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time to attack (burgess twins)
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Basil Montgomery
Basil Montgomery
veritaserum
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parchemins : 25
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- convictions : power belongs to those who take it.
- clubs et assos : échecs, duel et potions.
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PERSONNAGE ÉPHÉMÈRE

- Lun 18 Mar - 22:53

[mi-mai, w/ophelia] Il avait attendu que la salle commune se vide et que les étudiants rejoignent le hall pour prendre le repas du soir avant de faussement se réveiller de sa sieste au coin du feu, lui qui avait prétexté une migraine auprès de Max quand elle lui avait suggéré de descendre avec les autres. La vérité était toute autre cependant et si sa tête ne lui faisait pas vraiment mal - enfin si, mais plutôt parce qu'il avait l'impression de tourner en rond ces temps-ci, de ne pas avancer dans cette mission qui était la seule raison de sa présence à Poudlard - il lui fallait donc agir et rapidement, comme son père lui avait gentiment fait comprendre via une lettre il y a quelques jours. Basil l'avait froissée avant de la jeter dans la même cheminée qu'il guettait depuis plusieurs minutes, le doute qui n'avait pourtant pas sa place aujourd'hui, ni demain et les autres jours, pas tant qu'il n'aurait pas récupéré ce qu'il cherchait. Des preuves incriminant le Burgess - et qui excluait sa propre famille par la même occasion - c'était tout ce dont il avait besoin mais il n'avait réussi à faire parler aucun des jumeaux tout comme il n'était pas parvenu à les éloigner jusque là. Il avait visiblement été trop subtil mais les jours défilaient à une allure folle et il ne restait qu'à peine deux mois avant la fin des cours. Il y avait eu la soirée pour refroidir les esprits mais les tensions persistaient avec Leo et c'était peut-être là finalement la situation idéale pour se servir de l'un et de l'autre pour les affaiblir ensemble et les séparer. Un dernier regard autour de lui pour s'assurer que personne n'était resté derrière, le nouveau serpent se leva d'un bond pour trouver les dortoirs, côté filles. Il avait déjà fait un tour dans la chambre d'Ophelia à l'appartement sans rien y trouver et compter sur sa chance pour que cette fois, il tombe sur une information, n'importe quoi qui puisse le mener dans la bonne direction. Il se sentait un peu coupable de fouiller ses affaires sans sa permission mais les remords, il les gardait pour plus tard Basil, bien plus tard, quand il serait rentré en Amérique même ce serait l'idéal. Comptant dans sa tête pour arriver à trois minutes et arrêter là - c'était le temps qu'il s'était donné, si jamais on le trouvait là il serait moins suspect de feindre qu'il s'était trompé ou perdu, lui l'étudiant étranger qui venait d'arriver. A court de cachettes possibles il soupira quand lorsque dans sa malle, il trouva une pochette dissimulée et à l'intérieur, un carnet. Celui-ci semblait presque rempli, à la main, et il devina qu'il s'agissait des mots d'Ophelia écrits de ses doigts. Des mots et des pensées, comme sa lecture le lui confirma plusieurs heures plus tard, le brun forcément surpris par le contenu, riant parfois à certaines découvertes et fronçant les sourcils à d'autres avant de le refermer et le garder précieusement pendant deux jours. Assez pour que peut-être elle réalise sa disparition mais pas trop pour qu'elle s'inquiète de ne pas le retrouver, c'était avec cette pensée en tête qu'il la retint après un cours en commun pour lui demander son aide sur un sujet qu'il n'avait pas compris. Il n'était qu'en septième année et ce cours là était partagé avec les plus âgés, dans le but de faire découvrir des nouvelles matières aux futurs huitièmes. Le professeur parti, ils étaient à deux dans la pièce et Basil sortit le carnet de la belle pour le lui tendre. « Je crois que c'est à toi » laissa t'il échapper avec une voix prudente, ne lâchant pas l'objet encore et leurs deux mains le tenant donc de chaque côté. « Je n'ai trouvé ton nom nulle part sur la première page alors il a fallut que j'en lise un peu plus pour deviner que c'était le tien » Il avait dit ça de manière nonchalante, haussant même les épaules, tandis qu'ils savaient très bien ce qu'il y avait dedans. Ils devaient même être les seuls à le savoir. « Je suis désolé, je voulais pas être si curieux mais... ça m'a intrigué » Ses pensées sur le monde magique, sur l'élite et les sang-pur, ce qu'elle était elle aussi. « J'aurais dû arrêter de lire en réalisant que c'était personnel comme carnet, je m'excuse Ophelia, vraiment » Il ne pouvait pas se permettre qu'elle se braque contre lui, qu'elle lui en veuille à mort et l'ignore par la suite, non, Basil avait besoin d'elle pour tout ça. « Je l'ai trouvé dans la salle commune, tu devrais faire attention à bien le ranger la prochaine fois. Si c'était tombé dans les mains de quelqu'un d'autre... » Il ne termina pas sa phrase exprès, sachant qu'elle comprendrait ce qu'il voulait dire. « Je ne dirais rien, tu peux me faire confiance » Il ajouta un léger sourire amical, Basil, et passa une main dans ses cheveux pour ne pas paraître trop sérieux non plus ou lui faire peur, il la voulait comme alliée après tout, pas devenir son ennemie. Se raclant la gorge, il laissa passer quelques secondes de silence avant de reprendre doucement. « Je suppose que personne ne sait tout ça ? Ta mère.. ? Ton père ? » Lui était au coeur de toutes ses recherches - et aussi de tous ses problèmes - il fallait à Basil user de ruses pour entamer ce sujet, qu'il n'avait jamais entendu dans la bouche d'Ophelia, ou Leo, depuis son arrivée.


Ophelia Burgess
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- convictions : girls can do anything.
- (options) ou (cursus) choisis : journalisme, politique magique, sécurité magique, russe.
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mood actuel : elle profite des derniers mois passés au château tout en imaginant ce à quoi ressemblera son avenir.
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SERPENTARD - 8ème année

- Mer 27 Mar - 14:22

[mi-mai] Les notes s’accumulent sur le parchemin d’une façon plutôt automatique qu’autre chose alors qu’Ophelia n’écoute le cours que d’une oreille. Son esprit est ailleurs, déjà tourné vers l’avenir qui s’offrait à elle dans un peu plus d’un moins, quand sa scolarité au sein du château touchera à sa fin. C’était de plus en plus récurrent ces temps-ci alors que suivre les cours devenaient compliqués, non pas à cause de leur contenu mais plutôt parce qu’elle était bien plus intéressée par ce qui l’attendait, par cet avenir qui se profilait et qu’elle touchait du bout des doigts. Elle remarque à peine que l’heure est terminée, se retenant de justesse de sursauter en entendant les élèves autour d’elle se lever. Ophelia en fait de même, réunit ses affaires avant d’être interrompue par Basil qui lui demande son aide, ce qu’elle accepte en acquiesçant. Leo n’approuverait pas, comme toujours, parce qu’il avait cette drôle de méfiance à l’égard du sorcier, méfiance qu’il ne comprenait pas. Aux yeux de la vipère, Basil était logé à la même enseigne qu’eux, il se retrouvait mêlé à cette histoire de mariage sans avoir rien demandé. Elle était bien trop occupée à en vouloir à leur mère pour la façon dont il agissait avec lui comme s’il était le fils qu’elle avait si longtemps attendu, quand elle n’avait le droit qu’à des critiques et remarques constantes, quand Leo n’avait le droit à rien du tout. Ce n’était pas sur Basil qu’elle avait jeté sa rancœur mais plutôt sur cette génitrice qui ne méritait de toute façon rien de son affection. Peut-être qu’elle était influencée par les tensions qui régnaient entre elles depuis toujours ou presque, la sang-pur qui se prenait un plaisir à provoquer sa mère quand celle-ci attendait d’elle une obéissance exemplaire. Alors elle essaye plutôt d’aider Basil que de le repousser, attendant que les élèves et le professeur aient quitté la salle avant de se tourner vers lui. Elle fronce les sourcils quand il lui présente son carnet, cœur qui loupe un battement tandis qu’elle se demande comment il s’est retrouvé en possession de ses écrits. Elle l’avait cherché hier sans succès et s’était promis de chercher à nouveau quand elle aurait fini les cours, persuadée qu’elle avait simplement du le changer de place sans s’en rendre compte. « Qu’est-ce que tu fais avec ça ? » Ophelia qui déglutit quand il lui apprend qu’il avait du lire pour savoir à qui appartenait l’objet, consciente qu’il avait eu accès à ses réflexions les plus intimes et les plus secrètes, celles qu’elle cachait au monde entier parce qu’elle n’était pas supposée les posséder. Si elle n’avait rien contre Basil et l’appréciait même, elle ne lui faisait pas assez confiance pour être rassurée à l’idée que ce soit lui qui possède son carnet. C’est pire encore quand il s’excuse d’avoir continué à lire parce qu’elle a conscience qu’il doit en savoir trop désormais, qu’il a sûrement lu certains passages qui critiquaient les mœurs d’un autre temps de leur communauté, les mêmes qu’elle était pourtant supposée suivre. « Oui, effectivement, tu aurais dû arrêter de lire. » dit-elle plus sèchement qu’elle ne l’aurait voulu. L’objet était personnel et ses pensées n’appartenaient qu’à elles – si elle voulait les partager, elle voulait le faire selon ses propres conditions et pas que quelqu’un ne tombe dessus par hasard. Elle peine pourtant à concevoir comment elle avait pu être assez idiote pour le laisser dans la salle commune alors qu’elle écrivait surtout dans son lit, à l’abri des regards. « Il était pas supposé être là, il.. Enfin il devait être rangé ailleurs. » L’américaine est confuse et finit par se persuader que, sans doute, elle avait du l’emporter par mégarde entre d’autres bouquins et qu’elle l’avait fait tomber par inadvertance – n’était-elle pas particulièrement déconcentrée ces temps-ci ? Elle soupire, son agacement à l’égard de Basil qui se tourne plutôt vers elle-même désormais, vers l’imprudence dont elle avait fait preuve. Elle garde le carnet, ses doigts qui s’y accrochent comme par peur de le laisser encore derrière elle. Basil qui lui promet de ne rien dire et ça la soulage, quelque part. Elle ne sait pas si elle peut réellement lui faire confiance mais elle n’avait pas non plus de raison de croire qu’il voudrait lui nuire, après tout. Elle rit malgré elle quand il évoque ses parents, ceux qui étaient bien les derniers à qui elle irait se confier. « Tu penses vraiment qu’Isadora pourrait comprendre ? La même Isadora qui s’offusque quand j’ose sortir de l’appartement avec une mèche dépassant de mon chignon ? Qui ne supporte pas que je puisse formuler la moindre pensée par moi même ? » Elle secoue la tête, persuadée que jamais sa mère ne pourrait approuver ses pensées réelles. « Je ne parle pas à mon père. » se contente-t-elle de dire, refusant d’ajouter quoi que ce soit à l’égard de celui qui n’avait jamais rien fait pour elle, de toute façon, celui qui ne l’avait probablement jamais aimé parce qu’elle était née sorcière. « Personne n’est au courant, d’accord ? C’est.. C’est personnel et personne ne doit jamais savoir. » Elle relève les yeux vers Basil, plus sérieuse qu’elle ne l’a sans doute jamais été depuis qu’elle le connaissait. « Tu ne peux pas imaginer ce qu’il se passerait si le contenu de ce carnet venait à être ébruité. Il faut vraiment que tu gardes ça pour toi. » Il le lui avait déjà assuré mais elle avait besoin qu’il ne réalise à quel point son silence lui était nécessaire dans ce cas de figure. « Où l’as tu trouvé dans la salle commune exactement ? » Ophelia qui reste bloquée sur ce fait, qui essaye de se remémorer à quel moment elle avait ainsi manqué de prudence.


Basil Montgomery
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PERSONNAGE ÉPHÉMÈRE

- Ven 29 Mar - 12:43

[mi-mai, w/ophelia] Son idée de fouiller les affaires d'Ophelia n'était peut-être pas la meilleure qui soit mais Basil avait besoin de passer le stade d'observation avec elle et son frère parce qu'il n'en avait rien tiré et que ça le frustrait énormément. Il savait que ce n'était pas correct seulement il avait dit au-revoir à ses principes en arrivant ici avec pour seul objectif celui de sauver sa famille d'une possible décadence, de voir son nom traîner dans la boue pour complicité dans des affaires louches et des trafics que lui-même ignorait. Détails que Clayon ne lui avait pas donné mais des indices qu'il n'aurait aucun mal à trouver selon lui et s'il pensait trouver quelque chose du côté du dortoir des filles, il n'avait pas imaginé tomber sur ce carnet et ses nombreux écrits qui le surprenaient venant d'Ophelia, venant de n'importe quelle sorcière issue d'une famille de sang-pur. La jeune femme qu'il trouvait pourtant encore plus intéressante maintenant et aussi, beaucoup plus malléable de par ce secret qu'il savait exister. Il lui fallait user de subtilité pour ne pas qu'elle prenne la mouche - il l'avait vu à l'oeuvre, la Burgess avait un caractère bien trempé - pour ne pas qu'elle ne passe d'amie à ennemie en quelques secondes. Il préférait donc la jouer en douceur, prétextant que le petit carnet à spirale avait été abandonné quelque part dans la salle commune par la brunette et au regard de la sorcière, il comprit qu'elle suspectait cette explication. C'était normal après tout, elle devait y tenir comme à la prunelle de ses yeux, ses pensées renfermées qu'elle ne pouvait exprimer librement dans le monde où ils vivaient. Il grimaça légèrement à son ton sévère et prit une mine vraiment désolée, triste aussi, pour tenter de l'amadouer, ne cherchait pas à se défendre ici pour ses actions. C'était encore le mieux à faire selon lui. « J'imagine oui. C'est pour ça que je suis là pour te le rendre » insista t'il, clamant une fausse gentillesse, un acte d'obligeance tout à fait calculé. Il fronça les sourcils à sa réponse, à la mention de sa mère qui n'était pas anodine, le sorcier qui la connaissait un peu mais pas assez pour prétendre autre chose que ce qu'Ophelia lui racontait. « Je suppose que tu as raison. Tu la connais mieux que moi » tenta t'il avec un sourire avant qu'elle n'évoque son père et n'en dise rien. Il essaya pourtant d'en savoir un peu plus, prenant un air grave cette fois. « J'ai entendu parler de lui, moi » Et sans doute saurait-elle ce qu'il signifiait par là, le nom des Burgess qui avait étalé dans la presse sorcière ces derniers mois. « La presse américaine est un peu moins clémente que celle d'Angleterre » ajouta t'il sans savoir pourquoi, ni ce qu'il cherchait. Peut-être de la faire réagir. « Je veux croire que ton frère et toi avaient été épargné en vivant ici » Et à en voir la tête de la brunette, il hocha la tête, compréhensif. « J'en conclus que non » Il soupira, comme si ça l'importait vraiment, comme s'il compatissait. « J'espère que ça va mieux maintenant » C'était tout ce qu'il pouvait dire dans le fond, il était déjà assez audacieux d'avoir abordé le sujet alors que jusqu'à maintenant, il n'avait rien fait. Elle reprit à propos de son carnet, Ophelia, lui expliquant que personne ne devait savoir - ce qu'il avait parfaitement conscience - et il choisit ce moment pour réitérer, lui jurer de garder son secret. « Je t'assure que je ne dirais rien à personne » Et il ne le ferait pas, à moins d'en avoir réellement besoin pour se sauver. « Est-ce que ça veut dire que ton frère ne le sait pas non plus ? » Il ne souhaitait pas attiser la curiosité de la jeune femme cependant, qu'elle réalise qu'il voulait aussi des informations sur Leo, sur leur relation alors il enchaîna rapidement, tout en prenant soin de regarder vers la porte pour voir si personne ne les écoutait : « Tu sais, tu n'es pas la seule à penser tout ça » Et il ne parlait pas de lui, il était à peine concerné même s'il aurait surement dû se montrer plus intéressé par le sort de la femme dans la société magique mais son éducation l'en empêchait ; il préférait mentir sur le fait de connaître d'autres sorcières dans sa situation, pour la rassurer peut-être, regagner sa sympathie et attiser sa curiosité aussi. « Je pourrais te présenter au moins deux sorcières avec les mêmes idéologies que toi » Et valait mieux qu'il ne s'enfonce pas trop dans ses mensonges, au risque de se faire prendre à son propre piège.


Ophelia Burgess
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SERPENTARD - 8ème année

- Dim 14 Avr - 15:02

[mi-mai] Elle est sur la défensive, Ophelia, parce qu’il s’agit là de ses pensées les plus privées et également parce qu’il était dangereux qu’elles ne finissent dans les mains du premier venu. Elle se fustigeait mentalement d’avoir été si inconsciente au point de le laisser traîner sans prendre de précaution réelle, elle qui passait son temps à être vigilante pour éviter ce genre de désagréments. Pourtant, ça aurait pu être pire, elle le savait. Elle n’avait aucune raison réelle de se méfier de Basil mais elle ne lui faisait pas entièrement confiance non plus, parce que sa confiance se méritait et était accordée sur le long terme. Elle le connaissait encore trop peu pour qu’il ne fasse partie de son cercle proche quand bien même elle tentait de faire des efforts pour se montrer accueillante avec lui, sans doute pour compenser l’hostilité de Leo. Ses parents sont évoqués, mère et père qui étaient loin d’avoir ses faveurs, ce que le sorcier face à elle devait aisément comprendre vu le ton employé à leur égard. Ophelia se tend quand son père est évoqué, scandale qui avait forcément fait parler de lui outre Atlantique. Sa prise se referme sur son carnet alors que la tension parcourait son corps, comme bien souvent quand il était évoqué. C’était plus compliqué encore avec sa mère, différent aussi parce qu’elle n’avait eu que peu de lien avec lui et que ce qui en résultait était négatif. Si sa mère l’agaçait particulièrement, elle au moins n’avait jamais laissé la moindre trace physique sur elle. Sa mâchoire qui se serre aux mots du brun qui n’avait sans doute pas conscience d’à quel point ça avait été compliqué pour eux ici, blâme porté pour des actions dont ils n’avaient rien su avant récemment. « Évidemment que non. L’élite adore les ragots, surtout quand ils lui permettent de s’en prendre à une autre famille. » Ils étaient semblables à des vautours qui se nourrissaient du désarroi et de n’importe quel moyen de pression qui permettrait de prendre l’ascendant sur le reste. « Mon frère et moi n’avons aucun lien avec lui. Il n’est qu’un géniteur. » dit-elle, sans ciller un instant. Elle se moquait bien qu’on entende parler de la rancœur qu’elle nourrissait à l’égard de son père, elle qui n’avait aucune considération pour lui. « Tu ne m’as jamais dit que tu avais entendu parler de lui avant. » Le regard d’Ophelia s’accroche à l’américain, cherchant à comprendre pourquoi il fallait qu’il évoque le sujet maintenant quand il en avait largement eu l’occasion auparavant. Elle parvient à se détendre un peu quand il réitère sa promesse de ne révéler à personne ce qu’elle pensait réellement. Elle n’avait aucune raison de douter de sa parole et, surtout, elle espérait qu’elle n’aura pas à le regretter. « Mon frère sait ce que je pense. Pas dans les détails, parce que ça ne regarde que moi, mais il sait. » En tout cas, il savait qu’elle préservait les apparences pour servir ses intérêts sur le long terme, et non pas parce qu’elle croyait en ces idées ridicules. La curiosité de la vipère est alors éveillée par ce que Basil avance, arquant un sourcil à l’évocation de sorcières aux mêmes idées qu’elle. « Ici, à Poudlard ? » Forcément, elle veut en savoir plus, ne demande que ça, d’échanger avec des sorcières qui partagent sa volonté d’une société plus juste et égalitaire. « Qui ça ? » Elle jetait son dévolu sur ce sujet-ci, dans un désir de passer à autre chose. « Il faudrait que tu me les présentes, dans ce cas. » Ophelia qui finit par se défaire des tensions qui l’envahissaient depuis qu’elle avait vu son carnet entre les mains de Basil, réalisant alors qu’elle avait manqué à un de ses devoirs. « Désolée je sais que je peux être un peu.. sur la défensive parfois. Mais c’est vraiment important pour moi. » C’était tout ce qu’elle était, finalement. « Merci de me l’avoir rendu et d’avoir gardé ça pour toi Basil, vraiment. » offre-t-elle avec un sourire sincère – d’autres auraient sans doute profité de l’occasion en le dévoilant mais pas lui et pour ça, elle ne pouvait qu’en être reconnaissante.


Basil Montgomery
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PERSONNAGE ÉPHÉMÈRE

- Mer 17 Avr - 18:48

[mi-mai, w/ophelia] Déçu par le manque de coopération d'Ophelia sans qu'elle n'en ait pourtant la moindre idée, il tenta de ne rien laisser paraître, plus fort à ce jeu que n'importe quel autre d'ailleurs. L'habitude sans doute, la comédie et l'hypocrisie qui étaient au coeur de toute bonne haute société et la sienne ne faisait pas exception. Sa main passée dans ses cheveux dans une manie incontrôlable, Basil haussa les épaules d'un air nonchalant à la remarque de la vipère, comprenant par là que peut-être, elle le suspectait de quelque chose. « Parce que je ne voulais pas t'importuner » Et c'était le cas, dans le fond, en plus de ne pas désirer attirer l'attention sur lui plus que nécessaire. Cette famille n'était pas très conventionnelle, Ophelia ne l'était pas non plus avec ses idées loin de celles préconçues pour elle et cette sorte de rébellion l'amusait lui, il y trouvait son compte en la manipulant, qu'importe à quel point c'était mal. « Non, non, pas ici. Enfin il y en a sans doute mais à part toi, je ne connais pas beaucoup de monde » Une façon pour lui de la remercier, de l'amadouer peut-être aussi alors qu'il savait très bien pour la serpentard et ses petites réunions secrètes, elle en avait parlé dans son journal. Tout comme elle évoquait parfois un sorcier d'ailleurs mais cette information qu'il gardait dans un coin de sa tête pour l'instant ; il trouverait bien le bon moment pour s'en servir. « Pas de soucis ! Je te vois plus tard ? » Basil n'en rajouta pas, n'en dit pas moins non plus, se contentant de la saluer d'un geste de la tête et de sourire avant de sortir de la salle de classe et du château pour prendre l'air. Il n'avait certes pas eu de nouvelles informations sur le père Burgess comme prévu, mais il en avait cumulé d'autres qui tourneraient forcément à son avantage une autre fois. Il le fallait.

***

[quelques jours plus tard, w/leo] Et cette autre fois ne tarda pas à se présenter quelques jours plus tard alors que dans la cour de la tour de l'Horloge, il tomba sur Leo Burgess en compagnie d'un ami. Celui-ci les quitta brusquement d'ailleurs au moment même où Basil approcha de son futur demi-frère, l'appellation qui devait les faire frissonner tous les deux. Les occasions de se retrouver en tête-à-tête s'étaient faites rares depuis son arrivée à Poudlard, inexistantes même, principalement parce que contrairement à sa jumelle, l'aiglon ne partageait pas leur salle commune et les deux garçons n'étaient pas de la même année, leur dispensant des cours ensemble. Il avait d'abord grimacé à cette idée parce que son but était de se rapprocher d'eux au maximum pour obtenir des preuves et informations compromettantes mais le sorcier lui rendait la tâche difficile, de par son attitude très défensive. Dans d'autres circonstances, il aurait pu comprendre sa position mais dans celle-ci, Leo l'agaçait un peu. Il approcha avec un grand sourire aux lèvres parfaitement surjoué près du garçon, sachant que ça l'ennuierait encore plus. « Oh merde, désolé d'avoir fait fuir ton pote » Sauf qu'il ne l'était pas, loin de là. « C'est à cause de la taille ça, les gens sont toujours impressionnés » Une manière de lui faire assimiler que lui ne l'était pas, impressionné, par le bleu et bronze aux humeurs compliquées et dérangeantes - pour lui. « Mais bon, peut-être que s'il tenait plus à toi, il serait resté » La remarque qu'il lui envoya en le regardant droit dans les yeux, le sous-entendu évident qui ne concernait pas cet étudiant fuyard, mais sa situation familiale. Il savait, pourtant, que c'était le Burgess qui avait décidé de quitter l'Amérique pour retrouver sa soeur et pas qu'on l'avait viré ou abandonné, tout ce que Basil désirait ici, c'était l'énerver. En étant sûr que ça fonctionnerait. « Au fait, j'ai reçu un parchemin de ta mère qui me souhaite bonne chance pour les examens. Je suppose que tu as eu le même... elle est vraiment a-do-ra-ble. Est-ce que ton père l'est autant ? » Ce mot - qu'il décortiqua - qui ne ressemblait pas au vocabulaire qu'il utilisait généralement, encore moins pour parler de sa belle-mère - ou plutôt la femme qui couchait dans le même lit que son père - mais qu'il était prêt à répéter, Basil, pour voir et revoir la même expression désabusée sur le visage du serdaigle. Ou peut-être était-ai ce la mention du père, il n'en savait rien mais il s'en délectait.




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