@hannah abbot
môme paniqué s'est enfuit à la première occasion, se retrouve avec une anxiété qui ne cesse de grandir. les cent pas sont faits, de part et d'autre de la chambre. une fois. deux fois. ça ne suffit plus. encéphale anesthésié, conscience qui semble s'être envolée, sentiments chamboulés qui cognent contre la poitrine, semblent l'étouffer. mine peinée qu'il arbore en descendant les escaliers du manoir, orion erre comme une âme désabusée. parce que y'a ce truc. ce truc qui refuse de le lâcher, alors qu'il est là orion, à tenter de le dégager. mais rien n'y fait, y'a ce doute qui est collé à lui et qui refuse de s'en aller. puis y'a ce dilemme qui l'embête, ce choix qu'il doit s'efforcer de faire, alors qu'il n'en est même pas capable. plus capable. lui, le môme qui dirige avec sa raison ne peut pas se permettre de laisser son cœur contrôler tout ça. c'est pas possible, ça se fait pas. et sans doute que si il en parlait à sa sœur, elle lui dirait, mais t'as vu jouer ça où? et sans doute qu'il ne répondrait pas. les soutiens sont loin, à l'autre bout de la terre et la solitude commence à prendre place sous son plexus. oh, souvent, c'est comme ça. mais pas quand jax est là, mais jax n'est pas là. moue triste qui se forme sur son visage face à cette pensée, douleur vive, comme si on lui avait arraché sa moitié. mais c'est pas normal hein? de ressentir ça pour son meilleur ami? pour celui qu'on considère comme son frère? orion devient furie, se presse en direction du salon, là où il est certain de la trouver. hannah. c'est drôle qu'ils soient restés amis, faut dire qu'en première année, orion avait un sacré crush pour elle. mais c'est du passé. abbot a toujours été là pour lui, et l'inverse est vrai, c'est donc tout naturellement qu'il se dirige vers elle. sans réellement savoir comment se comporter. mais c'est plus fort que lui, le lion est turbulent, pile électrique qu'on ne saurait stopper. rapidement, un peu emballé, il l'aperçoit, lance son regard spécial krum aux élèves présents dans la pièce pour qu'ils partent, et enfin, les voilà seuls. tu tombes bien. faut absolument que j'te parle d'un truc! le ton est grave, paraît si sérieux qu'on pourrait croire qu'une catastrophe s'est produite. mais rien de tout ça, c'est juste qu'orion a un crush et qu'il sait pas comment faire. timidement, il guette sa réaction, s'rend bien compte qu'il l'a interrompu dans sa lecture, et que pour ça, elle pourrait très bien décider de ne pas lui parler. alors, il attend, il attend, espère qu'elle ne le rejettera pas.

Confortablement pelotonnée dans l’un des fauteuils moelleux du salon du manoir islandais, Hannah ne prête pas beaucoup d’attention aux personnes qui l’entourent. Il faut dire qu’ils ne sont plus très nombreux, à cette heure-ci, à traîner encore dans le living-room. Ses amis sont déjà allés se coucher, si bien que la jeune femme se retrouve un peu isolée des quelques élèves encore présents. Mais ça ne la dérange pas du tout, bien au contraire. Si Hannah ne s’est pas encore faufilée dans son dortoir, c’est justement (et un peu paradoxalement) parce qu’elle sait que c’est encore assez bruyant là-bas. Elle voulait un endroit relativement tranquille, pour pouvoir lire un peu. La sorcière n’a jamais été une grande lectrice : petite fille, les livres qui lui plaisaient étaient principalement consacrés aux créatures magiques. Aujourd’hui, les choses n’ont pas beaucoup changé, en-dehors du fait qu’une autre passion est venue se greffer depuis plusieurs années déjà, à savoir la cuisine. Elle est donc plongée dans un livre de cuisine, dans un bouquin de spécialités islandaises plus précisément. Elle se réjouit déjà des idées qu’elle pourra proposer à son père en rentrant. Comme c’est un livre que Susan lui a acheté sur le marché du village, Hannah met ses marques là où elle le souhaite afin de pouvoir retrouver ses recettes favorites. Plongée en même temps dans ses pensées, la huitième année sursaute au moment où elle entend une voix familière s’adresser à elle. Il lui faut deux ou trois secondes pour sortir de son monde rempli de sucre, de matières grasses et de farines en tous genres. « Oh, bonsoir Orion. » Hannah est étonnée de constater que c’est désormais le seul autre élève présent dans le living-room. Son regard surpris ayant parcouru les environs revient désormais sur le brun. « Waow, il est si tard que ça ou c’est toi qui as fait fuir les autres ? » La blairelle le taquine un peu, mais c’est peut-être uniquement parce qu’elle le sent assez tendu. Il a l’air plutôt préoccupé, et elle se demande bien de quoi il peut s’agir. « Je suis toute ouïe. » Il paraît presque timide posté debout devant elle, attendant de voir sa réaction, ce qui la fait sourire. D’un air engageant, Hannah tapote le fauteuil situé à côté. Elle a l’habitude de recueillir les confidences d’Orion et de partages les siennes par la même occasion. Mais comme à chaque fois ou presque, elle ne peut s’empêcher de s’inquiéter un peu. Afin de se concentrer sur la discussion, la pâtissière referme donc le livre dans lequel elle était plongée, le posant à côté d’elle avant de serrer un coussin contre son ventre pour se mettre à l’aise. Puis Hannah se tourne vers le jeune homme, afin de lui montrer - si jamais il ne le savait pas encore - qu’elle était là pour lui. « Qu’est-ce qui se passe ? Rien de grave, j’espère ? » La blonde connaît Orion depuis leur toute première année, même si au début ils n’étaient pas réellement proches. Il faut dire qu’en tout ce temps, leur relation en a fait, du chemin. Rien d’étonnant donc à les retrouver ensemble dans ce living-room à l’étranger, s’apprêtant sans doute à discuter de sujets sérieux.

@hannah abbot
entrée grandiose, comme à son habitude, krum ne fait pas les choses à moitié. il est pressé, cherche comment se réconforter. jamais habitué à ressentir tout ça, il n'a pas cessé de faire les cent pas, de marcher, d'essayer de se vider la tête. mais rien n'y fait, ses pensées divaguent à chaque fois sur jax. c'est la première fois que ça le touche autant, avec le temps, c'est plus difficile d'y mettre de la distance et plus il tente d'y échapper, plus c'est pire.
alors, il a pris une décision. tenter de se confronter à ses pensées. peu de personnes à qui il pouvait en parler, trop compliqué qu'il pense, ou alors c'est encore une excuse, une façon de se défiler. mais c'est trop tard, il est déjà dans le salon, les deux pieds bien ancrés dans le sol, à avoir fait fuir les autres élèves. c'est une furie le lion, le regard ombreux hérité du pater, il lui ressemble parfois, encore plus lorsqu'il se met à user de sa légère notoriété pour faciliter les choses. ça a toujours été comme ça, les choses ne changent pas. face à hannah, qu'il observe à présent, il ne sait plus quoi dire. la folie furieuse qui l'habitait s'est tue. le voilà muet, à hésiter, à choisir ses mots avec la plus grande des précautions. c'est probablement moi, j'avoue. il hausse les épaules, s'installe non loin d'elle, et baisse le regard, reprend son souffle, tente de canaliser ses pensées intrusives. à vrai dire, il voudrait bien tout lui déballer là; d'un coup, mais il peut pas. l'égo est trop fort, prend le dessus sur tout, si bien qu'il en devient pudique. pourtant hannah est douce, de bon conseil et puis, pas du genre à juger. il s'en souvient, elle a souvent été là pour elle, passant de connaissance à amie en peu de temps. et voilà, il se lance, jette un regard aux alentours pour vérifier que personne n'écoute. je crois que j'aime bien quelqu'un... j'en suis pas certain. il n'ose même pas affronter son regard alors il observe le sol, le parquet usé et les rayures qui y sont apposées. rien n'est jamais simple, encore moins quand ça le concerne, il s'est fait à l'idée. maudit, comme tous les krum, aucune chance en amour, il finira probablement par se marier avec quelqu'un qu'il n'aime pas. parce qu'évidemment, jax n'voudra pas de lui. c'est un ami. je sais pas quoi faire, c'est la première fois que ça m'arrive. il soupire avant de passer la main dans ses cheveux et se jouer avec sa chevalière sur laquelle se trouve ses initiales. je panique. faut que tu m'aides? je dois faire quoi? lui dire? pas lui dire? tenter? m'dire d'avance que c'est perdu? à cet instant, il plonge ses yeux dans les siens, implore son aide silencieusement. il sait déjà d'avance pourtant qu'elle aura les mots, saura quoi faire.



Son intermède plein de quiétude consacrée à la partie culinaire du folklore islandais désormais terminée, Hannah n’a pourtant pas l’impression d’être dérangée. Mais si Orion avait l’air pressé de lui parler, il a désormais presque l’air penaud. Il est visiblement hésitant, et la jeune Abbot se demande s’il regrette déjà d’avoir ouvert la bouche ou alors s’il réfléchit simplement aux mots à employer. En attendant, elle reste silencieuse, afin de lui accorder toute la latitude dont il a besoin pour s’exprimer. Elle se contente de sourire d’un air amusé quand il avoue que c’est probablement de sa faute si les autres élèves ont déserté le living-room. Elle ne le pense pas réellement, c’était surtout une plaisanterie - mais il faut bien avouer que la présence du Krum a toujours été imposante, dans le sens où sa présence dans une pièce passe rarement inaperçue. Mais elle, elle le connaît depuis longtemps : elle distingue ses failles, ses faiblesses, presque aussi bien que ses qualités. Pendant qu’il s’installe à côté et qu’il baisse le regard en ayant visiblement l’air d’être toujours dans ses pensées, Hannah l’observe. Elle a presque l’impression de reconnaître en avance des tourments d’une nature bien particulière, alors elle n’est pas spécialement étonnée au moment où le jeune homme lui avoue ce qui le tracasse. La suite ne la surprend pas non plus vraiment, dans les sens où ce serait loin d’être la première fois que des sentiments amicaux se transforment en sentiments amoureux. Toujours silencieuse, elle l’écoute jusqu’au bout, tout en réfléchissant. C’est toujours un sujet délicat : elle ne veut pas lui conseiller n’importe quoi. S’agitant légèrement sur son fauteuil, elle prend quelques secondes avant de commencer à formuler une réponse. « C’est normal d’avoir peur et d’éprouver des doutes, je pense qu’on passe tous par là. Déjà, il faudrait peut-être que tu saches avec certitude ce que tu éprouves ? Le fait que tu es là pour en parler, c’est déjà un signe que ça te tient à coeur. Mais avant que tu fasses quoi que ce soit, ce serait bien que ce soit… Euh… À peu près clair dans ton esprit, même si c’est jamais évident. » La Poufsouffle est bien placée pour le savoir. Combien de fois n’a-t-elle pas nié ses sentiments, tenté de refouler ses émotions, tout ça pour ne pas prendre le risque de souffrir ? C’est arrivé avant qu’elle débute ses relations amoureuses passées, et celle du présent. « Ensuite… J’imagine que ça dépend surtout de ce que tu veux. Il y a toujours un risque, bien sûr, que ce ne soit pas partagé. Et quand c’est un ami, on appréhende que les choses ne puissent plus être comme avant après des aveux de ce genre. » Hannah discerne sans souci les préoccupations que ça soulève. « Et d’un autre côté, si tu gardes ça pour toi, il y a de fortes chances que ça finisse par ressortir d’une manière ou d’une autre. J’imagine que quand des sentiments sont impliqués, il y a toujours une part de risque. Est-ce que tu es prêt à le prendre ? » La blonde n’attend pas nécessairement de réponse, la question se pose surtout à Orion lui-même. « Je pourrais jamais te dire ce que tu dois faire, parce que ça dépend de ce que tu veux. Mais je peux te parler de mon… Expérience, si on peut dire. Parfois, le risque vaut la peine d’être pris. On peut jamais savoir avec certitude quelle sera la réaction de l’autre et c’est stressant, mais… Ça peut aussi donner de très belles choses. Et au moins, on évite les regrets, et les questionnements. C’est moi qui ai invité Neville pour un premier rendez-vous et si je ne l’avais pas fait, je serais passée à côté d’une très jolie histoire et j’aurais continué à me torturer dans ma tête. »

voilà que les étudiants ont pris la fuite, sont partis si brusquement qu'il n'a vu que leurs ombres se mouvoir. de sa faute, oui sans doute, aura lunaire qui colle à sa peau, regard noir hérité de ses ancêtres, il est de ceux qui font peur sans aucun mots. mais sous l'énervement montré, c'est l'anxiété qui domine, véritable boîte de pandore qu'il se lasse de trimballer, anxiété dévore et peur s'invite à chaque fois. rien ne fait plus sens ces derniers temps, rien n'est logique, le cœur dicte et la raison semble le suivre, jeu mystérieux auquel il joue sans même s'en rendre compte. ou peut-être qu'il le sait, mais ne veut pas l'avouer. c'est nouveau les sentiments, c'est nouveau d'entendre les pensées qui se mélangent, qui s'effacent pour n'être qu'un tas morcelé. il hésite, finalement, voudrait prendre la fuite, s'en aller, se barrer, ne plus rien penser. mais c'est trop tard, alors quand hannah est en face de lui, il se tait. n'ose plus. ne veut plus. ne peut pas exprimer ce qu'il ressent. ça en est presque douloureux, de tout dire. douleur à la poitrine s'accompagne de palpitations, d'un rythme cardiaque qui se fait effréné. boum. boum. et ça cogne. ça ne s'arrête plus. c'est comme ça depuis le premier jour, finalement. mais il ne veut plus se mentir, orion, ne peut plus, encore plus quand chaque moment passé à côté de l'être aimé est une torture, une mascarade qui grignote sa sanité chaque jour un peu plus. tu crois? c'est possible d'en être sur à 100%? j'veux dire, j'en suis certain, mais et si je me faisais des idées? et si tout était dans ma tête... mais en même temps, il me rend heureux. mais pas heureux, plus heureux heureux heureux, du genre rien que de le voir, ça me rend heureux pour la journée. se tait, l'impression d'en avoir trop dit, d'être ridicule à chaque fois qu'il ose en parler, mais le voilà, redevenu enfant, se perd dans la naïveté des jeunes enfants. écoute hannah avec attention, pèse le pour et le contre dans sa tête, se laisserait bien guider par la solution de facilité. j'ai peur. mais je crois que oui. mais ça m'tuerait de perdre ce que j'ai avec jax. oups? trop tard, prénom dévoilé alors les prunelles s'affairent à regarder à côté, ne peuvent confronter le regard de la blonde. ce serait juste bête que d'autres finissent par lui dire, à jax. il imagine déjà les ragots, les bruits de couloir et un frisson s'invite sur le derme. c'est ça dont il a peur, peur de ne plus contrôler ce qui se passe autour de lui, peur qu'on finisse par le maudire lui, peur que jax s'éloigne après avoir entendu des commérages. donc, y'a plus de pour que de contre, on est d'accord? j'exagère pas? trop d'énergie, discussion trop vivifiante on dirait, le voilà qui gigote, serait presque prêt à sautiller au milieu de la bibliothèque.

L’hésitation est palpable, d’un côté comme de l’autre. Orion semble se demander jusqu’où il peut se confier, butant parfois sur des mots. Hannah, elle, prend soin de bien choisir ses mots, loin de se considérer comme une conseillère-en-chef. Elle a eu son lot de mésaventures en amour, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais peut-être que justement, ça peut lui servir d’expérience ? « Honnêtement, je sais pas si c’est possible d’en être sûr à cent pour cent. Mais bon, entre nous… Il y a des signes qui ne trompent pas. » Elle lui jette un coup d’oeil complice. Elle sait qu’il comprend. Après tout, quel adolescent n’a pas connu les émois de l’amour ? Le palpitant qui s’éveille, le cerveau branché sur un nuage rose, le sourire niais, les pensées et les rêves convergeant vers une seule et même personne, le coeur qui bat la chamade, les paumes moites - et tous ces autres clichés. Avec le temps, c’est sans doute beaucoup plus que ça, des sentiments plus posés, plus réfléchis, plus réalistes aussi. « Alors s’il te rend… Heureux heureux heureux, comme tu dis, j’imagine qu’il n’y a plus vraiment de doutes à avoir. » Et ça la fait doucement sourire. Ce n’est pas forcément simple à avouer à haute voix, il faut bien le dire. Mais c’est quelque chose de beau et qui mérite d’être partagé, alors la blairelle est contente d’être celle qui accueille les confidences d’un ami. Ça lui fait chaud au coeur, mais ce qu’elle espère surtout, c’est un bonheur partagé entre deux coeurs battant à l’unisson. « Oui, c’est normal que ça te fasse peur. » Ces mots à peine prononcés, Hannah réalise qu’un prénom est sorti. Elle sursaute après coup, avec le réflexe de planter son regard dans celui du brun - ou d’essayer du moins, vu que celui-ci semble tenter de faire précisément le contraire. « Jax, Jax ? » Elle n’en connaît qu’un seul, l’unique, le camarade qui partage ses bancs en classe et sa Salle Commune depuis de nombreuses années, le jeune homme qui est devenu un ami. Elle ne s’attendait certainement pas à ce qu’il lui révèle l’identité de la personne en question, mais d’un coup ça semble rendre la discussion plus réelle encore. Mais elle ne veut pas le mettre dans l’embarras. Il doit déjà se sentir suffisamment mal à l’aise, alors elle ne veut pas insister là-dessus si ce n’est pas dans ses souhaits. Au lieu de ça, elle rebondit sur sa question suivante. « À mes yeux, oui. Mais c’est mon avis… Il faut que toi aussi, tu sois certain d’avoir pesé le pour et le contre avant d’avoir pris ta décision. » La blonde sait que personne n’a envie de perdre un ami auquel on tient encore plus que la normale. Ce n’est pas un choix facile, il faut bien le dire. « Et d’un autre côté, je me dis que parfois dans la vie, il vaut mieux tenter le coup, plutôt que de vivre avec des regrets. Enfin en tout cas, c’est ce que j’essaye d’appliquer récemment. » Et elle n’est même pas certaine que ce soit une très bonne idée, mais après tout pourquoi pas ? Elle a toujours été une partisane de l’option de sécurité, mais ça ne lui a pas toujours réussi. Et si en prenant plus de risques, elle prenait finalement en quelque sorte son envol ? « On te dira parfois d’écouter ton coeur. Perso, je t’avoue que je sais pas vraiment ce que c’est censé vouloir dire. Mais je suis sûre qu’au fond de toi, tu connais la réponse, et elle t’appartient à toi seul. » Peut-être qu’à sa place, quelqu’un d’autre aurait pris un autre décision. Mais au final, ce sera à lui seul d’assumer - même si elle sera aussi là pour le soutenir. « Sinon, plutôt que de te lancer directement dans une déclaration… Pourquoi ne pas essayer de glisser des indices çà et là, histoire de semer des graines et de voir ce que ça donne ? »