Il ne s’était pas imaginé que la soirée prendrait une telle tournure, Blaise, qui n’attendait rien de plus qu’un bon moment en compagnie de ses amis. Seulement, il avait fallu que cette porte s’en mêle et ne l’attire dans ce placard avec Leo, les poussant à avoir une certaine proximité. L’alcool qu’il a consommé ne l’aide pas à avoir les idées claires et le pousse même à se désinhiber davantage, faisant preuve d’une certaine franchise vis-à-vis des envies qui le tiraillaient à ce moment-là. Ce n’était peut-être pas la meilleure des idées parce qu’il n’avait que trop conscience des risques qui pourraient déteindre sur sa réputation si l’attrait qu’il avait pour les sorciers également venaient à être révélés, attirance qui serait assurément mal vue par leur communauté élitiste. Ce n’est probablement pas Leo qui en parlera en tout cas puisqu’il semble plus que réceptif à ses avances, sourire satisfait qui étire les lèvres de l’italien alors même que l’aigle proteste face à ce feu qu’il a su attiser sans aller plus loin. Il se laisse faire quand il le pousse, dos qui cogne contre la paroi derrière lui. Forcément, il est amusé par la façon qu’il a de lui répondre, toujours plus intéressé quand l’autre est capable de faire preuve d’un minimum de répartie. Des frissons le parcourent en même temps qu’il retient un soupir en sentant le genou du sorcier se glisser entre ses jambes. « I don’t know. Tell me. » Blaise répond aisément à ses provocations, même si c’est plus compliqué maintenant que ses sens sont influencés par la proximité et le toucher de l’aigle. Seulement Leo semble déterminer à pousser la provocation, venant déposer des baisers sur sa mâchoire et effleurer ses lèvres sans jamais les toucher réellement, ce qui finit par frustrer l’italien. Frustration qui ne fait que s’accentuer à mesure que son désir lui augmente, feu qui se répand dans son bas-ventre quand il vient mordiller sa lèvre inférieure. S’il aurait souhaité faire durer le jeu, il a aussi conscience que le temps qu’ils ont dans ce placard est limité et que bientôt, il arrivera à sa fin. « Tu parles trop. » Sans tarder, il glisse une main sur la nuque du brun et l’attire à lui pour venir plaquer sa bouche sur la sienne avec envie. Sa main remonte jusque ses boucles auxquelles ses doigts s’agrippent alors que sa langue se fraye un chemin entre ses lèvres pour retrouver la sienne.  Un léger gémissement s’étouffe contre ses lèvres face à cette danse sensuelle dans laquelle leurs langues se lancent. Sa main libre, elle, se pose sur sa taille et vient remonter sous son tee-shirt pour venir caresser ses muscles saillants. Quand il quitte ses lèvres, il ne peut s’empêcher de sourire alors que son regard accroche celui du sang-pur. «Seems like I found it. » Ce jeu qu’il continuait malgré tout alors qu’un coup d’œil au compteur lui apprend qu’il leur restait un peu moins de quatre minutes avant que la porte ne s’ouvre. Sans tarder, ses lèvres se glissent sur sa mâchoire pour y déposer quelques baisers avant de se perdre dans son cou qu’il parsème alors. Ses doigts s’affairent toujours à caresser sa peau avant qu’une idée ne lui vienne alors. Quand il se redresse, le sorcier fait glisser ses mains le long de son dos avant de se poser sur les fesses qu’il avait si aisément complimenter un peu plus tôt avec un léger sourire. « Pas trop mal. » Blaise appuie alors qu’il vient chercher ses lèvres pour un nouveau baiser passionné, bassin qui appuie contre le sien et lui arrache un nouveau soupir. Peu importait ce qu’il se passerait une fois que l’alcool ne fera plus effet – il comptait profiter de ces instants rares lui permettant de lâcher prise sans penser aux conséquences.

créature, en duo:

 

code by solosands

elle sait que les regrets vont venir la submerger le lendemain, mais pour l’instant elle se sent bien flora. la culpabilité de ses actes, paroles et émotions bien trop apparentes à laquelle elle ne préfère pas penser maintenant. et c’est dans ces moments-là, rendus si faciles et paisibles par l’alcool, qu’elle en vient à se demander ce qui l’empêche d’être ainsi chaque jour. la lave sagement endormie en son sein, la légèreté et les rires qui peuvent se permettre de faire surface. et pendant qu’elle se perd dans l’abîme de ses pensées, elle se sent bien flora. la chaleur des bras de son ami autour d’elle, la musique et les rires auxquels elle ne prête même pas attention. à nouveau elle ne peut s’empêcher de penser à la mystérieuse sorcière à laquelle il a fait allusion, l’espoir de se souvenir de cette confidence le lendemain pour pouvoir mener l’enquête. petit rire qui lui échappe à nouveau tandis qu’il lui lance un défi. la réflexion qui se fait intense, parce que même ça elle peut pas le choisir à la légère flora. mais ce soir elle s’invente et se renouvelle flora, et puisque son premier réflexe et d’aller à l’opposé de la vérité, c’est justement ce qu’elle choisit. « i’ll regret it tomorrow, but truth. » la question qui arrive, et flora qui plonge à nouveau le visage dans le torse de theodore. parce qu’elle veut bien jouer le jeu et révéler des vérités, mais trois choses, ça fait beaucoup de secrets. quelques secondes qui passent alors qu’elle réfléchit à ce qu’elle pourrait bien dévoiler sans trop se mouiller. première révélation audacieuse, afin qu’il ne l’accuse pas de ne pas jouer le jeu. « i may have kissed and more someone tonight. » sourire au souvenir de ces quelques minutes passées dans le placard avec un inconnu, bien loin de ses habitudes. la deuxième révélation qui s’accompagne d’un sourire taquin à l’égard du serpent. « i really like this style on you. » la tenue et les tatouages qui représentent bien l’opposé de son apparence habituelle. c’est bien loin des codes de leur milieu, mais elle aime bien flora, ce soupçon de rébellion qui l’enflamme étrangement. le visage qu’elle baisse à nouveau, avant le dernier aveu. « and i actually feel very good here in your arms. » aveu qu’elle regrettera sûrement le lendemain si elle s’en souvient, flora bien trop pudique pour révéler ainsi l’affection qu’elle porte à ses proches. et surtout à theodore, de qui elle s’était tant éloignée il y a quelques années. leur amitié qui lui avait manqué même si cela lui serait très difficile à avouer. l’intensité de ses mots qu’elle balaie d’un geste avant de relever la tête vers lui. « your turn now. truth or dare ? » le regard plein de défi, la malice qui s’empare d’elle et elle découvre qu’elle aime bien ça, flora.

@Theodore Nott

truth or dare:

costume :

Ce moment passé sans presque avoir à se cacher réchauffait le cœur d’Eloan, même s’il ne pouvait se permettre de contact physique et charnel pour le moment. Personne ne faisait vraiment attention à eux mais il préférait être prudent. Pourtant Eloan sait aussi qu’Adriel en a besoin, lui-même d’ailleurs et c’est pour cette raison qu’il lui promet un instant passé dans le placard plus tard quand ils en auront l’occasion. Les yeux rivés sur le tatouage qu’il lui faisait, Eloan fixait son petit ami dessiner sur sa peau, s’amusant de leurs identités secrètes avant de rire. « Que quoi ? Ah ça. » Il s’amuse de cette histoire, ce jour où il avait pris une apparence féminine et qu’il avait embrassé Haku ou du moins la personne qui avait son apparence. « Je t’assure qu’il n’a pas eu un baiser comme ceux que je garde pour toi, ceux-là, il n’y a que toi qui ne peux en profiter. » Il se montre aguicheur, plus libéré dans sa parole quand il voit que les personnes autour de lui ne prêtent pas attention à eux, il se laisse aller et joue avec le feu sans risquer de se bruler les ailes.


Eloan ne se sentait plus coupable de cette histoire, il comprenait les sentiments d’Adriel mais il était à peu près sûr qu’il ait bien compris que pour lui ce petit baiser ne signifiait rien. A son tour à présent, Eloan avait tatoué son ami, loin d’avoir les talents de dessin de sa sœur, le Ponds avait fait au mieux pour ne pas réserver à Adi qu’un simple gribouillis. L’esprit léger et l’envie de s’amuser, Eloan laisse à présent tout en plan pour entrainer son ami sur la piste de danse et se mouvoir au rythme de la musique. Le sportif n’était pas forcément bon danseur mais il s’amusait, l’esprit désinhibé par l’alcool. « Un jeu où il faut être collé l’un à l’autre… Etonnant tiens. Mais je relève le défi ! » Il attrape un verre qu’il boit d’une traite puis le repose et enfin ils se dirigent tous les deux vers le twister, et Eloan se lance en premier, pour l’instant rien de compliqué. Il se place, l’esprit en constant mouvement pour rendre le défi plus compliqué. « A toi Hawkins, ne tombe pas trop tôt. » L’appeler par son nom de famille pour le provoquer et créer un début de fausse rivalité. « Waouw, ce verre était plus chargé que ce que j’imaginais. »


@Adi R. Hawkins

Alors qu'Eloan cherchait à le rassurer sur le fait que le baiser offert au serpent était de bien maigre qualité par rapport à ceux qui lui offrait à lui, Adriel leva le regard, observant le visage de celui qu'il aimait, se retenant de lui voler un baiser. Reposant l'appareil à ses côtés, le jeune homme laissa ses doigts glisser sur le bras de son meilleur ami, caressant les contours du tatouage comme s'il cherchait à s'assurer de la propreté de son travail.

"J'espère bien. Sinon, je devrais le remettre à sa place pour qu'il n'essaye pas de me voler un de mes baisers."

Emporté au centre de la piste, Adi oublie les problèmes qui tournent autour de lui, s'incrustant dans sa peau ces derniers temps, il oublie et profite du moment présent, laissant son corps se mouvoir au rythme de la musique, tournant autour de l'être aimé. Il était tout bonnement soulagé en ce moment, plus léger, heureux et amoureux. L'alcool lui fait tourner la tête et pourtant, il apprécie ce sentiment de pouvoir tout accomplir et avant de se diriger vers le twister, Adi s'accapare un nouveau verre, ayant oublié le sien presque vide quelque part dans la pièce, sûrement au stand de tatouage. En écho à Eloan, voici qu'il termine son verre d'une traite afin de se libérer les mains et pouvoir se mouvoir plus librement sur le tapis. Adi observa d'un oeil amusé Eloan se placer et lança la girouette, plaçant sa main auprès d'Eloan afin d'être au plus proche de lui afin de le titiller.

"Je ne tomberais pas Ponds... N'oublie pas qui est le moldu ici. J'ai des années d'expérience ! Le gage sera pour toi, tiens toi prêt... Min kärlek."

Ces deux derniers mots suédois chuchoté pour que seul le concerné puisse l'entendre résonnent dans le coeur et la tête d'Adriel. Ces deux mots, doux surnom affectueux sonnent comme un pas en avant pour Adriel tandis que les deux amoureux enchaînent les mouvements sur le tapis aux couleurs de la soirée.

situation emplie d’imprévus, le contrôle qu’elle ne peut garder alors qu’elle ne sait pas à quoi s’attendre ensuite. ça lui procure des frissons flora, la découverte d’une nouvelle forme d’adrénaline à laquelle elle est si peu habituée. et elle se demande flora, si ça vaut la peine de s’enfermer constamment. de louper tout ça, ses amis, leurs rires. leurs sourires, comme celui de theodore qu’elle observe à l’instant. un sourire sincère, bien loin de ceux qu’elle balance habituellement sans vraiment y penser. mais ce soir elle est quelqu’un d’autre flora, elle s’essaie à la sincérité. et ça fait du bien, de sentir ses lèvres former ce qu’elle ressent. les émotions qui semblent l’inonder ce soir, qui profitent de la petite ouverture causée par l’alcool pour se déverser. et pour le moment elle lutte pas flora, les armes enfin déposées, bien déterminée à en profiter. juste pour un soir. nouveau sourire qui s’épanouit sur son visage alors que le serpent la suit dans la quête de vérités. myriade de questions qui défilent dans sa tête, curiosité qui frétille, mais elle a pas envie de profiter de leur état pour lui soutirer des informations. l’opportunisme naturel qui recule, et la question qu’elle décide de lui retourner. elle le regarde réfléchir flora, essaie d’anticiper les réponses, mais est loin de se douter de ce qui suit. « you know i’ll find out who this is. » et elle espère vraiment s’en souvenir le lendemain flora, le frisson de l’enquête qui lui manque depuis qu’elle a découvert le secret de caïn. véritable passion découverte, l’envie de déterrer tant d’autres mystères. nouveau sourire, énigmatique cette fois, suite à la deuxième révélation de son ami. le contournement des règles qu’elle note d’ailleurs, bien déterminée à s’en servir plus tard. « maybe your arms are even better. » confortables, chauds, et fermes. pour l’empêcher de tituber alors même qu’elle sent bien que ses jambes ne sont plus aussi stables qu’avant. la dernière phrase qui lui réchauffe le cœur, morceaux de leur amitié qui semblent se remettre en place ces derniers temps. nouvelle pièce qui vient reconstituer ce qu’ils étaient, et qui apporte en même temps quelque chose de nouveau. l’agitation ambiante qu’elle remarque, et ses mains qui se portent jusqu’au visage de son ami, le masque qu’elle ôte doucement. les doigts qui effleurent la pommette, infime caresse. « i like you better like this. » le shot qu’elle accueille sans hésitation, avalé en un clin d'œil, grimace partagée avec theo. les verres reposés sur le plateau, et elle remarque alors plus d’amplitude dans leurs mouvements. « well if we have to stay, then grant me this dance, will you ? » la main qu’elle tend, l’attente de rejoindre la piste de danse qu’elle n’a pas encore pu tester ce soir.

@Theodore Nott

costume :

Trop d’imprudence dans cette soirée sans qu’il ne s’en soucie. Parce qu’il est déguisé, parce que tout le monde boit, parce que ses propres verres le désinhibe. Cette foule qui les entoure devient inexistante, il n’y a que l’un et l’autre dans ce monde qui leur ouvre les bras le temps d’une soirée. Eloan s’amuse de la discussion, soulagé de réaliser qu’Adriel ne lui tient plus rigueur de ce baiser échapper avec le Kimura. Un baiser qui ne voulait rien dire et qui n’avait pas plus de sens que de sentiments, simplement le plaisir de se laisser aller dans un corps qui n’est pas le sien. Les deux amis finissent leur tatouage mutuel avant de se rendre sur la piste de danse.

Le lion se laisse aller au rythme de la musique, apprécie tellement se laissé aller, d’être lui pour une fois. De réussir à vivre son histoire d’amour sans craindre de tout perdre, de s’amuser comme si le lendemain n’existait pas, de boire et d’oublier toutes ces émotions négatives. Il ne faut pourtant pas bien longtemps à Adriel pour qu’une nouvelle idée lui vienne, celle de s’essayer au twister. Un jeu que le Ponds connaissait mal pour y avoir peu joué, mais qui consistait à poser le membre indiqué sur une couleur, en s’emboitant avec son partenaire sans tomber. Un jeu qui, pour les deux amoureux secrets, prend des enjeux différents. Un autre verre vidé d’une traitre pour être plus prêt que jamais, Eloan jouait le premier, galvanisé par ce défi, cette compétition mais surtout par la proximité qui les attendait. Si le premier tour ne demandait rien de bien difficile, il est rapidement rejoint par Adi qui s’approche de lui. « C’est ce qu’on verra ! » Les mots doux susurrés à son oreille ne lui échappe pas et le font rougir. Eloan tire à nouveau et doit placer son pieds, qu’il parvient à poser non loin de la jambe d’Adriel se glissant sous lui. Leur visage proche, il se risque à embrasser sa joue pour le déstabiliser, et en profiter, avant de rire.

S’écoule alors un tour, et puis un autre et Eloan sent son verre faire d’avantage d’effet, et ses pensées s’embrumer peu à peu. Difficile alors de garder un équilibre convenable. « Wow ça bouge… »

@Adi R. Hawkins

Voir le rouge parsemer délicatement le visage d'Eloan après ces deux simples mots fit naître un sourire sur le visage d'Adi, tandis que son coeur semblait battre au rythme de la musique entraînante. Il se sentait à sa place, dans le monde de l'interdit sans que rien ni personne ne lui fasse peur, les chaînes autour de son poignet se desserrant légèrement. La sensation du baiser sur sa joue bloqua un instant le perpétuel mouvement Adriel, son regard s'accrochant dans celui d'Eloan, se demandant bien s'il n'avait pas rêvé. Avait-il osé ? L'hyperactif aimerait pouvoir l'embrasser, sentir ses lèvres sur les siennes, mais... La joue et les lèvres, ce n'était pas pareil et... Même déguisé, il ne voulait pas risquer qu'Eloan regrette et s'éloigne de lui. Adi, même alcoolisé, devait s'efforcer de se retenir car l'amour ne semblait pas pouvoir tout résoudre.

"Tu pensais m'avoir si facilement ? Tu ne perds rien pour attendre !"

Adriel reprend le jeu, choisissant de se positionner au plus proche possible d'Eloan pour le taquiner, le provoquer et surtout, pouvoir être au plus près de lui sans que ça ne paraisse bizarre aux yeux des autres. Et alors qu'il s'apprêtait à changer de position, voici qu'il entend Eloan se plaindre. Les sens en alerte, Adi se relève au moment où il voit son petit ami perdre l'équilibre et entamer la chute. Les réflexes amoindris par l'alcool, Adi a tout juste le temps de s'accrocher à lui pour amortir sa chute mais pas pour l'empêcher totalement de basculer vers le sol. Au contraire... Il se fait même emporter. Tout au long de la chute, Adi fit en sorte de tenir Eloan contre lui tout en posant ses mains au niveau de sa tête pour la protéger d'une collision directe avec le sol. Une fois au sol, Adi le relâcha rapidement, se retenant de déposer un baiser à son tour sur la joue de son capitaine, la chute avait attiré les regards, ce n'était plus le moment. Cependant, le jeune homme se permit de murmurer à Eloan, un sourire en coin.

"Pompier Adi à ton service ! Il fallait me le dire que tu voulais que je te serre contre moi, pas besoin de faire ta princesse en détresse. Tu t'es fait mal?"

Adi espérait que non, sans compter le fait qu'il serait affecté par la blessure de son ami, il voulait pouvoir continuer à profiter de la soirée et non pas emmener son cher et tendre à l'infirmerie. Les placards là-bas n'ont pas l'air aussi intéressants que celui qui se trouvait ici.

Affronter de la sorte ses peurs, dissimulé sous un déguisement loin d’être le plus discret mais suffisant pour lui permettre de se sentir libre, Eloan vit pour la première fois son histoire d’amour à visage -presque- découvert. Que ce soit dans les mots ou dans les actions, dissimulé derrière ce jeu, le Ponds se sent pousser des ailes. Tout aurait été plus simple si jamais son cœur ne s’était porté sur ce garçon, mais il ne contrôlait pas ses sentiments et malgré l’orage qui les attendait, Eloan n’aurait troqué sa relation avec Adriel pour rien au monde. Amusé de sa bêtise et électrisé par ce contact à peine dissimulé, il adresse un sourire niais à Adriel. Ce baiser sur sa joue était un énorme pas en avant pour le lion et Adriel le savait. « J’aurais essayé. » Amusé d’avoir honteusement tenté de le déstabiliser en usant de ses charmes, il y avait pourtant une volonté forte de lui faire démonstration de toute son affection.

Le jeu reprend et c’est à Adriel de se placer, cependant le capitaine sent que la vitesse à laquelle il a descendu ses quelques verres le rattrape quand sa tête s’embrume un peu plus à chaque seconde. Pas de quoi se rendre malade, mais difficile de garder l’équilibre, son pieds sur le cercle vert et sa main sur le orange avec son acolyte en mouvement. Eloan commence à perdre l’équilibre et chute lourdement au sol, rattrapé de justesse par un petit ami surprotecteur. Finalement les deux garçons tombent au sol, l’un sur l’autre. Le Ponds se perd dans le regard inquiet d’Adi qui ne pouvait retenir une blague, éclatant de rire en réalisant sa ridicule chute. « Ca va, j’suis pas tombé de bien haut tu devrais voir ta tête hahaha » Il lui était difficile de ne pas rire de la situation, il n’était tombé que de sa propre hauteur quand ils avaient déjà tous les deux été victime de chute de balai ou même de blessure bien plus grave. « Je suis pas en sucre tu sais ? » Même s’il trouvait cette protection adorable, et l’idée d’être une demoiselle en détresse plutôt amusante. Les deux garçons se relevaient lentement, Eloan toujours un sourire provocateur aux lèvres. « N’empêche que j’suis tombé mais tu m’as suivi donc t’as pas gagné ! »

@Adi R. Hawkins

Adriel laissa un sourire lui échapper, rassuré de voir que son petit ami n'avait rien tandis que celui-ci se riait de sa tête avant de lui rappeler qu'il n'était pas en sucre. Le gryffondor leva les yeux au ciel mais il ne peut effacer son sourire, il était peut-être un peu trop protecteur, c'était vrai. Maiiis... Le Hawkins aimait pouvoir protéger l'être qu'il aimait, c'était ainsi, il voulait le protéger de tout, s'assurer que rien ne l’entache surtout pas en cette soirée qui promettait d'être unique.

"Disons que je n'ai pas envie que tu finisses ta soirée à l'infirmerie. Parce que d'un, ce sera difficile d'expliquer les verres qu'on a bu et surtout... Bordel, je veux encore profiter de la soirée avec toi et pas devoir inventer un énième mensonge à l'infirmière."

Adriel se redressa et tendit la main pour aider son petit ami à se relever comme il le faisait toujours que ce soit dans un contexte romantique ou amical. Après tout, il s'agissait d'un geste commun, comme un autre, un geste dont le gryffondor pouvait se permettre que ce soit devant les autres ou non car ça ne signifiait rien aux yeux du monde tandis que pour le gryffondor, c'était une occasion de pouvoir sentir la main d'Eloan dans la sienne. Main qu'il lâcha une fois le Ponds redressé. Ponds qui en profita d'ailleurs pour jouer sur les mots, sous l'air ébahi d'Adi. Ah non non non ! Qu'il ne cherche pas à jouer à ça non mais oh.

"Rêve pas ! J'ai pas dit celui qui tombe. J'ai dit le premier qui tombe. Comme tu l'as dit, je t'ai simplement suivi, donc, je te dois un gage."

Histoire de vite clore cette discussion avant qu'Eloan ne cherche à éviter le gage, Adriel prit la direction du coin restauration afin de se remplir le ventre avec une part de pizza. Chose qu'il conseilla aussi à Eloan car cela permettait d'éponger l'alcool et de mieux tenir d'après ce qu'il avait entendu. Il en profita aussi pour prendre un cocktail aux magnifiques tons de bleus.

tw : rapprochements physiques.

Quand il s’était préparé pour la soirée, Leo ne s’attendait pas à ce qu’un tel feu l’assaille ce soir. Pourtant, force est d’admettre que la présence de Blaise éveille ses sens et fait naître dans son ventre un tas de fourmillements agréables pendant qu’un feu ardent coule dans ses veines et s’intensifie à chaque caresse, à chaque baiser et à chaque murmure rauque. D’entre tous, il n’aurait jamais cru que ce serait Blaise qui le rendrait fou ce soir, loin de se douter que ce dernier était lui aussi attiré par le même sexe, la preuve qu’ils ne se connaissaient pas si bien les uns les autres, mais ça n’était pas pour lui déplaire. Là, coincé dans l’armoire tandis que les secondes et les minutes défilent, Leo se prend au jeu et s’il est provoqué par Blaise, il n’est pas en reste et répond avec autant d’ardeurs que lui par de nouvelles provocations destinées à rendre l’autre fou. Ils font durer le plaisir, accentuent le jeu jusqu’à ce que la frustration s’en mêle et qu’ils soient rappelés à l’ordre par le 4 lumineux au-dessus de leurs têtes et qu’enfin, le serpent mette fin à sa lente agonie et capture ses lèvres avec passion. Il ne faut à Leo qu’une demi-seconde pour réagir et prendre le visage de Blaise en coupe pour approfondir le baiser et se fondre en lui. Leurs langues se rencontrent pour danser un fabuleux balais et le gémissement étouffé de Blaise ne réussit qu’à nourrir le désir déjà bien trop fort de Leo qui ne peut pas s’empêcher de gémir à son tour contre ses lèvres lorsque ses doigts viennent chatouiller la peau de son torse. Il a envie de plus, Leo, mais il doit se séparer à regret de Blaise pour reprendre son souffle et accueillir sa remarque avec un léger rire. « And you did pretty good » lâche-t-il en tentant de garder le contrôle sur son souffle alors que Blaise recommence ses attaques sur sa mâchoire, dans son cou, sans compter ses doigts sur sa peau qui bientôt, viennent rencontrer ses fesses. Surpris par la spontanéité du geste, Leo ne peut pas retenir un nouveau gémissement qu’il vient étouffer contre l’épaule du métis « Fuck » lâche-t-il alors qu’il sent le désir revenir de plus belle dans son ventre et dans toutes les autres zones de son corps stimulées par le garçon. Ses lèvres à nouveau capturées, Leo en redemande et vient caresser sa langue de la sienne dans un nouveau ballet alors que ses mains viennent taquiner la peau du métis, de son torse jusqu’au V de son bassin qu’il vient chatouiller d’une brève caresse avant de retrouver ses fesses lui aussi. Pendant les trois dernières minutes – qui semblent durer aussi bien une éternité que quelques secondes, Leo s’emploie à embrasser encore et encore son camarade jusqu’à en avoir mal aux lèvres et jusqu’à ce que tous ses sens soient au bord de l’explosion. Il s’applique à laisser son empreinte sur la peau de Blaise pour qu’il se rappelle encore le goût de ses baisers même une fois qu’ils seraient sortis de cette armoire et durant tout le temps qu’il leur reste, il ne cherche pas non à cacher son désir pourtant évident. Ils ne parlent pas beaucoup, laissent leurs mains et leurs lèvres s’entrechoquer au gré de leur soupirs. Lorsque la porte de l’armoire rouvre sur la soirée clandestine, Leo vole un dernier baiser au serpent et se recule rapidement en laissant une distance entre eux pour que personne n’imagine ce qu’il venait tout juste de se passer. Profitant d’un mouvement de foule passant près d’eux, Leo laisse sa main traîner dans le dos du métis jusqu’à ses fesses dans un effleurement aussi bref que subtile qui pourrait presque passer pour une erreur « Pas trop mal Zabini » un dernier sourire en coin et Leo s’en va vers le buffet pour trouver de quoi se désaltérer et refroidir ses ardeurs avant de profiter du reste de la soirée pour danser, boire, chanter et s’amuser avec les uns et les autres.

fin d'intervention pour leo.

costume ; super-héros, en solo:

tw : rapprochements physiques.

Là, dans le placard, tous les trois réunis, ils sont à l’étroit, mais Maisie se sent plus vivante que jamais. Elle a chaud, mais c’est une agréable chaleur qui se répand dans chacune des parties de son corps, de celles qu’on redemande et qu’on laisse aisément se répandre sans chercher à la retenir. Le désir s’infiltre dans ses veines et s’accentue aux regards échangés et s’insinue plus profondément en elle quand Levi capture ses lèvres pour la première fois. Après le baiser échangé avec Connor, celui-ci ne vient que renforcer la chaleur et l’envie qui roule dans sa poitrine jusqu’à son bas ventre. Electrisée par ce baiser, par la sensation de Connor qui les regarde et par les mains de Levi dans ses cheveux, Maisie pousse un soupir de satisfaction contre ses lèvres en laissant ses mains vagabonder sur le torse du Poufsouffle, à demi-perdue dans toute la flopée de sensations qui remue en elle. Elle a les sens chamboulés, le corps secoué de frissons et de spasmes alors que son souffle se raccourcit sous la pression des doigts de Levi dans ses cheveux et de sa langue qui rencontre la sienne. Ils ne délaissent pas Connor pour autant et bientôt, c’est Maisie qui observe le délicieux spectacle des deux garçons collés l’un à l’autre sans pouvoir se retenir de se mordre la lèvre tandis qu’une décharge électrique descend de sa poitrine jusqu’à son bas ventre sous la vision de ce baiser si hot. Si c’est encore possible, ses sens s’affolent un peu plus quand Connor tourne son regard vers elle et elle ne peut pas s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres, excitée par le spectacle que lui offrent les deux garçons. Incapable de rester en place, elle tend la main vers eux et attrape la ceinture de Levi d’une main pour laisser ses doigts vagabonder à la lisière de celle-ci tandis que son autre main, elle, vient se perdre dans la nuque de Connor où elle y retrouve la main de premier Poufsouffle déjà déposée. Elle a besoin de plus, Maisie, et son meilleur ami semble entendre son appel puisqu’un instant plus tard, elle retrouve la sensation familière de ses lèvres sur les siennes, provoquant un nouveau feu d’artifice dans son ventre. Il a encore le goût des baisers de Levi sur les lèvres, et elle adore ça mais apprécie encore plus sentir ses lèvres glisser jusqu’à son cou, geste qui éveille un peu plus son désir sur le point d’exploser. Ils la rendent folle, mais elle en redemande encore en se penchant cette fois vers Levi pour écraser ses lèvres d’un nouveau baiser, jamais complètement rassasiée de lui, d’eux, de tout ce qu’ils sont et s’offrent les uns aux autres. Elle a le souffle court, l’impression que sa poitrine est sur le point d’exploser, elle brûle, le contact des deux Poufsouffle l’électrise et ils ne sont plus que passion tous les trois, magnifiques. Le désir s’accentue de plus en plus au rythme de leurs baisers et de leurs touchers, ici Connor qui la rend folle, là Levi qui soupire sous ses doigts, mais elle a besoin de plus, Maisie, et c’est pourquoi, alors que l’armoire n’affiche plus qu’une minute, elle lève sa main devant son visage pour empêcher l’un des garçons de l’embrasser encore « Stop, une seconde, attendez » une main posée sur le torse de Levi, l’autre venant retrouver la main de Connor pour enrouler ses doigts aux siens, elle reprend difficilement son souffle alors qu’un large sourire malicieux commence à décorer ses lèvres. « I want to go somewhere else… With both of you. » son sourire s’élargit tandis qu’elle les regarde tour à tour puis elle se mord la lèvre quand son regard s’arrête sur son meilleur ami. « You know a place, don’t you ? » et elle lui vole un baiser, rapide, bref, tandis que les portes se rouvrent et qu’elle prend les mains des deux garçons dans les siennes pour qu’ensemble, ils partent vers de nouvelles aventures et de nouvelles sensations, laissant derrière eux une soirée qui leur aura au moins permis d’assumer leurs désirs respectifs avant de les épouser.

fin d'intervention pour maisie et les garçons.

costume :

la soirée qui s’attarde, étudiants survoltés qui comptent bien profiter au maximum de la première soirée de l’année. ça s’agite, ça crie et ça rit autour d’eux, mais elle ne voit que son ami qu’elle redécouvre ce soir. le reste de son visage qu’elle apprécie alors qu’elle ôte son masque, et la vipère qui rougit presque lorsqu’il enlève celui qu’elle porte. finalement habituée à l’anonymat relatif qu’elle a pu connaître depuis son entrée dans la pièce, l’intimité de se révéler qui la trouble un instant. le dicton sur les serpentards qui lui apporte ensuite un sourire empreint de fierté. l’appartenance à cette maison une vraie bénédiction, flora qui a su trouver une famille, une vraie, avec hestia. bien loin des carrow et de l’ambiance toujours pesante de leur manoir. la musique qu’elle entend démarrer qu’elle apprécie et qui l’attire, alors elle entraîne son compagnon du soir vers la suite de leur soirée. regard taquin qu’elle lui lance. « you should be careful. » leurs doigts qui se séparent en entrant sur la piste de danse, quelques pas maladroits amorcés chacun de leur côté. la foule qu’elle s’efforce d’ignorer, ces étudiants qu’elle croisera le lendemain et qu’elle devra fusiller du regard si l’un d’eux ose une remarque sur le contenu de cette soirée. car c’est enfin l’occasion d’être quelqu’un d’autre, de goûter à la liberté qu’elle envie tant. le contact avec theodore qu’elle retrouve bien vite alors qu’elle l’accompagne, se cale sur son rythme, et elle lâche prise flora. « time to discover ourselves. » elle crie presque pour couvrir la musique. mouvements chaotiques, cadence à laquelle elle n’est pas habituée, les bals de l’élite bien loin d’y ressembler. le serpent qui la fait virevolter et elle rit. la vie et son quotidien qui lui semblent bien simples sur le moment, quand tout n’est que jeu de lumière et de son et que le sang largement alcoolisé obscurcit sa vision. déçue et en même temps un peu soulagée que le ridicule s’arrête quand les dernières notes arrivent. mais à peine le temps de reprendre son souffle, que la prochaine chanson commence. le rythme nettement moins soutenu, slow qui transforme l’ambiance de la piste de danse. couples qui se forment et qui se rejoignent, les silhouettes qui se rapprochent et qui ne forment plus que des paires. le regard qu’elle lève vers son ami, incertaine, mais après tout ils étaient eux-mêmes collés l’un à l’autre quelques minutes plus tôt. « one last dance. » sa main qui rejoint celle de theodore, l’autre qui vient se positionner sur son épaule. lent balancement qu’ils entament, plus bien à leur aise sur ce rythme qu’ils connaissent mieux. « as-tu pu faire tout ce que tu voulais faire lors de la soirée ? » les jeux nombreux dans la pièce, des recoins dissimulés qui n’appellent qu’à être explorés. flora qui n’en a vu qu’une portion, le temps qui semble s’être écoulé avec une rapidité qu’elle n’a pas su percevoir. certaine qu’elle le regrettera le lendemain, curiosité qui la poussera sûrement à interroger ses amis sur ce qu’ils ont pu voir et faire qu’elle n’a pu. la joue qu’elle pose contre le torse du serpent, les yeux qu’elle ferme alors qu’ils continuent à lentement tourner. moment hors du temps, bulle magique qui éclipse tous leurs problèmes et qui semble oublier la distance qu’ils ont connu ces dernières années. elle n’aurait souhaité partager ce moment de la soirée avec personne d’autre flora.

@Theodore Nott

costume :

tw : rapprochements physiques.

Il réalise alors Blaise qu’il aime cet instant, cette sensation d’être un adolescent parmi les autres et non ce sorcier supposé se marier avec la sorcière choisie par sa mère. Il a l’impression de baigner dans une forme d’insouciance qu’il a si peu connu et qui est étrangement agréable. Sans doute qu’il aurait pu réfléchir davantage aux conséquences de ses actes, à la réaction que Leanne aura quand il lui en parlera mais à cet instant, rien de tout cela ne lui traverse l’esprit. Il n’y a que Leo et leurs lèvres s’épousant à la perfection, que son corps qu’il sent contre le sien. Ses mains lui arrachent des frissons alors que c’est un véritable brasier qui l’envahit, chaleur qui ne fait que croître dans l’espace si petit qu’ils occupent. Il est conscient du peu de temps qu’il leur reste, à peine quelques minutes avant que cette parenthèse qu’ils s’offrent ne se ferme et qu’ils ne retournent tous les deux vers la soirée en prétendant que rien n’était arrivé. Ses lèvres retrouvées, il se laisser aller au gré de ses envies et de celles de son partenaire, répondant avec envie aux baisers qu’il lui offre alors que ses propres mains continuent l’exploration du corps de Leo. Ses doigts effleurent chaque muscle qu’il croise et apprécie par ses caresses tandis que son bassin rejoint celui de l’aiglon face à lui. Il n’y a aucun autre son que celui de leurs soupirs et de leurs corps qui se frôlent tandis que Blaise reste au plus près de lui, conscient du peu de temps qu’ils avaient. Quand le minuteur sonne la fin, il mord sa lèvre inférieure avant de se décoller de lui avec un sourire satisfait. Il a chaud, l’italien, encore en proie à l’effet que Leo avait sur lui, souriant contre ses lèvres face à ce dernier baiser volé. Et alors qu’ils retrouvent la soirée, il profite pour retrouver un semblant de contenance, essayant de faire comme s’il n’était pas dévoré par les flammes que le sorcier venait d’attiser chez lui. Il tourne la tête vers lui légèrement, sourcil arqué face à ce dernier contact qu’il initie. « Careful Burgess. » Faux avertissement qu’il lui offre alors que son sourire trahit l’amusement qu’il éprouve alors, Blaise finit par quitter Leo pour se glisser entre les nombreux sorciers encore présents dans la soirée. Il s’éloigne de ce placard pour retrouver ses esprits, retrouvant une boisson lui permettant de se rafraîchir avant de finir la soirée auprès de ses amis comme il se doit.

Sortie de Blaise.

créature, en duo:

 

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