Les morceaux de parchemins mit bout à bout m’avais aidé à pouvoir trouver la question. Un sourire apparut sur ton visage. Si la question avait porté sur n’importe quelles propriétés curatives de l’un de ses plantes ou même de leur utilité dans une potion, j’aurais dû un peu plus me concentré bien qu’encore une fois je pense que je m’en serai plutôt bien sorti en me servant de mes méninges. Malgré tout, j’étais plutôt satisfait que le thème de ma question représente le danger. Parce que j’avais bien dû lire une fois un bouquin trouvé à la bibliothèque traitant des plantes et végétaux les plus dangereux. Toujours est-il que sans avoir à y réfléchir plus d’une demi-seconde, je me dirigeais vers la porte de la Snargalouf. C’était la seule plante, déjà carnivore, mais surtout susceptible d’attaquer quelqu’un ou quelque chose. Les autres étant essentiellement des ingrédients de potion. Je me félicitais alors de ne pas avoir suivi le pas de Théodore, peut-être que celui-ci n’avait pas eut la même question. Ou bien était-il réel ? J’avançais d’un pas déterminé vers la porte du snargalouf que je franchissais, récupérant un sac semblable à celui que mes coéquipiers avaient tour à tour rapporté. De l’autre côté de la porte, je retrouvais le rouge, la bleue et la jaune avant d’afficher un sourire. « Ca manquait d’actions tout ça. » Je réalisais soudainement que les cris de joie que j’entendais à l’extérieur ne parvenaient plus à mes oreilles. « Tiens, ils se sont calmés dehors ? » Avaient-ils au moins été vrais ces cris. Je m’avançais en direction de la porte d’entrée de la bulle pour essayer d’en sortir mais c’était impossible. « Tu vas être ravi Briseis, tu vas pouvoir prendre ta revanche, l’épreuve n’est pas finie ! »