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Costume :

Aussitôt leurs lèvres se rencontrent, aussitôt la vipère apprécie ce contact. Il n’est pas question de sentiments ni d’attachement, simplement d’une rencontre plaisante, arrivée là, au bon endroit et au bon moment. Son partenaire semble, une fois de plus, sur la même longueur d’onde qu’elle. Ce moment permet à Pansy de se déconnecter, de tout oublier et de simplement profiter. Baiser qu’elle finit par interrompre en essayant d’alléger la situation par une remarque ironique. Pourtant, elle en redemanderait presque. Comme si cet avant-goût n’avait pas été suffisant et qu’elle avait encore beaucoup à découvrir. Coup du hasard ou du destin, une porte enchantée apparaît devant eux, un filament magique les invite à entrer. Elle le connait ce placard la vipère et sait pertinemment ce qu’il s’y passe à chacune des soirée… Son compagnon de ce soir lui lance un air interrogateur. Dénuée de toute pudeur, Pansy enlace ses doigts dans ceux du brun, le laissant la guider jusqu’à l’intérieur. Elle qui a tant l’habitude de tenir les rênes, accepte volontiers de se laisser porter par ce mystérieux chevalier. Il a su lui plaire et attiser sa curiosité… Une fois à l’intérieur, le rire de la vipère accompagne celui de l’inconnu face à l’ambiance un peu trop romantique pour elle. Mais les deux adolescents ne semblent pas être là pour se formaliser de tels détails, et aussitôt, ce même rire vient s’estomper doucement lorsqu’elle sent un bras se glisser autour de sa taille. La tension monte. La musique n’est plus qu’un lointain bruit de fond. L’hydromel coule dans les veines de la belle qui commence à sentir petit à petit sa respiration s'accélérer, tout comme les battements de son coeur. Son corps vient naturellement se coller contre celui de son partenaire, apportant une pression bien plus sensuelle que précédemment. Les mains de la vipère saisissent le visage du brun, désireuse de l’attirer davantage à elle. Leurs lèvres se retrouvent dans un nouveau baiser enflammé. La timidité totalement absente de ce placard. Le palpitant de Pansy s’accélère une nouvelle fois. Paupières closes, la tête lui tourne, la chaleur monte en elle. L’envie de prolonger ce contact, ses lippes entrouvertes qui invitent leurs langues dans une danse torride. L’envie qui monte et l’air qui lui manque. Ses mains glissent jusqu’à la nuque du brun avant d’enfin se décrocher de ses lèvres. Les prunelles de la vipère se plongent dans celles de son mystérieux partenaire. “Penses-tu que demain, nous saurons nous retrouver ?”. En a-t-elle véritablement envie ? N’est-ce pas uniquement le liquide qui coule en elle qui s’exprime ? A son réveil, ne sera-t-elle pas à nouveau partagée par son dilemme éternel : Colin - Selwyn ? Et pourtant, le tatouage, l’épée, ce regard… comment l’oublier ?
Et au-dessus des deux adolescents, le chronomètre tourne annonçant que la première minute est déjà écoulée…

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Si Harry sait que sur le long terme il préfère s’investir dans une relation amoureuse sérieuse, il n’en reste pas moins un jeune homme tout à fait normal qui ne voit nullement le mal dans le fait de s’amuser un peu. Il ne se pose pas vraiment de questions, ni sur l’identité de la jeune femme partageant sa soirée, ni sur la possibilité de se revoir à l’avenir. Il s’agit surtout d’une connexion à l’instant présent, d’une alchimie dans l’immédiat - une de ces sensations qui font du bien, surtout à un coeur tourmenté. Pour la première fois depuis des semaines, le brun ne pense plus à ses sentiments réels, ni à ses possibles conséquences, ni au fait qu’ils ne sont pas partagés. Il se laisse aller, tout simplement, profitant de la compagnie et du fait qu’ils semblent être tous les deux sur la même longueur d’ondes. S’il en avait été différemment, Harry se serait ressaisi, car le but n’est nullement de créer davantage de peine autour de lui. Mais pendant la soirée clandestine qui semble comme à l’accoutumée être l’occasion de quelques débordements, ils ont tous les deux envie de se lâcher et d’oublier. Elle a raison : ils se sont bien trouvés, ce soir. Et si pendant quelques minutes, ils se font du bien l’un à l’autre, alors que demander de plus ? Doigts enlacés, le huitième année glisse un bras autour de la taille de la jeune femme. Déjà, la décoration trop romantique est oubliée. Déjà, le reste du monde est mis de côté. Et à nouveau, l’alcool qui coule dans leurs veines semble parler à leur place. Harry n’a pas envie de réfléchir et d’ailleurs, il s’en estime totalement incapable dès lors que la brune vient coller son corps au sien. La passion de leur nouveau baiser réveille une flamme en lui, irriguant dans ses veines l’ardeur du désir. Dans ce placard, il n’y a plus grand-chose d’autre qui existe et d’ailleurs, n’est-ce pas précisément le but ? Le temps ne semble plus compter alors même que les secondes s’égrènent et que leurs langues se lancent dans une danse sensuelle. Mains de la jeune femme qui se faufilent dans sa nuque, le rouge et or doit faire beaucoup d’efforts pour ne pas laisser les siennes s’égarer un peu partout. Sa question le fait sourire, pause accordée à cet instant enflammé. « C’est une bonne question. Si on laissait demain y répondre à notre place ? » La vérité, c’est encore une fois que Harry est totalement incapable de faire fonctionner son cerveau de manière normale. Il n’arrive même pas à réfléchir au lendemain, trop obnubilé, dans l’instant présent, par elle, par son regard envoûtant, par ses courbes pleines de charme. Regards ancrés l’un en l’autre, le jeune homme pose une main sur sa joue tout en l’interrogeant du regard. Il ne la connaît pas, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais il a envie de continuer à partager ces instants avec elle, sa main descendant sensuellement le long de sa nuque, puis de son dos, lentement, doucement, dans l’attente d’un quelconque signe qu’il s’aventure trop loin ou du moindre mot qui le pousserait à s’arrêter immédiatement. « Si tu préfères, on sort tout de suite. » Les mots sont clairement dits pour qu’elle pose ses limites ; mais ils continuent - même longueur d’ondes, encore une fois. Frissonnant légèrement alors qu’il a de plus en plus chaud, Harry laisse ses mains s’égarer, se faufiler au niveau des hanches de la brune pour s’y agripper doucement, tandis que leurs lèvres se joignent à nouveau pour un échange endiablé qui le prive de son souffle, accélère son palpitant et réveille le moindre de ses sens. « Tu es vraiment… Envoûtante. » Le lion a l’impression d’être totalement ensorcelé, sous son charme, pendant que leurs minutes continuent à être comptées. Tic tac tic tac.

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Il y a un sourire plutôt fier qui dessine ses lèvres au moment de la faire redescendre de son épaule et de l'entendre lui offrir le commentaire à propos du trajet. « Anytime. » qu'il lâche à son égard avant de regarder la pièce dans laquelle ils étaient arrivés, fin d'un labyrinthe dont il avait volontairement coupé le circuit par hâte de la revoir sur pieds, d'arriver jusqu'au bout et avoir son dû mais aussi parce qu'il n'avait que si peu de patience parfois. Musique de la soirée résonnant encore jusqu'à leurs oreilles mais le brouhaha des élèves s'entendant comme dans un son feutré, ils ont l'impression d'être hors du temps ici, entourés de voilages au mouvement aérien, une boule de cristal en son centre qui rend septique Seamus comme à chaque fois qu'il en croise une. Si Lavender et Parvati étaient friandes de la divination, ça n'avait jamais été son cas à lui, bien trop terre à terre pour réussir à concevoir cette partie là de la magie et pourtant, bon nombre de fois ses amies avaient vu juste. Seulement il savait à quoi s'attendre avec ce genre de choses, tout était plutôt flou et à l'interprétation, c'était surement pour cela qu'il n'appréciait pas des masses l'exercice. Il avait besoin de directions et réponses claires Seamus. Mimant ses oreilles bouchées par des doigts alors qu'il écoute évidemment la question de Willow, son sourire devient plus mesuré en l'entendant et réalisant ce qu'elle demandait. Il n'avait aucune idée de ce qu'il se passait au sujet de la meilleure amie de la brune mais il notait son altruisme et sa concerne pour épuiser sa seule question à son sujet, relevant son regard à son profil pour quérir sa réaction à ce que la boule lui délivrait comme message. Seulement elle se retourne vers lui et pose une main sur son bras, il relâche sa position idiote et lâche un sourire. « j'ai absolument pas triché, j'ai fait au plus pratique et t'façon les règles n'étaient.. » il se tait Seamus, il sait que c'est le moment où il doit simplement se taire parce qu'elle s'est hissée sur la pointe des pieds en se rapprochant de lui. Et leurs regards se croisent, un tout autre sourire pointe sur ses lèvres, celui hâtif mais aussi satisfait de ce qui arrive, s'attachant au marron de ses iris à défaut de pouvoir contempler son visage entièrement. Dans quel monde pouvait-il embrasser aussi facilement Willow sans tout remettre en cause ? Celui-ci parait-il, tandis que ses mains s'attachent à ses hanches pour l'amener un peu plus contre lui – il pourrait s'en habituer, il le ressent jusque dans ses doigts combien cette sensation lui plaît. Baiser qui s'offre à nouveau, de ses lèvres pressées contre les siennes jusqu'à ce que sa langue ne vienne rechercher la sienne, mouvement qu'il approfondit tandis qu'il apprécie un peu trop tout ça. Sa main sur sa mâchoire, son parfum venant lui envoûter les sens, la chaleur de son corps contre le sien mais aussi celle qu'elle fait naître en lui. Le baiser tout aussi spectaculaire que le précédent, sans la moindre fausse note tandis qu'il y a ces mini feux d'artifices qui jaillissent en lui et qui le font sourire tout contre ses lèvres en l'embrassant. Perdre le souffle aussi, il s'en rend compte quand elle s'écarte après lui avoir mordillé sa lèvre inférieure – et combien ça l'avait attisé à vouloir recommencer. Seulement elle se décale finalement assez vite et laisse un froid derrière elle mais la satisfaction que ce moment soit arrivé, le laissant pantois, souriant comme un idiot quelques secondes tout en la regardant. Il était ailleurs Seamus, sur une planète en ode aux baisers qu'elle lui offrait et qui réveillait en lui ce qu'il ne pensait plus existant depuis qu'il avait soigné son crush à son propos deux ans plus tôt. Willow est si belle avec son sourire et ses yeux brillants tournés vers lui. Et il doit s'efforcer de se réveiller de cet état second dans lequel Willow le laissait après son baiser, pour cette fichue question dont il n'en a absolument rien à faire à présent. Regard qui se détache de la brune à contrecœur pour observer la boule de cristal bien moins intéressante. « Hm. » comment donc devait-il se concentrer après ça ? « Est-ce que Flitwick se tape Pomfresh ? » il avait lâché ça de la façon la plus naturelle qui soit, croisant alors le regard de Willow. « Quoi ? On quitte Poudlard bientôt, faut que j'sache avant d'partir ok ? » c'était aussi surtout parce qu'il avait fait le pari avec Dean et que cinq gallions l'attendaient si il avait raison. Certaines choses sont faites pour rester inconnues, s'affiche alors au sein de la sphère ce qui fait aussitôt réagir le lion. « AH j'le SAVAIS. » parce que forcément le message cryptique évoquait que les ébats étaient réels mais mieux laissés sous silence et il se retourna vers Willow, un rire s'emparant de lui. « Dean me doit 5 gallions. » mais son rire se calme et son sourire se mesure avant d'observer la brune à ses côtés. Que faire maintenant que le baiser et l'activité étaient accomplis ? Une idée lui vint forcément en tête quand lui, avait déjà ses propres réponses évidentes. « Trois choses que t'aimerais faire maintenant. » et le sourcil se relève, Willow pouvait l'étonner de bien des façons et c'était ce qu'il recherchait à ce moment précis.

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Elle ne peut que rire face à sa question Willow, peu étonnée de l’entendre demander quelque chose d’aussi ridicule et drôle à la fois. « Évidemment, tu dois savoir. Sans ça, à quoi bon avoir été à Poudlard si longtemps ? » Parce que leur scolarité n’avait aucun but autre que celui de savoir si leurs deux professeurs avaient une aventure, bien entendu. Sa réaction ne manque pas de l’amuser alors que visiblement, la boule semblait lui avoir offert ce qu’il désirait tant savoir. Elle se doutait que comme souvent, la réponse donnée avait été assez vague pour pouvoir être interprétée de bien des façons, et que Seamus avait choisi d’en faire une preuve de ce qu’il avançait. La brune fronce les sourcils légèrement alors qu’elle fait mine de réfléchir à cette question posée, idées qui se heurtent alors qu’elle tait certaines qu’elle ne pouvait décemment lui avouer. « Hm déjà je veux rester ici un peu, loin des autres. » Près de toi, aurait-elle pu dire mais ce n’était pas nécessaire puisque c’était ce qu’elle sous-entendait déjà à sa façon. Elle sait qu’elle ne devrait pas mais elle s’approche de lui lentement, sourire espiègle aux lèvres tandis qu’elle s’arrête face à lui. Son doigt vient effleurer le suçon qui orne son cou par sa faute alors qu’elle lève les yeux vers le lion. « J’en veux un comme ça. » Et elle sait qu’elle ne devrait pas l’attiser comme elle le fait, mais il ne s’agissait que de sa vérité, de ses envies, et l’alcool associé à cette soirée et aux baisers échangés la poussaient à faire preuve d’une franchise exacerbée. Cette soirée était particulière et elle pouvait bien en profiter sans que cela ne vienne nuire à leur amitié, pas vrai ? Willow s’écarte en riant, consciente de ce qu’elle venait d’avouer. « Et j’ai aussi envie de manger une énoooorme part de pizza ! » Elle n’avait fait que grignoter depuis son arrivée et la faim commençait à se faire sentir, même si elle n’avait pas pour autant envie de quitter les voilages, se sentant un peu trop bien près de lui. Et alors qu’elle se retourne vers lui, elle voit que le masque de Seamus n’est plus, doigts qui viennent effleurer sa tempe et lui permettent de réaliser que le sien non plus n’était plus là. « Wow, Seamus, c’était toi tout ce temps ? Je savais pas du tout ! » Mensonge éhonté lancé tandis que ses pupilles pétillent avec amusement, elle s’approche à nouveau et portent ses doigts vers sa tempe dans une douce caresse. « Je te préfère comme ça. » Sa franchise, encore et toujours, celle exacerbée par l’alcool, franchise qu’elle regrettera peut-être le lendemain quand elle réalisera à quel point elle s’était dévoilée d’une certaine façon. C’était Seamus, toutefois, alors qu’importe ce qu’elle pouvait dire, elle avait en lui une confiance telle qu’elle n’avait pas peur de ce qui pourrait arriver. Sa main retombe le long de son corps. « A toi de répondre. Qu’est-ce que tu as envie de faire ? » Et forcément, la née-moldue ne pouvait qu’espérer que passer encore du temps avec elle soit encore sur la liste.

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Il n’y avait pas la moindre gêne entre eux comme bien souvent – ils étaient capables de se tenir la main ou de dire ouvertement ce qu’il pensait sans que cela n’instaure le moindre malaise entre eux. Un sourire esquisse toutefois les lèvres de Terry face au compliment d’Eris, réalisant alors qu’elle était bien la seule dont l’avis importait réellement. Son attention entière est alors dévouée à la brune et à cette main qu’il soigne et s’efforce de soigner au mieux dans les toilettes des filles. Il s’applique même si ses sens s’agitent à cause du spacecake consommé sans en avoir conscience tout à fait. Heureusement, la blairelle semble satisfaite du soin porté, baiser déposé sur sa joue qui semble être la meilleure des récompenses. « Merci mais bon t’es quand même hyper sympa comme patiente, ça aide ! » Forcément, le serdaigle ne résiste pas et lui montre le sort qu’il avait lancé sur son costume et qui lui permettait d’être entouré de ce halo lumineux qui suivait ses mouvements et la rapidité de ceux-ci. Son cœur enfle de fierté face au compliment sincère qu’elle lui offre alors, compliment qui ne compte véritablement que parce qu’elle en était l’émettrice. Son avis qui prend une place de plus en plus importante dans les pensées du bouclé quand bien même il continue à se persuader que c’était uniquement dû à leur amitié qui se trouvait renforcée par ces moments de plus en plus nombreux qu’ils partageaient ces derniers temps. Terry en vient à lui avouer ce dont il doutait, gâteau qu’il suspectait de ne pas être un simple cupcake car il se trouvait incroyablement léger alors même qu’il n’avait bu qu’un verre. « Oui peut-être mais pourquoi est-ce que quelqu’un voudrait ensorceler un cupcake ? Enfin moi si j’en ensorcelais un ce serait pas pour ça, ce serait pour faire en sorte qu’il puisse parler. » Parce qu’évidemment, c’était bien là le seul sort qu’il fallait lancer sur un gâteau, le reste n’avait aucun intérêt. Son regard descend vers sa main posé sur son torse alors qu’il sent son cœur s’emballer plus fort face à ce contact pourtant des plus innocent. « Oui évidemment que ça va aller j’suis avec toi. » Vérité la plus absolue qui soit alors que le sorcier était convaincu qu’en sa compagnie, tout ne pouvait que bien se passer. Il laisse Eris l’attirer hors des toilettes et près du buffet, saisissant le verre de soda qu’elle lui tendait. « J’suis tout à toi là ! » Et pas que ce soir, à vrai dire. Buvant quelques gorgées de soda, il réfléchit à la question posée par la brune, observant avec envie les différentes activités proposées. Il avait envie de tout faire avec elle, évidemment, entrain qu’elle accentuait naturellement par sa présence. « Tu danses avec moi ? J’suis pas terrible comme danseur mais promis, j’vais tenter de pas écraser tes pieds ! » L’agilité attisée par le quidditch devrait l’aider, heureusement. « Nan attends j’vais mieux formuler ça ! » Terminant son soda, il pose son verre sur la table et lui fait une fausse révérence qui le fait plus rire qu’autre chose, avant de lui tendre la main. « Mademoiselle Goldstein, voulez-vous m’accorder cette danse ? » Il tente de garder son sérieux mais un large sourire vient fendre son visage et chasser l’air guindé qu’il avait tenté de faire apparaître. Quand la main de la brune glisse dans la sienne, son cœur loupe un battement alors qu’il l’attire vers la piste de danse. Aussitôt, il suit le rythme de la musique avec entrain et amusement mais son regard resté rivé vers Eris, Eris qu’il fait tourner sur elle-même en tendant le bras et il ne peut que la trouver jolie en la voyant s’amuser comme elle le fait. « Viens on va tester le truc là, tu sais quand elle saute et qu’il la rattrape ! Enfin...Si t’as envie ! » L’aiglon s’écarte et tend ses bras vers elle, sourire rassurant qu’il lui offre tandis qu’il se tient prêt si elle venait à accepter.

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« Absolument à rien, on est d'accord. » conclut l'irlandais, un sourire fier sur les lèvres tandis que la réponse donnée par la boule de cristal était pour lui l'aubaine qu'il lui fallait afin de remporter son pari avec son meilleur ami. Dean qui n'avait sans le moindre doute aucune idée qu'à cet instant, il venait de perdre cinq précieux gallions. Et un tout autre sourire orne ses lèvres en la voyant se prêter au jeu de sa question, s'approchant de lui tandis que son regard la surplombait d'un air de contentement loin d'être dissimulé. Il passait une excellente soirée Seamus, l'une des meilleures de toutes celles clandestines auxquelles il avait pu participer et il savait que la sorcière face à lui n'était pas innocente dans ce résultat. Rester à part, rien qu'eux deux lui allait amplement tandis que les regards indiscrets ne venaient pas épier leur complicité – ils en avaient assez eu avec les rumeurs du début de l'année dans ce torchon qu'était le Daily. Il se demanda même à cet instant si c'était à cause de cela qu'elle n'était plus avec son petit-ami mais ses pensées furent parfaitement balayées au moment où Willow, à nouveau bien plus proche de lui, caressait son cou à l'endroit-même du suçon dont elle l'avait marqué. Sourire en coin, son sourcil se relève d'un air de défi qu'il était prêt à accomplir à n'importe quel moment, la voyant pourtant s'écarter pour parler de pizza. Elle était semblable à un yoyo ce soir, proche de lui puis s'en séparant, à distance de bras pour toujours s'assurer de la ramener à lui. Dans un jeu qui lui plaisait, valse particulière dont eux seuls maîtrisaient les pas. « Hell yeah. » plus qu'enjoué à l'idée de se remplir l'estomac, surtout si c'était par de la pizza, il comprend l'envie de la brune et a un léger rire sur les lèvres tandis qu'en se retournant vers lui, il voit le masque noir lui ayant caché le regard se volatiliser. Il la retrouve alors enfin Seamus, elle et son visage dont l'harmonie entière lui avait manqué lorsqu'il avait fallu l'embrasser. Maquillage complet qu'il découvre alors, elle n'en était que plus belle et un instant, il en perd même un peu ses mots le faux dieu. « damn, j'pensais qu'on avait une connexion profonde avec ces tatouages pourtant.. » ajoute t'il alors finalement en relevant le dos de sa main pour lui remontrer le lion qu'elle lui avait apposé, un rire qui se mesure quand elle lui caresse la tempe alors qu'il s'immobilise et la contemple d'un doux sourire d'idiot appréciant un peu trop l'attention et son regard rivé vers lui. Il en a des crépitements dans le bout des doigts à se retenir mais ne tient finalement plus tant que cela quand ses mains se posent à nouveau sur ses hanches – sensation qui lui confirmerait presque qu'elles étaient leur juste place. Il dépassait pourtant les limites de leur amitié ainsi et il le savait, parce que ce qu'il avait dans ses pensées n'était en rien influencé par l'attrait amical qu'il possédait pour elle. Plus léger par la fête, l'alcool, plus faible par ses sourires, ses beaux yeux bruns brillants tournés vers lui, toujours envoûté par ces baisers qu'ils avaient partagé.. peu importait qu'ils ne soient rien qu'amis, des amis parfois ça s'embrassait dans certaines conditions, non ? Au lieu de lui répondre comme elle l'avait fait, Seamus en oublie la retenue dont il aurait du faire preuve et se penche afin d'approcher ses lèvres des siennes, flirtant d'une caresse destinée à l'attiser quand il ressentait la douceur de leur texture dans un sourire qu'il ne savait dissimuler, son souffle chaud et doucement alcoolisé se mélangeant au sien. Enfin, il cède mais seulement pour un baiser au coin de ses lèvres qui a le but de l'agacer, d'élever en elle une envie aussi féroce que la sienne tandis qu'il s'écarte sans vraiment le faire, juste assez pour croiser le regard. « il y avait ça. » sa main droite se détache alors de sa hanche pour venir caresser du revers de l'index la partie de son cou qu'il était prêt à marquer, regard brûlant à l'instar de ces flammes qu'il réveillait à nouveau en lui en le faisant, sa peau si douce vers laquelle Seamus s'avança non sans déposer deux baisers tout près de sa mâchoire. Rythme cardiaque qui s'emballe et sa main qui décale doucement les mèches de ses cheveux de ce cou désormais tendu vers lui, ses lèvres qui viennent d'abord s'appuyer tout contre sa peau quand il décide de fermer les yeux par le plaisir qui est le sien de la sentir se tendre contre lui. Sa langue s'invite et prend possession du territoire qu'elle lui laissait sur son corps, ce cou qu'il marqua lors d'un long baiser appuyé et intense tandis que sa main se calait à la chute de ses reins et que son corps se retrouvait à nouveau entièrement contre le sien. Il la fait sienne d'une certaine façon et en résulte bien trop de plaisir pour qu'un simple ami avant de s'écarter d'elle, le regard enflammé de ce qui ne s'était pas tout à fait éteint en lui. « et puis ça. » annonçait-il d'une voix plus grave sans séparer leurs corps même si il aurait dû. « et je t'offre la dernière réponse au choix. » à son choix pour elle seule, quand ses envies à lui étaient évidentes et qu'il ne préférait pas mentir, son regard attiré par le sien. Il était encore incroyablement différent d'être aussi proche d'elle sans qu'elle ne porte son masque, encore plus enivrant surtout. Mais ils ne restaient que deux amis profitant d'un moment agréable alors il était tout à fait normal qu'il ait ce genre de pensées, n'est-ce pas ?

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Le rire qui quitte ses lèvres face au lion tatoué qu’il lui montre meurt quand les mains sur sorcier se pose sur ses hanches et que Willow relève les yeux vers lui. Quand Seamus se penche vers elle, elle s’imagine nécessairement qu’il l’embrassera à nouveau sauf qu’il n’en fait rien et qu’à la place, il ne fait qu’effleurer ses lèvres sans jamais les toucher. La frustration grimpe à chaque instant et quand enfin il semble abdiquer, ce n’est que pour mieux l’attiser par ce baiser déposé au coin de ses lèvres. Ce n’est pas assez, loin de là, et ça ne peut pas l’être quand elle a connu à peine quelques instants la passion de ses baisers, l’intensité de sensations exquises qu’elle ne devait qu’à lui et dont il la privait par ce chaste baiser. Elle ne désirait que franchir l’espace les séparant pour se perdre contre ses lippes mais elle n’en fait rien alors que son sourire fait miroir au sien. Si elle aurait pu protester, elle ne le fait pas car le lion ne semble pas en avoir terminé avec elle. Son cœur s’emballe sous ses doigts quand il vient dégager son cou et elle sait, Willow, ce qu’il s’apprête à faire et son souffle se fait plus court sous l’anticipation qui était sienne. Sa poitrine se soulève et elle tend le cou, baisers sur sa mâchoire qui lui arrachent des premiers frissons. Elle ferme ses yeux quand ses lèvres se posent sur sa peau et son corps se cambre aussitôt, cherchant la proximité de son corps au plus proche du sien. Une de ses mains vient s’agripper à son bras quand l’autre glisse sur sa nuque, comme pour le garder près d’elle. Il l’attise, Seamus, par cette langue qui rejoint sa peau alors qu’elle se sent emportée si aisément par lui et les sensations qu’il lui procurait. L’idée qu’il laisse sa marque sur sa peau lui plaît plus que cela aurait dû être le cas au point qu’un faible gémissement ne quitte ses lèvres, et si elle aurait probablement été mortifiée en temps normal, elle ne s’en souciait pas à ce moment alors qu’elle n’était concentrée que sur lui encore et encore. Un peu trop vite à son goût, il s’écarte un peu même si leurs corps restent collés l’un contre l’autre tandis que le regard de la lionne ne croise celui du sorcier, satisfaite par les flammes qu’elle y retrouvait et qui faisait écho aux siennes. Sa voix est plus grave, ce qui ne fait que nourrir un peu plus le brasier qui se répand le long de son bas ventre. Seamus lui offre sa troisième volonté, ce à quoi elle répond par un sourire alors que déjà, une multitude d’envies se bousculent en elle. « T’es sûr ? Je risque d’en profiter... » Ce qu’elle ne se prive pas de faire alors que Willow vient déposer des baisers le long de sa mâchoire alors que ses ongles effleurent la peau de sa nuque. Elle ne s’arrête pas là, la sorcière, parce qu’elle en est incapable alors qu’elle est en proie au désir qu’il avait si bien attisé chez elle. Peu à peu, elle remonte jusque son oreille par ses baisers, lobe qu’elle mordille légèrement. « I want to kiss you again. » Souffle qui s’échoue contre son oreille avant qu’elle ne recule un peu et, sans perdre un instant, ne vienne retrouver ses lèvres avec envie. C’était presque différent sans masque, comme si le fait qu’ils ne se cachent plus tous les deux derrière ce loup qui leur avait été imposé rendait le baiser meilleur encore. La main qui tenait son bras vient finalement se poser dans son dos pour appuyer légèrement afin de le sentir un peu plus contre elle. Elle ne peut que sourire contre ses lèvres Willow, parce qu’elle s’y sent un peu trop bien, parce que ses baisers l’enivrent plus que tout ce qu’elle a bien pu consommer ce soir-là. « Don’t stop. » Qu’il continue jusqu’à rassasier sa passion pour lui, qu’il ne meurtrisse ses lèvres jusqu’à leur donner la couleur du vin. « Please.. » qu’elle murmure contre ses lèvres alors que son corps est en proie aux flammes, à ses flammes, celles qu’il continuait à attiser alors même que leurs langues se rencontraient une nouvelle fois. Ses doigts glissent dans ses mèches brunes et elle aurait pu rester ainsi longtemps, Willow, jusqu’à ce que la soirée ne soit déjà plus qu’un souvenir encore fumant des braises de leur passion, mais il y a des rires autres que les leurs qui lui parviennent et les poussent à quitter les lèvres de l’autre. Langue qu’elle passe sur ses lèvres alors qu’elle capture son regard, la née-moldue vient glisser sa main dans celle de Seamus alors qu’elle l’attire vers les couloirs voilés, riant malgré elle face à cette situation qui les poussait à fuir comme des adolescents pris en faute. Et quand ils quittent cet espace si particulier à ses yeux désormais, la brune se tourne vers lui alors qu’un large sourire orne ses lippes. « Pizza ? »

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Costume :

TW - Rapprochements physiques

C’est une bonne question. Si on laissait demain y répondre à notre place ? . Un petit sourire taquin vient se dessiner sur les lèvres de Pansy. Une lueur joueuse apparaît dans les prunelles de la vpière. Réponse absolument parfaite face à laquelle elle ne peut qu'acquiescer. Cette aventure inattendue, avec ou sans lendemain, sans question, sans tourment et sans prise de tête. Là était bien la chose dont elle mourait d’envie. La main de l’inconnu sur sa joue semble l’hypnotiser. Leurs regards se plongent et se perdent. Combien de temps restent-ils ainsi à se dévorer en silence ? A faire monter cette tension sans rien ajouter ? A faire languir leurs corps sans leur apporter satisfaction ? La vipère est bien incapable de le savoir… Les secondes défilent alors que pour elle, le temps est comme suspendu. Esprit embrumé, sens hypnotisés par le brun qui se tient si proche d’elle. Sa main baladeuse reprend sa course et Pansy n’a guère envie de le stopper, bien au contraire. Son souffle s’accélère et elle lutte pour retenir ses pulsions. Il l’invite à sortir, si elle le souhaite… mais sa réponse est tout autre. Si elle le pouvait, elle stopperait ce compteur tout de suite afin de pouvoir profiter de ce moment sans limitation de temps. De pouvoir le toucher, l’embrasser, le désirer, encore et encore. Sans réfléchir, elle lui répond à mi-voix. “A la fin de ces Sept minutes, deux choix s’offriront à toi : retourner à la soirée ou venir la terminer avec moi…”. La vipère ne pouvait être plus claire. Son corps appelait celui de son mystérieux partenaire. Elle avait envie de prolonger cet instant, encore et encore, avec lui et nulle autre personne. De pouvoir continuer à oublier tout ce qu’elle reniait de son quotidien, tout ce qu’elle ne parvenait pas à assumer sans cet hydromel qui coulait dans ses veines. “Mais en attendant, il nous reste encore quelques précieuses minutes, ou peut-être juste quelques secondes…”. Elle laisse les mains curieuses de son cavalier arpenter son corps. Frisson venant accompagner chacune de ses caresses, sa peau devenant de plus en plus sensible de réceptive. Le palpitant de Pansy s’affole et son esprit ne semble plus capable de penser convenablement. Et lorsqu’il avoue la trouver envoûtante, ses lèvres viennent aussitôt recapturer les siennes dans un nouveau baiser enflammé. Les mains de la vipère commencent à leur tour leur danse, venant s’immiscer sous le déguisement de l’inconnu. Ses doigts glissent le long de son torse, effleurent lentement son pantalon avant de continuer dans son dos. Envie viscérale, incontrôlable où ses ongles viennent doucement s’enfoncer dans la chair masculine. Ses lèvres abandonnent la bouche du brun pour descendre dans sa nuque, y déposant une lignée de baisers jusqu’au lobe de son oreille. Elle se retient de le mordiller, jouant de son souffle contre la peau du chevalier. “Finalement, je ne suis pas certaine de te laisser le choix…”. Comment redescendre ? Comment sortir de ce placard et reprendre sa soirée comme si de rien n’était ? Tout cela lui paraissait absolument impossible. Car la Queen en voulait plus.

@Harry Potter (SOIREE CLANDESTINE) - dancing in the sky - Page 9 77819687

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elle sait même pas quelle heure il est flora, elle sait pas depuis combien de temps la soirée a commencé. mais elle sait qu’elle est pas prête de se finir, et qu’elle n’est pas prête d’en partir. elle avait prévu de garder le contrôle ce soir encore flora, de ne pas se laisser divertir par l’euphorie de la soirée. mais un premier verre qui ne fait pas de mal, un deuxième non plus, un troisième pour trinquer avec ses amies, et puis elle s’est retrouvée enfermée dans un placard avec un inconnu. ces quelques minutes qui ont échauffé son sang, et l’alcool indispensable pour faire face au déluge de sensations. le contrôle perdu après ça, les verres et les shots qui s'enchaînent avec n’importe qui tandis qu’elle cherche ses amis. et c’est theodore qu’elle a trouvé, qui lui semble soudain bien plus drôle que d’habitude. les gloussements qui se succèdent sur ses lèvres, sa propre ébriété qui l’amuse grandement. et elle sait qu’elle va le regretter flora, les jours suivants cet état qui ont toujours été particulièrement difficiles, les flammes en elles attisées et le monstre plus présent que jamais. mais pour le moment elle se trouve ridicule flora, et c’est quelque chose de totalement nouveau, alors ça la fait rire. elle peine à tenir en place, ses pieds qui ne semblent pas vouloir rester ancrés au sol, la vipère qui se dandine sur place et qui fait des allers retours devant le buffet, cherchant ce qui l’attire le plus. mais les confidences vont bon train avec theodore, et elle s’arrête soudain devant lui, enfin tranquille. la tête qu’elle penche légèrement sur le côté alors qu’elle se concentre pour l’étudier intensément. « une fille ? » l’esprit d’analyse qui n’est malheureusement plus aussi efficace avec tant d’alcool dans le sang, et ça la frustre alors. regard qu’elle fixe dans le sien, comme si elle pouvait ainsi débloquer le don de légilimancie, mais elle n’arrive à apercevoir que son propre reflet, et ça la perturbe quelque peu flora. la vipère qui s’est observée dans le miroir pour contempler son costume avant de partir à la soirée, mais qui a depuis oublié son apparence étrange. « tu sais que je découvrirais tous tes secrets, n’est-ce pas ? » promesse qu’elle aura sûrement oublié le lendemain, mais qui compte sur le moment. elle recule de quelques pas à nouveau, songeuse, avant de vite apercevoir un nouveau plateau de shots. deux d’entre eux dont elle s’empare prestement avant d’en tendre un au serpent. défi qu’il accepte rapidement, et c’est yeux dans les yeux qu’ils avalent l’alcool inconnu. grimaces qui se forment sur les deux visages, goût inattendu qui la fait presque tousser. « pas mon préféré. » et pourtant elle en a testé plusieurs flora, les effets surprises qu’elle apprécie particulièrement découvrir. celui-ci qui ne tarde pas à faire effet, alors que son corps semble bouger contre sa volonté pour la deuxième fois de la soirée. le voyage qui est cependant bien moins long que le précédent, puisqu’elle vient simplement percuter son ami à côté d’elle. petit rire qui s’échappe de ses lèvres sous la surprise, les deux serpents qui ont failli tomber à ce contact soudain. « ah mais c’est tout aussi plaisant ! » elle tente de se dégager en pouffant, et manque presque de leur faire perdre équilibre dans la manœuvre. elle comprend alors la situation, et elle abandonne tout effort flora. les bras qui viennent entourer sa taille, elle se laisse aller contre lui, lui faisant confiance pour les retenir de tomber. le visage qu’elle cale confortablement contre son torse, la chaleur de son corps et de sa main contre le bas de son dos qui la fait soupirer. « je pourrais m’endormir maintenant je crois. » insomnies de plus en plus longues et fréquentes, la fatigue qui s’accumule dans son corps et qui atteint bientôt son paroxysme ces derniers temps. et il s’avère que la solution miracle, c’est beaucoup d’alcool et les bras de son ami. le visage qu’elle essaie tant bien que mal de relever vers lui pour apercevoir ses yeux. « what do we do now ? » les deux serpents bloqués l’un contre l’autre pour une durée indéterminée, mais autant faire bon usage de cette situation inédite.

costume :

( hipster rock & tatoué )

« rien d'important » clôt Theodore au sujet de celle qu'il n'arrivait pourtant pas encore à totalement effacer, persuadé qu'il lui fallait agir pour l'oublier mais sans savoir comment, se convaincre que tout ça n'était que du vent parce que ça le devait, n'est-ce pas ? Face à lui, Flora le fait doucement rire, par cette légèreté qu'il ne lui reconnaît que si peu, voir vraiment pas. Elle semble pourtant délestée d'un poids que désormais il reconnaît bien plus pour être en capacité de l'observer si libre ce soir, son rire lui changeant ses pensées, emportant son esprit dans des contrées aussi légères que possible grâce à l'alcool, aussi, qui y joignait efforts et résultats. « on aura tout oublié d'ici demain floraa.. » lâcha t'il alors, un rire sur les lèvres avant de joindre le bord du shot à celles-ci. Saveur qui lui reste en bouche et qu'il n'apprécie guère, brève grimace dont ils auraient pu se passer si le parfum avait été meilleur et soudain, une conséquence qu'aucun n'avait prévu tandis que leurs corps se rapprochent l'un de l'autre sans leur laisser le moindre choix. Résistance que Theodore tente d'impliquer malgré le sort évident qui les liait maintenant, la sorcière qui est désormais tout contre lui et réchauffe son corps par cette association finalement bien agréable pour cette partie de la soirée. Il y a ses mains qui entourent sa taille, son rire qui égaie à nouveau ses pensées puis sa joue qui se colle à son torse et il a un sourire qui fend ses lèvres Theo en abaissant son regard sur elle. Une part de lui souhaitait la voir si heureuse et légère que ce soir chaque jour qui leur était offert, l'autre encore raisonnée lui soufflait qu'il ne s'agissait que de la soirée et que lui aussi, devrait en profiter. Alors il repose son verre et l'entoure de ses bras de façon plus naturelle qu'il ne l'aurait imaginé, la laisse aller contre lui à la fois parce qu'ils n'ont pas le choix mais aussi parce que ça leur fait du bien, pas vrai ? Contact physique qu'ils ne s'octroyaient plus vraiment à leur âge ou dans leur rang, le visage de Flora qui se relève vers le sien quand lui la surplombe de son regard bleu. « i don't know.. » et il était rare qu'il n'ait pas réponse à tout Theo, un fin sourire sur les lèvres en raffermissant ses bras autour d'elle. « truth or dare ? » et la malice s'invite au regard tandis qu'il lui dédie son attention, réfléchissant déjà aux gages qu'il pourrait lui offrir selon les réponses qu'elle lui offrirait.

truth or dare:

déguisement:

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Fearless child, broken boy;
Tell me what it's like to burn.
♚moodboard de theodore

( hercules - de zéro en héros )

Il ne s'était pas attendu à une telle passion Seamus. Celle qu'ils partageaient en s'embrassant de la sorte, celle pour ses sourires épuisés à la fin de chaque baiser, passion pour ses lèvres et leur ferveur, cette façon qu'ils avaient de joindre leurs corps et de s'enlacer en laissant la fièvre les emporter. Une activité que Seamus ne faisait guère avec celles qu'il considérait comme ses amies, mais c'était différent avec Willow, pas vrai ? Plus intime et à la fois d'un naturel déconcertant, le souffle qui se perd contre sa nuque quand lui aussi vient recouvrir sa peau de baisers chauds. Il sent ses mains s'agripper à lui et ça lui plaît, ses bras se resserrent alors tout contre son corps et il y a ces vagues de chaleur qui l'emportent quand elle gémit presque contre ses lèvres le fait qu'il ne s'arrête pas. Il est prêt à s'obtempérer jusqu'au bout de la nuit Seamus, sans jamais avoir l'intention de la quitter alors qu'il est persuadé dès cet instant que c'est ici et tout près d'elle qu'il est au meilleur endroit possible. Sa main se calant contre sa joue tandis que leur baiser s'approfondissait d'une passion enivrante et il le voit son sourire tout contre le sien, en sent son cœur rebondir de douce allégresse tandis que chaque toucher de la brune nourrissait les flammes qui crépitaient en lui par sa simple et unique présence tout contre lui, l'intensité de son regard lorsqu'ils se séparaient à cause d'invités peu appréciés. Il en grogne de frustration Seamus, aurait pu continuer toute la soirée à s'emparer de ses lèvres et parcourir son corps mais déjà, il se désoriente dans une fuite à travers les voilages. Ils n'empruntaient pas les couloirs et le chemin prévu et cela leur ressemblait bien au final. Une fois sortis, sa proposition le fait sourire avec franchise avant de lui proposer son dos qui dans un saut, elle rejoignit de la façon la plus aisée. « let's goo.. » lança t'il en accrochant ses mains contre ses jambes autour de lui, leur faisant franchir un chemin à travers la foule dans un rire léger. Sur ses lèvres demeurait la brûlure laissée par les siennes et le premier cocktail qu'il attrapa afin de se désaltérer ne savait effacer l'effet qu'elle lui faisait. « j'pourrais m'y habituer, tu sais. » ajouta t'il d'un ton qui paraissait distrait tandis qu'il se penchait en direction des parts de pizzas pour en attraper une qu'il dégusta aussitôt. Et son regard revenait à la lionne à ses côtés affairée au même exercice que lui, la poussant de l'épaule de façon taquine. « t'en as sur la joue. » le lion en riait avant de venir lui embrasser son autre joue, goûter ensuite à nouveau à ses lèvres dans un bref baiser qu'il n'avait pas même prévu. Sans penser aux regards autour d'eux, au fait qu'il n'y avait plus de défi entre eux pour le justifier. Et c'est la musique qui passa à cet instant qui lui servit de distraction tandis que I love Rock'n Roll de Joan Jett & the Blackhearts se met à résonner partout dans la pièce, faisant bouger en rythme la tête d'un Seamus qui finissait de manger sa seconde part à la suite. Il l'emmène à nouveau sur la piste pour danser avec lui, dans des mouvements liés au rythme de la musique tandis que ses mains imitaient une guitare électrique. « alors, tu veux faire quoi maintenant ? » prêt à tout, de défis comme de jeux, de rester ici à danser comme d'aller ailleurs, tant qu'il pouvait encore s'amuser et profiter de la soirée avec elle et peut-être même, encore l'embrasser.

@Willow Fleming

déguisement:

(soirée clandestine)

Être avec elle. C’était là la réalité de ses besoins, la seule chose dont il était certain ce soir alors que Bea était apparue dans son champ de vision, déesse de son cœur qui éveillait en lui bien des envies et pas seulement celles qu’il ne pouvait admettre à voix haute sans choquer son entourage. Caïn avait conscience qu’il aurait dû s’éloigner plutôt que s’en rapprocher mais il ne le pouvait pas et plus que ça, il ne le voulait pas. Il ne s’agissait pas d’une quelconque forme de rébellion pour désobéir à Helena contre qui il ressentait encore une colère extrême, mais de ce que son palpitant lui criait alors que dans sa poitrine, celui-ci s’agitait plus que nécessaire. Bea contre lui, il aurait voulu que les secondes s’arrêtent pour leur laisser le temps infini de profiter de l’autre sous ce ciel étoilé et ô combien adoré du fan d’astronomie qu’il était cependant, tandis qu’il lui avait difficilement demandé sa permission de l’embrasser, les étudiants entrés précédemment avaient décidé de ressortir en passant évidemment par ce même couloir où l’ancien couple avait trouvé refuge, loin des regards et oreilles indiscrètes. Il était sûr que ses amis savaient pourtant exactement avec qui il était mais que Theo et Blaise le respectaient suffisamment pour le laisser prendre ses propres décisions, bonnes ou mauvaises soient-elles. Et il ne voyait rien de mauvais dans le fait de tenir la rousse entre ses bras, de lui caresser le visage comme il aimait tant le faire et ce, malgré la rupture et tout ce qui les séparait. Cela ne l’avait jamais arrêté avant n’est-ce pas ? Il restait prudent néanmoins parce que s’il connaissait les raisons qui avaient poussé Bea à stopper leur relation, il se demandait s’il ne rêvait pas et si, une nouvelle fois, elle ne lui échapperait pas sans qu’il ne puisse rien y faire. Soupir de frustration à cette occasion manquée de s’emparer de ses lèvres interdites, c’est dans la direction quittée par les élèves déguisés que le dragon emmena Bea, non sans lier leurs mains dans un geste presque naturel, lionne et serpent se retrouvant au milieu d’une pièce moins étroite avec en son centre une boule de divination presque similaire à celles se trouvant dans la salle de classe de Trelawney. Décor qui l’émerveillait un peu plus, simplement heureux de partager cet instant avec celle qui comptait plus que n’importe qui à ses yeux, il avait le sourire aux lèvres, Caïn, et le regard un peu plus brillant à sa confession. Dire qu’il était ravi qu’elle pense à lui à chaque fois que les étoiles leur faisaient le plaisir de se battre contre les nuages parfois persistants était un euphémisme et le rappel de nombreuses soirées passées avec elle à les observer, blottis dans les bras l’un de l’autre. Et il savait, à ses iris plantées dans les siennes, que le même souvenir la hantait à ce moment précis. Il s’apprêtait à répondre quand le bruit de la boule attira leur attention et que déjà, Bea reprit. « Je suis d’accord, c’est n’importe quoi… même si jusqu’à récemment, je croyais justement que je ne l’avais pas, le choix » Il fronça les sourcils, brides de sa conversation avec Flora lui revenant en tête. « J’ai toujours su à quoi ressemblerait ma vie, surtout quand je suis devenu l’héritier principal. Être un sang-pur et un Flint, gérer la fortune familiale ou en tout cas ce qu’il en reste » C’était normalement ça son avenir. Mais elle avait tout bouleversé Bea, tout bousculé sans même le réaliser. « Ce n’est plus ce que je veux » ajouta t’il en croisant son regard, sûr qu’elle comprendrait le sens derrière ses paroles. « Tu as raison, on devrait tous avoir le choix » Même lui et même si ça défiait tous les principes et valeurs dans lesquels il baignait depuis sa naissance. Choix que malheureusement, elle lui avait retiré en décidant elle-même de leur sort à tous les deux mais qu’il commençait à comprendre ; ou qu’il essayait. Boule divinatoire impatiente et question posée par la rousse, il lut le message en même temps qu’elle, resserrant son étreinte sur ses doigts et un petit sourire fleurissant au coin de ses lèvres. « Tu ne crois peut-être pas en la divination mais cette fois, elle n’a pas tort. You are worthy. Ne laisse personne te convaincre du contraire » Pas même ma famille se retint-il de dire. Surtout pas sa famille. Il regrettait beaucoup de choses, Caïn, et surtout d’avoir laissé sa mère répandre son venin sur Bea. Si elle ne lui avait jamais dit explicitement ce qu’Helena lui avait raconté, il était assez intelligent pour le deviner et se faire une idée. Chassant cette bonne femme qu’il avait longtemps appelé mère de son esprit pour revenir à Bea et à l’activité, il pensa à la question qu’il voulait poser et la seule qui lui vint en tête les concernait évidemment tous les deux. « Are we gonna be okay ? » Mais trouillard et loin d’un courageux lion, il s’écarta de la boule noire avant de voir la réponse s’afficher, refusant de lire un oui, non ou peut-être parce qu’encore une fois, il ne croyait pas en ses sottises. « Non, c’est ridicule » laissa t’il échapper en secouant la tête. Tant pis si ça faisait de lui un lâche bien qu’après tout, ce n’était qu’un stupide jeu. L’arrivée d’un trio d’élèves les interrompit et une nouvelle fois, Caïn entraîna la jeune femme avec lui, bien incapable de se séparer d’elle pour l’instant. N’avait-elle pas dit qu’elle voulait passer une partie de cette soirée avec lui de toute façon ? Revenus dans la pièce principale où se déroulait la fête, une musique entraînante laissa place à une chanson plus douce, slow que plusieurs d’entre eux comprirent puisque machinalement, des duos se créèrent sur la piste et l’occasion pour le Flint de poser les yeux sur Bea, leurs masques encore impeccablement en place, et lever leurs mains qui ne s’étaient pas détachées jusque-là. « Danse avec moi ? » proposa t’il avec un petit sourire, espérant qu’à celui-ci, elle ne pourrait pas résister. Une main sur sa hanche et l’autre dans la sienne, leurs visages suffisamment rapprochés pour qu’il puisse sentir l’odeur appréciée de ses cheveux et en inspirer le parfum qui lui manquait, il glissa à son oreille « We are going to be okay » en réponse à sa propre question parce que c’était la seule qu’il souhaitait accepter. Il y croyait. Et que ce soir, dans ses bras, c’était aussi tout ce qu’il désirait.

@Bea Hastings

créature magique/mythique - duo:

(péchés capitaux : la colère )

Il a la tête ailleurs Connor et c'est si facile de l'avoir quand on avait déjà ingéré autant d'alcool au cours de cette soirée qui ne cessait de le surprendre et de l'emmener dans des contrées bien particulières. Baiser des plus chauds partagé avec sa meilleure amie qu'il avait amplement apprécié, bière entre ses mains quand son regard s'attachait à Levi, tout comme Maisie, lorsqu'elle lui parlait des baisers de ce premier. « Ca reste à vérifier. » lâche alors le poufsouffle en haussant une épaule, pas vraiment dans le besoin de rassurer son égo en clamant que ses propres baisers étaient les meilleurs, bien plus dans le désir de savoir si Maisie avait raison, finalement. Le jeu continue alors et il est littéralement ailleurs pendant quelques minutes Connor, observant la salle et n'écoutant que d'une oreille discrète, les corps qui se mouvent au grès de la musique ou des ambitions plus affectueuses. Il ne remarque plus tous les détails, les costumes se mélangent, tout ne forme qu'un méli mélo de couleurs attirantes et dansantes sous son regard tandis qu'il mange une part de pizza censée le faire atterrir un peu. Parce qu'il n'est pas dans son état normal et à la fois se sent plus vivant que jamais, le visage de ses deux principaux acolytes sous son attention lorsqu'il entend l'inauguration du prochain défi et un sourcil qui se relève alors, véritablement curieux et quelque part, envieux. Bière aux lèvres dont il termine les dernières gorgées, Connor les observe tous les deux sans s'empêcher de les contempler, eux et leurs sourires, la façon dont Maisie passe sa langue sur ses lèvres, le sous-entendu de Levi puis sa main qui rejoint celle de la brune. Il a l'impression de tout vivre comme un spectateur et d'à la fois se nourrir de leur désir évident l'un pour l'autre, sourire plutôt fier sur les lèvres, satisfait quand on l'incite à entrer en jeu, lui aussi. Sa meilleure amie tout près de son oreille, lui murmurant ce qu'il réalise être son envie la plus dominante de la soirée tandis que son regard se fait plus chaud à son égard, puis à l'attention de Levi qui semble l'inciter tout autant qu'elle. Accord entendu entre les trois qui n'avaient absolument pas prévu ces flammes qui semblaient les lier, l'anglais qui termine sa boisson et se relève alors en même temps que l'un de ses sourcils s'arque dans un sourire amusé. « let's do this. » convaincu qu'il ne pouvait pas y avoir de meilleur endroit pour lui de toute façon et qu'il serait resté à se consumer sur place en les attendant, il entend les excuses de Levi et se met à franchement rire avant de passer un bras derrière ses épaules pour l'emporter avec eux sans qu'il ne s'enfonce plus.
tw : rapprochements physiques.
La pièce est la plus étroite possible et il referme la porte derrière lui en espérant y rester un bon moment, s'habituant à la pénombre par les effets de nuances roses tout autour d'eux, plus grand chose ne compte en cet instant que les deux sous son regard et il a un sourire arrogant qui dessine ses lèvres en coin, bien trop content d'être là. C'est Levi qui embrasse en premier Maisie et son sourire s'élargit en le voyant faire, c'était incroyablement hot à ses yeux. Tous les deux s'embrassant et soudain la main de Levi derrière lui afin de l'approcher, il ne sait pas encore vraiment où poser les siennes mais ressent le chemin des doigts du poufsouffle jusqu'à ses muscles et en gagne une nouvelle intensité de chaleur alors que son regard reste rivé sur leurs visages s'embrassant. « that's fucking hot. » lâche t'il alors en riant un peu malgré lui, passant une langue sur ses propres lèvres qui seraient bientôt asséchées vu les chaudes nuances que le spectacle lui offrait. L'envie de les voir continuer et de les rejoindre s'élevant en lui, Levi qui s'écarte alors de Maisie avant de lui accorder son attention et il se voit approché de lui par sa ceinture Connor et relâche un soupir avant de sentir ses lèvres capturées par les siennes. Pas une seule fois le poufsouffle ne s'était permis d'imaginer que ce serait réel un jour, coéquipier tant apprécié et plus que cela même, relation que les deux poussaient même maintenant que Connor ne jouait plus. Son corps qui rencontre le sien alors que la balade de ses doigts sur son torse commence doucement à éveiller un brasier en lui, sa main qu'il plaque derrière sa nuque pour appuyer le baiser et son intensité, recherchant sa langue pour mieux lui faire comprendre son envie de lui et combien il aimait ça. Sensations nouvelles et qui l'emportent, le gémissement de Levi qui suffit à lui provoquer un grognement de satisfaction, chaleur qui l'emplit alors qu'il a aussi l'impression que la pièce prend en degrés. Connor offre alors un regard à Maisie au fil de ce baiser et l'accroche au sien, se demande si elle aime ce qu'elle voit, lequel des deux elle avait envie de rejoindre à cet instant et si tout comme eux, la brune était consumée par un désir double. Parce qu'il ne lui faut que quelques instants pour la retrouver elle à nouveau, sourire qui accroche le sien d'un baiser appuyé, langue désirant goûter à nouveau au goût de ses lèvres après celles de Levi afin de superposer les sensations. Connor part à découverte de son cou maintenant tandis que sa main a glissé sur Levi et se recouvre des paillettes de son costume qu'il répand à la mesure de ses doigts découvrant sa carrure autrement que par son regard cette fois. Les muscles du sportif qu'il ressent se contracter à son passage sans que ça ne le pousse à lâcher un soupir plus sonore tout contre le cou de Maisie. Ses lèvres qui s'imposent en de nombreux baisers sur la peau de la brune tout en saisissant la proximité des deux autres visages s'embrassant, rejoignant ensuite leurs lèvres à nouveau, à l'un puis à l'autre, parfois dans un rire, une autre fois dans un soupir d'aise. Il était au parfait endroit Connor en cet instant, laissant sa main remonter le long des côtes de sa meilleure amie pour redécouvrir ce qu'il n'avait pas apprécié depuis longtemps, un regard aux flammes plus chaudes encore en captant le sien afin de s'assurer que c'était d'accord pour elle, profitant de ce toucher pour occuper ses lèvres au cou de Levi désormais sur lequel il y appuie ses lèvres et y fait glisser sa langue. Ils n'étaient plus que baisers et passion, soupirs et harmonie et ils étaient beaux ensemble, à trois.

déguisement:

C'est presque religieusement qu'elle écoute Caïn s'exprimer sur le sujet du choix. Celui qu'on lui avait imposé, ses croyances à ce propos, sa façon aussi de concevoir sa vie et ce à quoi elle ressemblerait et enfin, ses aspirations nouvelles. Et elle sait Bea que le sujet est aussi important que risqué, d'une certaine manière, écoutant des vérités qui lui faisaient battre son cœur un peu plus vite, lui rappeler une conversation où justement elle ne lui avait pas laissé le choix – et combien finalement, le regrettait-elle aujourd'hui. La lionne avait compris surement un peu trop tard son erreur mais aussi combien elle était déterminée à ce qu'il ne gâche pas son avenir, l'écoutant avec attention lui révéler que tout ce à quoi il aspirait avant et ce qu'on lui imposait n'était plus ce qu'il voulait, elle comprend ce qu'il entend par là, ressent une émotion qui la secoue. « il te reste désormais à te créer cette vie que tu désires, avec sagesse et stratégie.. » glissa alors la sorcière qui y avait réfléchi plus longtemps de son côté aussi. Il y avait une faible chance pour que l'équation les réunisse à nouveau et que tout se passe bien mais Caïn devrait agir avec réflexion et être prêt à faire face à de nombreux risques, ce que la lionne n'était pas certaine de vouloir pour lui. Tout du moins, elle comprenait qu'il était sur ce chemin et quelque part, le soulagement était le sien. Peut-être alors auraient-ils une chance, un jour. Boule divinatoire qui ne tarde pas à lui révéler sa réponse à cette question à laquelle elle comptait la coincer, une certaine gêne se ressent dans sa gorge quand l'émotion la gagne à nouveau. Les doigts de Caïn se resserrent aux siens mais elle n'ose pas répondre Bea. Ce message restera pourtant ancré en elle, le temps qu'elle le comprenne enfin, mais l'entendre de la bouche du brun avait un prix très spécial à son cœur. Lorsque c'est son tour, son attention repose à son visage profil et sa question la désarçonne. Plus encore, sa façon de s'écarter de la boule prête à délivrer sa réponse. Son pouls s'était accéléré, elle n'était pas sûre elle-même de savoir faire face à cette question et pourtant, son regard se perd un instant sur la réponse avant que Caïn ne les emmène ailleurs. Elle en a le cœur qui sursaute, le regard qui s'émeut, venait-elle vraiment de lire ce que le cristal avait révélé ? Ailleurs et avec l'impression de voler avec ces étoiles au dessus de leurs têtes, Bea oublie le temps et la soirée malgré leur retour sur la piste de danse, ne se reconnecte à la réalité que lorsque ses mains se posent sur elle et que la mélodie d'un slow s'entame. Alors elle relève ses yeux bleus vers lui, pétillants d'une lueur aussi apaisée que joyeuse, acquiesçant à sa demande alors qu'elle ne pouvait décidément pas lui refuser par le sourire qu'il lui renvoyait. Bea continuait pourtant de réaliser qu'il avait fui la réponse et combien cela devait le tourmenter, croisant son regard en mesurant l'arabesque de ses lèvres, son assurance soudain murmurée à son oreille. La sorcière acquiesce, contre toutes attentes alors qu'ils demeuraient séparés, se hissant sur la pointe de ses pieds pour lui embrasser la joue, elle resserra son étreinte autour de lui avant de poser sa tête sur le haut de son torse. Ils se laissaient emporter par la musique et la douceur de ce moment, de ce que leurs cœurs partageaient. « Yes, yes we are. » ajouta finalement Bea en fermant doucement les yeux, profitant de la sécurité de ses bras et leur confort, comme si d'ors et déjà toutes les chances étaient de leur côté, comme si jamais rien de mauvais ne s'était passé, comme si finalement le futur était là, devant eux, prêt à les rendre heureux.

déguisement:

Un sourire aux lèvres, Leo lâche le métis pour croiser les bras sur son torse. « Tu peux parler Zabini, j’crois que t’avais un truc avec moi, mes fesses c’est ça ? » référence à sa réflexion pas très innocente quelques minutes plus tôt – et avant même qu’ils n’entrent dans l’armoire, l’aigle s’amuse déjà de ces taquineries. Il y a un froncement de sourcil subtil à la réflexion suivante du serpent et son sourire en coin qui s’accentue sans toutefois sans toutefois arriver à cerner le sens de ces mots. Mettant de côté ses questionnements, Leo se redresse et ne peut pas s’empêcher de rétorquer « T’es bien sûr de toi, t’as autant confiance en ton charme ? » inconscient qu’il vient de révéler à demi-mots qu’il le trouve charmant, l’Américain lève les bras pour effleurer une écaille du costume du métis. « Ce costume est dingue, ça m’étonne que toutes les filles soient pas en train de mouiller leurs culottes à tes pieds. » il plaisante en apportant son verre jusqu’à ses lèvres pour oublier la chaleur qui commence à réchauffer son visage par cette proximité troublante avec Blaise pour qui il n’avait jamais eu la moindre pensée de travers, jusqu’à aujourd’hui. De son regard à son sourire, de son costume à la façon dont il parle sans oublier ses gestes, tout en lui provoque en Leo une profonde curiosité, puis la confusion. S’il tente de refouler cette idée, il se met malgré lui à penser que peut-être, le métis aussi n’est pas intéressé que par les filles. Si lui n’a jamais eu pour objectif de le cacher, il sait que rares sont les personnes au courant de ses penchants pour le même sexe et ça le pousse à se demander s’il en est de même pour son nouvel ami serpent. En écho à Blaise, il termine son verre et sent l’alcool continuer de se répandre dans ses veines en emportant avec lui toutes les barrières – déjà qu’il a peu de retenue d’ordinaire, c’est pire maintenant. Dans cet espace clos et étroit, Leo sent une nouvelle vague de chaleur l’assaillir à mesure que l’italien avance vers lui avec cette étincelle dans le regard. Il hausse nonchalamment les épaules à la première réflexion et à la seconde, il s’humidifie les lèvres avant d’accrocher ses iris à celles du métis. « Maintenant que tu le dis, j’ai bien quelques idées sympa » ses lèvres s’étirent en un nouveau sourire alors que ses doigts viennent chercher un bout de peau à travers toutes ces écailles, qu’il retrouve finalement près de son bassin qu’il vient taquiner d’un effleurement. Bientôt, les gestes du sang-pur viennent lui arracher le souffle et troubler les battements de son cœur. Il sent le désir parcourir son corps, d’abord dans un frisson qui parcourt son échine, puis dans une sensation terriblement agréable qui vient le saisir jusqu’au bas-ventre. S’il tente d’ouvrir la bouche pour continuer sa petite joute verbale, aucun son n’en sort si ce n’est un léger soupir alors que leurs corps viennent enfin se rencontrer pour le plaisir de l’Américain qui n’arrive qu’à esquisser un petit sourire à la réflexion de l’italien. Il le provoque, et Leo se sent bouillir, lui qui n’a jamais été patient ne rêve que de briser la distance et céder à ses désirs mais c’est étonnement grâce à l’alcool qu’il parvient à se maîtriser encore un moment. Blaise frôle ses lèvres et il croit naïvement qu’il va mettre fin à ses supplices mais il n’en fait rien et ne réussit qu’à attiser un peu plus le feu qui brûle en lui. « You’re evil » arrive-t-il enfin à lâcher en le repoussant un peu, la frustration dansant dans ses yeux. Il ne veut pas en rester là, Leo, et c’est l’alcool qui lui donne l’idée d’inverser les rôles et de pousser doucement l’italien contre l’autre paroi de l’armoire, de façon à ce qu’il soit désormais celui qui se retrouve coincé entre l’armoire et lui, sans aucune échappatoire. « What do you say now ? » il y a un sourire arrogant alors que le bout de ses doigts vient effleurer ceux de l’italien avant de remonter le long de ses bras jusqu’aux muscles saillants qu’il touchait quelques minutes plus tôt. L’une de ses jambes vient se glisser entre celles du métis et son souffle vient s’écraser contre son cou. « Et maintenant Zabini, qu’est-ce qu’on fait ? » Poussé par les provocations de Blaise plus tôt, Leo n'a pas envie d’être le premier à craquer et c’est pourquoi il se penche vers lui et ose déposer un, puis deux, et enfin trois baisers le long de sa mâchoire. Audacieux, il pousse le jeu un peu plus loin en collant un peu plus son corps au sien et en venant à son tour effleurer ses lèvres des siennes. « Lost your tongue Zabini ? » il reprend ses mots avec un plaisir non dissimulé et dans un élan impulsif, vient plutôt mordiller la lèvres inférieure du métis plutôt que céder à son désir. « What ? I thought you were supposed to help me find mine ? » et il sourit, dans toute la splendeur de son arrogance, et si Blaise s’était éloigné pour le frustrer, lui n’en fait rien et reste collé à lui pour le faire craquer le premier. « Come on. Help me. If you dare. ».

HJ a écrit:

leo est avec @blaise zabini dans l'armoire

costume ; super-héros, en solo:

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pretty boy ☩

anger was better than Gears better than grief, better than guilt.

veritaserum wizards mb

 
La réponse de son interlocutrice n’est pas du tout celle que Harry attendait et, inévitablement, un sourire taquin vient étirer ses lèvres. En vérité, sa réponse est toute prête. La question ne se pose même pas réellement, car la proposition de la jeune femme est beaucoup trop tentante. Il est vrai que l’alcool coulant dans ses veines l’empêche de réfléchir normalement, mais en réalité le jeune homme est à peu près certain que même sobre, il aurait pris exactement la bonne décision. En plus de l’alchimie et de la connexion purement physique qui sont évidentes, il faut dire que ça fait du bien de se laisser aller, de se faire porter par les émotions, d’oublier les ennuis du quotidien et les soucis amoureux - de ne plus penser à grand-chose, pour une fois. « Est-ce que c’est vraiment un choix ? » Réponse qui n’est pas clairement donnée, Harry a pourtant l’impression de déjà tout dire. Ce n’était pas du tout ce à quoi il s’attendait en venant à la soirée clandestine, en dépit des nombreux débordements qui semblent y être reliés. Mais c’est peut-être exactement ce dont il a besoin - ce dont ils ont besoin, tous les deux. « Oui, il me semble qu’on a encore un peu de temps… » Alors c’est le moment d’arrêter de parler. Frissonnant sous les caresses de sa compagne de la soirée, le brun trouve ses mains à la fois douces et fermes. Esprit désormais détaché de toutes préoccupations (comme le fait qu’ils n’ont même pas daigné se présenter l’un à l’autre), Harry se laisse totalement aller aux délices du moment. Elle est douée et à l’instant précis, elle le rend fou. Précieuses minutes qui s’écoulent à une vitesse folle tandis que leurs caresses deviennent de plus en plus poussées et appuyées, le rouge et or a l’impression qu’ils se retrouvent totalement dans leur bulle. « Mon choix était déjà tout fait. » À leur sortie du placard, Harry ne se pose aucune question : glissant sa main dans celle de l’étudiante, il l’entraîne à sa suite. Ils ont besoin de rester ensemble et pour ça, il faut qu’ils s’éloignent. Tous les deux, pour finir la soirée comme il se doit, en beauté.

@Pansy Parkinson

(soirée clandestine)

Il était beau, Terry, bien sûr qu’il était beau mais c’était sa personnalité similaire à la sienne en de nombreux points qui l’avait d’abord attirée chez lui. Meilleur ami de son frère, il faisait logiquement partie du tableau de sa vie depuis son entrée à Poudlard et si elle se rappelait les avoir enviés, lui et Michael, pour avoir l’attention d’Anthony sans effort, Eris avait finalement – comme toujours – préféré voir le bon côté des choses et surtout, le meilleur chez eux. C’était facile avec l’aiglon qui n’avait que des qualités appréciables à ses yeux et qui lui ressemblait beaucoup. Attentionné face à sa blessure minime et prenant grand soin de cette main qu’il tenait encore – ce qui ne la dérangeait pas – elle lui offrit un sourire en plus de son baiser, acceptant le nouveau compliment. La situation devait paraître étrange à tous ici, parce qu’il n’était pas fréquent qu’un garçon entre dans les toilettes des filles sans arrière-pensée mais il n’y avait rien de tout ça avec lui et le duo ignora de toute façon les regards accusateurs des élèves à la petite vessie tandis que le Boot lui montrait les mérites de son costume. Impressionnée par le tour de magie, le cœur conquis par son geste tendre même si elle ne le savait pas encore, ils quittèrent l’endroit clos pour retrouver la piste de danse non sans s’être lâchés les doigts. Elle haussa les épaules à sa question, pas sûre d’y avoir une réponse claire et précise. « Pour s’amuser et rendre la soirée plus intéressante ? » Elle ne faisait définitivement pas partie de ceux-là. « Je ne sais pas trop en fait. Je n’ai pas besoin de plus que ce que je n’ai déjà pour passer un bon moment » ajouta t’elle avec un sourire en croisant son regard. Entendez par là qu’elle n’avait pas besoin d’autre chose que de lui pour s’amuser. « J’espère juste que tu ne seras pas malade… » Cette fois, un froncement de sourcil vint encadrer son visage à cette pensée avant que les mots de Terry ne lui redonnent le sourire. Il était bien parce qu’il était avec elle et en plus, il n’avait pas envie de l’abandonner pour qui que ce soit d’autre. Lui proposer une activité semblait la meilleure chose à faire et quand il l’invita à danser, Eris ne put retenir son rire. « Je me souviens pourtant d’une danse sous la pluie où tu n’étais pas si mal » Evidemment qu’elle s’en rappelait : ce jour-là, il lui avait remonté le moral et sa nuit avait été plus douce que jamais. « Avec grand plaisir ! » répondit-elle en posant son verre à son tour et en attrapant sa main sans se poser plus de question. Il n’y avait qu’eux, ou presque, ce soir et rien d’autre ne comptait. Dans ses bras, il la fit tournoyer alors que garder son sérieux était impossible, rires qu’elle ne pouvait empêcher. Entre deux, ses yeux s’accrochèrent à ceux pétillants de l’aiglon et chaque fois, elle avait l’impression de sentir son cœur se décoller de sa poitrine. Il y avait aussi les papillons au creux de son ventre, le désir que la chanson entraînante laisse place à un slow pour se rapprocher de lui et perdre totalement la notion du temps. Désir qu’elle ne contrôlait pas d’ailleurs, émotions qu’elle savait fortement influencées par les étudiants autour d’eux mais son palpitant qui ne se calmait pas. Terry la ramena à la réalité avec sa proposition de remake de Dirty Dancing, le film moldu que sa mère lui avait fait regarder une dizaine de fois depuis sa sortie et elle haussa un sourcil amusé. « Tu es sûr ? » Mais il ne montra aucune objection et elle se détacha de lui avec un sourire. « Bon ok, mais tu sais, je ne suis pas légère et aussi plutôt maladroite… je t’aurais prévenu ! » Sans lui laisser le temps de changer d’avis, elle fit quelques pas en arrière pour prendre son élan et tenter la technique de cette fille, ne doutant pas une seule seconde de Terry, confiance aveugle en lui, tandis que déjà elle lui sautait dessus pour qu’il l’attrape et la fasse voler. Distance mal calculée mais aussi et surtout à cause de la soirée bien entamée et les verres ou spacecake avalés pour lui, le sorcier tomba à la renverse avec elle par-dessus l’écrasant maintenant de tout son poids. Seulement elle fut incapable de se relever sur le champ et éclata plutôt de rire, rassurée d’entendre celui de Terry se mêler au sien, signe qu’il était encore envie. « Oh Merlin, tu vas bien ?! » tenta t’elle de demander entre deux rires, ne réalisant pas que les autres s’étaient arrêtés quelques secondes pour se moquer d’eux et reprendre leurs activités ensuite. « Je suis désolée ! » s’exclama t’elle en se retenant d’une main posée sur son torse. Elle aurait dû se relever tout de suite, Eris, et non pas le regarder avec intensité. Elle aurait dû se détacher pour le laisser respirer mais sentir son souffle se soulever sous ses doigts lui offrait cette sensation si étrange mais agréable… La blairelle détailla son visage de ses iris chocolat, descendant rien qu’une seconde jusqu’à ses lèvres avant de revenir à lui, le cœur battant. « Je crois que j’ai envie de t’embrasser » lâcha t’elle comme si ce genre de confession lui était naturelle – et dans le fond, ça l’était. « Et je ne sais pas si c’est à cause de tous ces gens autour de nous qui ne font que ça ou à cause de ce verre à la couleur bizarre que j’ai bu ou… » Ou bien si c’était seulement elle. Dans tous les cas, c’était déroutant et elle ne savait pas si elle devait ou pas, Eris, si elle le pouvait parce que c’était Terry et que peut-être, il ne ressentait pas la même chose mais ils étaient amis et elle était trop nulle pour mentir de toute façon. Ils étaient amis et un baiser échangé au cours d’une soirée comme celle-ci – si ça arrivait – ne signifierait peut-être rien pour lui ou même pour elle, pas vrai ? Foutaises aurait-elle du entendre dans sa tête à cet instant mais encore une fois, la naïveté l’emportait sur le reste.

@Terry Boot

décennies 70/80/90, hippie style:

C’est naturellement que Seamus l’attire sur son dos et qu’elle s’agrippe à lui Willow, comme si c’était une habitude qu’ils avaient depuis toujours. Son menton s’appuie sur la clavicule du lion alors que son nez capte un peu trop facilement le parfum du brun, effluves enivrantes qui lui donnent l’impression que rien d’autre n’existe si ce n’est lui. Elle retrouve toutefois la terre ferme quand ils arrivent près du buffet et elle s’empresse de récupérer une part de pizza alors que son estomac gronde son mécontentement. Elle lève les yeux vers lui avec un léger sourire, peu certaine de savoir à quoi il faisait référence alors même qu’elle savait pouvoir s’habituer à ces rapprochements nouveaux qu’étaient les leurs. « A manger de la pizza avec moi ? Normal, tout a meilleur goût avec moi.. » Elle hausse les épaules avant de rire face à ses propres idioties. « Je m’y suis déjà habituée. » avoue-t-elle finalement avant d’enfin croquer dans la pizza qu’elle avait en main. Peu à peu, elle se sent un peu mieux alors que la nourriture vient éponger une partie de l’alcool déjà ingurgitée. Un sourire orne ses lippes à nouveau alors qu’elle retire le bout de pizza visiblement collé à sa joue, sourire qui s’étire dès lors qu’il pose un baiser sur ses joues – et qui se meurt contre les lèvres de Seamus qui le prend par surprise en l’embrassant alors. Et elle sait qu’à ça aussi, elle s’y était habituée un peu trop facilement alors qu’elle n’aurait pas du. Elle était à nouveau célibataire depuis trois semaines à peine alors elle n’était pas supposée autant apprécier ses baisers ni vouloir sentir encore et encore son corps près du sien. Heureusement pour la née-moldue, le lion parvient à la divertir et à chasser ces pensées parasites en l’attirant sur la piste de danse. Elle retrouve vite sa place face à lui, dansant au rythme de la musique et riant aux éclats en voyant son ami prétendant jouer de la guitare. La brune secoue ses cheveux dans tous les sens comme si elle assistait à un véritable concert de rock avant d’applaudir la prestation de Seamus. Il l’interroge alors qu’elle aimerait encore tout faire avec lui mais il ne faudra que quelques secondes de réflexion pour que Willow ne se décide. Sans tarder, elle glisse sa main dans la sienne et l’attire à nouveau vers le buffet jusqu’à ce que son regard ne tombe sur un espace libre qui était idéal pour ce qu’elle désirait alors. Quand un plateau passe près d’eux, la sorcière en profite pour l’arrêter et récupérer dix shots : cinq disposés en ligne à côté d’elle et cinq autres en ligne à côté de Seamus. « Concours de shots ! » Ce qui n’était probablement pas la meilleure des idées mais ils étaient là pour s’amuser alors c’était le moment ou jamais pour faire n’importe quoi, pas vrai ? « Celui qui gagne peut demander ce qu’il veut à l’autre. Ça peut être une question ou un gage. » Évidemment qu’elle ajoutait un enjeu, en digne lionne qu’elle est. « T’es prêt ? 3, 2... » La née-moldue ne termine pas son compte à rebours et profite plutôt de l’effet de surprise pour se pencher vers lui et l’embrasser. Elle avait quelque chose en tête, Willow, alors que sa main vient quérir un shot et qu’elle comptait bien profiter de cet instant pour pouvoir prendre de l’avance. Elle s’attarde toutefois plus que nécessaire contre ses lèvres, devant se faire violence pour finalement s’écarter et avaler d’une traite le premier shot non sans rire ensuite face à cette trahison volontaire dont elle s'était rendue coupable. Elle prend sur elle, Willow, alors que l’alcool lui brûle la gorge, volonté de gagner qui passe devant la force du liquide. Elle ferme les yeux et enchaîne les shots jusqu’à ce qu’il n’en reste plus un seul. Quand c’est fait, elle se tourne vers Seamus mais sa tête lui tourne un peu alors sa main vient attraper son bras sur lequel elle s’appuie. Le lion qui a déjà terminé ses verres avant elle, le mettant grand gagnant de cette épreuve. « Ok t’as gagné mais c’est que de la chance en fait.. » Elle rit avec légèreté, sentant l’alcool se manifester rapidement et la gagner alors qu’elle lève les yeux vers lui. « Tu veux quoi pour ta victoire, alors ? »

lancer de dé:

décennie au choix entre les 70s et 90ss (disco, hippies, 90s = style iconic), seule:

code by solosands

Le membre 'Willow Fleming' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Le Destin' : 6

veritaserum wizards mb

Son amie semble comprendre sur qui Julius a des soupçons, effectivement il est d’accord avec elle, il y avait forcément d’autres choses à faire que se balader en tenue aussi légère, c’était choquant, à ses yeux, vraiment. Certes, il y a eu la libération sexuelle dans les années 60 à 80 mais .. tout de même, ce ne sont que des adolescents, certains ici n’ont que 15 ans voire moins, alors pourquoi ? Si encore il y avait encore un peu de tissu sur sa peau… même des voiles, mais non, rien, autant aller dans les bars mal fréquentés pour danser autour d’une barre en métal, à ce stade-là.

“ Non mais aussi, tu es élégante toi, et tu as de l’imagination, tu sais faire du sexy, sans tomber dans le vulgaire, mais ce n’est pas à la portée de tout le monde, visiblement.”

Petit ricanement de la vipère qui continue son tour d'horizon, venant faire quelques commentaires à sa meilleure amie alors qu’il sirote encore son cocktail. Lorsque cette dernière vient répondre à ses petites piques, il ne peut que hocher la tête, avoir un autre avis sur la situation l’aidait à relativiser, recalculer et effectivement certains devaient bien en avoir besoin pour se défaire de leur timidité maladive ou du manche à balai dans leurs fessiers, à voir.

“ Tu as raison, ils se sont une nouvelle fois surpassés pour leurs boissons.. j’ai bien hâte de goûter les autres et… Milena ?”

Sourcils un peu froncés, voilà que la vipère voit sa camarade écarquiller les yeux, qu’est-ce qu’elle a vu ? Isaac . Il n’espère pas… Tournant la tête en direction de la salle, il n’a pas à chercher loin car déjà, la jolie blonde vient lui expliquer et c’est dans un rire sonore que Julius se laisse aller.

“ Il doit avoir chaud, effectivement.. Soit c’est le règlement qui lui a mis ce déguisement.. soit son papier le lui imposait.. mais j'espère que c’est la première option ! Comme tu dis, si je m’étais retrouvé comme ça.. j’aurai ravagé le buffet des boissons pour oublier au plus vite, heureusement que ce n'est pas le cas, pour l’un comme pour l’autre. “

En parlant de boisson, Julius achève la sienne, habitué à ce genre de mélange, il n’en ressent absolument aucun effet, et alors qu’il se redresse, le jeune homme regarde son partenaire de costume.

“ Je vais me resservir, est-ce que je te ramène quelque chose ?”

Autant faire d'une pierre deux coups, après tout, et si jamais elle lui demandait quelque chose en particulier, il ferait tout pour voir ses jolies lèvres s'étirer dans un sourire.

Résumé:

costume:

“Tu as raison de ne pas te voiler la face, tu as clairement le pire costume pour envisager de rentrer avec qui que ce soit. Ou Hagrid peut-être… il risque de te prendre pour une nouvelle créature fantastique”. Ce fut très probablement le rire de la rousse qui permit à Damian de savoir qui se cachait derrière le masque et le costume. Il l'avait déjà entendu, à de multiples reprises dans la salle commune, ou à la table des gryffondor, autant de fois qu'il s'était tourné vers elle, vers ce rire, pour en comprendre la source ou en partager l'éclat. Ginny. Il n'aurait pu espérer meilleure compagne de soirée et il s'affubla d'un sourire qu'il voulait contrit. " Je pense que même Hagrid ne voudrait pas de moi, les pingouins ne regorgent pas de pouvoirs intéressants !" Il tenta quelques petits pas visant à imiter la marche des empereurs avant de se rendre compte qu'il ignorait simplement comment ces créatures se mouvaient. Ridicule. Il écouta les réponses suivantes, évitant le regard de sa sœur qu'il n'avait pas envie de croiser, préférant lui laisser penser qu'il ne l'avait pas reconnue. “Comment comptes-tu te faire pardonner pour avoir renversé la quasi intégralité de ton verre sur moi ?” Il avait un demi million d'idées pour répondre à cette question, aussi, décida-t-il de prendre un nouveau verre pour n'avoir pas à décider de quelle réponse lui offrir. Il s'approcha de son oreille et lui chuchota, pour que Keira ne les entende pas “Je comptais t'inviter à danser pour que tu aies le temps de sécher pour ensuite continuer notre jeu en te posant des questions de plus en plus personnelles.” Il y avait un feu nouveau qui brûlait en lui, celui du jeu, de la proie, aussi crut-il à tort qu'il était celui en chasse. Il n'avait juste pas compris à quel point la lionne était forte à ce petit jeu et combien elle tenait déjà les rênes de ce qui semblait être une cour promptement débutée. Il posa sa main dans son dos qu'il caressa du bout des doigts avant de lui demander, lui tendant la main “On danse?”

Résumé:

Costume:

CODAGE PAR LAVEI

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Never look back

Damian Selwyn ☽ They will not force us They will not control us We will be victorious

Il n’est que trop ravi de voir qu’Eris n’avait besoin de rien pour s’amuser si ce n’est de sa compagnie, parce que le sentiment était plus que réciproque ce qu’il ne manque pas de lui faire comprendre. Il appréciait chaque instant passé avec elle, sans doute plus qu’il ne le devrait. C’était elle que Terry cherchait constamment dans la foule dès lorsqu’il assistait à un match ou qu’il rejoignait la grande salle, elle qu’il désirait faire sourire jusqu’à en avoir mal aux joues. Alors c’est naturellement qu’il l’entraîne sur la piste de danse, s’amusant auprès d’elle alors qu’il oubliait tout de ce qui pouvait le troubler habituellement. Plus rien ne comptait si ce n’est la blairelle et l’amusement qui émanait d’elle et qu’il voulait faire perdurer. « N’importe quoi, je suis sûr que ce sera parfait ! » Enfin, pas vraiment. Il n’était pas au meilleur de sa concentration, loin de là, surtout après ce spacecake avalé qui semblait continuer à le perturber. L’aiglon fait pourtant de son mieux, reculant alors qu’Eris en fait de même avant de s’élancer vers lui. Il lève les bras pour tenter de la récupérer mais il n’est pas assez stable et finit par tomber en arrière, la brune au dessus de lui. S’il grogne de douleur quand son dos percute le sol, il s’empresse toutefois de relever la tête pour s’assurer que la blairelle allait bien. A en juger par son rire, elle se porte bien et c’est tout ce dont il a besoin pour rire à son tour, soulagé même s’il se doute qu’il finira probablement avec un bleu le lendemain. Il se moque bien du ridicule de la situation, n’ayant jamais porté la moindre attention au regard des autres. « Ça va oui, et toi ? » parvient-il à demander entre deux rires, conscient de l’absurdité de la situation. Son rire se meurt toutefois quand Eris s’excuse en posant une main sur son torse tandis qu’il réalise enfin sa proximité. Son regard le trouble un peu plus alors qu’il a l’impression que jamais elle ne l’avait regardé ainsi jusqu’à présent, souffle qu’il retient presque quand il perçoit son regard se poser sur ses lèvres. Son cœur semble au bord de l’explosion alors que son aveu le prend au dépourvu par sa spontanéité. Le feu lui monte aux joues alors que Terry est peu habitué à ce genre de confessions. Il en a envie, lui aussi, plus que jamais alors que ses doigts viennent se perdre sur sa joue dans une tendre caresse. « Je... » Son aveu est coupé net par un mouvement près d’eux qui les bouscule, c’est seulement alors que Terry réalise qu’ils sont encore tous les deux au sol. Craignant qu’elle ne finisse blessée par la faute des écoliers autour d’eux ne faisant pas vraiment attention, il l’aide à se relever et en fait de même. Une main se glisse sur sa taille alors que son regard détaille son visage alors qu’elle est plus jolie que jamais, Eris, même s’il aurait préféré qu’elle ne porte pas son masque. « J’ai très envie de t’embrasser aussi. » Et même s’il ne s’agit pas d’un domaine dans lequel il est expert, Terry était assez spontané et à l’aise en sa présence pour lui faire cet aveu. « En fait j’ai souvent eu envie de t’embrasser ces derniers temps. » Il sourit, tout de même un peu gêné, alors qu’il repense aux mots de la brune. « Mais j’pense pas que ce soit une bonne idée de faire ça maintenant. » Il tente de s’exprimer au mieux, conscient que ce qu’il avait consommé ne l’aidait pas à être très clair. Le bouclé n’avait que trop peu d’expérience à ce sujet et il se doutait que ses mots pouvaient être mal interprétés. « J’veux dire que… J’veux t’embrasser quand t’auras pas bu ou que tu seras pas influencée par les autres. J’veux t’embrasser parce que t’en as envie, toi. » C’était ce qu’il craignait – que son envie ne soit que temporaire, qu’elle ne soit que le fruit de cette soirée alors que lui, savait, qu’il n’avait pas besoin de ça pour désirer chercher ses lèvres.

déguisement:

code by solosands

veritaserum wizards mb

(SOIREE CLANDESTINE) - dancing in the sky
FT. All

Costume :

TW - Rapprochements physiques

L’ardeur de leurs échanges laisse peu de place aux doutes sur la suite du déroulement de leur soirée. L’esprit de Pansy est à présent très loin. Les tourments de son coeur ne sont plus le sujet de ses préoccupations. Seuls elle et cet inconnu comptent. Sa peau, son odeur, son toucher, elle veut tout sentir de ce mystérieux partenaire. Le bruit de la serrure leur fait comprendre que les sept minutes viennent de s’achever. Soupire qui s’exprime car, elle aurait voulu que l’instant dure bien plus longtemps la Queen. Regard interrogateur envers le brun qui prend les devants l’entraînant en dehors de ce jeu, et surtout loin de cette soirée. Sans même prendre le temps de réfléchir - car son choix est déjà tout réfléchi -, la vipère laisse ses doigts se glisser dans ceux du jeune homme. L’attirant à elle à quelques reprises pour lui déposer un baiser volé, ils s’éclipsent en dehors de la soirée. Quelques petits rires se mêlent à des “chut !” avant un énième regard échangé. Ce soir ils sont en osmose, dans leur bulle et se comprennent totalement. Ils terminent leur course chez les Serpentards. Car malgré tout l’hydromel qui coule dans ses veines, jamais Pansy ne se rabaisserait à un couloir de fortune. Son partenaire ne semble pas étonné ni surpris par les lieux. Est-il de sa maison ? Est-ce un des invités issus de la tour des Aigles ou des Lions ? Qu’importe. Pansy n’a pas pour ambition de jouer aux devinettes. Elle n’a pas véritablement cherché à connaître son identité une seule fois ce soir, ce n’est pas maintenant qu’elle va commencer. Première porte ouverte à la volée leur offrant un dortoir vide - les élèves étant certainement encore à la soirée. Un coup de baguette magique permettant de verrouiller la serrure et enfin, les deux sorciers se retrouvent seuls pour terminer la soirée. Laissant leurs corps s’unir en toute intimité.
Chacun rentrera dormir dans son lit. Au réveil, la Queen se souviendra de ce moment inoubliable en conservant une question en tête “Qui était-il ?”. Le tatouage sur sa cuisse lui provoquera un cri de panique et elle se jurera de ne jamais partir à la recherche de cet inconnu. Cette parenthèse hors du temps restera un moment unique, enfoui dans ses profonds souvenirs mais preuve, une nouvelle fois, qu’elle faisait vraiment n’importe quoi depuis l’annonce de ses fiançailles…

Fin d'intervention pour Pansy.
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(SOIREE CLANDESTINE) - dancing in the sky

Costume :

Ginny observe l’homme à ses côtés prendre un nouveau verre. Elle le laisse s’approcher d’elle, sa réponse électrisant chaque parcelle de sa chair. Elle en est presque certaine : elle connaît cette personne. Pourtant, son esprit commençant légèrement à s’embrumer, elle ne parvient pas encore à poser un nom sur cette voix ni sur cette malicieuse tonalité. Des hommes joueurs, il y en a beaucoup à Poudlard. Et celui-ci semble être particulièrement dans son élément… La lionne décide de faire taire ses interrogations, patientant un peu plus, sachant que le meilleur moment finirait par venir sonner à sa porte. Elle réussirait à déceler l’identité de ce beau-parleur maladroit. Alors qu’elle pourrait se contenter de refuser l’invitation du jeune sorcier, le feu qui commence à naître en elle est trop fort. La tentation bien trop grande. Comment dire non ? Le toucher de ses doigts dans son dos et le frisson subtile qu’il lui procure ne fait qu’effacer ses derniers doutes. Joueuse, elle lui lance un regard de défi. “Je suis très curieuse de voir comment un Pingouin peut parvenir à danser convenablement…”. Fond de verre descendu. Sans lui laisser le temps de répondre, elle attrape sa main, entremêlant ses doigts dans les siens afin de le conduire vers la piste de danse. Maligne et fière, la rousse commence à se déhancher à ses côtés. Taquine, elle se trémousse et fait la belle Ginny, s’approchant par moment du corps de son partenaire avant de reprendre une distance raisonnable. Il est certain que l’alcool l’aide à totalement se laisser aller mais elle apprécie pleinement ce moment à ses côtés. Elle se sent désirable et ne souhaite que prolonger ce petit jeu. Alors une nouvelle fois, son corps s’approche de celui du brun, l’effleurant à plusieurs reprises durant sa danse. Son visage venant rencontrer le sien, elle lui lance un nouveau sourire espiègle avant de venir lui parler au creux de l’oreille. “Je crois que ma robe était déjà sèche avant que nous commencions à danser. Il me semble que ce ne sera pas suffisant pour te faire pardonner”. Elle rit de nouveau la rousse, avant de le défier du regard. Ses prunelles viennent chercher celles du brun, entamant un jeu bien loin d’être innocent.
Un nouveau plateau de vodka-vérité entre en scène. Ginny en saisit deux, laissant un shot léviter jusqu’à son partenaire. Sourire en coin, elle se contente d’ajouter. “A toi de me dire la première chose qui te passe par la tête en ce moment-même !”. Car avec cet étrange hydromel, il était impossible de mentir. La lionne était bien curieuse de savoir ce qu’il se tramait dans la tête du sorcier : pensée joueuse difficilement avouable ou au contraire, pensée absolument différente comme une forte envie de boire ou de se changer. Avec les hommes, tout était possible !

@Damian Selwyn

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soirée clandestine

the second star to the right

◊ ◊ ◊

« Peter Pan peu bien aller se faire voir » avait-elle dit d’un ton désinvolte, sa main accompagnant ses paroles. Une certaine rancune qui s’accrochait éperdument à son coeur, la flamme de la colère toujours entrain de bruler dans son être et pourtant elle essaye de l’oublier Victoire. Oublier que Calder devait passer la soirée avec elle normalement, que cela aurait du être eux, et seulement eux deux. Jamais elle n’avait songé à se remettre en question, son état étant bien trop amochée pour comprendre que son petit jeu avait pu vexer le blaireau qui avait décidé de s’éloigner d’elle. Tout ce qu’elle voyait à l’heure actuelle c’était qu’il avait fuit la situation comme à chaque fois que les choses n’allaient pas dans son sens. Et pourtant elle voulait l’oublier, bien trop concentrée d’être avec poséidon en cet instant même tandis que leurs corps dansaient en rythme, sentant les mains de l’homme sur ses hanches. Les hormones en ébullitions, l’aiglonne se laisse emporter dans ces mouvements endiablés, sentant la chaleur monté en elle et d’un seul coup c’était comme si elle ne se souvenait de rien, se laissant emporter par l’ambiance générale. Ce n’était plus Anthony qui se trouvait devant-elle mais un bel homme masqué qui donnait ainsi plus de mystère. Sans doute aurait-elle tout arrêté à ce moment précis si elle avait encore les idées claires mais ce n’était présentement pas le cas. La musique beaucoup trop forte dans ses oreilles, les mains de son partenaire sur ses courbes féminines et la chaleur de leurs corps l’un contre l’autre. La fée se laisse emporté au gré du baiser lancé par ses soins mais que le jeune homme semble pas interrompre pour autant. L’esprit embrumé et le coeur qui palpite, Victoire était partagée en deux. Son côté raisonnable la poussait à arrêter tout mouvement pour se séparer de son camarade, arrêter ce baiser qu’elle regretterait le lendemain à coup sur puisqu’après tout il s’agissait de Anthony et pourtant elle balaya d’un revers de la main ces pensées pour simplement profiter de l’instant présent, peu consciencieuse de ce que cela pourrait engendrée par la suite. C’était comme si les minutes défilaient, comme s’ils étaient seuls sur cette piste de danse, tandis que leurs lèvres ne semblaient vouloir se quitter, entament une autre sorte de danse. Une danse beaucoup plus intime et la jeune femme continue jusqu’a en avoir le souffle coupée, jusqu’à devoir se séparer de poséidon pour pouvoir survivre. Elle est à bout de souffle, plongeant ses yeux irisés dans ceux de son camarade, elle n’entendait plus rien autour à part son coeur tambourinant bruyamment dans sa poitrine. Elle sent toujours les bras du jeune homme autour d’elle, leur corps toujours accrochée l’un à l’autre. Tinkerbell hésite à replonger ses lèvres sur les siennes, ne sachant vraiment que faire, son esprit confus et elle se pince la lèvre les mains toujours posé sur le torse de son ami. La musique qui revient dans ses oreilles, le bruit des autres participants à la soirée qui se fond plus fort et la rouquine revient brusquement dans la réalité, ici et maintenant. Alors elle reprend ses pas de danse, un sourire enjouée transperçant ses lèvres qu’elle n’arrive pas à détacher. « viens on va manger un morceau » pour se changer les idées, essayer de calmer ses ardeurs sentant qu’elle serait prête à se jeter de nouveau au coup de ce bel homme et elle glisse une nouvelle fois ses doigts dans les siens pour l’attirer jusqu’au buffet. Attrapant une part de pizza sur le buffet, elle vient en tendre une à son camarade avant de croquer dedans à pleine dents. Dieux que ça faisait du bien de manger un morceaux. Sentent l’aliment glisser dans son estomac, remplaçant l’alcool qui s’y trouvait par quelque chose de plus solide. « tu souhaites qu’on aille ailleurs ? » Elle s’était rapproché pour lui susurrer - ou légèrement crier au vu du bruit environnant - ses paroles à l’oreille. « Faire une autre activité ? » Paroles à double sens, question à double tranchant. Elle ne savait plus trop où elle en était Victoire dans toutes cette situation, partager entre la raison et l'envie, lui laissant le choix de décider la suite de l’aventure.

(c) oxymort

@Anthony Goldstein

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