La cape de Theodore toujours dans tes bras, tu écoutes le professeur Dumbledore lancer la première épreuve qui fait immédiatement suite à la première tâche ou le serpent a récupéré avec un franc succès deux nuits dans une salle de classe chauffée. Un parchemin apparaît les airs où il est possible d’apercevoir des lettres dorées former l’intitulé de l’épreuve. Nott attrape le parchemin et vous pouvez finalement lire tous votre épreuve. Tes sourcils se froncent alors que silencieuse, ton cerveau commence déjà à cogiter dans tous les sens. Tes iris se posent sur chacun des trois partenaires pour la semaine. Il va falloir preuve de bon sens et oublier certaines rivalités pour que cette équipe fonctionne. Mais, tu ne doutes pas que chacun arrivera à mettre sa fierté de côté et s’investira pour la victoire de votre équipe. Je vous propose qu'on s'éloigne des autres. A la fois pour leur faire peur, à la fois car on réfléchit mieux en marchant.. Allons au château. Tu jettes un regard à @Silas Hitchens ainsi qu'à @Boreas Rosenberg et hausses les épaules l’air de dire “bon bah je crois qu’on n’a pas le choix”. Tu emboites le pas tandis que chacun récupère les affaires qui vous serviront pour la semaine. D’ailleurs, Nott, si tu me laissais jeter un sortilège d’extension indétectable sur le petit sac vide pour ranger toutes nos affaires, ça sera peut-être plus pratique. Dis-tu en arrivant à ses côtés et en attrapant d’un geste vif le parchemin pour relire l’intitulé de l’énigme te plongeant dans un autre silence des plus érudits.

un sac entre ses mains. signe de votre première victoire. tu n'en attendais pas moins venant de theodore. homme avec lequel tu vas être dans l'obligation de cohabiter désormais. tu ne peux pas te plaindre. ton équipe est plutôt bien composé. les muscles, les cerveaux et.. tu regardes quelques instant boreas. tu ne connais pas spécialement les points forts du jeune garçon mais, tu n'as pas l'intention de le laisser faire n'importe quoi. question de sécurité avant tout. à tes yeux il n'est encore qu'un enfant. et tu te sens comme responsable de lui désormais. parchemin qui arrive comme par magie -c'est beau- entre vous tous. énigme que theodore commence à lire à voix haute et que tu termines silencieusement. ton ancien ami qui reprend à nouveau la parole et sans attendre la moindre réponse il s'avance déjà en direction du château. un regard envers hermione, compatissant à celui qu'elle vous a lancer quelques secondes plus tôt. quand theodore à une idée derrière la tête difficile de la lui enlever. marchant aux côtés d'hermione pour lire avec elle le parchemin. « alors, nott pas trop le cerveau qui flambe ? » taquinerie que tu n'hésites pas à lui balancer au serpent tout en continuant la route qui mène à l'école. une certaine compétition quand il s'agit d'être le meilleur. double pression quand tu réalises que la meilleure élève de poudlard avance juste à vos côtés. mais, vous êtes des hommes, et toi tu ne sais jamais t'arrêter de faire l'imbécile. c'est dans ta nature. porte du château que tu pousses. avant de t'arrêter d'un seul coup. ton regard qui passe de l'un à l'autre. boreas à qui tu donnes une légère claque sur l'épaule. et votre sourire.. ils ont comprit eux aussi le sens de cette énigme. et le lieu de vos désirs est seulement à quelques mètres de vous. un rire qui traverse les lèvres alors, que le blaireau ne semble pas comprendre directement toute cette excitation dans vos regards. « tu n'as pas compris ? » que tu demandes sérieusement. « c'est pourtant évident. » une main sur son épaule pour l'inviter à vous suivre. la porte de la grande salle désormais face à vous.

une évidence même qui ne tarde pas à se dessiner dans vos esprits. la grande salle. des portes que vous admirez quelques secondes avant d'aider boreas à les ouvrir. trop lourde pour une seule personne. silence qui ne signifie rien de bon. ta main que tu poses presque par automatisme sur ta baguette. jusqu'à te demander intérieurement ce qui peut bien vous attendre désormais. rien de bon en tout cas. tu te doutes bien que le directeur n'est pas du genre à faire les choses à moitiés. « c'est quoi ce.. » bordel ? mot qui n'a même pas le temps de traverser tes lèvres. ton regard posé quelques secondes sur le lutin, sur cette petite bête qui semble heureuse de votre visite. certainement pas par pur bonheur. des casseroles qui s'agitent rapidement dans l'air. un bruit à t'en faire mal aux oreilles. et ton balai que tu n'hésites pas à prendre. venant te placer devant boreas. « essaye de pas te faire mal. » ou de ne pas être pris pour cible. ce qui est encore plus compliqué à faire que ta première demande. faciliter avec laquelle tu te déplaces alors, que sans faire attention aux alentours tu t'avances en direction de l'une des créatures qui semble s'amuser à te tirer la langue et s'étirer les oreilles sous ton nez. casserole que tu évites grâce aux avertissements du serpent. « hermione derrière toi ! » qui semble être la proie parfaite pour cet ustensile de cuisine. et boreas que tu as perdu du regard désormais. « et merde. » long soupire qui traverse tes lèvres alors, que tu continues dans la même direction. toujours le petit être devant toi. « stupéfix ! » que tu lances sans la moindre difficulté en direction peut-être d'un pas vers la victoire.  

Tu vois ton sort filer hors de ta baguette et rebondir contre l'une des casseroles volant autour de vous. Elle se fige dans les airs et tombe soudainement au sol, se fracassant contre l'une des tables puis le sol dans un bruit assourdissant s'ajoutant à la cacophonie déjà existante. Tu râles d'un juron de ton plus bel accent écossai en prenant de la hauteur vis à vis de la bataille. Un lutin te colle aux fesses en tentant d'attraper ton balais par l'arrière et tu exécutes un roulé pour qu'elle te lâche mais elle persiste, s'agrippant aux poils de ton balais déjà trop usé, ralentissant ton vol et surtout, menaçant de casser ton balai à tout moment. Elle ricane et  tu lâches un « Damn ainmhidh » maudissant la créature bleue. Tu raffermis ta prise sur ta baguette, lève ton bras et tente de la viser au mieux juste après une feinte où tu réussis à la frapper contre le mur juste derrière la grande table des professeurs. « INCARCEREM » le sort rouge file de ta baguette et tu espères réussir. EDIT Les lianes s'envolent et touchent une table au lieu du lutin avant de disparaitre. Au moment où tu tentes de redresser ton balais, une casserole vient te frapper et tu tournes la tête au bon moment mais pas assez rapidement, récoltant au passage une grosse entaille le haut de ta joue.


Damn ainmhidh : maudite créature en gaélique.

tu t'avances rapidement. assez pour l'attraper et lui arracher son parchemin à la bestiole, désormais moins sonné par ton sortilège. il te donne des coups pendant quelques secondes mais, pas assez fort pour te faire lâcher prise. déjà un sur les quatre. au moins une bonne nouvelle. « j'en ai un ! » que tu t'empresses de crier aux autres. non pas pour faire ton intéressant mais, pour donner la motivation nécessaire de continuer, de passer au dessus du bruit et des hurlements des créatures. il vous faut les trois autres parchemins. tu le sais et tu es prêt à tout pour réussir. détermination qui désormais ne quitte plus ton regard. tu as l'impression d'être sur ton petit nuage mais, ce n'est que de courte durée. casserole qui percute le visage de ton ancien meilleur ami. la bouche ouverte à cause de la surprise et une large entaille que tu découvres sur sa peau pâle. jusqu'ici tu n'avais pas réaliser le danger de cette épreuve. ta lèvre que tu mordilles alors, que tu continues de poursuivre le même lutin que theodore, légèrement sonné par le choc. lutin qui semble très content de lui alors, que tu tentes de toutes les manières possibles d'esquiver les casseroles sur ta route. deuxième essai. avec un peu de chance, autant de succès qu'à la première tentative. une inspiration profonde. « petrificus totalus. » que tu articules avec plus de rage que la première fois.  

Des regards complices s’échangent alors que vous comprenez tous que le lieu de l’énigme est en réalité la Grande Salle. Des raisonnements dans le plus grand des silences et qui semblent déstabiliser un court instant le jeune Boreas. C’est finalement Boreas qui en ouvre l’accès, pourtant scellé selon les dires de vos professeurs. La pièce est silencieuse et il te semble un court instant que la salle a perdu tout son charme. Mais, tu as l’impression que quelque chose ne tourne pas rond. Car tu connais suffisamment votre directeur pour savoir que ça ne peut pas être aussi… facile. Tu échanges un regard sceptique avec tes camarades d’infortune. Soudainement, le silence se brise alors qu’un lutin  apparait dans la pièce, une horde de casseroles enchantées jusque là figée. En face de vous des balais et chacun semble comprendre ce qu’il se passe. Il vous faut chacun monter sur un balais pour que l’épreuve ne débute réellement. Ainsi, tous se précipitent sur les balais et s’envolent avec une facilité déconcertante. Mais pas toi. Tu restes silencieuse, les yeux fixés sur ce balai qui n’attend que toi. Le visage pâle, tu ne portes que très peu d’attention à Nott qui semble prendre plaisir à te rappeler que tu as décidément bien un problème avec les balais. Chair de poules, sueurs froides à l’idée de devoir faire face à ton vertige. Je… Je ne peux pas. Avoues-tu faiblement, la peur étreignant ton coeur tandis que tes compagnons n’attendent que toi. Il leur faut bien plusieurs minutes pour te convaincre de finalement t’élever dans le ciel. Prudemment, tes mains agrippent le manche, angoissée comme tu ne l’as jamais été (enfin sans compter les examens…) et tu donnes un petit coup sur le sol pour t’élever d’abord de quelques centimètres. Et l’épreuve débute alors. Le lutin se multiplie, les ustensiles cognent les uns contre les autres et toi tu leurs portes peu d’attention. Ton regard est focalisé sur le sol qui semble s’éloigner d’autant plus que tu restes fixé sur celui-ci. Vertiges et tu ensserres le manche avec poigne, les yeux fermés. Yeux humides alors que le coeur bat à tout rompre. Tu n’arrives pas à te focaliser sur ce qu’il se passe aux alentours et il faut que Silas te hurle de faire attention pour que tu réouvres les yeux et que dans un cri de terreur, tu vires à droite t’envolant d’autant plus. Tu évites de justesse la maudite casserole tandis que tu entends les rires malicieux d’un des lutins se rapprocher de toi. Ton regard croise celui de Theodore, dont le visage est déjà entaillé et tu le supplies du regard de venir t’aider. Tu ne sais pas comment t’y prendre. Et dans un acte de détresse, tu attrapes fébrilement ta baguette et lances : IMMOBULUS. Comme au bon vieux temps.

frustration qui s'échappe de tes lèvres. sortilèges qui n'atteint même pas ta cible mais.. le vide. l'air. absolument rien alors, qu'il continue de s'agiter sous tes yeux dans le simple but de te provoquer. et le pire c'est qu'il réussit. encore plus en colère contre le lutin. tu murmures un juron entre tes dents alors, que tu continues de le poursuivre. casserole qui vient encore une fois te bloquer le passage, jusqu'à te forcer à faire demi-tour, un geste rapide pour ne pas te prendre hermione de pleins fouet qui semble avoir beaucoup de mal à diriger son balai. « respire hermione tout va bien ! » plus facile à dire qu'à faire tu le sais bien. mais, tu tentes de lui offrir un léger sourire malgré la situation. espoir stupide que ça arrive à lui donner plus de courage et à effacer cette peur que tu peux facilement lire dans ses yeux. tu n'as pas envie d'assister à une crise de panique et pire encore.. des dégâts encore plus important. la joue entailler de theodore c'est déjà de trop à tes yeux. mais, elle est une cible de choix pour les lutins hermione. la plus facile à faire tomber et celle qui vole avec le moins d'assurance à côté de vous deux déjà bien plus expérimenté sur le terrain. ton regard posé sur la sorcière, tu finis pourtant par détourner ton attention d'elle au moment ou tu entends boreas crier sur l'un des lutins. la bestiole accrocher à l'arrière de son balais pour l'empêcher d'avancer correctement. coup de pieds qui pourtant ne lui font pas lâcher prise. satisfait d'entendre au loin la réussite d'hermione. un deuxième lutin, un deuxième parchemin. plus que deux que tu continues de te répéter en boucle dans ton esprit alors, que tu t'avances en direction du blaireaux. ta baguette fixer face au lutin toujours accroché au balais de ton partenaire. « stupéfix. » mission sauvetage.

edit après malus : tu vas trop haut, bien trop haut et alors que tu attrapes le pied de la créature, ton balai devient fou soudainement et tu perds de l'altitude, te forçant à libérer le lutin qui hurle de moquerie au dessus de toi. Tu tombes mais t'accroche fermement comme tu le peux, tu tentes même de te rattraper à Silas mais rien à faire et tu vois la chute arriver. Alors que tu réussis à sauter in-extremis de ton balais en tentant de t'élancer vers @Silas Hitchens tu ne fais que ralentir la chute et t’aplatir sur l'une des tables. Ton balai file dans les flammes de la cheminée.

Une lueur d’étonnement traverse ton regard quand tu vois ton sort immobilisé  un second lutin. Tu ne t’es pas attendue à réussir ton sort sous un tel état de panique mais tu n’as pas le temps de te réjouir qu’aussitôt tu te concentres à nouveau sur cette dangerosité sur laquelle tu es assise. Theodore s’envole vers toi, le parchemin du lutin que tu as réussi à immobilisé dans sa main. Ton regard effrayé se porte sur sa blessure et tu fronces les sourcils en voyant le sang couler sur sa joue. Tu te promets de veiller à soigner cette vilaine blessure une fois l’épreuve terminée, si toutefois tu es en vie. Mais, pour l’instant, ce n’est pas le cadet de tes soucis. Le serpent semble le comprendre lui aussi car il te conseille de rester là et d’éviter les casseroles et les lutins du mieux possible. Une grimace en guise de réponse alors qu’au loin l’aiglon attrape l’avant dernier lutin qui n’est toujours pas le bon. Boréas lui, ne débrouille pas trop mal. Le sourire que t’adresse alors Nott te met quelque peu de baume au coeur, te faisant oublier quelques secondes que tu pourrais à tout instant tomber dans le vide. Et tu tentes de te concentrer sur cette sensation qui faiblement essaie de remplacer sans succès une crainte bien trop grande. Puis, te revoilà seule alors que d’une voix étranglée, tu t’écries, apeurée : Nott ! Attends ! Regard pour Silas et Boreas. Tu ne sais pas quoi faire de ce balais, tu ne sais pas comment le guider, te rappelant bien trop de la mauvaise sensation et des nausées qui t’avaient prises lors de ta première tentative de vol. Ce jour-là, tu t’es promise de ne jamais remonter sur un de ces objets du démons. Et voilà, là où tu en es. Un fais-tout fou arrive à vive allure en ta direction et tu n’as le temps que de baisser brusquement la tête, l’esquivant de peu. Mais ton balais perd un peu de stabilité et au bout de quelques cris désespérés et de tentatives à rester concentrée sur un point, tentant de faire abstraction des mètres qui te séparent du sol, tu arrives à retrouver un semblant d’équilibre. Souffle rassuré alors que tes yeux se fixent sur le serpent qui a tenté l’impossible et qui chute de haut. De bien trop haut. Incapable de bouger, te demandant ce que tu dois faire, tes yeux glissent sur ce corps qui tombe contre l’une des tables. Et tes yeux fixent de nouveau le sol et les vertiges te reprennent alors que tu refermes les yeux violemment. Si bien que tu n’aperçois pas le lutin qui vient attraper ton balai par devant. Un nouveau cri alors que tu réouvres les yeux paniquée. Et alors que ton balais se rapproche du sol, une de tes mains quitte fébrilement le manche. IMPEDIMENTAAAAAAAAAHHHHHHHH !

EDIT : Le sortilège ricoche sur une poêle à crêpes et se dirige tout droit vers @Silas Hitchens. Pendant ce temps, le lutin profite de ta terreur pour venir se jeter sur ton visage. Tu ne vois plus et tes mains quittent le balais pour te débattre. Le sol se rapproche trop vite et tu hurles. Encore.

edit: Alors que vous décollez dans les airs avec précaution, une casserole revient tenter de vous viser et tu ne peux parer le coup, tenant fermement le balai de tes mains. Tu tentes de te baisser mais tu penses à Granger derrière toi et son état actuel. L'ustensile vient te frapper au front en te laissant une nouvelle entaille et t'étourdissant un long moment. Tu souffles un coup et te penches en avant sur ton balai, un peu sonné.

Tu chutes de ton balai, le lutin quitte ton visage visiblement satisfait de lui mais alors que tu t’attends à faire une chute vertigineuse et à rencontrer violemment le sol de la Grande Salle, tu lévites dans le ciel. Tu réouvres les yeux pour voir qui est à l’origine de ce sortilège de lévitation et tes prunelles rencontrent dans les azures du serpent. Quand tes pieds rencontrent finalement le sol, un énorme soulagement t’envahit alors que tu trembles encore de cette expérience traumatisante. Tu déposes ta main sur celle du serpent qui est posée sur ton épaule et tentes de reprendre une respiration à priori normale. Tu tentes de calmer le rythme de ton coeur mais le temps presse. Tout comme Nott, tu sens que la magie de l’épreuve intime que quelqu’un remonte sur ce balai mais terrorisée à l’idée de te confronter à nouveau à cette peur, tu refuses clairement de remonter sur le balai, encore tremblante de la précédente tentative. Le brun chevauche le balai et cherche de son regard tes prunelles chocolatées. Il t’interpelle, t’intimant silencieusement de le rejoindre car ce balai est le tien et tant que tu ne l’auras pas chevauché, le balai ne pourra pas s’élever. Mais, ta tête reste baissée, les poings serrés. Un véritable combat intérieur se déroule à l’instant même où ton homologue tente de te convaincre de remonter. D’un côté, la peur qui t’assure qu’il est plus prudent de rester au sol. De l’autre, ton courage de lionne qui s’éveille et qui te rappelle que si tu ne remontes pas, l’épreuve est fichue pour les autres. Grimace qui se dessine sur ton visage. Tu esquisses un pas dans sa direction mais t’arrêtes brusquement. Non… Non.. Je ne peux pas ! Mouvement négatif catégorique de la tête qui appuie tes propos. Maintenant agenouillé devant toi, le serpent arrive enfin à capter tes yeux brillants de larmes. Il te rappelle que sans toi, ils ne peuvent pas terminer l’épreuve et ce sont finalement ses dernières paroles qui te convainquent de te laisser guider par sa main, le contact de celle-ci rassurant quelque peu tes appréhensions. Tu prends place et enroule tes bras contre son abdomen, le front posé sur son dos, les yeux plissées. Le coeur battant à tout rompre par l’anxiété, tu tentes de te rappeler que Theodore est à tes côtés et sait contrôler son balai comme jamais tu ne sauras le faire. Que tu ne risques rien à ses côtés, qu’il ne te laissera pas tomber. Malgré ça, ta respiration est aggravée et tu tentes de te concentrer sur les mouvements du serpent qui maîtrise le vieux morceau de bois comme un chef. Mais alors qu’il tente de se débarrasser du dernier nuisible, une casserole le percute et retrouvant une certaine vivacité passagère, tu t’enquis de savoir comment il va. Merde ! Nott ! Ca va ? Soupir résigné et la main tenant ta baguette le quitte tandis que l’autre s’agrippe à lui un peu plus. Tu souffles, tentant ne pas fixer le sol : Occupe toi de gérer la manoeuvre, je m’occupe du lutin. Lutin qui semble désormais avoir pris en filature Silas mais des ustensiles de cuisine vous prennent aussitôt en grippe. Un sortilège de protection parfaitement exécuté vous empêche de vous les prendre en pleine figure et tu souffles à Nott de se rapprocher du serdaigle, inquiète de voir le balai prendre un peu plus de vitesse. La vitesse te paralyse quelques secondes mais une fois arrivée à proximité, tu tentes une manoeuvre de sauvetage, complètement paniquée, ne faisant pas abstraction de la hauteur : STUPEFIX !