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colors of the wind (ethel)
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Terry Boot
Terry Boot
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parchemins : 603
sablier : 6

- convictions : intelligence is the ability to adapt to change / I don't wanna win this game if I can't play it my way.
- clubs et assos : ancien poursuiveur.
- (options) ou (cursus) choisis : médicomagie, sport, artisanat et français.
avatar : joshua bassett.
crédits : mcximoffs (av), non uccidere (sign), prima luce (icons), hypatie (cs)

mood actuel : il digère au mieux le départ de Poudlard de ses deux meilleurs amis, perdus sans ses repères, mais parvient à garder la tête hors de l'eau grâce à sa petite-amie.
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SERDAIGLE - 8ème année

- Jeu 28 Sep - 22:34

« On s’voit tout à l’heure ! » Un baiser déposé sur les lèvres de sa petite-amie, c’est avec un large sourire qu’il s’éloigne, le cœur comblé par leur relation plus qu’idyllique aux yeux de Terry. Il n’avait pas beaucoup d’expérience mais il en savait assez pour savoir que ce qui le liait à Eris était particulier, que leur lien devait être protégé tant il lui était précieux. Il se sentait heureux, avec elle, au point qu’il n’était pas sûr de pouvoir à nouveau imaginer ce que serait la vie sans elle à ses côtés. Ou du moins si, il savait – elle serait terne, insipide, et perdrait les éclats qu’elle apportait quotidiennement en étant elle-même. Seulement, aussi heureux puisse-t-il être, il sait que ce n’est pas le cas de tout le monde, que certains n’ont pas sa chance. Surtout, il a croisé Ethel et même s’il trouvait qu’elle s’en sortait bien, il n’avait pu que remarquer l’étincelle triste dans son regard. Eris lui avait confié son inquiétude, évidemment. Il n’avait pu que partager son anxiété et l’envie de faire quelque chose pour l’aiglonne avait fini par prendre le dessus. S’il avait hésité sur la façon de procéder, il avait finalement eu une illumination la veille, déjà impatient à l’idée de tout préparer. Profitant de ce samedi de repos avant de repartir vers son stage quelques jours après, Terry avait passé un long moment à ranger et installer les différents accessoires dont ils auront besoin à son avis. Et évidemment il avait prévenu sa petite-amie de ce qu’il voulait faire, craignant que peut-être, on lui reproche de se mêler de ce qui ne le regardait pas. Elle s’était montrée enthousiaste et l’avait comme bien souvent encouragé alors il ne lui restait plus qu’à espérer qu’Ethel ne le prenne aussi bien. Peut-être qu’elle estimera que ce n’était pas sa place, que le bouclé s’insinuait un peu trop dans sa vie mais il voulait essayer, qu’importe les conséquences. Eris avait envoyé un courrier à sa meilleure amie pour lui donner rendez-vous près du lac noir. La fête du printemps lui semblait être l’occasion idéale pour ça – et si rien ne fonctionnait il pourra au moins utiliser l’évènement pour passer à autre chose. A l’heure indiquée sur le parchemin, Terry observe Ethel arriver, lui adresse de grands signes de la main pour qu’elle ne le rejoigne. « Ethel ! J’suis trop content de te voir ! » lance-t-il, enthousiaste. Il se doute bien qu’elle devait être perplexe en le trouvant lui et non pas sa meilleure amie alors il s’empresse de dévoiler d’un geste les toiles placées face au lac ainsi que la peinture qui les entoure. « J’sais j’suis pas Eris mais j’lui ai demandé de t’envoyer le parchemin. » explique-t-il. « J’ai eu envie de faire un truc pour te remonter le moral et t’aider à retrouver ton art. »Eris avait évoqué ses quelques difficultés à se lancer à nouveau et forcément, Terry s’était senti d’autant plus concerné. S’il y avait bien un domaine qu’il partageait avec la brune, c’était l’art. Il n’osait imaginer ce qu’elle devait ressentir de se retrouver ainsi sans moyen digne de ce nom pour s’exprimer. « J’sais pas si ça va t’aider et t’es pas obligée de rester si t’as pas envie mais j’me suis dit qu’on pourrait tenter de peindre ensemble. » offre-t-il alors avec un léger sourire. Et si elle n’y parvenait pas, il pouvait toujours se muer en oreille attentive, en épaule sur laquelle s’appuyer si elle ressentait le besoin de se livrer à quelqu’un qui ne la jugerait pas. Il n’avait qu’une mission, Terry – remonter le moral de la serdaigle, qu’importe que ça doive lui prendre tout l’après-midi.  

Ethel Ponds
Ethel Ponds
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sablier : 2

- convictions : Elle croit en ce que ses parents lui ont appris : la tolérance.
- clubs et assos : préfète, membre du club de duel et présidente du club de dessin.
- (options) ou (cursus) choisis : Etude des moldus, SACM, Etude des runes & Arithmancie.
avatar : Danielle Campbell
crédits : avatar de mcximoffs, signa de élissan

mood actuel : sur le point de finir sa 7e année, elle remet son avenir en question et vit au jour le jour.
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PRÉFÈTE DE SERDAIGLE

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- Sam 14 Oct - 21:10

Février avait laissé la place à Mars et Ethel renouait peu à peu avec elle-même. Si la pensée de Warren lui serre toujours un peu le cœur et que de nouveaux problèmes s'ajoutent à la liste de tout ce qu’elle doit déjà gérer, elle est tout de même plus apaisée dernièrement et la vie reprend doucement son cours, à la différence près qu’elle est toujours incapable de peindre. Lorsqu’elle se retrouve face à ses toiles ou ses carnets de croquis, c’est comme si tout son corps se tendait, comme si son esprit entier se bloquait. Aussi, Ethel n’avait pas pointé le bout de son nez dans le club de dessin depuis près de trois semaines et si cela risquait de lui porter préjudice, elle faisait son possible pour ne pas y penser et s’enfonçait dans un profond déni pour oublier combien sa passion lui manquait et combien elle se sentait seule, vide et impuissante sans sa capacité à peindre. Assise sur son lit à baldaquin, une photo d’elle et sa fratrie entre les mains, Ethel soupire et se laisse tomber sur son lit, serrant le cliché contre son cœur. L’époque où elle était jeune et innocente lui manque, cette époque où ils étaient tous réunis et où le poids du monde adulte ne pesait pas encore sur leurs épaules. Ezra lui manque, moitié de son âme sans qui elle n’est pas véritablement complète, et son jumeau qui n’a pourtant pas donné de nouvelles depuis des mois, pour son plus grand désarroi. Ses pensées sont entièrement tournées vers lui quand elle entend quelques coups contre la fenêtre de sa chambre vers laquelle son regard se tourne pour y découvrir la chouette d’Eris, lettre au bec. Elle accueille l’oiseau avec quelques caresses, et esquisse un sourire en reconnaissant l’écriture de sa meilleure amie lui proposant une sortie près du lac. Consciente que cette balade lui changerait sûrement les idées, la sorcière se redresse, enfile une tenue plus correcte, noue ses cheveux en une natte grossière sur le côté, et se glisse hors de sa tour pour rejoindre les extérieurs de l’école. Elle prend une longue et profonde bouffée d’air frais aux portes du château, la douce fraîcheur de mars venant mettre de l’ordre dans ses idées et prend la direction du lac où la silhouette, non pas d’Eris, mais de Terry se dessine finalement peu à peu. « Terry ! Quelle… surprise » lâche-t-elle d’un ton décontenancé en le dévisageant, le tout avant de se ressaisir brutalement et de secouer la tête pour rapidement préciser : « Une agréable surprise bien sûr, c’est juste que… je ne m’y attendais pas. » elle se mord la lèvre pour dissimuler sa gêne et sa perplexité puis accroche son attention aux toiles ramenées par l’aiglon. Son cœur se serre d’un mélange de reconnaissance, de douceur, de crainte aussi, et elle lève un regard brillant vers Terry. « Tu as fait tout ça pour… moi ? » ça lui paraît invraisemblable, parce qu’il est avec Eris et que tous les deux ne se sont jamais vraiment côtoyés, mais l’attention la touche plus qu’elle ne saurait l’exprimer. L’émotion lui serre la gorge et elle fixe les toiles les secondes qui suivent pour cacher combien elle est touchée par son geste. « C’est la chose la plus gentille qu’on ait fait pour moi depuis des mois » il y a Eris et ses attentions constantes bien sûr, mais ce geste désintéressé et purement attentionné est quelque chose à quoi elle ne s’attendait pas. Si elle fait un geste pour prendre Terry dans ses bras, elle s’arrête au dernier moment et pose plutôt sa main sur son bras pour lui adresser une petite pression. « Je sais pas quoi dire Terry, c’est incroyable, merci » elle avance vers les toiles, observe les pinceaux, les couleurs, les pastels, les crayons, les palettes, et du bout des doigts, elle effleure le papier vierge. « Je sais pas si je pourrais, c’est… Je bloque » et pourtant elle rêve de pouvoir recommencer à peindre, véritable échappatoire depuis des années maintenant qui lui manque terriblement. « Je voudrais pas te décevoir, après tous les efforts que tu as fait pour m’organiser tout ça. » elle lui offre une moue mi-désolée, mi-coupable, et s’assoit face à une toile, laissant trois mètres d’écart entre elle et le chevalet, comme pour dire qu’elle n’est pas encore prête à essayer, mais qu’elle se prépare mentalement à cette nouvelle tentative. Elle se mordille à nouveau la lèvre, tentée de lui demander si c’est Eris qui a eu l’idée mais au lieu de ça, elle se contente de sortir un paquet de chocolats de son sac et de le glisser vers Terry, sorcière qui ne se balade jamais sans un paquet de friandises, où qu’elle aille, parce que c’est le seul véritable remède dont elle ait besoin en toute circonstance. 

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≈ she was not fragile like a flower; she was fragile like a bomb

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SERDAIGLE - 8ème année

- Ven 3 Nov - 20:38

Il lit aisément la confusion dans le regard d’Ethel et pendant un instant, Terry se dit qu’il n’aurait peut-être pas dû prendre la liberté de la faire venir en utilisant un parchemin signé de sa propre petite-amie. D’accord, Eris avait trouvé que c’était une bonne idée mais peut-être que la meilleure amie de celle-ci ne partageait pas son avis, peut-être même qu’elle se sentait prise au piège alors qu’elle se retrouvait devant le fait accompli. Il laisse toutefois échapper un soupir de soulagement quand Ethel le rassure, ne pouvant que comprendre la surprise qu’il ressent. Forcément, il ne peut que tenter d’expliquer ce qu’il fait là, les raisons de ce piège tendu alors même qu’ils n’étaient pas forcément proches. Il n’a pourtant pas besoin de l’être pour savoir qu’Ethel faisait partie des sorciers auprès desquels il était agréable d’être, de par cette douceur qui émanait d’elle. Tout ce que Eris pouvait bien lui raconter sur sa meilleure amie n’aidait pas vraiment à ce qu’il soit objectif, évidemment, mais il était convaincu que si elles étaient si proches, alors Terry ne pouvait que s’entendre avec elle. « Bien sûr que c’est pour toi ! » lance-t-il comme s’il s’agissait de la chose la plus évidente au monde. Peut-être que pour certains, il était compliqué de comprendre pourquoi il se donnait tant de mal pour quelqu’un qu’il ne connaissait pas si bien que ça, peut-être même qu’on pourrait lui prêter certaines intentions qu’il ne comprendrait même pas. La raison était pourtant simple – elle avait besoin d’aide et il pensait pouvoir la lui apporter, alors pourquoi devrait-il s’abstenir ? Le bouclé avait de l’énergie à revendre et passer du temps à peindre avec Ethel n’était pas une corvée, loin de là. Un sourire ravi étire ses lèvres tandis qu’elle le remercie, ce qu’elle ne devrait même pas faire d’après lui même si ça restait agréable à entendre. « Me remercie pas ! J’espère juste que ça aidera. » Après tout, rien ne garantissait que ça fonctionne, mais s’il pouvait au moins l’aider à avancer un petit peu, alors ce serait toujours ça de pris. Il se tourne vers les différentes toiles tandis que l’aiglonne les observe tour à tour, cherchant à expliquer le blocage dont elle était victime. La suivant, il file s’asseoir à côté d’elle, s’emparant d’un des chocolats qu’elle tend pour l’avaler avec gourmandise – ce faible pour le chocolat qu’il partageait avec sa petite-amie, d’ailleurs. « Tu sais, c’est pas grave si t’y arrives toujours pas. J’veux juste t’aider mais j’vais pas râler si ça débloque rien. » Terry tente de la rassurer pour éviter qu’elle ne subisse une pression supplémentaire qui n’aiderait en rien à la faire avancer. Son regard va de la toile à Ethel, remarque l’appréhension qui brille dans ses iris. « Faut pas te mettre la pression. Ça reviendra, ça revient toujours. » Du moins, c’était le cas pour lui. Il avait déjà eu des périodes durant lesquelles il peinait à dessiner quoi que ce soit, et si ça pouvait le frustrer, il avait toujours été soulagé lorsque l’inspiration revenait. Ses mains s’appuient sur le sol tandis qu’il profite du temps clément, rayons de soleil qui parviennent à réchauffer sa peau tandis qu’ils passent à travers les nuages. L’endroit était calme à cette période ci de la journée et lui paraissait réunir toutes les conditions idéales pour réveiller son envie de peindre, même si bien souvent, ce n’était pas aussi facile. « Tu ressens quoi quand tu veux essayer de peindre? » demande-t-il. Il vole un autre chocolat avant de poursuivre. « Tu sais ça arrive à tout le monde. La dernière fois c’était... » Il se coupe quelques secondes, fronce les sourcils. Terry se souvenait très bien de sa dernière panne d’inspiration, celle qui remontait à quelques mois à peine. « C’était quand j’ai perdu ma mère. Je.. J’étais trop triste alors j’ai pas réussi à faire grand-chose de l’été. » Il détourne le regard, laisse celui-ci dévier vers le lac. C’était un sujet qui restait compliqué à aborder même si ça devenait plus facile. Ce n’était pas moins douloureux – c’était plutôt comme une cicatrice, une trace indélébile qui avait transformé la douleur en un ressenti auquel il s’était habitué. Elle était toujours là, mer paisible la plupart du temps mais il lui arrivait encore d’être noyé sous les vagues de douleur qui l’envahissaient parfois. « J’arrivais à rien parce que j’passais mon temps à flipper à l’idée de peindre quelque chose qui me ferait penser à elle et c’était trop dur pour moi. J’ai quand même du me faire à l’idée, parce que j’peux pas faire sans l’art alors j’ai du juste.. suivre mon instinct en acceptant que ce que j’allais faire pouvait me rendre triste. » finit-il alors. Il n’était pas convaincu que ce soit très clair – Terry n’était pas le plus doué du monde pour exprimer ce qu’il ressent, pour poser des mots sur ce qu’il parvenait à faire. Il voulait essayer, faire de son mieux pour aider celle qui en avait besoin à ce moment-là.

Ethel Ponds
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PRÉFÈTE DE SERDAIGLE

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- Lun 20 Nov - 19:22

Touchée par les attentions de Terry, Ethel est quand même encore un peu confuse, assimilant tout juste l’idée qu’il ait fait tout ça pour elle, et rien que pour elle, dans le seul but de l’aider et la soutenir. Ça la touche, plus qu’elle ne saurait le dire et elle est remplie de reconnaissance sans savoir comment l’exprimer. Une part d’elle se demande pourquoi il investit tant d’énergie à l’aider, mais finalement, le pourquoi importe peu, l’évidence avec laquelle il s’exprime suffit à la toucher et à faire briller ses yeux d’une lueur reconnaissante. Ses intentions sont pures et désintéressées, sa générosité palpable et alors qu’ils s’assoient côte à côte, l’aiglonne se fait la réflexion qu’Eris et lui ont de la chance de s’être trouvés, deux sorciers qui sont aussi généreux et purs l’un que l’autre et qui n’auraient sûrement pas pu trouver meilleure moitié que l’autre. Si elle lui fait part de ses inquiétudes sur sa capacité à peindre pour lui éviter une déception dans le cas où elle ne réussirait pas, Terry trouve le moyen de la rassurer, encore, et Ethel sent un poids s’ôter de ses épaules, lui donnant la liberté de ne pas craindre un quelconque jugement. Il l'encourage à ne pas se mettre de pression, à laisser venir l’inspiration naturellement et il n’en faut pas plus à Ethel qui prend une profonde inspiration, s’imprégnant de ses paroles sages. « J’espère juste que ça ne mettra pas trop longtemps avant de revenir, tu vois ? » la peinture reste une grande partie de sa vie, l’une des plus importantes, et ça lui manque terriblement, mais force est de reconnaître que forcer les choses ne ferait sûrement que les empirer. Elle soupire, réfléchissant à la question de Terry d’un froncement de sourcils, interrogation qui la prend au dépourvu et la faisant réfléchir à la complexité de ses émotions quand il attire son attention en mentionnant sa dernière panne d’inspiration, à lui. Son cœur se serre en l’entendant évoquer la mort de sa mère et elle ose tendre la main vers lui pour la serrer dans la sienne, comme pour lui envoyer du réconfort et elle l’écoute sans l’interrompre, simplement guidée par ces élans compatissants et doux en l’entendant parler avec cette nostalgie. « Merci. » elle souffle du bout des lèvres une fois son discours achevé. « De partager ça avec moi, je veux dire. Je te trouve super fort. » elle sait pas si ce qu’elle dit est déplacé, et si ça risque de pousser Terry à se renfermer – elle ne veut surtout pas qu’il pense qu’elle a pitié, c’est loin d’être le cas, mais elle l’admire vraiment, l’aigle, pour sa résilience et tout le reste. Si elle ne comprend pas totalement la douleur d’un deuil, elle connaît toutefois la douleur, et l’absence d’inspiration, et pour cette raison et encore tant d’autre, elle sent une connexion émotionnelle se lier avec Terry, la sorcière qui est vraiment reconnaissante d’être avec lui à cet instant. Le soleil perce à travers les nuages, diffusant une lumière douce sur le lieu où ils sont et alors, Ethel observe les toiles étalées autour d’elle, chaque surface blanche semblant refléter son propre blocage artistique. Elle prend un pinceau et le contemple distraitement puis, sans chercher à le tremper dans la peinture, elle laisse parcourir les poils sur la toile dans des mouvements abstraits et aléatoires. « Quand j’essaie de peindre… C’est comme si quelque chose me retenait, comme si mes idées et mon inspiration étaient bloquées quelque part entre ma tête et la toile. » elle sait pas vraiment si ça fait sens ce qu’elle dit, mais elle tente quand même de mettre de l’ordre dans ses pensées. Elle interrompt ses mouvements, et fixe la peinture, sans toutefois la toucher. « Je ne sais pas vraiment ce qui bloque, j’ai… enfin j’ai rompu avec mon petit-ami – ex – récemment, mais ça va mieux maintenant, et pourtant je n’arrive toujours à peindre. » elle est en colère contre elle-même et soupire en reposant le pinceau par terre, ne voulant plus le toucher. Elle ramène ses mains près de son corps pour s’éloigner de tout ça, et baisse la tête, consciente que c’est stupide de perdre l’inspiration à cause d’un garçon, même si ce n’est sûrement pas la seule raison qui a poussé à ce manque créatif. « J’ai essayé de me forcer, mais c’était pire, je me sentais encore plus mal. » elle ramène ses jambes contre elle, et y pose son visage, le regard tourné vers le lac. « Chaque fois que je prend un pinceau, il me paraît lourd, comme s'ils n’allaient plus avec mes mains » et pourtant, elle n'a toujours fait qu’un avec ses crayons, ses pinceaux et ses couleurs. Elle tourne son regard vers Terry, et le dévisage les sourcils froncés, espérant trouver des réponses dans son regard et sa présence. « Comment c'est revenu pour toi ? Est-ce que… est-ce que c'est revenu tout seul ? » elle est prête à écouter ses techniques les plus magiques, tout en se demandant si elle doit encore insister, si elle doit forcer davantage, si elle doit persister encore et encore ou juste attendre que ça revienne, même si elle n’a jamais été vraiment douée pour simplement attendre.

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SERDAIGLE - 8ème année

- Dim 10 Déc - 0:43

Il ne peut que comprendre à quel point il était angoissant de ne réussir à rien faire, Terry, lui qui s’imaginait mal faire sans art dans sa vie. S’il avait choisi une carrière professionnelle qui en était éloignée, il savait que cela faire toujours partie de son quotidien, qu’il trouvera toujours du temps pour s’accorder du temps à peindre ou à dessiner. Il en avait besoin, moyen de s’exprimer et de décompresser à la fois, de laisser libre court à une créativité qui n’avait de cesse d’être en ébullition. « J’comprends, j’suis sûr que ça finira par vite revenir ! » Du moins, il l’espérait pour elle, conscient que cette panne d’inspiration la touchait réellement. Le bouclé qui n’hésite pas à aborder sa mère, à la perte de celle-ci qui était à l’origine d’un moment passé sans réussir à peindre ou à faire quoi que ce soit d’autre de créatif. S’il était toujours un peu hésitant lorsqu’il s’agissait d’évoquer celle partie bien trop vite, le sorcier avait l’impression qu’il s’en sortait de mieux en mieux, qu’il était capable de parler d’elle plus souvent sans être triste, ce qui était plus que ce qu’il était capable à peine quelques mois plus tôt. La main d’Ethel serrant la sienne lui apporte tout de même un peu de réconfort, l’encourage, même, alors qu’il se livre. Il lui offre un petit sourire et hausse les épaules comme si ce n’était rien alors même que c’était faux, que parfois, malgré ses progrès, il était encore saisi par une vague de tristesse qui l’envahissait brutalement. Terry n’a pas envie de s’attarder sur ça, pourtant, il ne veut qu’être présent pour la sorcière afin de l’aider à dépasser ce blocage. « J’espère juste que ça t’aidera. » Ou en tout cas, que ce sera un début pour parvenir à se défaire de ce qui la pesait au point de l’empêcher de se lancer dans son art. Il n’ajoute rien de plus, se contentant de laisser Ethel réfléchir, observant les mouvements du pinceau sur la toile. Quand elle commence à détailler ce qu’elle ressent, il reste silencieux et l’encourage à poursuivre d’un mouvement de tête. Il ignorait si se confier allait changer quoi que ce soit, mais peut-être que verbaliser ce qui la bloquait l’aiderait à rendre ça plus concret et, également, plus facile à chasser. Il a mal au cœur pour elle, surtout quand elle évoque un garçon – et si le serdaigle n’était pas le plus doué quand il s’agissait de sentiments, il savait reconnaître la tristesse quand il la voyait et il comprend alors à la lueur dans les yeux de la brune que leur histoire s’était mal terminée, assez pour l’influencer en tout cas et jouer sur son moral et, en partie, sur son inspiration. Il la laisse terminer jusqu’à ce qu’elle lui pose une question, celle qui pourrait peut-être l’aider si les choses étaient aussi simples. « J’crois que j’suis resté trois mois sans rien faire. » Ses doigts jouent avec les brins d’herbe, en arrachent pour les triturer nerveusement du bout des doigts. « Et au début, j’essayais même pas car j’en avais même pas envie, j’me disais que j’allais forcément penser à elle et peindre pour elle sauf que j’étais pas prêt à affronter ça. Puis après ça a commencé à me manquer alors.. » Il repense à ces derniers mois difficiles, à ce qu’il avait réussi à supporter grâce au soutien de ses proches. « Alors j’ai tenté mais j’y arrivais pas. J’ai essayé de me plonger dans l’art à nouveau, j’ai regardé des tableaux, j’ai même regardé les autres faire et ça m’a aidé, je crois, car peu à peu, c’est revenu. » Il ne sait pas si ça a vraiment joué mais il espérait qu’en tout cas ça puisse être une piste à suivre pour Ethel. Il fronce les sourcils et relève les yeux vers elle, quelque peu hésitant. « J’sais qu’on est pas si proches donc t’as pas à m’en parler si t’en as pas envie mais… Mais t’es sûre que ça va mieux ? » Il relâche les brins d’herbe qu’il avait gardé, se concentrant sur la serdaigle face à lui. « J’arrêtais pas de dire à tout le monde que j’allais bien mais en réalité, j’avais surtout pas envie de tout affronter. » Et peut-être que c’était pareil pour Ethel. Leurs épreuves sont certes différentes mais ça ne rendait pas son chagrin moins réel pour autant. « T’es pas obligée de répondre, c’est juste que.. C’est ok si ça va pas. On peut pas toujours aller bien, t’as le droit d’être triste encore. » Peut-être qu’il se trompait, Terry, que ça n’avait rien à voir. Dans une volonté d’évoquer quelque chose de plus joyeux peut-être, il lui adresse un sourire véritable cette fois avant sa proposition suivante. « On peut tenter d’aller se promener dans un musée, si tu veux ! Eris serait trop contente elle aussi et peut-être que ça te donnerait envie de peindre à nouveau sans avoir toute cette pression sur les épaules. » Et même si ça ne fonctionnait pas, ils auront au moins passé un bon moment, ce qui était tout aussi important.

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PRÉFÈTE DE SERDAIGLE

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- Ven 29 Déc - 16:31

Installée dans l’herbe, la toile blanche posée devant elle et le pinceau entre les doigts, Ethel fronce les sourcils en cherchant ses mots et en essayant de mettre de l’ordre dans ses pensées. La présence de Terry à ses côtés est réconfortante et il se révèle un allié précieux pour lui porter conseil dans sa quête pour retrouver l’inspiration évanouie. Elle a connu des périodes de sécheresse artistique par le passé, bien sûr, rares sont les gens qui peuvent se vanter de n’avoir jamais connu aucune panne d’inspiration mais cette fois, c’est différent. Les couleurs se mélangent dans son esprit, mais elle ne parvient pas à les faire surgir sur ses toiles, et tout ça ne résulte qu’en une inspiration dégradée et un vaste chaos sous son crâne. Soupire au bord des lèvres, elle se montre pourtant intéressée lorsqu’il partage son expérience avec elle et la sorcière esquisse un sourire timide, reconnaissante pour sa compréhension et les efforts fournis pour l’aider. Ses paroles bienveillantes et ses confessions ne parviennent pas à chasser totalement les nuages qui obscurcissent le ciel de la créativité d’Ethel et si elle veut partager son optimisme, les doutes sont toujours infiltrés en elle, comme une brume insidieuse qui l’encercle et dont elle ne peut se défaire. Elle hoche pourtant la tête, reconnaissant la gentillesse et la volonté de Terry de l’aider à surmonter ce blocage et elle prend une profonde inspiration, fixant le pinceau entre ses doigts comme si la solution se cachait entre ses poils. Le silence s’étire alors qu’Ethel tente de rassembler ses pensées et d’un mouvement impulsif, elle plonge dans le pinceau dans la palette, cherchant les couleurs qui ont autrefois dansé harmonieusement sur ses toiles. Seulement aujourd’hui, elles semblent éteintes, réduites à de simples pigments sans vie et après une courte seconde de réflexion, elle abandonne son mouvement et repose le pinceau alors qu’elle confie au sorcier sa récente rupture. Le souvenir pèse encore sur ses épaules, elle sait que ça l’a marquée, parce que Warren a été son premier dans bien des domaines et tout s’est terminé bien trop brutalement pour qu’elle s’en sorte totalement indemne mais leur rupture remonte déjà à trois mois, et elle sait au fond qu’elle va mieux seulement l’ombre du lion semble encore étouffer sa créativité malgré elle. Elle explique combien chaque coup de pinceau semble raviver la douleur et combien  les échos du passé entravent chaque tentative de création et comme elle s’y attendait, Terry se montre doux et compréhensif. Il l’écoute et ne l’interrompt pas et quand il ouvre à nouveau la bouche, c’est pour répondre à ses questions et donner un peu de lui à son tour sous l’œil attentif d’Ethel qui relève ses prunelles vers lui en captant les nuances dans ses paroles. Les émotions complexes qui se mêlent à son récit résonnent en elle, parce que si leurs expériences sont différentes, une compréhension mutuelle forme un lien invisible entre eux. Seulement lorsqu’il relève à son tour les yeux vers elle et lui demande si elle va vraiment bien, un pli se forme entre ses yeux alors qu’elle réfléchit à la question. Elle ne souffre plus quand elle pense à Warren. Ça n’est pas agréable pour autant, mais son cœur ne se serre plus comme il le faisait, et elle respire pour de vrai, son souffle n’est plus coupé par la pensée du lion et c’est déjà un progrès, à son sens. Partagée entre la volonté de se montrer forte et la nécessité de faire face à ses propres tourments, elle prend le temps de bien réfléchir à ce qu’implique cette question et à sa réponse et quand elle ose enfin le regarder à nouveau pour lui offrir, il est empreint d’une légère mélancolie. « Je croyais que ça allait vraiment bien, mais maintenant je ne sais plus. J’ai de nouvelles préoccupations, je passe mon temps à m’inquiéter, à trop penser pour des tas de choses et… » elle hausse les épaules, ne cherchant pas à achever sa phrase. Entre Warren, et maintenant son frère perdu qu’elle cherche à retrouver sans compter ses responsabilités, les ASPICs qui approchent, ses projets d’avenirs et la situation familiale complexe, elle n’a guère le temps de respirer et de se concentrer sur elle et sur ce qu’elle veut. « J’aimerais que tout redevienne simple tu vois, que la peinture coule à nouveau de manière naturelle. Mais quelque chose bloque, comme si mes pensées étaient emmêlées dans un nœud inextricable. » son regard cherche celui de Terry, espérant y trouver une lueur de réconfort ou de solution. « Je veux pas laisser tout ça me dicter ce que je peux créer, mais je sais pas comment faire pour le chasser. » elle a l’impression que tout ce qu’elle ressent s’accroche à chaque coup de pinceau pour le rendre plus lourd et inutilisable. Elle lève le nez vers la brise légère qui caresse leurs visages et leur apporte un murmure apaisant et elle profite un moment du contact du vent sur ses joues tandis qu’à ses côtés, Terry propose une visite au musée qui lui fait relever un sourcil amusé. La proposition est légère, et Ethel apprécie l’idée. « Quoi, maintenant ? Tu sais qu’Eris et moi on ne peut pas sortir comme ça. » elle plaisante en relevant un sourcil à son égard, et ramène ses jambes contre elle. « J’aime bien l’idée, et Eris sera ravie elle aussi. » elle a un sourire rêveur à cette idée, et sent même son cœur battre d’excitation. « Pendant les vacances, peut-être ? » la voix imprégnée d’un nouvel espoir, elle s’imagine déjà à vaquer entre les allées, à découvrir l’art de Van Gogh, Monet, Pissero et un millier d’autres artistes qu’elle admire pour leur créativité et leurs œuvres. « Vraiment, ça me plairait beaucoup, merci Terry. » elle lui offre un sourire timide qui devient bientôt plus taquin alors qu’elle lui donne un petit coup d’épaule. « Eris a vraiment de la chance de t’avoir. » avec tout ce qu’il fait pour elle alors qu’ils ne sont même pas vraiment amis – du moins pas autant qu’elle et Eris – alors il n’imagine pas à quel point il doit être génial avec sa meilleure amie, et l’aiglonne ne peut que s’en réjouir pour elle. « Toi aussi tu as de la chance. » et cette fois, son regard se fait plus sérieux, l’air de dire qu’Eris est extraordinaire, et qu’il est important qu’il ne la prenne pas pour acquise. Si elle ne lui offre pas le discours de la meilleure amie, elle se promet toutefois de toujours veiller sur le bonheur de sa meilleure amie, bien qu’elle croit fermement que les deux sorciers soient bien ensemble et entièrement compatibles. Elle glisse un chocolat entre ses lèvres tout en contemplant à nouveau la toile vide et pousse un soupir. « Tu sais, je ne crois pas que j’arriverais à quoi que ce soit aujourd’hui. » elle repousse la toile pour mieux étendre ses jambes dans l’herbe. « Mais merci pour l’effort et pour le reste, c’est déjà incroyable. » elle aimerait pouvoir lui retourner la pareille, mais elle ne sait pas très bien comment alors pour l’instant, elle se contente seulement de glisser le paquet de chocolats vers lui en se faisant la promesse silencieuse d’être là pour lui aussi le jour où il en aurait besoin. 

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sad birds still sing

≈ she was not fragile like a flower; she was fragile like a bomb

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