détails que te pointe l’index joliment manucuré de la cinquième année. C’est du joli travail tu ne peux pas le nier, d’ailleurs tu ne doutes pas que les doigts de fée de Jakob soient à l’origine de cette magnifique broderie. Mais une envie de taquiner ton cher coup de cœur d’adolescent monte en toi et tu décides d’abonder dans le sens de Milena qui adresse immédiatement un sourire supérieur à un Jakob qui vous dédaigne d’un simple regard qui te fait éclater de rire avant que tu ne viennes enlacer ton ami pour le taquiner encore un peu plus. Le murmure de Cassandre te parviens, mais une nouvelle parole hautaine de Jakjak vient vite la chasser. Tu profites encore quelques instants avant que ton regard ne soit attiré par une porte. Tu laissais les deux serpentards débattre entre eux pour faire quelques pas vers cette dernière. Si Milena et Jakob s’étaient cachés derrière la précédente, qu’est ce qui pouvais bien se cacher derrière celle-ci ? Elea et Maeve dans une cuisine ? Arthur et le reste du groupe ? Aidan et son mystérieux chéri ? Nausicaa et Eloan prêts à faire une bêtise de grande envergure ? Oh oui tu étais curieux. Tu t’avançais encore, ta main se tendant déjà pour pousser le battant.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
Cette porte scintillante, appelante, est franchie par l'intégralité de votre équipe malgré une confusion moins présente chez l'un d'entre vous. L'attractivité du charme fait instantanément son effet et vous voici devant des illusions encore plus attirantes que les précédentes. Elles vous appellent et vous incitent bien assez tôt à vous séparer pour aller à la rencontre de ce qui vous est cher.
seconde pièce
Eileen Passé le pas de la porte, ton regard balaie les alentours avant de s’arrêter sur l’unique table en bois sculpté que contient cette pièce. En son centre se trouve une lettre dont tu peux sentir l’attraction te tirer jusqu’à elle. Tes pas te mènent alors jusqu’à ce parchemin qui porte ton nom. Et alors que tu la déroules, tu remarques qu’elle provient de ta mère, écrite bien des années plus tôt. Ta main tremble alors que tu prends connaissance de son contenu. Et les lettres se mettent danser à mesure que l’émotion te gagne. Sous tes yeux se dévoiler tout l’amour qu’elle te porte, sa fierté, ses encouragements pour les embûches qui se trouveront sur ton chemin. Cassandre Dès cette nouvelle porte passée, tu restes là, figée quelque instant alors que se dévoile sous tes yeux la maison de ton enfance. Lentement tu avances, le cœur battant. Fais glisser tes doigts sur ces meubles si familiers, attrapant l’un des cadres photo dévoilant l’image même d’une famille heureuse. Tu t’y attardes. Pose ton doigt sur la surface lisse de la vitre pour dessiner les contours de leur visage. Jusqu’à ce que ton nom résonne dans la pièce. Tes paupières se ferment alors que t’as l’estomac au bord des lèvres à présent. Tu redoutes le moment où tu devras lui faire face. Faire face à ta défunte mère tant aimée. Paul Alors que tu passes la seconde porte, c'est une pièce plus que familière qui t'apparaît. Endroit confiné, à la décoration fleurie et bleue. Quelques couples installés à des tables rondes par-ci, par-là. Ton regard balaie le lieu jusqu'à ce que finalement, il soit attiré par ces deux personnes que tu cherchais instinctivement. Assises dans un coin de la pièce, discutant autour d'une tasse de thé et d'une pâtisserie. Jusqu'à ce qu'à leur tour, elles te remarquent. Que tu vois Maeve, ce petit ange blond te faire signe de la main, sourire aux lèvres, afin que tu te dépêches de prendre place avec elles. Ce que tu fais. Mais tu restes silencieux, à les observer. L'une comme l'autre ne semble pas avoir vieilli. Pas même toi. L'ambiance y est plaisante, parfois même un peu taquine. Tout semble aller pour le mieux en cet après-midi de printemps. Même Maeve...
hors-rp
Comme vous avez pu vous en rendre compte, l'illusion face à eux est plus précise, plus forte et attirante que la première. Vos personnages qui n'ont pas décidé d'écouter leur coéquipier moins confus qu'eux ont passé un nouveau level hypnotisant tandis que celui-ci, commence peu à peu à entrer dans la même confusion que le reste de l'équipe. Ils ne pensent plus au tournoi et commencent peu à peu à oublier la réalité.
L'opportunité de rebrousser chemin et de lutter contre ces illusions et cette nouvelle porte s'affichant devant eux au charme encore plus attractif est tout de même encore possible. A vous de voir si la tentation de franchir cette nouvelle porte qui vous appelle sera trop forte ou si vous écouterez votre coéquipier qui commence peu à peu à se confondre dans sa vérité.
- Il n'y a pas de minimum de mots imposés. - Vos personnages peuvent passer la prochaine porte comme ne pas le faire. Seuls ceux ayant passé la porte continueront l'épreuve, les autres reviendront soit à la première pièce en perdant de la confusion et retrouvant peu à peu leurs esprits, ou resteront dans cette seconde pièce pour profiter encore un peu plus de cette illusion présente. - Même si votre personnage ne passe pas la prochaine porte, vous devez nous faire part de sa décision inrp.
une prise de conscience et te voilà entrain de regarder tes partenaires dans leur propre illusion. tu aurais tellement aimé t’y abandonner toi aussi, croire en ce bonheur intense qui avait commencé à t’emplir le coeur. cette sensation d’avoir enfin une nouvelle famille, des personnes sur qui compter à n’importe quel moment. mais tu ne peux pas t’y résoudre. mirage qui t’emporte l’estomac, tu te pinces les lèvres pour ne pas y céder. « Bougez vous allez. c’est juste une illusion (a peine une sensatioooon) » mais il n’y avait rien à faire. prise dans une réalité qui leur semblait parfaite, dont ils ont toujours rêver, tu vois Eileen et Paul se déplacer vers une seconde porte. tu essayes d’attraper le bras de la serdaigle, de la tirer vers toi, de lui faire ouvrir les yeux mais c’est toi qui te fait emporter. une nouvelle réalité qui te frappe de pleins fouet alors que tu passes à ton tour le bas de la porte. une brouillard devant tes yeux, tu clignotes à ce brusque changement de lumière. une odeur familière qui accapare tes narines et cette agréable sensation qu’elle vienne brusquement apaiser ton coeur, ton âme tout entière. des lieux qui te sont si familier et c’est ta gorge qui se serre, des larmes qui montent sans que tu ne puisses les contrôler. ce n’était pas possible. tu n’arrivais pleinement croire ce qui se trouvaient devant tes yeux. une maison d’enfance dans laquelle tu as passé tes plus beaux moments, un endroit si particulier ou tu te sentais en sécurité. si unique, si fantastique. tu avances doucement, et l’émotion de prend au tripe. tu longes ce long couloir que tu reconnais si bien, tes doigts passant devant cette commode en bois massive et lorsque tu la frôles tu peux encore sentir toutes les rayures de la vieillisse sous tes doigts. ces rayures que tu connais pas coeur au moindre millimètre. tu continues ton avancé, des photos accrochées sur le mur que tu n’oses pleinement regarder avant de tomber directement dans le salon. une disposition que tu admirais chaque jour de ton passé, pouvant faire le tour les yeux fermés et c'est ta main qui se porte à ta poitrine. ton coeur a mal, il se serre, il se brise encore plus. mais cette fois-ci c’était différent. différent d’avant. une émotion nouvelle, une certaine nostalgie dans ton regard qu’il n’y avait encore jamais eu par le passé. sensation étrangère à ton corps et tu as du mal à comprendre. qu’est-ce que tu faisais là ? dans cette demeure qui était toujours la votre, impossible à ton frère et toi de la vendre. cette demeure en France qui devaient prendre la poussière depuis votre départ en Angleterre et pourtant … et pourtant rien avait changé. tout était toujours aussi resplendissant et lumineux. des goûts bien prononcés de ta mère que tu pouvais reconnaitre. ces peintures à même le mur qu’elle adorais faire, cette passion pour l’art qu’elle aimait vous partager. et tu avais l’impression de la revoir là, devant ce mur. les cheveux relevés en un chignon magnifique, les plastiques qui entouraient les meubles alors qu’elle avait de la peinture sur le main. tu te revoyais, l’admirant toujours plus, te passionnant pour ses nombreux chefs d’oeuvres, restant assise par terre les yeux pleins d’étoiles à la regarder peindre encore et toujours. et c’est des larmes qui coulent le long de tes joues alors que tu à toutes ses pensées qui reviennent en mémoire. ces souvenirs d’enfance que tu chérissais plus que tout au monde, souhaitant tellement remonter le temps. à cet époque ou tout était plus facile pour toi, ou tu vivais ta vie au jour le jour sans penser à demain, profitant de l’instant présent avec cette âme d’enfance qui brillait tellement. âme d’enfance que tu avais perdue. tu étais loin d’être la même qu’avant. et c’est cette photo plus loin posé sur le rebord de la cheminée qui capte ton attention, t’approchant pour la prendre dans tes doigts frêles. tu trembles. te tout ton corps, de tout ton âme. tu trembles Cassandre. tu revois ces visages si familier sur cette photographie, celle de ta famille le sourire sur le visage alors que vous étiez partie en voyage. un voyage qui restera gravé dans ta mémoire à jamais alors que tu te souvenais tout particulièrement de ce jour là. celui d’une famille partant visité le monde et ses merveilles. « Cassandre ? » tu te figes. les yeux grand ouvert, le regard d’un seul coup dans le vide. cette voix. cette voix ! tu n’oses te retourner. tu restes planté là, la photographie tout près de ton coeur et d’un seul coup tu fermes les yeux. ton palpitant qui se serre dans ta poitrine. tu ne veux pas te retourner. tu n’oses pas là regarder droit dans les yeux. et pourtant tu bouges. automatisme qui veut savoir si elle est bien présente derrière toi. tu te retournes vers elle sans ouvrir tes paupières. elle reste close, sellés entre elles. « Cassandre ? tu vas bien ma chérie ? » le coeur qui manque un battement et brusquement tu ouvres les yeux. ce visage si familier d’une mère que tu chéries plus que tout au monde qui se tient devant toi et tu flanches. tu tombes à genoux, tu es faible, tu n’arrives plus à tenir debout alors que tu trembles de tout ton corps. des soubresaut qui s’empare de toi et les larmes qui continue de couler. « non. non, ce n’est pas possible. » tu n’arrives pas à y croire. « c’est pas possible, c’est pas réelle. tout ça est faux. » oui. tout cela était faux. « mais qu’est-ce qui est faux ? Cassandre, ma chérie, qu’est-ce qui t’arrives ? » tu ne pouvais y croire, cette voix douce qui avait l’habitude de te rassurer avaient comme cette étrange sensation de faire complètement l’inverse. tu étais paniqué. plus que d’habitude alors que tout ce qui se trouvait devant toi ne pouvait être vraie. « tu es morte. tu ne peux pas être ici. » aveux des plus dures pour toi et pourtant c’était le cas. elle était morte. tes parents étaient morts et tu commençais tout juste à réussir à faire ton deuil. une douleur vive qui te lacère cet organe vitale. « mais qu’est-ce que tu racontes ? ma chérie. » elle se rapproche. « non ! non, non, non, non. » tu ne voulais pas quelle s’approche et pourtant dieu sait l’envie que t’avais de la prendre dans tes bras, te la tenir plus fort que jamais, de sentir son odeur si apaisant. dieu sait à quel point tu aimerais retrouver tes parents sur terre ou dans l’haut delà. et pourtant à cette instant présent, tu te faisais fureur pour refuser que ce monde parallèle pouvait existé réellement. « vous êtes morts. tu ne peux pas être ici. c’est impossible. » tu savais qu’ils étaient morts, parce que tu avais mis du temps à l’admettre, pour te l’avouer à toi même, pour comprendre que tout était belle et bien terminé. que c’était fini. mort. et ils avaient emporter une partie de toi avec eux. cette illusion devant tes yeux étaient pourtant si réelle, si doux que tu aurais voulu y croire. plus que n’importe qui. « je suis désolé. je suis tellement désolé. » et c’est des sanglots qui s’échappe de ton corps. des larmes qui se déversent. « je suis tellement désolé mais tout ceci est faux. je … vous me manquez tellement, je vous aime tellement mais … mais vous êtes morts. Je … on doit finir cette épreuve. » et tu te relèves cassandre. tu te fais fureur pour te relever, puissant dans tes dernières forces alors que les silhouettes de tes camarades se dessinent au loin. tu passes à côté de cette mère, n’osant la regarder et lorsque tu te retournes : plus rien. une illusion disparut, une disparition qui te déchire le coeur. les larmes que tu ne peux empêcher de laisser couler alors que tu te diriges vers la serdaigle. « Eileen ! EILEEN S’IL TE PLAIT. » c’est un appel à l’aide que tu lances à la jeune femme. Ne me laisse pas toute seule. S’il te plait. et tu lui attrapes les épaules la secouant dans tous les sens pour la faire bouger, tapotant sur a joue. Il fallait qu’elle se réveille. « Eileen, revient, écoute ma voix, s’il te plait, tu dois te forcer, c’est qu’une illusion rien d’autre. Allez Eilleen, please. » tu ne voulais pas être toute seule. tu ne voulais pas continuer ainsi. tu ne voulais pas retomber dans une autre illusion …
Vous voici dans cette ultime pièce et face à cette illusion qui de toutes, est la plus attractive. Vous oubliez la réalité, vous oubliez vos compagnons, il n'y a plus que vous et cette image.
troisième pièce
cassandre Tes yeux s’entrouvrent dans cette nouvelle pièce où tu te découvres confortablement installé dans un canapé, jambes repliées. Lentement, alors que ton regard se promène autour de toi, tu prends conscience que rien ne te parvient. Pas un bruit, pas un son. Aucun mouvement autour de toi. Et cette atmosphère qui s’en dégage te fascine. Tu t’y sens bien. Apaisée. Le calme environnant agit sur toi comme un calmant. Ici, tu ne ressens plus la douleur ni la peine qui t’habitait autrefois. Tout te semble lointain, n’être qu’un horrible cauchemar dont tu viens de te réveiller. Et tu prends conscience à cet instant que les cicatrices liées à ton mal ne sont plus. Qu’elles t’apparaissent comme atténuées. L’idée même de recommencer ne t’effleure pas, parce que tu es enfin en paix avec toi-même. eileen Dans un décor qui ne t’est pas familier, tu découvres une pièce raffinée et chaleureuse. Décoration féerique pour ce majestueux sapin qui l’en garnit. Avec cette poudreuse qui se dépose délicatement sur le branchage verdoyant et cette multitude de cadeaux à son pied. À mesure que tu t’avances dans le salon, des éclats de voix te parviennent pour y découvrir, cachés par l’épicéa, la silhouette familière de ta sœur discutant avec un jeune homme dont les traits te semblent familiers. Un sourire éclaire son faciès lorsqu’il t’aperçoit et d’un mouvement de tête lui indique de se retourner. Tu peux voir la joie illuminer ses traits alors que tu t’approches d’eux. « Enfin... ! » Soudainement, une odeur alléchante vient te titiller tes narines alors que Drystan apparaît dans la pièce, les mains tenant un plat où repose une dinde à la peau dorée et croustillante. « Être en retard pour notre noël en famille ne te ressemble guère, chère cousine » lâche t-il d’un ton taquin.
hors-rp
Ultime illusion, la plus addictive, celle qui attrape le cœur, l'âme et refuse de relâcher l'élève hypnotisé. Mais une fumée violette vient caresser le visage des deux étudiantes tandis que @Eileen Hohenheim qui était le plus septique depuis le départ se perd dans le mensonge de l'illusion. Ils sont deux désormais à comprendre peu à peu la supercherie, deux à lutter au fond pour revenir à la réalité tout en restant tant attaché à cette illusion face à eux. L'esprit confus, l'espoir que leur équipe ressorte de cette épreuve repose sur leurs épaules. @Cassandre R. Applebaum elle, se rendra compte rapidement de la supercherie.
- Il est possible que votre personnage soit bien trop attaché à l'illusion face à lui et que son amitié, son lien tissé avec ses coéquipiers ne soit pas assez fort pour les écouter. Il est également possible que ses coéquipiers ne sachent pas quelle méthode employer pour le faire décrocher de l'illusion. Il est tout simplement possible que votre personnage refuse donc de partir.
- Pour ceux/celui qui commence(nt) à être délaissé(s) par le sortilège de confusion et de charme, c'est à vous de décider quels détails ou par quelle façon ils s'en rendent compte et comment ils s'en détachent (si ils décident de le faire). - Si un seul personnage reste dans l'une des pièces, que ce soit la première, la seconde ou la dernière, le quatuor dans son intégralité ne peut quitter les lieux. Il est possible qu'un personnage réticent soit contraint de force par un autre membre de son équipe de sortir. Dans ce cas là, prenez en compte sa réticence et son possible combat pour ne pas sortir, vous pouvez multiplier les réponses et décider entre vous ou au dé si cela se solde par une réussite ou un échec. - Nous comptons sur vous pour réagir comme vos personnages réagiraient réellement. - Il n'y a pas de minimum de mots imposés.
Choixpeau
veritaserum
parchemins : 7830
sablier : 6
- convictions : le choixpeau sait tout et ne se trompe jamais.
- clubs et assos : club des ancêtres de poudlard.
- (options) ou (cursus) choisis : option prendre la poussière mais sortir de sacrés blagues quand même.
avatar : soi-même, dans toute sa splendeur.
crédits : (lionheart)(pinterest)
mood actuel : envie d'un tête à tête avec quelqu'un d'autre que son tabouret.
L'illusion est forte, bien trop forte et aucun membre de l'équipe n'arrive à se réveiller à temps ou à réveiller ses coéquipiers afin de traverser l'épreuve pour arriver dans la dernière pièce. Au bout d'un moment, un gong retentit et fait sursauter chaque protagonistes. Le charme perd de son effet, la pièce redevient aussi limpide et réelle qu'elle aurait du l'être sans l'illustration des illusions. La porte en bois que vous venez de traverser depuis la première pièce s'ouvre afin de vous signifier votre nouvelle direction, vous revenez sur vos pas et auprès du professeur Mcgonagall qui vous accueille avec un sourire discret bien que désolé. Vous êtes disqualifiées.