Minotaure n'est pas très délicat, il est plutôt fier et orgueilleux. Très impliqué dans sa mission, il voue une fidélité sans faille à son maître qui vient une fois par semaine minimum le voir afin de le caresser et lui apporter des vers qui jalousent tous ses potes de la volière. C'est peut-être l'un des hiboux qui se sent le plus royal de tous et il le fait bien savoir lorsqu'il apporte le courrier. Veillez à bien être attentionné envers lui sinon il vous mordra et ce n'est pas son maître qui prendra votre défense. :dah:
ps, il aime qu'on le grattouille comme ça :
Spoiler:
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Fearless child, broken boy; Tell me what it's like to burn. ♚moodboard de theodore
2 novembre 1996 Mon cher Théodore. Premier jour chez les Gryffondor enfin plus ou moins tu devineras jamais qui a réussi à se faire envoyer à l'infirmerie en moins d'une demi heure. Je fais le malin mais ça fait mal au niveau de l'arcade. Sérieusement Potter a complètement déraillé et son poing est entré en contré avec mon illustre personne environ quatre fois. J'te passe les détails mais y a eu du sang. On adore le calme et l'ambiance accueillante qui précède la réputation des rouges ... J'envisage de me casser à Beauxbâtons d'ici pas longtemps, tu viens ? Comment ça se passer avec ta dulcinée ? Cordialement et avec mes amitiés blablabla j'déconne pas tu me manques déjà, Draco M.
Je ne sais comment commencer cette lettre, je ne sais pourquoi, ce soir, alors que le reste de ma famille est réunie autour de la table, riant et blaguant, je décide de prendre ma plume et de t’adresser cette lettre. De toute évidence, les révélations faites il y a quelques semaines ont brisé ce qui nous unissait, quelque chose que je chérissais. Car, oui, contrairement à ce que tu peux penser, j’ai chéri ce que nous partagions et je chéris encore les souvenirs que j’ai de nous. Bordel de merde… Regarde ce que tu me fais faire. Prendre une plume pour venir coucher sur le papier ce que j’ai sur le coeur. Depuis quand je fais ça ?
Quoi qu’il en soit, je sais que je t’ai caché la vérité et je suis désolée que tu aies su si tard que tu avais une soeur, que j’étais ta soeur. J’imagine les bouleversements que ça doit impliquer dans ta vie, les choses que ça doit remettre en question sur ta famille, notre famille. A toi aussi, on t’a menti et je n’imagine que très bien la sensation cruelle qui doit te prendre. Mais, j’aimerais que tu saches clairement ce que ça implique pour moi également. (Après tout, je n’ai pas pu te l’expliquer puisque j’ai l’impression que tu souhaites désormais te tenir le plus loin possible de moi.)
Comme je te l’ai déjà expliqué, j’ai passé mon enfance plongée dans le mensonge des mes origines et quand finalement, j’ai pu apprendre le vérité, celle-ci était incomplète. Et j’ai débuté une nouvelle scolarité dans un monde que je connaissais pas et que pourtant, j’aurais dû connaître. Si tu savais à quel point j’en ai voulu au monde entier. A quel point j’en ai voulu à mes parents, à mes géniteurs. Par leur faute, je subissais des brimades sur mon statut de sang alors qu’en réalité, je n’étais pas celle que tout le monde pensait. Et le temps est passé et j’ai appris à vivre avec, à vivre avec cette rancune que je vouais à ceux qui m’avaient abandonnée. J’ai appris à aimer d’autant plus ceux qui m’avaient élevée, les remerciant du mieux que je le pouvais de m’avoir acceptée et de m’avoir aimée comme leur fille. J’ai passé des nuits à vous imaginer des suites des différentes lettres que ma mère, enfin, notre mère devrais-je dire, m’envoyait chaque année. Des lettres qui ne cessent encore de me bouleverser et que je garde bien précieusement. J’ai passé des heures et des heures à me demander comment vous étiez, si j’avais des frères et soeurs, quels emplois mes parents exerçaient, quel était mon nom de famille, où viviez vous. Enfin, tout ça quoi… Et même si l’âge m’a fait comprendre que je serais à jamais une Eagles, quoi qu’il advienne, je ne pouvais m’empêcher d’être de plus en plus obsédée par ces questions sans réponses qui demeuraient depuis si longtemps. Qui étais-je ? D’où venais-je ? Pourquoi moi ?
Et puis, j’ai décidé d’ensorceler la dernière lettre reçue, sous les conseils avisés de quelqu’un dont je pensais la valeur inestimable pour me mener à cette mère inconnue. Du moins, c’est que j’espérais. Et je suis tombée sur toi. Surprise immense de voir que cette lettre me menait à toi ce jour-là et même si cela faisait déjà quelques temps que l’univers semblait vouloir nous réunir (et voilà que je cause comme cette folle de Trelawney super…), j’ai compris à ce moment-même que tu étais impliqué toi aussi. Je ne savais comment à l’époque et ne voulais pas t’impliquer sans être certaine, sans être sûre que tu faisais toi aussi parti de l’équation finale. Et les mois se sont écoulés, nous nous sommes d’autant plus rapprochés. Inexorablement, naturellement (d’ailleurs encore désolée pour la salamandre, j’y penserais à deux fois désormais) et plus le temps passé, plus certains détails me sautaient aux yeux sans que je n’arrive à mettre le doigt dessus. Puis Victoire est passée par là et tu connais la suite.
Ce jour-là, j’ai eu si peur. Si peur de te perdre Theo et cette peur s’est révélée être concrète. Parce que nous deux, c’est fini ? N’est ce pas ? C’est ce que tu veux non ? En tout cas, sache que ce n’est pas mon cas. Parce que je n’ai pas passé des années à t’imaginer pour qu’au final, ne pas pouvoir apprendre à te connaître réellement, ne pas pouvoir te montrer que je t’aime. Parce que oui, putain, je t’aime et si je n’ai jamais réussi à mettre un nom sur cette affection, aujourd’hui je sais qu’au fond de moi, je le savais. Tu es mon frère et que tu le veuilles ou non, tu ne pourras jamais m’enlever ça. Ce frère que j’ai tant rêvé d’avoir à mes côtés.
Et ce soir, je suis là, dans ma chambre, comme une abrutie, à te dire ce que je ressens alors que je devrais passer le réveillon avec les gens que j’aime. Sauf que tu n’es pas là. Et que j’aurais aimé pouvoir passer ce réveillon de Noël avec toi. Pouvoir te présenter à ma famille, pouvoir porter des pulls de Noël tricotés par ma grand-mère avec toi et t’offrir un petit quelque chose pour les fêtes de fin d’année. Parce que j’ai tant rêvé d’un Noël en famille, au pied de ce petite sapin ridicule qui trône dans le salon de mes parents.
Je ne sais pas si tu penses à moi ce soir, si tu es en train de te gaver de la délicieuse nourriture que propose l’école pour les fêtes, si tu as retrouvé un peu de ton sourire (parce que oui, je l’ai vu ce sourire que tu as perdu. Par ma faute ? Oui, peut-être bien.) mais en tout cas, sache que moi, je pense à toi.
Ah. Je te laisse. Mon grand-père m’appelle pour aller souper.
Je n’enverrais très certainement jamais cette lettre parce que je ne trouverais pas le courage de le faire. Elle trainera certainement dans un coin de ma chambre le restant de mes jours.
Mais, je te souhaite un très joyeux Noël Theodore Nott.
Avec toute ma sincère affection,
Avalon Eagles-Nott, ta soeur qui n’écrira plus jamais une lettre aussi niaise de toute sa vie, bordel de merde. Bonjour l’urticaire.
Sur le parchemin, est collé un petit post-it où il est indiqué :
Londres, le 25 Décembre 1996
Bonjour Theodore,
Je me présente, je suis Dorothy Eagles, la mère d'Avalon. J'ai emprunté le hibou de ma fille pour t'envoyer cette lettre qui trainait sur son bureau quand je suis partie ranger ses affaires. Je sais qu'elle piquera une colère quand elle se rendra compte que son hibou est parti en mission, en rentrant de chez ses grands-parents pour le repas de midi. Mais pour le sourire de mon bébé et cette lueur de malice qui ne brille plus dans ses yeux, je me devais de le faire. J'espère que tu prendras compte de ce qu'elle te dit et qu'un jour nous pourrons nous rencontrer.
j'espère que tu passes de bonnes fêtes de Noël et que la festivité est au rendez-vous malgré les événements survenus avant les vacances. Je ne m'attendais pas à recevoir une lettre de ta part, encore moins d'aussi beaux présents qui m'ont laissée quelque peu pantoise, je dois l'admettre - d'où ma réponse tardive. Je ne suis peut-être pas si difficilement lisible finalement, lorsque je vois à quel point tu as tapé juste. Ou peut-être me suis-je ouverte plus que je ne l'ai cru à tes côtés ? Je devine ce sourire fier et crétin sur tes lèvres en lisant ces lignes. Vous êtes prié de cesser immédiatement, monsieur Nott. Tout de ce colis, dans les moindres détails, est parfait. Enfin un endroit où noter à quel point mon fiancé est agaçant et têtu ! *sourire* Je joins moi aussi un petit présent trouvé au début des vacances te concédant une petite part de mon chaleureux Pays de Galles – qui fera néanmoins bien pâle figure à côté de tes cadeaux. En espérant que nous aurons bientôt l’occasion de valser à nouveau,
bonnes fêtes de fin d’année et à bientôt. PS : Paul Eluard est un très bon choix.
Briséis Louise Avery.
présent:
Il s'agit d'un pull en cachemire bleu nuit doté d’une encolure en V et fait mains aux Pays de Galles. A la fois doux, chaud et léger, il est idéal à porter à même la peau en Automne ainsi qu’au printemps et à affilier avec une chemise en hiver. Y ont été ajoutées, cousues mains également et dans un fil doré, deux symboles juste au dessus du poignet en bord côte intérieur droit : ↑ et t , représentations de T et N en symboles runiques, référence à leur première rencontre due à un manuel de cette même discipline. Est posé sur le dessus du pull impeccablement plié une petite note ajoutée à la dernière minute : « En cas de nouvel incident avec une armoire, que j’ai quelque chose de doux sur laquelle reposer. »
- il faut considéré que cette lettre a été envoyé au tout début des vacances -
Théodore,
Merci. J’ai réfléchi pendant longtemps à comment commencer cette lettre. J’ai fini par décider d’aller droit au but. Alors merci. Et pardon. Pardon de vous avoir fait vivre ça, à toi et à Briséis. Je n’avais pas vraiment réfléchi aux conséquences de mes actes. Enfin, si. Mais pas celle-là. Au lieu de juste supprimer une vie, j’en ai brisé trois à la place. Et je m’en veux terriblement pour cela. J’espère qu’un jour, tu pourras me pardonner. Si tu as besoin de quoique ce soit, dis-le-moi, je te dois la vie. Je te serais redevable pendant l’intégralité de celle-ci.
Dans tous les cas, sois sûr que je ne compte pas recommencer. Jamais.
Assise dans ce qui sera sa chambre pour cette nouvelle année, Avalon, encore seule dans l’école – après tout quoi de mieux qu’une rentrée anticipée pour se familiariser avec les locaux d’Ilvermorny, prend sa plume pour coucher sur le papier des mots à ceux qui ont su par les années s’imposer comme des pilliers dans le monde sorcier. Les noms sont écrits sur chaque enveloppe individuelles dans une calligraphie presque parfaite. Les lettres ont été envoyées par hibou de telle sorte que les destinataires le reçoivent le premier jour de la rentrée à Poudlard.
Ilvermorny, le 29 Aout 1997
Mon cher frère,
Cette nouvelle année résonne particulièrement à mes oreilles. Comme tu le sais déjà, Ilvermorny m’a ouvert ses portes et ça a été une véritable fierté d’avoir accepté, d’avoir été choisie par l’un des plus grands zoologistes du monde sorcier. Pourtant, cette nouvelle année emprunte une saveur différente alors que dans ma chambre, j’écris ces quelques mots.
Je ne me perdrais pas dans moultes banalités. Tu auras la surprise de t’apercevoir qu’à la volière de l’école t’attendent différentes lettres que je t’ai envoyé tout courant Août. Je ne pouvais pas passer un été sans pouvoir échanger avec toi et connaissant les risques de notre situation, j’ai préféré t’écrire directement à l’école.
Néanmoins, cette lettre-ci est différente des autres. Elle signe réellement cette distance qui nous séparera pour les prochains mois. J’ai l’impression que l’univers fait tout pour nous séparer. Encore. Alors que nous retrouvions enfin ce qui nous avait tant uni, me voilà partie pour l’Amérique. Comme si Merlin s’amusait de voir le frère et la sœur être séparés de nouveau.
J’aurais tant voulu que nous ayons plus de temps ensemble. J’aurais tant voulu être ta sœur dès le premier jour, grandir à tes côtés et te connaître comme personne. Je me doute que tout n’a pas été rose, sinon, tu ne serais pas si réticent à l’idée de me parler de notre famille. Et pourtant, il y a toujours cette envie profondément inscrite en moi qui m’affirme que j’aurais voulu être à tes côtés depuis le premier jour. Tu es en quelque sorte le deuxième homme de ma vie, l’une des personnes les plus importantes à mes yeux. Tu as su te montrer avec le temps comme étant l’un de mes piliers principaux et un monde sans toi n’est clairement pas un monde dans lequel je veux vivre. Tu trouveras ceci étrange, mais je te rassure, il y a en moi, une envie de te dire au combien je suis fière d’être tout proche de toi. Il arrive parfois que l’on ressente le besoin de dire les choses, de démontrer ses sentiments, voilà la raison qui me pousse à venir vers toi et révéler mes sentiments à ton égard. Si par le passé, tu as été d’une importance inégale pour moi, je veux que tu sache que cette affection naturelle, innée que j’ai pour toi perdure et lorsque mes cheveux vireront au blanc, et lorsque mes pas se feront à l’aide d’une canne, je veux que toi mon frère soit encore à mes côtés. Je sais que notre situation fait qu’exprimer clairement ce qui nous unit ne peut que desservir cette relation que beaucoup à Poudlard ont jugé illégitime. Et pourtant, je n’ai jamais été aussi fière qu’aujourd’hui d’affirmer que tu es mon frère.
Un jour peut-être, il nous sera possible de légitimer notre fraternité, il me sera possible de porter cette identité que tu portes si bien et ce, malgré la difficulté qu’a dû entrainer ton nom. Mais jusque là, je veux que tu sache que si j’ai besoin de toi, sache que toi aussi, tu peux compter sur moi. Et ce quelque soit ma position sur cette Terre. Si l’envie de pleurer surgit, si l’envie de hurler ou d’étriper quelqu’un apparaît, tu peux te reposer sur mes épaules. Où que je sois, je serais là. Je t’en fais le serment.
On a beau être au début de notre relation, apprendre tout juste à se connaître, l’affection que j’ai pour toi est aussi inné que mes besoins vitaux. Tu es inscrit dans mon cœur, je t’ai dans le sang et je crois que je l’ai toujours su d’une certaine manière.
Je veux te dire que ce n’est pas le job ni l’argent qui fait l’homme , mais le coeur et la volonté . Je ne t’ai pas vu grandir à mon plus grand regret mais je sais que tu es capable d’absolument tout. Il suffit de croire en toi et de t’investir dans ce qui t’allume. Tu es le garçon le plus brillant que je connaisse alors ne laisse personne t’empêcher de devenir une meilleure version de toi-même à chaque instant ou plutôt l’homme que tu veux réellement être. Mon conseil est juste de puiser ta motivation dans ce que tu aimes et de regarder toute la douceur qui t’entoure pour traverser les difficultés.
T’es mon grand frère et, pour moi, tu seras toujours un grand homme. Peu importe tes quêtes, peu importe tes chutes, peu importe si ce qui te consume est bon ou mauvais, je serais là.
Alors prends soin de toi, Theo. S’il te plait.
A bientôt, à nos prochains échanges, à nos prochaines lettres.
Ta petite sœur, Avalon Nott.
PS : Garde la lettre de Maman pour toi. Tu mérites d’avoir un bout d’elle avec toi. Tu es son fils bien plus que j’ai été sa fille. PS 2 : Continues de prendre soin de ma couverture de naissance.
Mon cher Theo, quel plaisir que de voir cette belle union se concrétiser. Je risque d'avoir besoin de quelques mouchoirs. Je serai bien évidemment présente pour cet événement. Tu peux compter sur moi. Malheureusement, mes parents, Mr. et Mme. Parkinson sont déplacement pour tout le mois d'Avril. Je ne manquerai pas de représenter fièrement cette famille qui est la mienne.
Embrasse ta promise pour moi. Il me tarde déjà d'y être.
Pansy.
Codage par Libella sur Graphiorum
Ethel Ponds
veritaserum
parchemins : 10300
sablier : 6
- convictions : Elle croit en ce que ses parents lui ont appris : la tolérance.
- clubs et assos : préfète, membre du club de duel et présidente du club de dessin.
- (options) ou (cursus) choisis : Etude des moldus, SACM, Etude des runes & Arithmancie.
avatar : Danielle Campbell
crédits : avatar de mcximoffs, signa de élissan
mood actuel : sur le point de finir sa 7e année, elle remet son avenir en question et vit au jour le jour.
J'essaie de passer outre l'excitation des gens autour de moi et des mouvements du Poudlard Express pour écrire cette courte missive. J'espère que tu vas bien et que notre bref séjour en Islande t'auras apporté douceur et sérénité. Les paysages m'ont rappelé notre discussion à l'orée de la forêt - ils étaient époustouflants, ils s'ajoutent sans doute aux endroits que je préfère au monde et qui me font du bien quand ça devient trop lourd juste là (tu te souviens ?). Ces mots sont d'une banalité affligeante, pardonne moi. Je t'écrivais pour te rappeler ce coin dont tu m'as parlé l'autre fois, cet alcôve invisible au septième étage où la vue sur le domaine est époustouflante. J'y suis allée, et tu avais raison, c'est particulièrement apaisant comme endroit. Je me suis surprise à y retourner plusieurs fois et à ne plus vouloir en partir tant il est bon de ressentir tout ce calme et cette sérénité. Tout ça pour dire que tu trouveras ci-joint un petit quelque chose pour te rappeler la beauté figée de Poudlard et de l'Ecosse même après notre passage, quand nous ne serons plus que des souvenirs pour cette école. Je conçois que ça n'a pas le même effet que le voir en vrai, mais j'espère qu'ainsi, Poudlard te manqueras un peu moins le jour où tu partiras et que le souvenir de ces paysages gravés pour toujours sur cette toile sauront te tirer quelques sourires ou vagues de bien-être quand la nostalgie sera trop forte ou que tu en auras besoin.
Je te souhaite de joyeuses fêtes,
Ethel P.
ci-joint:
ci-joint, un petit objet qui a été magiquement rétrécit. une fois qu'il retrouve sa taille normale, c'est une toile en coton format paysage qui contient une peinture à l'huile d'un paysage dont lui a parlé theodore. il s'agit du coin au septième étage, une alcôve invisible aux yeux des autres où ils ont une vue unique sur le domaine et les alentours. ethel a décidé de s'y rendre, de peindre le paysage et de l'offrir à theodore pour qu'il s'en rappelle toujours. avec un peu d'imagination, ça donne plus ou moins ça à la différence près qu'un coucher de soleil se reflète dans les plans d'eau, que l'hippogriffe est remplacé par une chouette et qu'on peut aussi apercevoir le terrain de quidditch sur son dessin. en plissant les yeux et en prêtant attention aux détails, de petits sombrals peuvent même être reconnus au sol.
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sad birds still sing
≈ she was not fragile like a flower; she was fragile like a bomb
Ophelia Burgess
veritaserum
parchemins : 436
sablier : 18
- convictions : girls can do anything.
- (options) ou (cursus) choisis : journalisme, politique magique, sécurité magique, russe.
Je suis désolée. J'ai été égoïste et je n'ai fait que penser à mes propres émotions alors que j'aurais dû être là pour toi au lieu de te juger. Tu me manques. Mon meilleur ami me manque. Je n'ai pas arrêté de penser à tout ça depuis notre dispute mais je n'ai pas réussi à t'écrire avant aujourd'hui. Et là, en étant en Islande, en voyant tout le monde profiter des différentes activités.. Je réalise que c'est avec toi que j'ai envie de découvrir tout ça.
J'espère que tu vas mieux. Véritablement. J'espère surtout que je n'ai pas empiré ton mal-être. Et si c'est le cas.. alors je ferai tout ce qu'il faut pour effacer le mal que j'ai causé, si tu me laisses faire.
Tendrement, Ophelia.
Ps : I could never hate you, even in a hundred lifetimes.
Spoiler:
Avec la lettre se trouve la première photo d'eux, elle a été prise en deuxième année. Ophelia est accrochée au bras de Theodore avec un large sourire aux lèvres. Derrière la photo se trouve un petit mot écrit avec soin. "Accompagne moi au bal?"
Ophelia Burgess
veritaserum
parchemins : 436
sablier : 18
- convictions : girls can do anything.
- (options) ou (cursus) choisis : journalisme, politique magique, sécurité magique, russe.
Open it whenever you can't sleep and I'm not around to help.
Merry Christmas, Ophelia.
Spoiler:
Theodore trouvera deux objets avec le mot : d'abord, un petit carnet dans lequel elle a noté quelques phrases qu'elle lui murmure habituellement quand elle tente d'aider Theodore (comme 'you're not alone' entre autres) mais également des mots plus légers, faisant comme si elle s'adressait à lui alors qu'elle évoque des souvenirs qui les lient et lui ont permis de rire ensemble pour qu'il puisse avoir l'esprit plus léger. L'autre objet est une petite boîte en ébène. En dessous de celle-ci est gravée l'inscription "I'll always be your best friend" dans une fine écriture cursive. Quand Theodore l'ouvre, il peut observer les aurores qu'ils ont vu ensemble en Islande, comme projetées et flottant au-dessus de la boîte alors qu'en même temps, une mélodie retentit, légère, notes qu'il reconnaîtra puisqu'il s'agit d'une mélodie sur laquelle ils ont déjà dansé.
Hermione Granger
veritaserum
parchemins : 5286
sablier : 15
- convictions : prône l'égalité pour tous.
- clubs et assos : ancienne préfète-en-chef, S.A.L.E. (présidente).
- (options) ou (cursus) choisis : politique magique, justice magique et médicomagie (+ le russe).
mood actuel : nostalgique de la fin d'année, stressée et sur les nerfs à cause des révisions pour les examens et la soutenance de stage à réaliser. elle trouve tout de même la paix dans les moments partagés avec ses meilleurs amis, et surtout theo.
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