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i miss what we never were (marcus)
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Vesper Millers
Vesper Millers
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sablier : 12

- convictions : do no harm but take no shit.
- clubs et assos : ex-membre du club de duel.
- métiers ou études : apprentie-auror, fin de la formation en décembre 99.
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crédits : ethereal (ava) lionheart, bloomie (cs)

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- Jeu 25 Nov - 23:28
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friends can break your heart too ((ft. @Marcus Flint))

Une visite express à ses parents dans la banlieue de Londres où elle avait grandi, elle ne s’était pas éternisée, Vesper. Si l’accueil réservé par son père avait toujours le don de la faire sourire, les tensions étaient palpables dans la maison familiale depuis plusieurs mois et la blonde était ravie de pouvoir s’éclipser quand elle le voulait, les cris de sa petite sœur accompagnant bien souvent ces départs. Affection non-dissimulée pour le portrait caché de sa mère, il y avait tout de même ce pincement au cœur involontaire chaque fois qu’elle se rappelait que ses propres liens de parentés avec les Millers étaient discutables. Des recherches constantes pour l’apprentie-auror malgré l’envie, parfois, de tout laisser tomber. Elle avait conscience que cette démarche blessait ceux qui l’avaient élevée et bien sûr, Vesper s’en voulait de leur faire de la peine seulement, ce qu’elle ressentait était inexplicable. Elle avait besoin de réponse, besoin de comprendre d’où elle venait, elle qui avait déjà eu tant de difficultés à se sentir elle-même et se faire une place. Elle avait l’impression d’être devenue à la case départ quand, à Poudlard, elle laissait ses insécurités prendre le dessus sur le reste. Et elle détestait ça. Tout comme elle détestait le fait d’avoir un jour de congés en pleine semaine plutôt que le week-end quand elle aurait pu profiter de ce temps libre pour voir son meilleur ami. Mais c’était ça le jeu et si elle se plaignait régulièrement de la charge de travail – pour la forme – l’ancienne aiglonne ne dupait personne en quittant les bureaux tard le soir et en arrivant toujours un quart d’heure en avance. Elle était de celles qu’il fallait décoller de sa chaise après le service et si l’on observait bien les autres membres de l’équipe, on pouvait voir qu’aucun d’entre eux ne négligeait sa formation. Et c’était tant mieux. Une pensée pour Alicia, actuellement en mission sous couverture, elle espérait d’ailleurs que tout se passe bien pour sa collègue alors qu’au bureau des Aurors, tout le monde attendait un signe de la part de la brunette pour intervenir et lancer les renforts. Mais V avait confiance en son amie et en ses capacités pour mener à bien son objectif et l’inquiétude ressentie n’était que le résultat de son affection pour la jeune femme. Quiétude de son appartement retrouvé, elle se laissa tomber sur le canapé quelques minutes et en parfaite Serdaigle qu’elle était encore il y a trois ans, la sorcière se perdit dans les dizaines de journaux récupérés et datant tous de son année de naissance. Rien qui ne puisse cependant l’avancer dans sa quête et quand son regard tomba sur la fenêtre, lueur du jour s’éloignant à petit feu, elle repoussa les magasines dans un soupir, ôta les lunettes de son nez et fila dans la chambre troquer son vieux sweat pour une tenue plus correcte. Il fallait qu’elle sorte de chez elle, qu’elle aille boire un verre – même si la plupart des alcools la rendait malade – et surtout qu’elle pense à autre chose. Partie magique de Londres, c’est l’enseigne éclairée d’un petit bar sympa qui attira son attention, souvenir de plusieurs soirées passées en compagnie de ses amis, et dans lequel elle s’engouffra sans attendre. Elle allait atteindre le comptoir pour commander une boisson quand une voix familière – qu’elle n’avait pourtant pas entendu depuis des mois – qui la stoppa dans son avancée. Certaine de ne pas l’avoir imaginé, Vesper n’osa pas tourner la tête en direction de la table jusqu’à entendre son rire suivi d’un autre, inconnu mais beaucoup trop féminin pour qu’elle l’ignore. Fallait-il vraiment qu’elle le revoit pour la première fois en un an, dans un bar, en train de flirter avec une fille ? Il semble que oui se moqua son esprit tandis qu’elle prit une grande inspiration pour apaiser ses nerfs qui jouaient visiblement avec elle depuis le début de la journée. Sourire forcé au sorcier qui la bouscula en s’excusant alors qu’elle était restée plantée de longues secondes au milieu du passage, son regard se posa finalement sur le couple en pleine conversation. Et si elle n’était pas de nature à s’irriter pour un rien, cette image la ramena trop sensiblement en arrière, à une période qu’elle pensait avoir oublié. Décidée à ignorer tout de ce spectacle désagréable, elle atteignit tout de même le comptoir et paya pour un whisky pur feu. Une mauvaise idée pour celle que deux biéraubeurres pouvaient enivrée et à peine eut-elle avalée le contenu de son verre que déjà, elle le regrettait. Rancœur toujours présente, c’était sans doute celle-ci qui la guida – accompagnée de colère – vers Marcus et sa conquête du soir, la tête haute. « Tu devrais te méfier, il a du mal avec l’engagement » dit-elle en regardant la blonde qui s’était enfin arrêtée de rire et V prenant soin de ne pas croiser les iris du Flint. « Si vous voulez bien m’excuser, je dois aller aux toilettes pour vomir » Tant pis pour la grossièreté. Et elle-même ne savait pas vraiment s’il s’agissait de la vision offerte par le duo en plein rancard ou si c’était l’alcool qu’elle avait ingurgité bien trop rapidement. Une seule chose lui importait réellement maintenant et au lieu de filer en direction des dits toilettes, elle opta pour la sortie de secours qui se trouvait à l’arrière du bâtiment.
(c) mars.

Marcus Flint
Marcus Flint
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- métiers ou études : joueur professionnel de quidditch pour les frelons (poursuiveur)
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- Ven 3 Déc - 18:22
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« Fait chaud ici non ? » demande Marcus à son voisin, un mec qu’il n’a jamais vu. Il se redresse et abandonne son siège pour traverser le bar et se glisser à l’extérieur de l’enseigne. Son premier réflexe est de fouiller les poches de son blouson pour récupérer son paquet de cigarettes et en prendre une qu’il apporte à sa bouche. La musique hurle à l’intérieur et fait vibrer les murs mais son attention est portée sur les quelques passants qui traversent la rue en riant. Le souvenir d’une escapade avec Milo et Alicia lui revient en mémoire et il lâche lui aussi un petit rire gras avant d’écraser sa clope sous son pied et de retrouver la chaleur étouffante du bar. Déçu que son meilleur ami et acolyte de drague ne soit pas disponible pour rajouter du piment à sa soirée, Marcus soupire et joue des coudes dans le bar pour retrouver sa place prise par un autre. Les yeux levés vers le ciel, il décide de rejoindre le bar pour commander une nouvelle bière pendant que ses yeux parcourent le bar. Alors qu’il commence à s’ennuyer et est sur le point de se résigner à rentrer chez lui manger une pizza, c’est là que son regard est attiré par une chevelure blonde solitaire qui semble s’ennuyer. « Une deuxième. » le barman s’empresse de lui servir une deuxième bière que Marcus réceptionne avant de s’avancer vers la solitaire petite sorcière et de glisser la boisson devant elle. Malgré l’absence de Milo qui résonne car il n’est pas là pour l’aider à draguer et sa propre incapacité à se lier correctement à une fille, Marcus se repasse en mémoire tous les conseils prodigués par son meilleur ami et c’est plus ou moins serein, ses insécurités mises de côté qu’il adresse un sourire qui se veut charmeur à la demoiselle. « Tu permets ? » demande-t-il en montrant le tabouret près d’elle avant de s’y asseoir sans même attendre une réponse positive. « Tu devrais faire gaffe quand tu marches dans la rue, tu pourrais être arrêtée pour excès de beauté. » pour le naturel, on repassera. Devant l’étrange regard de la fille, le visage du Flint se tord en un sourire forcé et se racle la gorge avant de poursuivre aussitôt. « J’espère que t’as soif. » il fait mine de trinquer avec elle avant d’apporter sa propre choppe jusqu’à ses lèvres et d’en boire goulument quelques gorgées pour noyer la gêne instaurée par sa phrase de drague complètement débile. « Fuck you Miles. » marmonne-t-il dans sa barbe inexistante en tentant aussitôt de se reprendre avec un air qu’il veut plus naturel. Ça semble marcher puisqu’à force de minutes, de blagues débiles et d’anecdotes sur son statut de joueur professionnel de quidditch, l’ambiance se détend et il arrive même à arracher un rire à la demoiselle. C’est dans la boïte, pense-t-il pour lui-même, soudain convaincu que le reste de la soirée – voire nuit – serait incroyablement intéressant. L’alcool déjà ingurgité depuis le début de la soirée contribue à l’aider à prendre confiance et à le rendre plus naturel, la conversation moins forcée. Alors qu’il s’apprête à ouvrir la bouche pour lui demander si elle veut boire autre chose, ils sont interrompus par une nouvelle arrivée qui laisse Marcus interdit une poignée de secondes. Il s’étouffe dans sa fin de whisky lorsqu’elle élève la voix et se laisse emporter par une quinte de toux qui n’en finit pas. « Qu’est-ce que… » parvient-il à articuler à l’adresse de Vesper qui s’éloigne déjà de leur couple. « Shit. » il se redresse de sa chaise, manque de tomber quand il s’en éloigne et ne se retourne que brièvement pour adresser deux mots à sa presque -mais-non-en-fait- conquête « Euh, salut, on s’appelle ? » conneries, il a pas son numéro, et après avoir reconnu Vesper, il n’a aucune envie de s’arrêter pour le prendre, il en a déjà plus rien à faire d’elle, elle n’est rien comparé à elle. Alors qu’il la suit de près, il attrape une bouteille de bière sur son chemin et ne la rattrape que de justesse alors qu’elle s’apprête à sortir à l’arrière du bâtiment. A la dernière seconde, il pose sa main sur la porte pour l’empêcher de l’ouvrir avant de s’y coller, barrant la route à la blonde qu’il emprisonne plus ou moins de son autre bras, sa main posée sur le mur à côté de son visage qui pourrait presque l’empêcher de se défiler. « J’crois pas que ce soient par-là les toilettes. » pas de bonjour, pas de désolé de t’avoir quitté sans prévenir il y a un an et de ne plus jamais avoir donné de nouvelles depuis, rien de tout ça, juste cette remarque imbécile qui ne le placera certainement pas dans ses bonnes grâces. De sa main libre, il apporte la bouteille de bière jusqu’à ses lèvres, jamais assez enivré, toujours besoin de plus, surtout pour affronter V. « Vu ta réaction, je pourrais presque croire que t’es jalouse Millers. » murmure-t-il en approchant son visage du sien, une nouvelle diversion pour ne pas avoir à mentionner qu’il est un connard. « T’as gâché mon rencard, tu devrais me payer un verre pour te faire pardonner. » il part toujours plus loin dans son attitude de jerk, parce qu’il a jamais vraiment apprit à gérer ses émotions ni les conflits, surtout pas avec les jolies filles comme Vesper.

big up à @Miles Bletchey pour ses conseils de merde i miss what we never were (marcus) 2212172295
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- Lun 27 Déc - 23:45
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De nature solitaire depuis toute jeune et un statut d’enfant unique durant des années qu’elle avait longtemps regretté, il était tout de même assez rare de voir Vesper traîner dans les bars à la tombée de la nuit. Elle était même plutôt du genre à se laisser porter par ses amis dans ces endroits, désireux de la faire sortir et oublier son travail pendant quelques heures et si elle avait l’habitude de bouder lorsqu’ils se montraient insistants, elle ne pouvait cacher son sourire une fois la combinaison d’auror tombée pour des vêtements plus légers et bien souvent plus classes. Et maintenant que la blonde était là, entourée d’inconnus pour la plupart, elle déplorait amèrement son impulsivité de l’avoir conduite jusque-là sans aucun renfort pour la soutenir. Si les personnes ayant connaissance de son presque mariage l’année passée se comptaient sur les doigts d’une seule main, V était certaine qu’avoir de la compagnie l’aurait aidé à affronter ce spectacle des plus dégoutants à ses yeux. Elle n’était pas assez stupide au point de croire que le monde magique était assez grand pour lui éviter toutes retrouvailles avec son ex-fiancé mais les nombreux mois sans le voir l’avaient conforté dans l’idée que ce moment ne serait pas pour maintenant. Une erreur, visiblement, et une Vesper à la fois démunie et irritée de le croiser après cette longue journée mais surtout de constater qu’il n’était pas seul, comme elle, à essayer d’oublier ses problèmes dans l’alcool. Non, Marcus semblait s’amuser et ce simple fait lui donnait envie de quitter l’établissement pour un autre. Ou pour tout autre endroit où le Flint ne se trouvait pas. Et elle ne savait pas si c’était un effet direct du whisky qu’elle venait d’avaler cul sec ou si c’était seulement elle qui réagissait de manière si démesurée mais elle ne put s’empêcher de les interrompre et lancer une remarque cinglante à cette femme qui n’avait pourtant rien à se reprocher. Un côté dramatique qui ne lui ressemblait pas vraiment mais le voir si heureux quand elle avait passé des semaines à se demander pourquoi il l’avait quittée sans un mot, en venant toujours à la même conclusion – celle de ne pas être assez comme chaque fois – réveillait la hargne et la rancune. L’ancienne aiglonne ne réalisa qu’au moment où elle sentit la porte lui résister que le brun l’avait suivie et que désormais, il l’empêchait de sortir. Respiration incontrôlée par ce retournement de situation, elle qui pensait s’éclipser sans qu’il n’ose la retenir, elle accrocha finalement son regard, colère noire se reflétant dans ses iris. « Et j’crois pas t’avoir demandé ton aide alors lâche-moi » répondit-elle sur le même ton, sans pouvoir calmer le rythme trop intense de son palpitant sans doute causé par la tempête au plus profond de son cœur plus que par sa proximité avec le jeune homme. Elle refusait de toute façon catégoriquement cette deuxième explication. Et pourtant il y avait son visage près du sien alors qu’il l’accusait d’être jalouse et elle tenta un rire des plus ironiques en réaction. « Moi jalouse ? Cette fille, je la plains plutôt » lâcha t’elle en balançant son regard derrière lui, en direction de ladite fille qui les observait avec attention. « Parce que tu n’es pas suffisamment ivre peut-être ? » Avec sa bière en main et sa façon de la descendre, Vesper en déduisait facilement qu’il n’en était pas à sa première. « Et c’est assez drôle que tu parles de pardon quand toi, tu n’es même pas capable d’offrir un simple désolé » A ces derniers mots, elle lui donna un coup sur le torse pour le forcer à s’éloigner – et peut-être lui faire un peu mal aussi. Jamais en quête de violence lorsqu’il n’y en avait pas besoin, elle avait pourtant presque envie de le frapper encore. Attrapant le bras qui retenait la porte, elle tenta de passer par-dessous pour s’échapper mais c’est la surprise qui le fit lâcher cependant, incapable de bouger, de s'en détourner de la même manière que lui l’avait fait sans mal l’année précédente, l’apprentie-auror lui lança un « T’es qu’un crétin » en croisant les bras. « Ta copine t’attend. Il semblerait qu’elle se moque de savoir que tu es un abruti, tu devrais en profiter » Et ça lui faisait de la peine de l’admettre, si on était honnêtes. « Mais ne t’attaches pas trop, elle pourrait s’enfuir du jour au lendemain sans un mot… Et pour information, ça fait mal » Elle ne savait pas trop ce qu’elle attendait d’un Marcus en état d’ébriété mais là qu’il était face à elle, V ressentait le besoin d’évacuer sa rancœur.
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- Mar 18 Jan - 18:44
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Le nez piqué par l’alcool qui coule déjà à flot dans ses veines, Marcus affiche un sourire bête, porté par une sensation de légèreté – merci la bière et le whisky. C’est cette sensation de légèreté qui le pousse à suivre Vesper à travers le bar pour la retenir alors qu’il sait pertinemment qu’il ne devrait pas. C’est aussi elle qui le pousse à l’aborder, lui sourire et la draguer maladroitement. La colère vibre dans les mots de la jolie blonde mais Marcus ne s’en formalise pas, au contraire son sourire s’accentue alors qu’il approche un peu plus son visage d’elle. « Oh Millers, joue pas à la tornade enragée, ça marche pas avec moi… Admets juste que tu ressens cette vilaine jalousie. » et sur ces mots, ses doigts viennent jouer avec une mèche de cheveux rebelle, juste le temps d’une courte seconde avant qu’il ne s’éloigne lorsqu’elle laisse échapper ce rire presque moqueur. Son regard suit le sien et il observe l’autre fille les regarder mais elle n’est déjà plus digne de son attention et c’est pourquoi il repose aussitôt son regard sur elle pour lui offrir un sourire un peu brumeux avant de hausser les épaules en apportant sa bière a ses lèvres. « Hé j’suis pas ivre ! Pas encore… » conneries, il est déjà bien atteint mais c’est toujours plus agréable de continuer à déconner sans l’admettre. « On peut même s’enivrer à deux si tu veux… » sa boisson à nouveau portée jusqu’à son visage, il manque de tout recracher à cette mention de pardon mais tente pourtant de ne pas se laisser déstabiliser – et l’alcool l’y aide d’ailleurs, parce qu’il n’aurait pas su quoi dire pour se défendre ou se rattraper. « Ok j’suis désolé » lâche-t-il sans conviction au moment où elle décide de le frapper. Une main portée à l’endroit de l’impact, tel un vrai drama king, il recule d’un pas et se frotte le torse avec une fausse grimace de douleur. « Hé mais c’est qu’y’a de la force dans ces petites mains. Tu m’as blessé, tu sais ? Je mérite encore plus que tu m’offres un verre maintenant… » le Marcus désinhibé est bien plus drôle et convaincant que le sobre. Et l’avantage, c’est qu’il connaît Vesper alors il n’a plus peur de parler, de déconner, même s’il ne sait pas être sérieux avec elle – car ça reviendrait à évoquer toutes ses erreurs et toute la douleur causée. « Un crétin beau gosse non ? » offre-t-il pour seule réponse en haussant les épaules et en se plaçant devant la porte pour l’empêcher de sortir. Le Marcus ivre est plus confiant mais derrière ces mots se cache toujours une sensibilité et des doutes accrus. Le manque de confiance en lui est toujours là, bien confortablement niché mais l’alcool l’aide à débiter tout un tas de conneries auxquelles lui-même ne croit pas. La mention de la fille le pousse à reporter son regard sur elle si bien qu’il n’écoute qu’à moitié les paroles débitées par une Vesper amère – ou peut-être qu’il veut faire croire qu’il n’écoute pas, pour ne pas avoir à affronter ses erreurs, encore et toujours désireux d’éviter toute confrontation et tout conflit. « En tout cas elle a l’air de vouloir que je revienne. » se contente-t-il donc de dire, pensif avant de secouer la tête et d’esquisser un geste de la main l’air de dire « next » « Non tu sais quoi, elle était ennuyante, pas assez piquante. Pas assez fougueuse. » murmure-t-il en cherchant à croiser le regard de son ex-fiancée. C’est un jeu dangereux auquel joue Marcus, surtout au vu des circonstances de leur séparation. C’est lui qui a décidé de la quitter sans prévenir, brisant ce qu’ils auraient pu avoir s’ils s’étaient accordés un peu de temps. « T’es de bien meilleure compagnie qu’elle. » il tente un sourire charmeur, sans savoir si ça marche ou s’il a juste encore plus l’air d’un crétin. Sa bière terminée, il soupire et parcourt la pièce du regard. Il irait bien se chercher un truc en plus, mais il aurait bien trop peur que Vesper se défile et s’en aille sans se retourner. Tu l’as bien fait toi. A la place, il hausse les épaules et s’adosse un peu plus à la porte. « So, tu comptes me l’offrir ce verre ou pas ? » il croise son regard et laisse passer quelques longues secondes avant de lâcher un « C’est vrai, c’que t’as dit ? » la bouche pâteuse, il ne se rend compte que maintenant combien son cœur bat vite soudainement. Effet secondaire de l’alcool ingurgité ou simplement de son attitude d’asshole à l’idée de l’avoir réellement blessée, il n’est pas prêt à admettre la seconde option alors il accuse une nouvelle fois le whisky plutôt que d’admettre combien il peut être problématique, parfois. Il était parti sans un regard en arrière, mais à aucun moment il n’avait pensé aux dommages collatéraux, à Caïn, à Vesper, à la douleur qu’il pourrait causer derrière lui. Parce qu’il est comme ça, Marcus, un foutu égoïste qui voit pas plus loin que le bout de son nez et qui n’est capable de poser cette question que parce qu’il est éméché et qu’il ne se souviendra probablement pas de la moitié de cette conversation au petit matin.
(c) mars.

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- Lun 24 Jan - 15:42
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Elle avait été stupide de croire que plus jamais elle ne reverrait Marcus tout comme elle était stupide de penser que peut-être, il avait changé. Parce que si le jeune homme qui se tenait devant elle n’avait rien de celui avec qui Vesper avait pu partager quelques moments entre l’annonce des fiançailles et le jour du mariage, il confirmait aujourd’hui les dires et les rumeurs auxquels elle n’avait pourtant donné aucune importance un an auparavant. Elle avait découvert un sorcier intéressant, drôle et loin d’être bête malgré l’image qu’il aimait renvoyer ; un sorcier à qui elle s’était attachée, la blonde, même si toutes ces histoires d’unions arrangées entre sang-pur l’avaient toujours dépassées au point d’être sûre d’y échapper elle-même. Seulement ce soir, dans ce bar du Londres sorcier, il ne s’agissait pas du Marcus qu’elle connaissait et elle commençait à se dire qu’il ne l’avait jamais été. Peut-être s’était-elle bercée d’illusions dans l’unique but de se rassurer quant à ce mariage imposé après tout, ou peut-être que l’alcool lui révélait qui il était vraiment et dans les deux cas, elle était contrariée. Et ce visage tout près d’elle n’arrangeait rien, ni ses accusations. « Dans tes rêves, Flint » réussit-elle à prononcer sans broncher alors qu’à l’intérieur, son cœur bouillait. Elle n’arrivait pas à s’enlever l’idée que si les choses s’étaient déroulées comme prévu, elle porterait ce nom de famille elle aussi. Des pensées qui n’avaient pas leur place ici, pas quand l’ancien serpentard s’amusait de sa colère. « Garde ton petit numéro de charme pour une autre » Ca ne fonctionnait pas avec elle ; ça ne fonctionnait plus. Et ce, depuis ce jour où il était parti sans un mot, une explication et mieux encore, une excuse. Ne méritait-elle pas au moins de savoir pourquoi il l’avait lâchement abandonné, elle dans sa robe blanche, alors qu’enfin, elle avait accepté l’idée d’être lié à lui pour le restant de ses jours ? Vesper avait toujours eu du mal à accorder sa confiance sur le plan affectif pourtant il y avait eu l’espoir d’y parvenir à nouveau avec lui mais visiblement, Marcus en avait décidé autrement. Et ses excuses bidons la touchèrent plus qu’il ne le fallait cependant, elle garda la tête haute et les yeux secs de le voir se moquer d’elle de la sorte. Elle était une adulte maintenant, une future auror, loin de l’aiglonne naïve et sensible qui foulait avant les couloirs du château. « Si j’avais vraiment voulu te faire mal, crois-moi que tu le saurais » répliqua t’elle simplement, menace dissimulée qui n’en était pas vraiment une alors qu’elle avait réellement les capacités de le mettre ko si elle le voulait. Grâce à ses entrainements déjà et parce qu’il y avait fort à parier que dans cet état, le sorcier était une cible facile. Secouant la tête à sa remarque, elle dut réprimer un sourire – pas encore prête à lui accorder quoique ce soit de la sorte. « Un crétin bourré » surenchérit-elle-même en croisant les bras devant elle, non sans lui rappeler l’existence de sa conquête du soir. Involontairement, elle lui donna l’occasion d’en rajouter, de les comparer toutes les deux et elle haussa simplement un sourcil, se retenant de lever les yeux au ciel face à sa tentative ratée de séduction. Que Merlin lui vienne en aide parce qu’il lui en faudrait plus que ça pour se retrouver à nouveau dans les bonnes grâces de la Millers – si cela arrivait un jour. « Alors tu devrais continuer tes recherches, je suis sûre que tu finiras par trouver celle qu’il te faut » lâcha t’elle en se détachant de son regard bien trop appuyé et lorsqu’il conclut en disant qu’elle était de meilleure compagnie, elle revint accrocher ses iris – celles qu’elle s’était surprise à trouver captivante fut un temps – et laissa échapper d’un ton beaucoup plus peiné que cruel : « Il fallait y penser avant » Et elle n’avait pas vraiment besoin de préciser avant quoi. Il le savait. Bien sur qu’il le savait et ce, même s’ils semblaient bornés à éviter le sujet de manière directe. Et elle n’avait qu’une envie, V, c’était de s’échapper, de partir loin de lui, loin de leurs souvenirs, des si et des peut-être qu’il réveillait en elle mais une nouvelle fois et si la porte de sortie n’était qu’à quelques pas, elle ne parvenait pas à s’enfuir. Ce serait facile pourtant, elle n’avait qu’à quitter ce visage des yeux et rentrer chez elle. C’était facile alors pourquoi elle n’y arrivait pas ? Au lieu de ça, elle ignora sa dernière question, celle qui avait sans doute le plus de sens depuis ces retrouvailles et elle s’éloigna de la porte en le tirant par le bras. « T’as raison, viens, je vais te l’offrir ce verre » Et s’il ne devait pas s’attendre à ce changement radical de comportement, elle-même ne comprenait pas ce qu’elle faisait. Tirant l’une des grandes chaises/tabourets près du bar pour qu’il s’y installe, Vesper prit place à ses côtés – tout en laissant une distance respectable entre eux – et attira l’attention du barman en levant une main. Un sourire plus tard et elle commanda un cocktail, pas certaine de supporter un nouveau whisky, et ajouta « Un verre d’eau pour lui » le garçon derrière le bar attestant de son état d’ébriété et lui lançant un regard qui voulait dire are you okay miss ? auquel elle répondit d’un hochement de tête rassurant. « Tu as dit un verre, tu n’as pas parlé de son contenu » le défia t’elle quand elle s’aperçut qu’il semblait loin d’être ravi par ce coup bas. « Et c’est vrai. Je pensais qu’à défaut d’être de vrais fiancés, on était au moins des amis » Et qu'il tenait un minimum à elle. Inutile de préciser qu’elle avait cru, bien sûr, devenir aussi plus que ça quand elle se permettait de rêver. « Mais ce n’est plus important maintenant » Ou c’était ce qu’elle aimait penser, pour son propre bien. Paille dans sa bouche, elle but quelques gorgées de son gin tonic, l’américaine de naissance n’ignorait pas son regard sur elle et se contenta de lui dire « Bois. Je ne voudrais pas être accusée de non-assistance à personne en danger si jamais tu te désartibules en transplanant chez toi. Ce serait mal vu au bureau dans le cas où tu te souviendrais m’avoir vue » Et c’était la seule raison, évidemment.
(c) mars.

Marcus Flint
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- Dim 6 Mar - 19:22
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« Si tu savais ce qu’il se passe dans mes rêves Millers… » susurre-t-il un peu trop près du visage de la blonde, un sourire planant sur les lèvres. Une arrière-pensée indécente tout près de l’esprit qu’il parvient pourtant à repousser d’un miracle, il finit par se reculer et faire mine de regarder autour de lui. « Une autre ? Je n’en vois pas d’autres, y’a que toi. » est-ce que c’est comme ça qu’on drague une fille ou est-ce que Milo s’est encore foutu de sa gueule ? Est-ce qu’il est vraiment en train d’essayer de draguer V après tout ce qu’il s’est passé entre eux ou est-ce que ce n’est encore qu’une connerie de son invention pour jouer au con ? Même lui ne saurait le dire, il est simplement là habillé de son plus beau sourire et de sa plus belle idiotie sans se rendre compte combien il peut énerver l’apprentie-auror. C’est facile de jouer au con et de ne pas admettre ses fautes et Marcus met ça sur le compte de l’alcool ce qui est en partie vrai, mais il a surtout grand mal à gérer les émotions, surtout quand elles concernent les blessures infligées par ses propres actes. Il n’a pas conscience de dépasser les limites, d’aller trop loin et de s’enfoncer dans un jeu dangereux capable de faire encore plus de dégâts qu’il n’en a déjà fait. Il ne se rend pas compte et enfonce le clou, continue de provoquer, de débiter mille et une conneries à la minute qu’il oublie presque aussitôt. « Tu me menaces V ? Je trouve ça vraiment… » il ne finit pas sa phrase, mime une explosion de sa bouche et lève un sourcil révélateur avant de lever les mains pour se dédouaner de toute pensée qui pourrait traverser l’esprit de la blonde – il n’a rien dit après tout, il préfère laisser libre court à son imagination, lui ne s’en prive pas de son côté. Il fait la moue quand elle n’affirme pas qu’il est beau gosse, mais trouve réconfort dans l’idée qu’elle n’a pas nié non plus et s’il est tenté de rétorquer que l’autre blonde le trouvait beau gosse, elle, il s’abstient et préfère tenter un compliment dissimulé par de nouvelles insinuations. Il sait pas ce qu’une fille à envie d’entendre, et avec l’alcool coulant dans ses veines, il serait incapable de ne pas commettre une bourde en complimentant une fille, alors il se contente de sous-entendus à la con avec un air confiant que lui confère l’alcool. « P’t’être que je l’ai déjà trouvée. » surenchérit-il d’un air qu’il veut mystérieux en accrochant son regard avant qu’il n’éclate de rire sans trop savoir pourquoi, l’influence de l’alcool sans doute et son attention est déjà détournée par le bruit de sa bière vide. Il a la concentration d’un gosse de cinq ans et plus la soirée s’allonge, moins ça s’arrange et heureusement, Vesper est là pour l’accompagner, jusqu’à lui proposer de lui verre – enfin – Un sourire collé aux lippes, il la suit et alors qu’il s’apprête à sortir une nouvelle connerie indécente, il l’oublie aussi sec quand elle tire le tabouret et l’oblige à s’y asseoir. « Damn, quelle autorité Millers, j’adore » rigole-t-il en se laissant faire et en l’observant commander un cocktail pour elle… avant de demander un verre d’eau pour lui. « HEY » s’offusque-t-il en fronçant les sourcils, peu ravi d’une telle décision. « Pourquoi t’as le droit à un cocktail et pas moi ? » il boude, agacé de devoir se cantonner à de l’eau et repousse même le verre avec un geste de dégoût lorsque le barman le dépose devant lui l’air de dire ugh, jamais je touche ça moi. « C’est pas cool. C’est vraiment pas ce que je pensais quand je voulais que tu m’offres un verre. » il soupire en regardant son cocktail avec envie. « T'as une dette envers moi. » dit-il alors du plus sérieux des tons. Elle lui revaudrait ce verre, il s’en fait la promesse. Il écoute à peine lorsqu’elle reprend la parole, il a presque oublié qu’il lui a posé une question quelques minutes plus tôt et qu’elle décide enfin d’y répondre. Son pouls accélère et il décide finalement d’empoigner son verre pour aller s’y noyer, tout en gardant le silence sur ses révélations, plus perturbé qu’il ne voudrait l’admettre. Si l’alcool à le don de le rendre plus con, il a aussi le don de le désinhiber et lui donne envie d’obtenir son pardon, de faire naître un sourire sur un visage marqué par le traumatisme d’un abandon si violent. Il regrette, souvent, Marcus. Pas d’avoir fuit le mariage, mais plutôt la façon dont il a agi avec Vesper qui méritait tellement mieux. Le nez plongé dans son verre, il tente de trouver les mots justes sans toutefois les trouver, faute à l’alcool embrumant ses pensées. Ou simple faute à lui-même, l’idiot du village qui n’assume jamais rien. Et le temps qu’il réfléchisse à une réponse décente, Vesper change de sujet et attire son attention sur une poignée de mots qui viennent éclaircir son esprit et lui arracher un smirk. « Dans l’état où je suis, je vais clairement pas rentrer chez moi sain et sauf. T’imagines si j’atterris chez un moldu sans faire exprès ? Ou au milieu de la tamise ? Ce serait con quand même. » il rapproche un peu son tabouret d’elle et poursuit, dans un sourire qu’il veut charmeur. « Moi j’pense que tu devrais me raccompagner chez moi, pour être sûre que je rentre bien. Il pourrait m’arriver plein de trucs si je suis pas surveillé » et il repense à sa virée avec milo et alicia durant laquelle ils avaient atterrit dans un club échangiste, puis dans un after de mariage. Et s’il en fait des caisses pour passer un peu plus de temps avec V, il y a une part de vérité dans ses mots ; il ne sait pas s’il pourra rentrer seul. « J’ai du gin en plus à l’appart. » il se retient d’ajouter une remarque graveleuse sur la chaleur de son lit et commence déjà à se lever et à se diriger vers la porte de sortie, en priant Merlin qu’elle décide de le suivre et de le raccompagner chez elle. A l’extérieur, ils s’allume une clope qu’il allume du bout de sa baguette avec quelques difficultés, tout en se demandant ce qu’il est en train de foutre. Il se reconnaît pas, il sait pas à quoi il joue avec V mais l’avoir revue, ce soir, ça l’a perturbé.
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Vesper Millers
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- Jeu 31 Mar - 17:52
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Son souffle à seulement quelques centimètres de son visage, elle retenait sa respiration, Vesper, dans l’espoir de ne pas flancher. Marcus n’était pas lui-même, il avait bu et l’alcool l’entraînait à user de ses phrases pour l’énerver ; c’était en tout cas ce qu’elle se répétait dans sa tête, certaine qu’il ne pensait aucune de ses paroles. Le genre de paroles qui, mieux choisies, aurait sans doute pu la faire craquer dans un autre contexte parce que les mots doux étaient sa principale faiblesse et que malheureusement elle s’était faite avoir plus d’une fois. Et elle comptait le sorcier parmi ceux-là puisque finalement, il ne lui avait jamais expliqué les raisons de sa fuite. Avait-elle fait quelque chose de mal, dit quelque chose qui lui avait déplu ? Ou pensait-il qu’elle n’était simplement pas assez bien pour lui, comme elle n’avait jamais été une fille assez bien pour sa mère ou assez jolie et intéressante pour ce crétin de serpentard en septième année. Des pensées refoulées au second plan après des mois à se torturer l’esprit mais des souvenirs aussi que cette rencontre avec Marcus faisait remonter à la surface bien malgré elle. Alors elle ne trouva rien de mieux à faire que lever les yeux au ciel devant ses remarques plutôt que de se fier à sa voix, à ce qu’elle pourrait dire et regretter par la suite. Mais il la provoquait encore et elle était incapable de garder le silence, V, de ne pas surenchérir. Il prenait certainement cet échange comme un jeu et elle aurait dû arrêter là, le laisser avec sa prétendante et rentrer chez elle en oubliant qu’elle l’avait revu… oui elle aurait dû. « Mon dernier copain adorait ça lui aussi » décida t’elle de lui répondre, un peu pour le surprendre, beaucoup pour le taquiner, laissant totalement planer le mystère quant à la véracité de ses propos. Admettre qu’elle était apprentie-auror attirait bien souvent ce genre de commentaires et l’américaine avait appris à s’en amuser – quand ceux-ci restaient bon enfant. Lorsqu’il se rapprocha encore d’elle pour lui faire la confidence d’avoir peut-être déjà trouvée celle qu’il recherchait, Vesper resta accrochée à son regard de longues secondes, le palpitant suffisamment tourmenté pour accélérer ses battements mais il éclata de rire et elle laissa échapper un grand soupir pour se ressaisir. « Stop it » Il plaisantait, bien sûr qu’il plaisantait et si elle gardait ce fait en tête alors peut-être parviendrait-elle à survivre à cette soirée. Et pourtant malgré ses rires et son manque de sérieux, elle annonça : « Je ne suis plus la même qu’avant » C’était en tout cas ce qu’elle voulait croire. Mais elle voulait qu’il comprenne qu’il l’avait blessée et qu’elle en était ressortie plus forte. Sa formation avait été d’une aide précieuse parce sa peine et sa frustration s’étaient traduites par des heures de travail supplémentaires d’entraînements intenses alors oui, en quelque sorte, elle était différente. Plus autoritaire aussi apparemment comme il venait de le préciser mais elle l’ignora et s’adressa plutôt au barman pour commander leurs verres. La réaction du Flint ne se fit pas attendre pour l’eau qu’on lui présentait désormais et cette fois, elle ne put se retenir de rire, fière de son petit manège. « Oh je ne sais pas… peut-être parce que toi, tu sembles avoir déjà bu le double, si ce n’est pas le triple, de ce que moi j’ai pris depuis mon arrivée ? » proposa t’elle sur un ton supérieur qui se voulait tout de même innocent. Quand il réitéra sur le fait qu’elle lui devait un vrai verre, elle posa les iris sur lui et capitula. « Très bien, faisons un marché. Si demain tu te rappelles de cette discussion, fais-le moi savoir et je te l’offrirai ce verre » Avant d’ajouter : « Même si je ne te dois rien du tout » C’était un pari risqué dans le fond parce qu’elle ne prévoyait pas de le revoir de sitôt mais qu’avec ce deal, c’était tout le contraire qui arriverait. Sa question plus sérieuse la déstabilisa plus qu’elle n’osa le montrer et elle tenta de répondre en faisant preuve d’indifférence quand son cœur lui criait d’arrêter de se rappeler ce jour-là, ce moment particulier qui l’avait empli d’incompréhension, de honte aussi devant leurs deux familles. Et tout ce qui avait suivi. Attendant une réaction de la part du brun qui ne vint jamais, V l’incita finalement à boire, ce qu’il fit non sans une grimace qui afficha un sourire sur les lèvres. « Ce serait… regrettable » abusa t’elle en hochant la tête. « Pour les moldus en question évidemment » Non pas pour un plongeon gratuit dans la Tamise. Il approcha à nouveau et elle laissa d’abord ses yeux rivés sur son verre sachant que si elle tournait la tête, la distance entre leurs deux visages serait restreinte… puis il ajouta quelques mots et inconsciemment, elle fit juste ça. Son regard quitta ses mains pour plonger trop naturellement dans le sien, leurs fronts seulement séparés de quelques centimètres et elle ne respirait plus normalement V, il était trop près pour ça. Ses prunelles d’un marron doré glissèrent jusqu’à ses lippes mais elle les força à s’en détacher tandis qu’elle essayait d’assimiler ce qu’il disait, les pensées visiblement ailleurs. Elle dut se racler la gorge pour revenir à elle, à lui, et haussa seulement un sourcil à l’évocation du gin. Peut-être pensait-il que ça suffirait à la faire venir. Et peut-être avait-il raison. « Très bien. J’aurais au moins besoin de ça pour te supporter » exagéra t’elle sans mal. Il n’avait pourtant pas attendu une réponse positive de la belle puisqu’il s’éloignait déjà et qu’elle sortit des gallions de son mini sac à main pour les poser sur le bar, hocher la tête en direction du barman et le retrouver dehors. Ce plan avait tout d’une mauvaise idée, elle le savait, mais cela ne la retenait pas. Le sorcier était encore là, une cigarette à la bouche et refusant de lui attribuer un quelconque triomphe, elle se justifia rapidement : « Je suis une personne décente ET je travaille pour la sécurité magique, ce sont les seules raisons pour lesquelles je fais ça, ne te fais pas d’illusions Flint » C’est qu’elle était presque convaincante, n’est-ce pas ? Après lui avoir demandé le quartier où il habitait, elle lui attrapa le bras pour transplaner, prenant évidemment soin de ne pas les blesser dans le processus, ce qui n’aurait pas été si facile avec la même quantité d’alcool dans le sang que Marcus, elle en était certaine – ou une nouvelle fois, elle se dédouanait de toute réelle envie d’être là. L’appartement atteint après quelques minutes de marche, elle entra, se retenant d’observer le moindre détail comme elle le faisait tout le temps, et même si elle avait évoqué la possibilité de boire un dernier verre ici, Vesper le sentait d’un coup beaucoup moins. « Je devrais y aller maintenant » déclara t’elle en regardant la porte qu’ils venaient de franchir. Il était chez lui sain et sauf, sa mission était terminée et elle n’avait rien à faire là. Il valait mieux partir tout de suite.
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Marcus Flint
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- Jeu 21 Avr - 18:25
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Marcus se rembrunit un peu à la mention de l’ancien copain de V et fait la moue, peu amusé par cette nouvelle intervention de la blonde et si une voix lui souffle qu’il le mérite, il interrompt brièvement sa connerie dans sa surprise pour mieux faire renaître le sourire un instant plus tard. « Tout ce que j’entends, c’est qu’tu parles au passé. » d’un haussement d’épaules qui se veut nonchalant, il lui offre un sourire charmeur. Il la rend folle et il ne s’en rend pas bien compte, continue de pousser plus loin sans même se douter un seul instant de ce qu’il provoque en elle. Il joue à l’imbécile, c’est ce qu’il a toujours fait et c’est ainsi qu’il fonctionne le mieux. L’alcool coulant dans ses veines ne l’aide pas non plus à avoir les idées claires et à garder un semblant de vision sur la situation et c’est aussi pourquoi il ne comprend pas les limites et continue d’enchaîner. Elle annonce ne plus être la même qu’avant et s’il ne comprend pas la réflexion et qu’il y répond par un simple haussement d’épaules, il plisse toutefois les yeux pour tenter de voir ce qui a changé. Son sourire est toujours le même en tout cas, ce froncement de sourcils n’a pas non plus changé et la façon qu’elle a de le regarder mi-désespérée mi-amusée, c’est resté le même aussi. Il se contente d’un regard suggestif accompagné d’un sourire en coin l’air de dire « tu es sûre ? » mais ne dit mot, se contente de la suivre à travers le bar pour qu’elle lui offre un verre. Et quelle déception quand il comprend qu’il ne s’agit que d’un foutu verre d’eau, liquide qui a le don de le faire grimacer. « C’est carrément une insulte de boire de l’eau en soirée. » grimace-t-il en repoussant le verre alors que le sourire renaît à la réflexion de la blonde. « Deal » s’empresse-t-il de dire avant qu’elle ne se ravise. « Je compte pas oublier tout ça. » et il tapote le coin de son front pour accompagner ses mots, comme s’il gravait cet instant dans son esprit. Et pour l’encourager à ne pas revenir sur sa parole, il vient même boire le verre d’eau pour lui prouver sa bonne foi, toujours dans un sourire en coin. Yeux levés vers le ciel à la mention des moldus, il soupire bruyamment et dramatiquement et lève une main vers son cœur et mime une tombée à la renverse, comme touché à mort par son manque de considération pour sa pauvre petite personne. Il fait la moue mais ne rétorque rien, garde le silence tandis que leurs visages se rapprochent de plus en plus à tel point que l’ancien serpent pourrait presque sentir son souffle sucré caresser sa peau. Seuls quelques centimètres les séparent et si Marcus n’en a pas totalement conscience, son cœur rate un battement face à cette proximité pour le moins perturbante. Il ne sait plus trop à quoi il pense, si près d’elle et (mal)heureusement, V est la première à rompre le contact en s’éloignant. Sourcils froncés, Marcus met ça sur le fait de la remarque de l’ancienne aiglonne et clairement pas sur ce qu’il aurait pu se passer s’ils ne s’étaient pas éloignés. L’atmosphère devenue étouffante et le désir de rentrer chez lui revenu l’empoigner, Marcus s’éloigne sans demander son reste, la respiration presque coupée en attendant de savoir si V le suivrait et quand il la voit enfin sortir du bar, il esquisse un nouveau sourire. Il lève les mains en l’air en signe d’innocence mais ne se défait pas de son sourire. « Bien sûr Millers, tu ne fais pas du tout ça parce que tu ne peux plus te passer de moi. » il lui adresse un clin d’œil et se rapproche d’elle pour s’accrocher à son bras, et quand elle les fait transplaner, il manque de tomber à l’atterrissage, secoué par un vertige et une nausée. « Ugh… Je boirais plus jamais. » conneries, il se ferait probablement plaisir dès le lendemain, une fois que Milo serait à nouveau libre de sortir. Arrivés à son appartement, il court pour la devancer et lui ouvrir la porte tel le gentleman qu’il n’est pas vraiment. « Madame. » poussé par l’alcool, il en fait des tonnes et entre à sa suite dans son appartement qu’il referme derrière lui et se satisfait d’avoir pensé à ranger ce matin car, à part quelques lettres, babioles et son nécessaire à balai, rien ne traîne. Marcus  se place devant la porte, au cas où elle voudrait s’enfuir sans penser une seconde qu’elle pourrait tout simplement transplaner et que rien ne la retient ici désormais qu’il est en sécurité. « Mais t’as pas envie de partir, avoue. » il lui offre un nouveau sourire charmeur en constatant qu’elle ne fait pas le moindre mouvement pour s’en aller. Alors il se rapproche d’elle d’un pas, puis d’un autre et vient jouer avec une mèche de ses cheveux. « Qu’est-ce qui t’retiens ? » il continue de sourire, puis finit par faire tomber sa mèche pour se détourner d’elle et se diriger avec confiance vers son canapé dans lequel il se laisse tomber. Il bâille une première fois mais tape la place vide à ses côtés pour inciter Vesper à s’y asseoir. « Reste encore un peu. » il bâille à nouveau et  grogne quand il comprend que la fatigue s’abat sur lui de façon aussi soudaine. Un coup d’œil à son horloge lui apprend que la nuit est bien avancée et couplée à son taux d’alcool, il n’y a pas à chercher loin la source de cette fatigue. Il la sent s’asseoir à côté d’elle et commence à poser sa tête sur son épaule et pourtant, il lui demande presque aussitôt de se relever : « Tu sais ce verre que je t’ai promis ? J’irais bien le chercher moi-même mais je suis beaucoup trop bien ici. » les yeux à demi-clos, il les rouvre pour les tourner vers elle et lui offrir une expression qui se veut adorable mais qui ressemble sans doute plus à une grimace. « La cuisine est par là » dit-il en montrant un mur du doigt qui n’est clairement pas la cuisine, signe qu’il n’est même plus en état de se retrouver dans son propre appart. Il entend vaguement la blonde prononcer quelques mots et la sent se lever mais avant qu’elle ne s’éloigne, il attrape son bras pour la retenir. « Tu reviens hein ? » il demande d'une voix lointaine, perturbée par la boisson et le sommeil, pour recevoir confirmation qu’elle n’en profiterait pas pour fuir et une fois reçue, il s’installe plus confortablement dans le canapé en s’allongeant de tout son long et habillé de son plus beau sourire, ferme les yeux juste le temps d’une petite seconde pour éloigner un début de tournis. Il bâille une nouvelle fois et les bruits de la cuisine se font de plus en plus lointains, indistincts. Il résiste, longtemps. Il mène une lutte acharnée contre le sommeil qui ne désire que l’emporter, inquiet de voir Vesper s’enfuir et à force de s’entendre penser de ne pas s’endormir, il finit malgré lui par sombrer, emporté par les songes de Morgane à la chevelure de blé et aux yeux bien trop rappelant ceux d’une ancienne aiglonne.
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Vesper Millers
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- Jeu 28 Avr - 18:11
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D’un ton qu’elle souhaitait détaché, la blonde lâcha un « Evidemment » indifférent. Elle ne savait pas à quoi s’attendre en mentionnant un probable ex-copain mais sans doute qu’inconsciemment, elle avait à cœur de lui montrer qu’elle s’était remise de leur histoire à peine commencée certes mais qui aurait dû durer toute une vie. Et si Vesper pensait réellement avoir oublié Marcus sous une tonne de travail, de garçons lambdas ou plus récemment grâce à un été des plus amusants et mouvementés en compagnie d’un certain irlandais apprécié, le revoir ce soir après tant de mois à essayer d’ignorer son existence la perturbait bien trop pour pouvoir l’affirmer totalement. Elle voulait croire qu’il ne s’agissait que d’un sentiment passager, que demain elle ne se souviendrait plus de rien mais il y avait plus de chance que ce soit le Flint qui perde la mémoire cette nuit, quantité d’alcool dans le sang aidant. Il semblait pourtant déterminé à se rappeler de ce verre promis non sans s’être plaint au préalable de l’eau qu’elle lui avait faite servir et cette attitude l’amusa grandement. Du moins jusqu’à ce que le sorcier se rapproche à nouveau, distance entre leurs deux visages presque invisible et qu’elle sente son traître de cœur s’emballait à cette proximité. Depuis leur première rencontre, elle l’avait trouvé attirant, Marcus, et si elle pensait sa propre remarque superficielle, ce n’était pas quelque chose qu’elle pouvait ignorer à l’époque chez son futur époux. Il était beau, il plaisait aux femmes et le savait, l’arrogant, et même s’il manquait parfois de bon sens dans sa façon d’aborder les sorcières, elle avait été charmée, V, peut-être parce qu’elle était facilement séduite ou peut-être parce qu’il s’agissait de lui, du côté spécial qu’il représentait pour elle. Elle n’en savait rien, l’auror, elle ne savait plus rien du tout et ce fut certainement cette réflexion qui l’aida à rompre le contact visuel et se reprendre, ne pouvant le laisser l’atteindre si aisément. Elle ne méritait pas de souffrir encore lorsqu’il partirait et l’oublierait dans les bras d’une autre en un claquement de doigts. Il lui était difficile de poser à nouveau les yeux sur lui et elle se contenta de regarder son verre en tentant de calmer les battements de son palpitant grâce à des inspirations contrôlées. Heureusement il quitta sa place à côté d’elle puis le bar mais ne pouvant se résigner à le laisser rentrer seule, la Millers le rejoignit, levant les yeux à ce sourire victorieux qu’il arborait bien sûr. « On est pas toutes folles de toi, Marcus, redescend sur Terre » s’obligea t’elle à ajouter à sa suite avant de transplaner sans penser une seule seconde au fait que le voyage le rendrait malade. Mais c’était bien fait, après tout, avait-il vraiment eu besoin de boire autant ? Alors l’image lui arracha un sourire immoral plutôt que fautif et elle secoua la tête à ses prochains mots. « Jamais jusqu’à la prochaine fois, oui » Il était jeune, insouciant et à le voir comme ça, Vesper l’enviait presque pour cette légèreté. Porte de l’appartement du garçon franchi, elle réalisa à quel point l’idée de le raccompagner n’était pas bonne et en grande partie parce qu’ils étaient désormais seuls dans un environnement différent, plus calme que le bar bondé où la musique les couvrait. Plus de son assourdissant dans les oreilles, plus de chaleur non plus même si elle n’avait pas froid, se sentant étrangement plutôt bien dans cet endroit qui n’était pas le sien et qu’elle découvrait pour la première fois. Loin du manoir dans lequel il vivait auparavant, celui-ci qu’elle avait trouvé ridiculement grand pour quatre personnes mais qu’elle aurait inévitablement habité un jour, elle s’apprêtait à lui faire une remarque sur la décoration avant de se reprendre et annoncer son départ. Juste l’annoncer, incapable de choisir de se rapprocher de la porte que de toute façon, il bloquait par sa présence, incapable de bouger aussi lorsqu’il amorça un pas dans sa direction et qu’il attrapa une mèche de ses cheveux entre ses doigts. Pourquoi lui faisait-il encore autant d’effet quand elle aurait dû le détester pour leur passif ? « J’en – j’en sais rien » C’était là la grande question à vrai dire, celle à laquelle la blonde ne pouvait donner d’explication parce qu’elle n’en avait pas. Elle soupira, soulagée, quand il décida de l’abandonner pour son canapé, sans doute rattrapé par la fatigue. Ses bâillements ne firent que confirmer cette hypothèse malgré tout elle s’installa à ses côtés, le regard fuyant en se rendant compte qu’elle agissait contre tous ses principes. Elle aurait dû déguerpir au moment où il était entré sain et sauf, Vesper, pas le laisser avoir cette emprise intangible sur elle. Son corps se tendit instinctivement à l’instant où il posa sa tête sur son épaule et avant qu’elle ne puisse se lever pour échapper à ce nouveau contact, Marcus lui offrit sa porte de secours sur un plateau d’argent en lui proposant ce fameux verre de gin. « Tu m’invites et c’est moi qui dois me servir ? » Elle haussa un sourcil, plus amusée que vexée par ses manières, se demandant si, sobre, il aurait eu la même réaction. « J’ai toujours dit qu’ils auraient dû ajouter des cours de galanterie à Poudlard » plaisanta t’elle en quittant le canapé mais retenue par la main du sorcier, l’apprentie-auror se stoppa net, totalement prise au dépourvue par sa requête mais surtout la vulnérabilité qu’elle descellait dans sa voix, dans ses gestes. Sensible à cette émotion, la seule qu’elle avait eu l’impression de voir ce soir parce que les autres camouflées par son ivresse, elle hocha doucement la tête, désarmée, dans l’incapacité de répondre autre chose que le « Je reviens » qu’il attendait. Elle se sentait idiote de ne pas pouvoir dire non et de s’enfuir comme une voleuse après le mal qu’il lui avait fait mais Marcus Flint aurait visiblement toujours une place particulière dans son cœur, qu’elle le veuille ou non. Cuisine trouvée – et pas grâce aux indications du sang-pur – elle profita de cette pause pour se remettre les idées en place et au lieu de se servir du gin comme initialement prévu, Vesper opta raisonnablement pour de l’eau fraîche. Elle resta quelques minutes à peser le pour et le contre de sa présence ici, le genre de liste que l’ancienne aiglonne faisait régulièrement dans les situations compliquées – et quand le temps le lui permettait – mais elle n’y arrivait pas et revint finalement vers le salon les mains vides. Ouvrant la bouche pour parler, la Millers la referma simplement à la vue de Marcus, désormais allongé sur le canapé et les yeux fermés. « Marcus ? » Le silence comme seule réponse, elle s’approcha du brun et s’assit sur le bord au niveau de ses genoux, regard se perdant sur son visage endormi. Il avait l’air si calme, si serein dans son sommeil qu’involontairement, elle eut un sourire tendre à cette image qu’il lui offrait sans le savoir. Dans un geste tout aussi délicat, V posa une main sur son front pour dégager inutilement ses cheveux vers l’arrière. Il ne bougea pas, un simple soupir lui échappant des lèvres et ce fut la nostalgie qui s’empara rapidement de la blonde. Celle de ce temps où ils apprenaient à se connaître, à s’apprécier ; de ce temps où elle avait cru que oui, ils pourraient être plus que deux sorciers entraînés dans un mariage forcé. Emotions avec lesquelles elle n’avait pas la force de traiter maintenant, elle se releva en prenant soin de ne pas le réveiller et d’un sort d’attraction, elle sollicita un plaid venu tout droit de ce qu’elle imaginait être sa chambre et le couvrit avec. Ses iris s’accrochèrent une dernière fois à lui et sans réaliser ce qu’elle faisait vraiment, Vesper lui embrassa la joue. Le « I missed you » quitta ses lippes sans son consentement et avant de laisser une chance à son cerveau d’analyser ses paroles, elle attrapa sa baguette et disparut dans un « pop » pour son propre appartement. La soirée avait été longue, éprouvante et elle avait besoin de dormir elle aussi.

FIN
(c) mars.

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